En Effet Carla, j'ai bien remarque la derniere phrase de ce gars qui craignait l'arrivee future des republicains mais cela n'etait nullement significatif et ce qui m'importait, c'etait surtout la pertinence de son analyse.

Les problemes qu'il decrit sont des problemes reels et si a ces scenarios politiques inquietants, nous avons un Obama qui se dit "decu...inquiet...choque..." sans plus, il est tout a fait evident que non seulement les problemes s'amplifieront gravement, mais que les prochaines elections balayeront son gouvernement et mettront en place des republicains coriaces et energiques. Sauf qu'a ce moment la, les problemes seront multiplies et la situation dans le monde hautement plus grave.

Quant a la politique d'Obama conforme par la tiedeur de sa reaction face aux evenements recents en Iran, je conseille de lire les ambitions et les visees de son gourou, ancien gourou de Carter, en la personne de Zbignew Brejinski

"11,518,472,742,288 ou la réalité des chiffres"

Bein ma foi, pour les USA, c'est très facile de procéder au règlement de cette dette, il leur suffit d'adresser à leurs préteurs, la facture pour le maintient de la "PAX AMERICANA" qu'ils ont si vaillamment promue à travers le monde et à travers les ages, et ainsi la dette sera très largement annulée.

J'aimerais bien voire la tête des préteurs, lorsqu'ils iront s'adresser au bureau des réclamation,,, Ha!Ha!Ha¨,,, Brenicle, Nada, Nitchevo Niépanémaï, Cheï Khata Cheï,,, rien que du cinoche.


Bon Dimanche à Tous les Amis, on va à la plage.

« Israël est libre de décider s’il veut attaquer l’Iran », a répété dimanche à trois reprises le vice-président américain Joe Biden, lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision ABC.

Les Etats-Unis “ne peuvent pas dicter à un autre pays souverain ce qu’il peut ou ne peut pas faire”, a déclaré M. Biden

Cette information qui s'ajoute a l'information de ces derniers jours concernant l'autorisation saoudienne de permettre aux israeliens de traverser l'espace aerien de ce pays, ne signifient qu'une seule chose, c'est que les americains esperent faire pression sur l'Iran afin de les amener a negocier...

Quand Sadate est devenu un héros mondial et a pris place dans nos coeurs, ce n'est pas parce que, soudain un matin il s'est réveillé en trouvant les israeliens absolument adorables, mais bien parce que les États Unis venaient, en échange, au secours de l'Egypte qui était un des pays les plus en difficulté du Monde.

La paix avec l'Egypte et la Jordanie était un pas essentiel, ce sont les Etats Unis qui l'ont obtenue, après la retentissante victoire de Tsahal qui a couté si cher en hommes et a amené tant de chagrin.

La puissance financière de l'Amérique était telle que son aide ou ses menaces pesaient un poids mondial de tout premier ordre.

Et puis il y eut les guerres d'Irak, dramatiquement lourdes pour les U.S. d'autant que leur armée est elle même lourde!

(je me suis longuement demandé pourquoi, au-lieu de laisser filer l'armée de Saddam dans la nature en en faisant des désespères sans solde, les américains ne l'avaient pas enrôlée, c'était une armée en grande partie composée de mercenaires palestiniens, beaucoup d'entre eux ont peut être rejoint le hezbollah, le hamas ou la Syrie quand ils ne sont pas restés en Irak pour fomenter des attentats).

Et puis est venue la crise.

Les cartes que Obama a trouvées en arrivant aux affaires ne sont pas du tout les mêmes que celles dont ont bénéficié ses prédécesseurs, mais c'est avec ces cartes qu'il doit jouer alors que la menace mondiale s'est considérablement alourdie, alourdie et allégée tout à la fois, car l'économie des autres est aussi en piteux état.

Alors il est très difficile de juger de l'action de Obama ou d'un autre en fonction des critères d'avant.

Je suis loin de tomber dans l'obamamania, mais il y a plusieurs façons de voir les choses:
Dans son métissage, on peut interpréter quand il s'incline devant le roi d'Arabie:

- "Il s'appelle Hussein et il montre son allégeance à l'Islam"
- ou "son parcours personnel lui donne une meilleure perception de la façon de penser de l'autre".

"Baise la main de ton ennemi si tu ne peux la couper" - Proverbe arabe -

Pour rester sur cet exemple, il est à noter que cette tournée d'Obama se situe avant l'élection d'Iran et a peut être contribué à inciter les iraniens à tenter de se débarrasser de leur tyran.

Que Obama soit beau garçon avec un joli sourire, c'est le cadet de mes soucis, en politique je ne suis jamais sous le charme de personne, en revanche ces qualités là, alliées à de solides études, à une intelligence que je ne mets pas en doute, à un métissage que j'ai envie de considérer de façon positive, au sens de la diplomatie et à la certitude que j'ai que Tsahal est une carte maîtresse dans le jeu des U.S. et que les Pays ne changent pas facilement d'alliances, tout cela
m'amène à penser que, les temps ayant financièrement dramatiquement changé, la "méthode" Obama peut marcher.

En tous cas, il nous reste à l'espérer.

P.S. Quand je parle de métissage, je ne parle évidemment pas de couleur, mais bien de culture multi-ethnique et multi-confessionnelle

Carla,
J'apprecie la dualite dans ton analyse et l'impact du temps et du changement qui nous ouvre a une nouvelle realite et donc une perspective autre.
C'est une vue optimiste du monde et de l'homme que tu nous exposes, et je l'apprecie aussi.
Il est vrai qu'en chacun des etres humains co-habitent le meilleur et le pire. Ce combat a ramene l'histoire de l'homme a des conflits et des guerres incessantes depuis au moins 5769 ans.
Malheureusement il ne s'agit pas uniquement d'Obama et de sa "methode",
car si il faut etre 2 pour faire la paix, il ne faut qu'un pour faire la guerre ou semer la pagaille sur terre.

N'oublions pas le contexte et les evenements qui ont precedes l'accord de paix entre l'Egypte et Israel.
Saddate avait commence par renvoyer les experts et conseillers russes suite a la defaite de la guerre de Kippour en 1973 qui avait coute cher a l'Egypte. Dans une situation economique catastrophique, il lui fallait urgemment modifier sa politique et regler le probleme qui l'opposait aux israeliens, beneficiant ainsi de l'aide financiere americaine.

En ce qui concerne l'Irak, les americains ont bien fini par enroler les hommes de Saddam car c'etait bien eux qui etaient derriere les lourds attentats qui ont frappe l'Irak pendant quelques annees. Suite a leur enrolement, il y eut effectivement une longue periode de calme troublee seulement ces derniers temps depuis que l'Amerique a commence sa retraite.

Il ne fait aucun doute que la situation actuelle est plus mauvaise que celle dont Bush, le fils, avait a faire face et comme Barack Obama est deja pres de 6 mois en fonction, on ne peut eviter d'observer ses faits et dires et pour l'instant, son laxisme et ses reactions tiedes a l'egard de tous, (sauf d'Israel), amenent des belligerances et des provocations comme c'est le cas avec la Coree du Nord cette semaine.

La situation economique des americains est catastrophique et les iraniens ne sont pas sans le savoir, d'ou leur tenacite et refus de negocier. Les reactions de Jo Biden cette semaine a propos d'une attaque eventuelle israelienne en sont la preuve. La politique americaine est flottante et tout cela ne semble pas annoncer du bon.

Chine/émeutes : Obama "préoccupé"

[www.lefigaro.fr]

Decidement !

Il semble que des efforts considérables sont engagés par l'administration US pour convaincre le Hamas de proclamer verbalement des déclarations pacifiques afin de lui permettre d'exiger plus formellement un retrait d'Israel d'un grand nombre de localités.Avec à la clé,l'obligation d'ouvrir les points de passage aux produits et aux personnes et de reduire drastiquement les contrôles.

Le hamas met déjà en avant des personnalités nouvelles pour murmurer son acceptation de deux états,sans reconnaitre pour autant Israel,ni formellement ni de facto.Mais celà suffirait pour lever son statut de
mouvement terroriste.Et pour compléter le tableau,il semble que ce serait au détriment du Fatah qui ne serait plus l'interlocuteur privilégié.

L'attitude conciliatrice d'Obama envers Chavez et comparses,ainsi que l'Iran et le monde musulman,son abandon des meilleurs alliés comme la Colombie et le Honduras,sa fermete envers le seul Israel,rien ne peut nous surprendre,Sauf un retournement du peuple américain.

Iran: pourquoi l'avertissement de Joe Biden est à prendre au sérieux
Par Georges Malbrunot le 6 juillet 2009 17h52


Quand "une colombe" devient "faucon". Israël a raison de voir dans les dernières déclarations de Joe Biden « un tournant » dans la politique américaine sur l’Iran.

Dimanche, le vice-président a affirmé que les Etats-Unis « ne peuvent dicter à une nation souveraine ce qu’elle peut ou ne peut pas faire (…) si elle considère que son existence est menacée ». En clair, en l’état actuel des choses, Washington ne condamnerait certainement pas une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes.

Il s’agit d’un tournant pour une raison simple : à Washington, Joe Biden est ou était l’un responsables les moins rigides sur l’Iran. En janvier 2004, le sénateur Biden avait rencontré le ministre iranien des Affaires étrangères de l’époque, Kamal Kharazzi, en marge du sommet de Davos en Suisse. Rencontre extrêmement rare entre représentants de deux pays qui n’ont plus de relations diplomatiques, depuis bientôt trente ans. Biden avait alors déclaré comprendre « les aspirations à la sécurité » de l’Iran.

Plus récemment, fin octobre 2008, juste avant l’élection de Barack Obama, Joe Biden avait encore téléphoné à l’un de ses contacts à Téhéran, l’ancien ambassadeur de la République islamique à Paris, Sadegh Kharazzi, que Biden fréquentait lorsque ce dernier représentait l’Iran aux Nations unies à la fin de la décennie 90. Le message conciliant de Biden à S. Kharazzi avait été transmis au guide suprême, l’ayatollah Ali Khameneï.

Avec le sénateur démocrate John Kerry ou l’ancien patron du Conseil national de sécurité, Anthony Lakes, Joe Biden a longtemps soutenu une approche modérée vis-à-vis de l’Iran. Qu’une telle « colombe » durcisse aujourd’hui son discours en dit long sur l’exaspération qu’a suscitée à Washington « le trucage électoral » ayant conduit à la réélection de Mahmoud Ahmadinejad à la présidence de la République. Nul doute que le dernier message de Biden a bien été capté par Téhéran.

L’administration Obama misait sur une victoire d’Ahmadinejad, mais à la régulière. Les fraudes, qui ont entaché le scrutin, ont plombé sa politique de « main tendue » à l’Iran. D’autant que les Etats-Unis n’ignorent pas qu’un des buts recherchés par cette « gigantesque escroquerie électorale», était précisément de saboter tout rapprochement avec le « Grand satan ».

Certes, en même temps que Biden soufflait sur les braises, le chef d’état-major interarmées, l’amiral Michael Mullen, cherchait lui à calmer le jeu, en déclarant qu’une attaque contre les installations nucléaires de l’Iran s’avèrerait « extrêmement déstabilisante » pour l’ensemble du Moyen-Orient. Ce qui est vrai. Mais des deux déclarations, c’est bien sûr celle de Biden qui, à juste titre, a retenu l’attention.

D’autant qu’elle intervient au moment où l’on apprend qu’un sous marin nucléaire israélien a traversé la Mer rouge avec l’aval de l’Egypte. Alors que le Sunday Times révèle, lui, que l’Arabie saoudite aurait donné son accord à un survol de son espace aérien pour des avions israéliens, qui se lanceraient dans une attaque anti iranienne.

Ces fuites à répétition, sans doute savamment orchestrées, visent à mettre la pression sur l’Iran. Pour bien lui faire comprendre qu’une fuite en avant dans la provocation – notamment sur le nucléaire – serait lourde, très lourde de conséquences. Et à relativement court terme, la fin de l’année, au plus tard.

Mais n’est-ce pas la politique du pire que recherchent les durs au pouvoir à Téhéran?

Depuis le départ, je répète qu'il y a avant et après l'élection d'Iran et que celle ci était déterminante.

Je croirais plutôt, à un plan longuement muri, soigneusement mis au point pendant la tournée d'Obama au Moyen Orient et ses discussions avec le Roi d'Arabie.

Mécontenter les israeliens verbalement pour préserver les dirigeants sunnites de la réaction de leurs rues en montrant que le "grand satan" avait totalement changé, fait, à mon humble avis, partie du plan.

Personne n'ignore que, entre l'opinion des gouvernants arabes et le danger des réactions populaires, il y a une grande marge.

Agiter des chiffons rouges occidentaux pour exciter la rue arabe met en péril ces pouvoirs que l'Occident et Israel ont tout à fait intérêt à garder et la révolution iranienne devrait être un livre ouvert pour ceux qui chez nous ont crié: "A bas le Shah"; les gouvernements qui ont suivi, en Perse sont autrement dangereux, non?

Le virage à 180° dont tu parles n'est pour moi que la réalisation du plan B à la suite du résultat iranien.

Et comme j'ai toujours pensé à ce plan B, tout en espérant un profond changement diplomatique en Iran, je ne suis pas surprise.

Je crois que Obama joue au billard à trois bandes.

" voila donc le message de Joe Biden : si vous ne négociez pas, nous laisserons Israel agir et avec la participation de l’Egypte, l’Arabie Saoudite et du monde arabe."

Tu crois que cette "participation de l'Egypte, l'Arabie Saoudite et du monde arabe" aurait été possible il y a 6 mois? Moi pas.
Un "virage à 180° sans plan et discussions préalables? Tu veux rire.

La passivité des réactions des gouvernants arabes lors de l'opération de Gaza disait assez quel était leur lassidude devant le problème palestinien, c'est probablement cela que Obama tente d'exploiter.

Nous vivons sur une bombe à ciel ouvert, nous le savons tous, la crise est un facteur risque majeur pour une guerre mondiale, plus il y aura d'adeptes pour essayer de l'éviter, mieux ce sera.

Pour nous juifs pour qui Israel est vital, exprimer notre mécontentement public est une aide au plan (supposé) d'Obama, garder confiance au fond du coeur, la lui exprimer en privé, pour ceux qui le peuvent est peut être interessant.

Bien sûr, tout ceci n'est qu'hypothèse, mais ce sont les conclusions que je tire de ce que je perçois comme mouvement sur le terrain.

En politique, le dessous des cartes est nettement plus important que le dessus des cartes.

Lors de sa rencontre a Rome avec le President italien, Obama :

- Il faut parler avec l'Iran et la Coree du Nord afin de les inciter a renoncer a l'arme nucleaire en vue d'un desarmement total (*%

N'oublions pas de signaler qu'il a signe avec la Russie un "traite historique" visant a reduire l'arsenal nucleaire. Il faut dire que c'est bien different si on a 1000 bombes nucleaires et non pas 1550 !

Obama n'est pas content, pourtant cette chemise signée par les joueurs brésiliens de football aurait du le faire sourire.
La semaine dernière le Bresil a battu les USA 3-2 après un 0-2 en demi finale de la Coupe des Confédérations. Alors le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva (est il juif avec un nom pareil !??!) lui présente
la liste des vainqueurs et de plus réclame la fin du dollar comme étalon-or. Il a reussi a faire grimacer Obama, c'est une première.

que pense Michelle ? le pauvre ,il a dû en baver !!!

GILOU , ta photo est l'explication de sa gueule de bois dans ma photo.
Mais c'est SARKO qui a bien pigé la situation.

Il y a eu Monica L,les regards sont éloquents ,est-ce la prochaine ?

Citation:

gilou


Il y a eu Monica L,les regards sont éloquents ,est-ce la prochaine ?

En tous les cas, avec des dents pareilles, je me méfierais......Z%^

Et pendant ce temps-là,son ministre de la justice veut ouvrir une information publique sur les "assassinats" -vous avez bien lu- perprétés par l'armée américaine de talibans en Afghanistan pendant les premiers combats !!!!
Il ne faut pas s'étonner s'il approuve demain la mise en accusation de Tsahal pour les éliminations ciblées de terrorristes.
N'oublions pas qu'il a défendu les criminels des Farc en tant qu'avocat .

Le ciel se couvre !!

C'est une veritable enigme cet Obama ! Etrange comportement !

On ne sait pas comment va évoluer la politique américaine mais peut-être trouvera-t-on un jour qu'Obama n'était pas tout blanc.....(#*^