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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 00:35

Que cette etude de l'Universite de Quinnipiac (??) atteste par des sondages que 58 % approuvent la politique d'Obama, c'est un peu beaucoup anticiper car pour le moment, puisqu'il n'est au pouvoir que depuis 100 jours, il y a ZERO resultat, sauf des mains tendus a tous venants et aucun resultat concret jusque la.

Il faudrait attendre un peu plus pour emettre une appreciation de sa politique ou le contraire et ce soutien ne correspond qu'au meme engouement mystique quasi general envers Obama dans le monde entier...

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 01:15

En plus, qui sommes-nous pour le contrarier puisqu'il se dit lui meme "pas content" !<,>

"I am not content" Obama says


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 02:04

Obama, on te casse la barack !^)*

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 06:07

Citation:
Obama toujours haut dans les sondages

mais la réalité tend vers le bas.

- Le PIB outre-Atlantique a en effet diminué de 6,1% entre janvier et mars 2009, alors que les analystes tablaient sur un recul de 4,7% .
6% en moins c'est énorme car 6% en plus c'est la progression d'environ 2 à 3 années.

- La planche à billet fonctionne sans cesse, très facile de sourire et d'obtenir des cheques du Congres, mais les conséquences peuvent être désastreuses pour les E.U et pour le monde. Du manque de confiance dans le billet vert à une hyperinflation. C'est la prochaine bulle financière qui se prépare.

- 2000000, oui 2 millions de chomeurs se sont ajoutés pendant ces 100 premiers jours Obama, soit 20,000 pour chaque conference de presse.
Ce n'est peut être pas grave car 200 millions d'américains sont encore obnubilés par le sourire Obama.
Donc chaque sourire Obama crée 200 millions * 1 minute de sourires (A) ou 20,000 chomeurs * 24h de désespoir (cool smiley.

(A) > (cool smiley ? tha'ts the question.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 06:16

Le taux de chomage aux E.U. grimpe...


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 06:24

Et...
Amnesty appelle Obama à "finaliser les promesses"
NOUVELOBS.COM | 29.04.2009

Si l'organisation de défense des droits de l'homme salue certains progrès comme la fermeture de Guantanamo, elle regrette des "messages ambivalents" de la Maison Blanche.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 30 avril 2009 : 10:29

Les Cent Jours,

[www.letelegramme.com]

[www.lesechos.fr]

Etats-Unis - 100 jours d'Obama: "le meilleur bilan depuis Roosevelt"

Interview - Frank Baumgartner, professeur de sciences politiques, analyse pour LCI.fr les 100 premiers jours du nouveau président américain à la Maison-Blanche.

Il estime que la rupture avec George W. Bush est bien réelle, aussi bien sur le plan politique que symbolique.
Propos recueillis par Fabrice AUBERT - le 28/04/2009 - 17h19

Frank Baumgartner est professeur de sciences politiques à l'Université Penn State, en Pennsylvanie.

LCI.Fr : Quel bilan peut-on tirer des 100 jours de Barack Obama à la Maison-Blanche ?

Frank Baumgartner : C'est sans doute le meilleur bilan à ce stade d'une présidence depuis Franklin Roosevelt. Il est plus positif que celui de Ronald Reagan en 1980 ou encore de celui de Newt Gingrich avec son "Contract with America" (ndlr : le programme législatif des républicains après leur victoire à la Chambre des représentants en 1994). Le fait que tout le monde le compare à Roosevelt en dit déjà beaucoup sur ce bilan. C'est une bonne compagnie !

Barack Obama a bien sûr traité des grandes questions financières mais il n'a pas non oublié pas les autres priorités. Il a fermé le camp à Guantanamo au premier jour ouvrable de sa présidence, ce qui n'est évidemment pas un hasard. Il a également lancé un processus qui finira certainement par des investigations sérieuses sur l'utilisation de la torture, en soulignant l'idée de tenir comme responsables non pas les agents mais bien les responsables plus élevés. Le contraste est saisissant avec l'attitude Donald Rumsfeld lors du scandale d'Abou Ghraib.

LCI.Fr : Ce bilan correspond-t-il à ce qu'il avait annoncé lors de sa campagne ?

F.B. : On ne peut certainement pas se plaindre de lui d'avoir oublié ses promesses ni de ne pas avoir créé une rupture avec le passé.

"Il inspire confiance"

LCI.Fr : Peut-on justement parler de réelle rupture avec Bush ? N'y a-t-il pas en effet une certaine continuité avec son prédécesseur selon les sujets ?

F.B. : Naturellement, l'administration publique continue, comme c'est toujours le cas. C'est un grand navire que ne change pas de direction si vite. Et il est vrai qu'il n'y a pas tellement de différence sur certains thèmes. Mais sur les sujets principaux, la rupture est réelle : guerre en Irak, en Afghanistan, relations avec Cuba et l'Amérique latine, actions vis-à-vis des marchés financiers, réforme de la santé (encore à venir), programme de stimulus économique...

Surtout, les Américains ont désormais le sentiment que la situation, très difficile, est reprise en main, avec savoir-faire. Barack Obama inspire au public une grande confiance et un nouveau souffle. A la fin de son mandat, George W. Bush était dans la situation inverse, notamment pour la crise financière. La rupture n'est donc pas uniquement politique. Elle est aussi symbolique, via un nouveau style de leadership.

LCI.Fr : Pour l'instant, l'état de grâce se poursuit. Peut-il continuer ?
F.B. : Il est inévitable que Barack Obama va perdre une certaine partie de son soutien public et politique. Mais, en face de lui, le parti républicain se trouve dans sa pire situation depuis des décennies. Et son choix de "tout refuser", notamment le plan de stimulus économique, indique qu'il cherche désespérément à mobiliser la base. Or comme le président a le soutien d'une énorme majorité des Américains, cela pourrait s'avérer être une erreur stratégique de premier ordre si le public ne perd pas patience avec Obama.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 10 mai 2009 : 18:28

De la meme maniere qu'on ne peut, porter aux nues un President qui occupe le poste depuis seulement 3 mois, on ne peut aussi lui faire porter la responsabilite de ce titre parue aujourd'hui sur le Figaro.fr.

Le chômage américain au plus haut depuis 1983

mais on ne peut s'empecher de s'inquieter du fait que :

539.000 emplois ont été détruits en avril dans la première économie mondiale, portant le nombre de chômeurs à 13,7 millions.

[www.lefigaro.fr]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 mai 2009 : 17:13





Un dur retour a la realite pour Obama, qui non seulement abandonne, discretement, son projet de poursuivre les agents de la CIA pour emprisonnements et tortures des inculpes de Guantanamo mais actuellement il revient egalement sur ses promesses en maintenant les tribunaux d'exception antiterroristes !

Autrement dit, Il commence a laisser de cote la demagogie populiste et l'angelisme plat pour comprendre que parfois il faut se mouiller un peu.
[www.lepoint.fr]

- TORTURE : Barack Obama s'oppose à la diffusion de nouvelles photos [www.lepoint.fr]

- LES MÉTHODES DE LA CIA DÉVOILÉES : Obama refuse de poursuivre les responsables de tortures
[www.lepoint.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 21 mai 2009 : 11:47

Soixante-seize sénateurs américains ont appelé le Président Barack Obama à continuer de soutenir Israël et de "prendre en compte les risques que comporterait un quelconque accord de paix", a reporté l'agence de presse AFP.


Le Capitole ou Sénat américain à Washington.
Photo: Archives , JPost
Dans une lettre envoyée au Président et signée par 76 des 100 sénateurs, ils s'adressent à Obama de la façon suivante : "sans aucun doute, nos deux gouvernements s'accorderont sur certains problèmes et divergeront sur d'autres, mais l'amitié qui existe entre les Etats-Unis et Israël exige que nous travaillions ensemble de façon étroite alors que nous réinvestissons ce rôle historique que nous avons, d'ami de confiance et de médiateur actif".

"Nous devons continuer d'insister pour un engagement absolu de la part des Palestiniens pour mettre un terme à la violence et pour construire les institutions nécessaires à la création d'un état viable, vivant côte à côte et en paix avec l'Etat d'Israël" ont écrit les Sénateurs.

"Plus les forces palestiniennes deviendront capables et responsables, plus elles montreront leur faculté de gouverner et de maintenir l'ordre, et plus il sera facile pour elles d'accéder à un accord avec Israël".

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: rosette (IP enregistrè)
Date: 21 mai 2009 : 22:49

nous vous livrons cette analyse de Guy MILLIERE (dans la MENA) que chacun appréciera selon ses propres convictions



« Obama est le premier président des Etats-Unis essentiellement et

fondamentalement hostile à Israël. Il est très difficile d'être premier

ministre d'Israël. Particulièrement après les années où Ehoud Olmert a

occupé ce poste et mené une politique erratique qui a laissé des

traces. C'est tout spécialement difficile maintenant que Barack Obama

est à la Maison Blanche. J'avais, suivant en cela l'avis de plusieurs

commentateurs américains, considéré jusque là que Jimmy Carter avait

été le pire président de l'histoire des États-unis. C'était exact

jusqu'à une date récente : Obama a, en quatre mois, montré qu'on

pouvait faire pire encore que Jimmy Carter. En ce court laps, Obama a

permis au régime des mollahs de réaliser qu'il lui était possible de

poursuivre son avancée vers l'arme nucléaire sans le moindre risque ;

poussé le gouvernement pakistanais à abandonner une région du pays aux

talibans, avant de lui demander de faire machine arrière ; distendu les

liens de partenariat avec l'Inde, noués sous George Bush ; montré au

Japon que les États-unis n'étaient pas prêts à le défendre face à la

menace nord-coréenne ; fait savoir aux dirigeants de Pékin que

l'administration américaine ne prêtait plus aucune attention à la

situation des droits de l'homme en Chine, et déclaré, à plusieurs

reprises, que les Américains avaient, humblement, beaucoup à apprendre

de l'islam et du monde musulman. Je pourrais ajouter à la liste la

promotion, en partenariat avec Hugo Chavez, d'un livre marxiste inepte

d'Eduardo Galeano sur l'Amérique latine, un ensemble de décisions

économiques engageant les États-unis sur la voie d'un socialisme à

l'européenne, ou l'invitation, comme oratrice au dîner annuel de la

presse, d'une comédienne gauchiste, militante de la cause lesbienne,

Wanda Sykes. Cette dernière a beaucoup fait rire Barack et Michelle en

souhaitant, en direct, la mort du commentateur conservateur Rush

Limbaugh. Mais je ne veux pas faire un catalogue exhaustif des facéties

dangereuses du nouveau président. En ce qui concerne Israël, Obama

procède à des glissements progressifs vers la trahison, et, si des

présidents ont, auparavant, eu des attitudes assez nettement anti-

israéliennes, Obama est le premier président des États-unis

essentiellement et fondamentalement hostile à Israël. Si l'on prend les

propos tenus lors de la brève conférence de presse qui a suivi sa

rencontre avec Benyamin Netanyahu, on peut noter, outre le ton général

paternaliste utilisé par Obama, et au-delà de l'hypocrisie évidente de

ce dernier, plusieurs messages nets, constitutifs d'une « doctrine

Obama » en gestation. Parmi ceux-ci, le refus de fixer des dates

limites aux pourparlers avec la République Islamique d'Iran, le refus

de dire que l'option militaire reste sur la table (les seules menaces

évoquées par Obama sont des sanctions supplémentaires, ce qui a dû

faire beaucoup rire Ahmedinejad). La condamnation des mesures de

surveillance étroite et de sanctions mises en ?uvre par Israël (accusé

de ne laisser « aucun espoir aux Gazaouis ») ; les pressions pour que

Netanyahu saisisse l' « opportunité historique » présente et fasse

des « gestes sérieux », non pas vers l'avancée du processus de paix,

mais vers « la paix » tout court, donc vers la création rapide d'un

État palestinien. Dès lors qu'Obama a fait savoir, de manière

redondante, qu'il était favorable au plan de paix arabe proposé par

l'Arabie Saoudite, il n'est pas du tout difficile de savoir ce que la «

paix » en question signifierait. Abba Eban avait parlé autrefois des

frontières de 1967 comme des « frontières d'Auschwitz » : Obama est

favorable aux frontières d'Auschwitz. Les États-unis, par ailleurs,

viennent de réintégrer le Conseil des Droits de l'Homme des Nations

Unies : oui, celui qui vient d'organiser la si remarquable conférence

de Durban II à Genève. Ils entendent participer, dans le cadre de

l'Onu, comme l'a confirmé récemment Susan Rice, dans la lignée de Rose

Goettenmoeller, à un désarmement nucléaire et à une mise en ?uvre

stricte de la non prolifération, dans le cadre de laquelle Israël se

verrait demander des comptes, ce qui rompt avec quarante années

d'accords entre Israël et les États-unis sur ce point. Très

significativement, lors de son voyage vers l'Europe et l'Égypte, où il

va lire, au Caire, sur son téléprompteur, début juin, un discours que

je n'ose imaginer à l'avance, Obama ne passera pas par Israël. Lors de

sa récente visite à Washington, Shimon Peres n'a, contrairement aux

usages en vigueur et au minimum protocolaire, pas été invité à donner

une conférence de presse en compagnie de son hôte, ce qui n'a pas été

du tout une marque d'amitié : lui demandera-t-on passer par la porte de

service la prochaine fois ? Lors des entretiens que Peres a eu avec

Obama, Hillary Clinton a, semble-t-il, été invitée à ne pas venir

(parce qu'elle serait trop « pro-israélienne », dit-on à Washington :

c'est dire ce que sont les positions des autres). Les discours tenus à

Peres sur les implantations israéliennes ont été si durs et si

blessants, qu'il s'est, lui, le modéré d'entre les modérés,

légitimement mis en colère. Ce qui rassure un peu est que le projet de

deux Etats ne peut, au delà des formules verbales, avancer. En dehors

des hurluberlus qui ont participé aux « accords de Genève » il y a

quelques années, nul ne peut voir sérieusement comment Jérusalem

pourrait être divisée : un immeuble pour le Hamas, celui d'à côté pour

Israël, bien sûr' ».
-
Copyright Metula News Agency

Texte,desolee, certes long, mais pas ininteressant !!!




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: YONA (IP enregistrè)
Date: 22 mai 2009 : 00:19

Ce fabuleux texte de GUY MILLIERE m'a laissé plein d'admiration!! Ah!comme j'aurais aimé m'exprimer comme toi GUY!Tout ce que tu dis c'est tout à fait ce que je ressens !( c'est comme la musique que l'on ressent à travers ses tripes ).
Bravos! mille bravos!!..tu mérites le prix Nobel de la JUSTICE!
Tout ce que je peux te dire ,c'est: "CHAPEAU BAS"!!!..vraiment!
Merci à toi ROSETTE de l'avoir publié.
Bernard.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 22 mai 2009 : 07:57



Le chef de l'Etat Major americain a declare que l'arme nucleaire aux mains des iraniens est une catastrophe pour le monde entier.

Il s'est exprime ainsi suite aux derniers essais de missiles longues portees iraniennes pouvant atteindre Israel et les bases americaines postees pres du Golfe persique.




Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 mai 2009 : 19:42

Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste


Cette satire transparente du "plan de paix" que les Etats-Unis veulent imposer à Israël – à la grande satisfaction des Arabes, en général, et des Palestiniens, en particulier -, fait mouche, même si elle ne frappe pas avec autant de force des non-Américains, en raison de leur peu de familiarité avec la géographie américaine. Je fais précéder l’article d’une caricature de Dry Bones, que me signale un ami. Tout en admirant et en saluant le féroce génie pédagogie qu’elle véhicule, je ne peux m’empêcher de déplorer qu’elle ne signale pas l’origine de son inspiration, incontestablement due au site, non moins satirique et au moins aussi talentueux, quoique dans un genre différent - "The Xenophile Historien". (Menahem Macina).

Durant de nombreuses années, et au moins depuis la Guerre des Six-Jours de 1967, on a parlé d’une résolution du Conflit arabo-israélien dans laquelle Israël échangerait la paix contre des territoires. Malheureusement, ceux qui appellent à un tel arrangement oublient que les Arabes possèdent déjà la majeure partie des territoires du Moyen-Orient et l’Afrique du Nord ! De plus, on pourrait avoir envie de demander à un Indien américain s’il pense qu’un accord terre-en-échange-de-la-paix est une bonne idée.

Si nous avions essayé la même chose ailleurs, qu’aurions-nous obtenu ? Le résultat aurait-il été de nature à nous satisfaire ? Suivez-moi pour voir la logique de la cession de territoires en échange de la paix, appliquée aux problèmes américains…



La caricature satirique de Drybones Project



La «Feuille de Route» pour le Moyen-Orient, appliquée aux Etats-Unis



Le Plan de Paix américain – Phase 1




Pour commencer, restituons tous les territoires d’outre-mer à leurs propriétaires originaux. Cel inclut [l’île de] Guam et Porto Rico, qui ont été conquis de force sur l’Espagne ; [l’île de] Hawaï, qui a été annexée sans le consentement de la population indigène ; et l’Alaska, achetée aux Russes à un prix qui les a manifestement dépouillés. Nous nous retrouvons avec une Amérique continentale, appelée aussi "The Lower 48" [littéralement, les "48 (Etats) inférieurs", expression équivalant à "l’Amérique continentale"].

Le Plan de Paix américain – Phase 2





Voici maintenant à quoi ressembleront les Etats-Unis après la restitution des territoires pris de force au Mexique.


Le Plan de Paix américain – Phase 3





Ensuite, nous nous retirerons de la Rive Ouest, kidnappée par des fanatiques, aux cris de « Destinée manifeste ! » [1].

Le Plan de Paix américain – Phase 4




Les Etats de l’extrême sud ont les plus grandes communautés hispanophones, toujours menacées de mauvais traitements tant qu’ils sont dans un pays dominé par des anglophones.

Le Plan de Paix américain – Phase 5




Nous devrions revendre à la France le Territoire de la Louisiane. Ce n’est que par cupidité que nous l’avons acheté en premier lieu. En outre, Thomas Jefferson [2] a dit un jour que le territoire situé à l’est du Mississipi devrait « suffire pour une centaine, voire un millier de générations » [3].

Le Plan de Paix américain – Phase 6



La Révolution américaine n’a rien à voir avec le territoire situé entre les monts Appalaches et le fleuve Mississipi ; alors, que font les Etats-Unis en gardant le pays que la Grande-Bretagne a promis aux Indiens en 1763 ?

* Si les Britanniques ne veulent pas qu’il leur soit restitué, rendons-le aux Indiens en créant un Etat des Américains Autochtone.
* Des membres du Mouvement Indien d’Amérique (AIM) exerceront des fonctions dans le gouvernement provisoire de la République des Américains Autochtones, jusqu’à ce que des élections soient organisées.
* Les habitants d’ascendance européenne ou africaine seront autorisés à rester s’ils peuvent prouver que leurs ancêtres vivaient dans la région avant 1776.
* La capitale de la nouvelle république sera située à Cahokia, dans l’Illinois, où vivait avant 1492 [et vit encore aujourd’hui] la plus grande communauté d’Amérique du Nord.
* Le démantèlement des "colonies" illégales comme Atlanta Detroit et Chicago commencera immédiatement.
* Une fois que les Anglo-Américains auront achevé leur retrait sur les frontières de 1763, les Américains Autochtones reconnaîtront le droit des Etats-Unis à l’existence.

----

Notes de Menahem Macina


[1] « Destinée manifeste » : Slogan forgé par les colons de la Nouvelle-Angleterre, au XIXe siècle, pour justifier la Conquête de l’Ouest. Il résume la croyance selon laquelle c’est la destinée des Etats-Unis, voire leur mission divine, que de s’étendre sur le continent nord-américain, des rives de l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique, voire au-delà. Il fut utilisé en 1845 par un journaliste new-yorkais, du nom de John L. O’Sullivan, pour encourager l’annexion du Texas ». (D’après l’article Wikipedia, en anglais : « Manifest Destiny ».)

[2] Voir la notice bibliographique (en anglais) consacrée par Wikipedia à Jefferson.

[3] La phrase est extraite d’un discours prononcé par Jefferson devant le Sénat américain le 3 mars 1803. La mention « territoire situé à l’est du Mississipi» n’y figure pas.

24/05/09

Texte original : « The Middle East "Road Map," Applied to the USA », sur le site "The Xenophile Historian" (L’Historien Xénophile [= qui aime les étrangers]), 27/08/2007.

[www.upjf.org]




Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 mai 2009 : 19:46

Autrement dit, il n'y a qu'une seule justice et une seule raison, c'est celle du plus fort !

Hypocrites ? TOUS !

Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 mai 2009 : 19:50

Et puis, il faut se rendre a l'evidence, l'Amerique est en chute libre et sa monnaie americaine ne vaut plus grand chose (en realite !) et ce n'est pas ce deversement arbitraire et etrange du dollar (la monnaie americaine est la seule au monde qui s'echange internationalement et l'Amerique en profite en imprimant sans cesse...!). D'ailleurs premiers bemols, la Chine et le Bresil commencent deja a faire leurs echanges commerciaux dans leur monnaie respective.

De plus, si l'Amerique se fait de plus en plus gnan-gnan vis-a-vis des grands tyrans actuels, la raison est toute simple et c'est parce que l'Amerique est en deconfiture totalement. Le monde entier peut et a des chances de s'en sortir mais plus l'Amerique qui n'a plus rien a offrir economiquement parlant au monde. C'est un fait avéré.




Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 25 mai 2009 : 01:58

Si les USA sont tombés si bas, ainsi que leur US Dollar, c'est principalement du à l' ère bushiste qui a dépensé sans compter, pour entretenir des guerres qui allaient bien au delà de leurs moyens financiers, et qui pour combler les déficits, ont du faire tourner à mort la planche à billets.

Alors, il n'y a pas de quoi s'étonner, si cette politique se retourne contre ceux qui l'ont soutenu, ne pas oublier qu' Eisenauer qu'on ne peux certainement pas classer parmi les "gauchistes", avait mis en garde Kennedy contre les ambitions du complexe Militaro Industriel US.

Cette mise en garde s'est depuis concrétisée par de nombreux exemples, et à de nombreuses reprises.





Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 25 mai 2009 : 04:36

Bush ne peut etre tenu responsable pour les de-regulations du systeme financier et bancaire qui ont commencees sous l'ere Clinton.

Les americains n'ont pas de problemes de manque de monnaie. Ils peuvent imprimer du billet vert sans aucune contrainte d'apres les accords de Bretton Woods a la fin de la seconde guerre mondiale.
L'Argentine en manque de pesetos s'adresse au Fond Monetaire International. Les USA non!!!

Certains economistes affirment que seulement une guerre pourrait sortir les USA du marasme economique, la fabrication et l'exportation d'armes auraient un effet boule de neige sur toute l'economie.

Le fait est qu'a l'ere Obama, malgre les injections massives de trillions de dollars, le chomage augmente, le marasme economique persiste et l'on voit se dessiner une economie mondiale a 2 vitesses:
La Chine, le Canada, Israel, le Danemark a la vitesse normale , les USA a vitesse reduite ne sont classes que 28eme au "stress test" élaboré par l'IMD.
Pour le prix nobel Paul Krugman, les décisions économiques d’Obama sont insuffisantes et lui permettent uniquement d’acheter du temps.

Trop facile d'accuser Bush de tout!
Pour moi, je le repeterai toujours c'est grace a Bush que l'on peut voyager en avion en toute tranquillite, c'est grace a Bush que la terreur ne se manifeste plus a New York et Paris mais plutot a Kandahar, au Pakistan et en Afghanistan.




Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: YONA (IP enregistrè)
Date: 25 mai 2009 : 07:49

Les " Bushites" dont je fais partie peuvent être fiers de leur ancien président!!.....MERCI GERARD.
Bernard.

Si les Etats-Unis appliquaient la Feuille de Route pour le Moyen-Orient à leur passé expansionniste
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 25 mai 2009 : 10:08

Il serait très instructif de savoir si Bravo connait les résultats économiques des USA sous la présidence des Président Bush et Clinton.Et de nous dresser un tableau comparatif.Sinon il serait bon de lui conseiller de fermer sa Gu.....

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