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Posté par: dina a. (IP enregistrè)
Date: 05 août 2012 : 18:42

[www.lefigaro.fr]

De tous les morts dans le monde, de tous les desastres,LE FIGARO a choisi de publier le texte ci-dessus.
Mon Dieu !! Mais ou va le monde ?
En tous cas ca prouve quand meme que les Israeliens reglent TOUJOURS leurs comptes ;;.)
A++
SHAVOU3A TOV )))

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 05 août 2012 : 21:16

Rien n'a change sur terre. Ce qu'il y avait contre les Juifs au 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17eme siecle...jusqu'au 20eme siecle et maintenant le 21eme siecle continue de se produire a l'heure qu'il est. Cela se nomme maintenant "antisionnisme". Quel joli masque !

Rien n'a change et on continue encore et toujours d'accabler les Juifs un peu partout dans le monde. L'histoire se chargera de remettre les faits et responsabilites exactement comme il se doit mais nous ne serons plus la alors, malheureusement.

Ce "probleme palestinien" est la plus grande supercherie du siecle et les pays arabes tout autant que l'Occident ont contribue, chacun pour ses propres raisons a en faire ce qu'il est aujourd'hui.




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Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 août 2012 : 04:25

Israël a fait avorter un grave attentat terroriste sur sa frontière avec l'egypte.
Les israéliens peuvent être fiers de leur armee pour sa vigilence
Prenez soin de Tsahal et de ses braves soldat

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Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 06 août 2012 : 09:25

Un grand changement interviendra à la fin de la construction du mur de sécurité que le monde entier reproche à Israél et ce mur évitera toutes sortes d'infiltrations que ce soit terroristes ou de clandestins venus de pays de famines arabes.

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 11 août 2012 : 09:19

"Droit de regard" est la réponse au magazine de la rédaction de France 2 « Un oeil sur la planète »
intitulée un état palestinien est-il encore possible ?









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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 31 août 2012 : 15:53

AFP : La propagande arabe de la France

Par Ilan Tsadik



Naba sur Oumma la bien nommée
Il ne saurait y avoir de critique ni de relation fournisseur-client entre
les media français et l’AFP, dès lors que 10 administrateurs sur 16 sont
nommés par les journaux, la radio et la télévision français. C’est une farce.


Un journaliste français d’origine libanaise, du nom de René Naba, fait parler de lui ces jours-ci, après avoir publié sur son blog En point de mire, en date du 23 août dernier, une "Lettre ouverte aux Djihadistes de tous les pays", d’une violence verbale et idéologique assez inaccoutumée.

En ultra-résumé, Naba s’y lamente sur le fait que les révolutions islamistes qui secouent le monde arabe se font au détriment du combat contre l’ennemi principal : Israël.

Auquel le "confrère" associe, dans une impitoyable guerre de "bloc contre bloc", les Etats-Unis, bien entendu, mais également l’Occident dans son entièreté, sans aucun ménagement pour l’ "oligarchie" française, comme il l’expose de manière explicite dans d’autres papiers qu’il signe.

Certes, tous les goûts sont dans la nature, et il n’y aurait pas matière, parce qu’un plumitif confond des terroristes assassins de civils à Orly, en 1978, envoyés par George Habache, avec des combattants, à lui consacrer un article à la Ména, on y passerait notre temps.

Mais là où cela devient carrément détonant – quand on manie les explosifs… - et que cela engendre un questionnement fondamental que personne n’a, depuis jeudi dernier, pris la peine d’envisager sérieusement – quelle surprise ! – c’est en s’apercevant que cet adepte inconditionnel de la façon violente a œuvré, vingt-deux ans durant, au sein de l’Agence France Presse.

Et il n’y a pas été tenu à des tâches subalternes, puisque ce nassérien convaincu, cet admirateur du FLN algérien, fut, de 69 à 79, correspondant de l’AFP à Beyrouth. Puis, parce qu’à Paris on était visiblement satisfait de ses services, de 1978 à 1990, Naba occupa le poste influent de Responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique.

Lire tout l'article sur

[www.menapress.org]




Informations et desinformations.../AFP...Encore et toujours AFP
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 14:43

AFP...Encore et toujours AFP !!!

Lettre à M. Emmanuel Hoog, Président de l’AFP

Monsieur Emmanuel HOOG
Président de l’Agence France Presse
E.mail : Emmanuel.hoog@afp.com



Paris, le 12 septembre 2012

Monsieur Le Président,

Je m’adresse à vous pour vous signaler une grave erreur dans les dépêches que l’Agence France Presse a diffusées concernant les récentes interrogations au sujet de la mort de Yasser Arafat.

Je relève dans le corps d’une de vos dépêches datée du 29 août dernier (« Mort d’Arafat: la rue palestinienne veut la vérité ») l’affirmation suivante: « Le rapport d’hospitalisation français du chef palestinien, publié sur le site de la Fondation Yasser Arafat, fait état d’une inflammation intestinale et de troubles de coagulation « sévères » et évoque la piste d’un « empoisonnement » par une toxine de champignon vénéneux ».

Cette dernière affirmation est totalement inexacte. Le rapport médical qui est disponible depuis plusieurs semaines sur Internet et dont « Le Figaro », à ma connaissance a été le premier de la presse française à faire état, n’évoque en aucune façon la piste d’un empoisonnement par des champignons vénéneux.

C’est en fait le Dr Marcel-Francis Kahn qui, interviewé fin août par le site Slate.fr, a formulé cette hypothèse des champignons vénéneux, sans y apporter de preuve ni d’élément tangibles, mais en accusant de manière à peine voilée les Israéliens d’être à l’origine de l’empoisonnement de Yasser Arafat. « Ce type de toxine est étudié notamment dans le centre de Ness Ziona, pas très loin de Tel-Aviv », a déclaré le Dr Kahn indiquant par la même la piste criminelle qu’il privilégiait.
Dans un premier temps l’AFP a repris intégralement ces déclarations du Pr Marcel Francis Kahn sans juger utile de préciser à ses abonnés que ce rhumatologue à la retraite est le fondateur de l’Association France Palestine et qu’il n’a jamais fait mystère de son militantisme anti-israélien.

Les insinuations du Dr Kahn ont ainsi bénéficié d’une certaine audience grâce à une dépêche de l’AFP qui a été diffusée sur des centaines de sites internet.

Mais visiblement, certains de vos bureaux ont peut-être estimé qu’il ne fallait pas s’arrêter si vite en besogne et qu’il était désormais possible de transformer les insinuations malveillantes du Dr Kahn en vérité médicale officielle. Est-ce pour cette raison que votre bureau de Naplouse s’est cru autorisé à tronquer la réalité et à écrire que « le rapport d’hospitalisation » (signé par des médecins militaires français) « évoque la piste d’un empoisonnement par une toxine de champignons vénéneux ».

Je tiens à votre disposition le rapport médical de Yasser Arafat signé par les médecins militaires de l’hôpital Percy de Clamart afin que vous puissiez constater le caractère mensonger d’une telle assertion.
Je m’étonne de voir une agence aussi rigoureuse que l’AFP procéder à une série de glissements sémantiques qui constituent autant de prise de distance avec la vérité factuelle et participer ainsi à ce qui apparait bien comme une campagne de désinformation anti-israélienne.

Je suis d’autant plus consterné que, si j’en crois les initiales qui signent la dépêche, ce mensonge a été validé par le directeur du bureau de l’AFP à Jérusalem.

Ces accusations d’empoisonnement nous paraissent d’autant plus graves qu’elles émanent d’une agence de presse internationale dont les informations touchent un très large public et qu’elles interviennent dans un climat de diabolisation d’Israël dont la société française subit les répercussions, parfois de manière tragique. La tuerie de Toulouse du printemps dernier est malheureusement là pour nous le rappeler.
Elles jettent également le discrédit sur l’institution médicale française dont la compétence et l’intégrité sont internationalement reconnues.

Pourriez-vous m’indiquer les moyens que l’AFP compte employer pour rectifier cette fausse information auprès de ses abonnés ?

En vous remerciant de votre réponse,

Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l’assurance de mes sentiments les plus cordiaux.

Gilles William GOLDNADEL
Président

[blognadel.over-blog.com]




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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 20 septembre 2012 : 09:28

La presse va mal on le montre tous les jours. Et pas seulement pour des raisons économiques liées à la crise. La presse va mal car elle renonce peu à peu à ses valeurs fondamentales : rigueur, honnêteté et éthique professionnelle (sans parler du respect du aux lecteurs).


[nanojv.wordpress.com]

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Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 21 septembre 2012 : 18:31


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Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 21 septembre 2012 : 18:56

Une autre video ahurissante.Le journaliste à un moment dit aue la charia n'est pas l'Islam !!!!

[www.youtube.com]#!

Informations et desinformations.../L’œil, la paille et la poutre par Blognadel
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 06 octobre 2012 : 14:19

L’œil, la paille et la poutre

Cette semaine, de nombreux médias français, écrits et audiovisuels ont consacré une place non négligeable à une affaire de graffitis écrits en hébreu sur les portes d’un monastère de Jérusalem qui sont insultants pour Jésus Christ.

Bien entendu, et ce n’est pas une simple précaution oratoire, de telles inscriptions sont écœurantes.

Bien entendu également, je ne gloserai pas pour savoir s’il s’agit d’actes d’extrémistes juifs ou une provocation arabe pour nuire à la cause israélienne, car après tout, lorsque de tels faits sont commis contre les juifs, nous ne commençons pas par nous poser de telles questions.

Mais l’objet de ma chronique, est de nous faire réfléchir un seul instant sur le caractère follement disproportionné, et lorsque je dis cela, je suis encore très en dessous de la vérité, de la focalisation sur un acte sans conséquence physique pour les personnes.

Une dépêche AFP, reprise très largement par les médias français, insiste non seulement sur ces graffitis, mais également se plait à indiquer que nonobstant la condamnation virulente des autorités israéliennes, jamais les auteurs de tels graffitis ne sont arrêtés.

Arrêtons-nous nous-mêmes sur la couverture médiatique de cet événement.

J’ai interrogé le B.N.V.C.A. qui lutte contre l’antisémitisme en France et qui est dirigé de main de maître par le très dynamique Sammy Ghozlan, celui-ci m’a indiqué que cette année, en France, au moins 150 graffitis et tags antisémites avaient été constatés sur les lieux communautaires juifs.

Est-ce que vous avez entendu ou lu dans la presse française, un article avec analyse sur un tel phénomène ? Avez-vous entendu qu’un auteur de telles inscriptions aurait un jour été arrêté ?

Bien davantage, nous savons que des agressions nombreuses ont été commises ces dernières semaines, sans que la presse française ne s’y intéresse particulièrement.

Lors des deux dernières semaines qui viennent de s’écouler, j’ai été contraint d’écrire des articles dans lesquels j’ai déploré que les menaces de mort proférées contre les juifs lors de la manifestation salafiste devant l’ambassade des Etats-Unis n’avaient pas été reprises par la presse française, pendant la même quinzaine, j’ai été contraint également de faire remarquer que le discours à la fête de l’humanité du directeur du journal communiste, mettant en cause mensongèrement les juifs derrière le navet anti islamique réalisé par un copte, n’avait également pas été traité par la centaine de journalistes qui se trouvaient présents à La Courneuve.

Un mot également sur Custodie et l’église palestinienne, qui a montré dans cette affaire de graffitis cent fois plus d’indignation qu’elle ne le fait habituellement lorsque, dans des circonstances autrement plus dramatiques, les chrétiens d’Orient, en ce compris ceux de Palestine, sont martyrisés, expulsés quand ils ne sont pas assassinés.

J’en arrive à ma conclusion, difficilement contestable je crois : la presse hexagonale préfère donc traiter d’un incident minuscule qui s’est déroulé à des milliers de kilomètres de Paris, plutôt que de traiter normalement la centaine d’incidents parfois graves qui se déroulent sous ses yeux et sous ses pieds.


Tant que règnera cette idéologie obsessionnelle et aveugle à la fois, ni le conflit israélo-palestinien, ni le regain de l’antisémitisme « nouvelle manière » ne pourront être traités de manière rationnelle.

Mais espérer que les choses changent, est-ce vraiment rationnel ?


[blognadel.over-blog.com]




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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 15 novembre 2012 : 12:22

Médias : désinformation contre Israël, Lettre ouverte à une amie québécoise

Aschkel

14 novembre 2012

« Le peuple d’Israël est vivant ! Nous disons en hébreu « Am Yisrael Chai », et l’Etat Juif vivra éternellement. »(Benjamin Netanyahou)

Un jour, ô pas si lointain, je t’ai demandé si le nom de Sdérot évoquait quelque chose pour toi. Comme d’autres à qui j’avais posé la même question, tu ignorais totalement ce qu’il pouvait désigner, tu me demandas même s’il s’agissait d’un mot de la langue française que tu ignorais.

Quand je t’ai appris qu’il s’agit d’une ville du Neguev, à tout juste 2 kms de Gaza, tu m’as répondu fièrement que tu savais beaucoup de choses sur Gaza et que, de la même façon que tu ignorais l’existence de Sdérot, les Israéliens ne savent rien de Chicoutimi ou de Trois-Rivières, par exemple.

Certes, tu as raison, mais il est un point capital qui fait toute la différence : dans les petites villes du Québec, la vie se déroule paisiblement, sans que les habitants courent chaque jour le risque d’être victimes d’un attentat. Il en va tout autrement de Sdérot qui, depuis 2001, vit sous une pluie quotidienne de roquettes lancées par les habitants de Gaza. Si bien que plus d’un tiers des habitants de Sdérot souffrent d’anxiété post-traumatique, et vivent des épisodes dépressifs.

Je voudrais donc te faire connaître – pas seulement à toi, mais à tous ceux qui comme toi ne savent rien de la vie dans les villes du sud d’Israël- le quotidien des habitants de ces villes, et surtout celui de ceux de Sdérot .

Je crois, naïvement peut-être, que mon action – et surtout ton action- pourrait aider à changer le monde, comme le dit Maïmonide. Si tu es éprise de justice et de liberté comme je le suis, si nous partageons les mêmes idéaux, les mêmes convictions et le même amour de la Vérité, alors lis cette lettre et diffuse-la autour de toi.

C’est vrai que grâce à la barrière de sécurité, les attentats ont cessé dans les grandes villes israéliennes. En revanche, les villes du sud, et surtout celle de Sdérot sont, tous les jours, la proie des roquettes Kassam qui s’abattent sur la ville avec la régularité d’une horloge, et sans que cela dérange le moins du monde la communauté internationale qui, par contre, est toujours prête à s’apitoyer sur le sort des « malheureux Palestiniens », victimes de l’arrogance israélienne.

Or, depuis 2001, pas moins de 12 700 roquettes et obus de mortier ont été tirés sur Sdérot et l’ouest du Néguev à partir de la bande de Gaza.

Depuis 2001, 44 personnes ont été tuées, 1700 blessées, et celles souffrant du choc post-traumatique se comptent par milliers. S’il n’y a pas davantage de blessés et de morts, sache simplement que cela tient du miracle, un miracle qui tient à la fois de D.ieu et de la technologie.

Je voudrais d’abord te rappeler qu’en 2005 les Israéliens ont fait évacuer Gaza, ont détruit les villages Juifs florissants que les désinformateurs appellent« colonies » avec la promesse qu’ils connaîtraient la paix, que les attentats cesseraient. Israël, la main toujours tendue vers la paix, Israël a cru naïvement que, comme tout peuple désireux d’améliorer son bien-être, les habitants de Gaza feraient bon usage de l’aide internationale et qu’ils mettraient en valeur leur ville. Mais la haine du Juif est si fortement ancrée dans les cœurs que la destruction d’Israël est leur priorité au lieu que ce soit la construction de leur « pays ».

C’est pourquoi, en guise de récompense, les Gazaouis ont choisi de gratifier les Israéliens de 3 missiles par jour en moyenne.

Je sais que ce que je te raconte, tu l’ignorais. Et pour cause! Qui s’intéresse au sort de Sdérot ou de toute autre ville du Sud ? Qui en parle ? Qui dénonce le comportement des Palestiniens ?

Certainement pas les médias qui ne sont guère intéressés par les Kassam qui s’abattent sur Sdérot, mais qui en revanche sont très attentifs aux réactions des Israéliens à ces provocations, et qui se sont plu à rappeler la phrase scandaleuse de Stéphane Hessel, à savoir que les tirs de roquettes n’ont d’autres conséquences que d’obliger, selon ses propres termes, « quelques enfants à courir très vite dans les abris ».

D’ailleurs ces quelques titres glanés dans les médias français montrent bien leur partialité dans le traitement du conflit israélo-arabe.

- Neuf Palestiniens tués, journée la plus meurtrière à Gaza depuis 2009 (L’Express, 8 avril 2011)

- Onze Palestiniens tués, journée la plus meurtrière à Gaza depuis 2009 (L’Express, 9 avril 2011)

- Gaza : deux Palestiniens tués dans des raids israéliens ( Le Monde, 23 juin 2012)

- Gaza : Un raid israélien provoque un accès de violence (Le Figaro, le 11 mars 2012)

-Israël contre les palestiniens (Radio Canada – novembre 2012)

La liste est trop longue !!!!

Tous ces titres, on le voit, incriminent directement Israël. Et les médias québécois s’alignent sur leurs confrères européens. Ainsi, le 12 novembre 2012, sur le site de Radio-Canada, on pouvait lire « Raid israélien sur la bande de Gaza ».

Qui plus est, pour les médias, les attaques contre des civils israéliens ne sont pas des actes de terrorisme, des actes de guerre, devrions-nous dire, ce sont des actes de « résistance légitime » !

Il faut reconnaître que s’ils manient allègrement l’hyperbole pour caractériser les réactions d’Israël, en revanche les médias disposent de toute une liste d’euphémismes pour qualifier les attaques dirigées par les Palestiniens contre Israël, l’important étant d’atténuer la réalité, de trouver des circonstances atténuantes à ces bandes d’assassins afin de ne pas choquer les lecteurs et de ne pas dégrader l’image du Palestinien.

Il s’agit de cacher à tout prix la réalité au lecteur, donc la vérité, le but étant de le convaincre que l’assassin est innocent, que le juif est seul responsable de ses déboires C’est en effet ce que laissait clairement entendre en février dernier, un commentateur de la RTB, qui qualifiait un habitant de Sdérot de colon. Un fait incroyable, mais pourtant authentique !

Il semble bien que le code de déontologie soit à bien des égards totalement obsolète pour un très grand nombre de journalistes comme ce professionnel de l’information qui, de toute évidence, aveuglé par ses préjugés à l’égard des Juifs, semble ignorer que Sdérot n’est nullement un « territoire contesté », que les habitants sont des citoyens israéliens à part entière.

Pour les médias, incapables de s’informer honnêtement sans laisser leurs préjugés entacher leur travail, il est sans doute plus facile de qualifier tous les Israéliens de colons.

D’ailleurs, en juillet 2011 la ville de Sdérot a lancé un appel aux médias étrangers pour leur demander « respectueusement de changer la façon dont (ils annoncent) les tirs continus de roquettes sur Israël depuis Gaza ».

« Nous, au Centre médiatique de Sdérot, nous vous exhortons à exposer avec plus d’insistance ces attaques, et à les présenter comme les exemples mêmes de guerre illégitime et criminelle contre des civils innocents. Sinon, ce en quoi les médias sont complices sans le vouloir, est une acceptation tacite de la terreur islamique extrémiste contre des civils innocents. »

Mais, comme il fallait s’y attendre, la demande de la ville resta lettre morte. Et tout comme le font l’Union européenne ou encore l’administration Obama, les médias blâment toujours le gouvernement israélien quand il défend son peuple.

Et qu’on ne vienne pas nous dire que l’ambassadeur américain en Israël Dan Shapiro a déclaré alors qu’il était en visite à Sdérot : « Je me sens en sécurité en Israël » !

Ou mieux encore que Hussein Obama a parlé de Sdérot au cours de sa campagne pour la présidence des États-Unis ! Certes, en attaquant son adversaire, il s’est plu à rappeler que lorsqu’il s’est rendu en Israël en tant que CANDIDAT (profitons-en pour souligner qu’il ne s’y est jamais arrêté au cours de son mandat), il est » descendu dans la ville frontalière de Sdérot qui a connu une pluie de missiles du Hamas. »

Ce que les médias, en grande partie favorables au candidat démocrate -aujourd’hui président- ne disent pas, c’est que les habitants de Sdérot ne sont pas dupes, et que leurs dirigeants ont accusé le candidat de se servir d’eux comme d’un « outil de campagne ». Ils ont rejeté cette référence à leur ville : « La référence à ce voyage était une déclaration politique et rien de plus» a déclaré Kobi Harush, de la division de sécurité de Sderot.

En réalité, les médias ne sont rien de moins que des terroristes intellectuels qui complètent avec des mots le travail des ennemis d’Israël. Ils travestissent l’information, sont le plus souvent à la solde des dirigeants occidentaux, ou tout au moins à leur image, c’est-à-dire faux, menteurs, lâches et hypocrites.

Je m’aperçois maintenant que je suis en train de faire le procès des médias, ce qui n’est pas dans mon intention, mon but étant de te sensibiliser au sort des habitants des villes du sud d’Israël.

Comment vivre dans les villes du sud d’Israël ?

Comment vivre dans la hantise permanente d’entendre la sirène hurler et de savoir qu’on ne dispose que de 15 secondes pour gagner un abri ? « Et quand ce n’est pas possible, quand on en est trop loin, me disait une amie, on se couche par terre, et on récite le Chema Israël ».

Sait-on jamais où tombera le missile ? Il peut traverser le toit et faire voler la maison en éclats, ou encore tomber dans votre jardin où quelques secondes plus tôt vos enfants jouaient, essayant d’oublier le drame quotidien.

A titre d’exemples, sache que près de 140 roquettes se sont abattues sur le sud d’Israël entre le samedi soir 10 novembre et le lundi 12.

Le 30 octobre dernier, une véritable pluie de roquettes a frappé l’ensemble des localités frontalières avec la bande de Gaza. La veille, pas moins de 26 roquettes ont atteint les maisons du Sud d’Israël.

Et le 24 octobre dernier, c’est le chiffre incroyable de 80 roquettes qui se sont abattues sur des maisons, des écoles, des jardins d’enfants.

Et ce que tu ignores également, c’est que les cibles favorites de ces assassins sont les écoles, donc les enfants.

Certes, on évoquera les enfants de Gaza et on nous dira que ce sont également d’innocentes victimes. Mais je ne parlerai pas ici des enfants de Gaza, non pas que leur sort soit plus enviable que celui des enfants juifs mais, d’une part, les musulmans qui représentent 20% de la population mondiale sont assez nombreux pour leur venir en aide et, d’autre part, les médias diffusent suffisamment d’images-choc pour nous apitoyer sur le sort des enfants palestiniens, et surtout pour présenter les soldats de Tsahal comme des brutes sanguinaires.

Évidemment, pas un média ne nous dira que les petits Palestiniens sont victimes, non pas de Tsahal, mais du Hamas qui les a choisis pour en faire de la chair à canon. Pourquoi les médias et les organisations de défense des droits de l’enfant ne dénoncent-elles pas violemment l’emploi des enfants comme boucliers humains ?

Pourquoi aucun média étranger ne parle-t-il des enfants de Sdérot, ces victimes innocentes de la guerre que leur livrent les habitants de Gaza ? Pourquoi ne relate-t-on pas les conséquences à court et à long terme du choc post-traumatique dont ils sont victimes ?

Alors, ce que je veux, c’est rendre hommage au courage exemplaire de tous les habitants des villes du Sud d’Israël, mais surtout te conscientiser au sort des enfants israéliens, et à celui des adultes, cela va sans dire.

Ces enfants juifs, à l’âge où les petits Québécois s’émerveillent devant le monde qu’ils découvrent, doivent apprendre à repérer l’abri le plus proche et à mettre leur masque à gaz. Bien entendu, ils sont affectés gravement, que ce soit sur le plan physique, ou pire sur le plan psychologique. Quand bien même ils ne sont pas des victimes directes, ils en subissent l’impact, et ce d’autant plus que bien souvent ce sont soit certains de leurs proches qui sont touchés , soit des voisins, soit des connaissances. Et ces traumatismes psychologiques se sont répétés quotidiennement sur une si longue période de temps, quasiment pendant toute leur enfance, que 70% d’entre eux souffrent de syndromes de stress post-traumatique.

Les manifestations sont nombreuses : ils refusent d’aller à l’école par crainte des roquettes, ils mouillent leur lit, refusent de dormir seuls, ou encore ont des difficultés d’endormissement. Ils sont très irritables, rencontrent de très graves difficultés d’adaptation scolaire : entre autres, ils ne réussissent ni à se concentrer ni à mémoriser, encore moins à rédiger. Il peut même arriver que certains, généralement les plus jeunes, retournent au biberon ou encore recommencent à sucer leur pouce.

Comment pourrait-il en être autrement ? En avril 2012, ils étaient 200 000 écoliers juifs à être privés d’école, et à devoir rester pendant plusieurs jours consécutifs dans les abris anti-missiles. Pareille situation est-elle acceptable?

Comme un dessin vaut mille mots, je t’invite à regarder attentivement ce dessin d’un enfant, tu y verras une image du quotidien des habitants de cette ville. Un dessin qui parle suffisamment, et qui décrit atrocement bien ce qui obsède ces enfants.

(Source Israël-Flash et Danilette)

Il y a aussi cette lettre d’un enfant de 9 ans adressée au chef d’État-major, Benny Gantz, pour lui demander de faire cesser les tirs de roquettes sur sa maison. «Je pense que notre armée est très forte, écrit-il, et j’espère que les terroristes de Gaza vont arrêter de nous tirer dessus.»

Confrontés à de telles situations, les parents eux-mêmes ne sont pas à l’abri de troubles psychologiques graves. Alors, comment peuvent-ils envisager l’avenir de leurs enfants, surtout quand ces derniers qui devraient, comme tous les enfants, entrevoir le futur avec optimisme, grandissent avec le sentiment que leur vie durant ils vont devoir vivre dans un climat d’insécurité ? Et il semble bien, hélas, que ce soit le cas, tout au moins durant leur enfance et leur adolescence.

Et on doit se demander comment ils réagiront quand, rendus à l’âge adulte, ils devront faire leur service militaire et prendre des décisions parfois très importantes. Grandiront-ils avec ce sentiment – un sentiment, hélas, bien connu du Juif- que le peuple juif est honni des autres peuples ?

Les conséquences économiques

Et je ne t’ai point parlé des conséquences économiques du terrorisme. Car contrairement à Gaza qui reçoit la coquette somme de 7 milliards de dollars par an de subventions des pays étrangers, Sdérot ne reçoit rien, n’intéresse personne. En fait, les seuls qui soient réellement préoccupés par le sort de Sdérot sont l’Armée de défense d’Israël, les dirigeants israéliens et, par-dessus tout, son maire qui, impuissant face au désastre économique qui frappe sa ville, a eu recours à la grève de la faim.

Quand un prisonnier palestinien choisit de faire la grève de la faim pour obtenir d’Israël ce qu’il demande, les médias du monde entier suivent quotidiennement son cas et s’apitoient sur son sort, ils désapprouvent l’État juif qui refuse de se plier à ses demandes, même si elles sont injustifiées, voire insensées, comme c’est souvent le cas.

Mais quand le 24 octobre dernier, le maire de Sdérot, David Bouskila, a recours à la même arme parce qu’il a besoin d’un soutien financier, sa ville étant criblée de dettes à cause des frais occasionnés par le terrorisme, les médias ne lui accordent pas une ligne. Pourtant, contrairement au prisonnier palestinien, le maire de Sdérot n’a commis aucun délit, il a simplement lancé un SOS pour sauver sa ville..

Alors, que faire contre les terroristes ?

Car ce sont bien des terroristes et non, comme on se plaît à les appeler, des « résistants ». Il serait sans doute bon que les médias revoient les définitions de ces deux concepts, ils s’apercevront alors que l’emploi du mot « résistant » est une insulte à ceux qui ont œuvré dans la Résistance.

1. Déserter la ville ? Bien sûr, c’est l’objectif que se sont fixé le Hamas et le Djihad : vider de leurs habitants Aschkelon et Sdérot. Mais ils n’y réussiront point.

Certes, dans bien des pays, si les habitants avaient dû vivre dans de telles conditions, la ville aurait été désertée depuis longtemps. Mais comme tous les habitants des villes du sud d’Israël, ceux de Sdérot ne laisseront pas mourir leur ville, ils ne laisseront les Palestiniens ni les anéantir ni anéantir leur ville.

Alors, pour ne pas être changée en ville-fantôme, Sdérot résiste, et tente de protéger ses habitants du mieux qu’elle peut, au grand dam des Palestiniens. Heureusement, le « Dôme de fer » permet d’intercepter 80% des missiles destinés à frapper la ville et d’éviter ainsi d’avoir un grand nombre de victimes civiles.

Mais les moyens de protection sont très coûteux et, contrainte d’investir des sommes astronomiques pour l’achat de moyens technologiques comme le Dôme de fer, Sdérot traverse une crise économique très grave qui touche tous les domaines d’activité.

2. Faut-il se contenter de la défense passive et attendre avec l’espoir que le Hamas se rendra à la raison et qu’il changera de comportement ? C’est ce que souhaiterait la communauté internationale, mais ce serait la pire des attitudes à adopter. Ce serait – et les Israéliens le savent – une erreur qui leur serait fatale. Se résigner à vivre ainsi, ce serait consentir à l’anéantissement de soi, ce serait faire preuve de faiblesse et encourager les Palestiniens à l’escalade. D’ailleurs, le judaïsme interdit ce type de comportement, il interdit le « vouloir-mourir » et prône au contraire le « vouloir-vivre ».

3. S’interroger sur les moyens auxquels recourraient d’autres pays s’ils se trouvaient dans la même situation ?

Le Porte-parole de Tsahal, le Général Yoav Poli Mordechai, a répondu à la question : « »Aucun pays ne laisserait un million de civils à la merci des roquettes et ne montrerait une telle retenue à l’égard de ceux qui les attaquent »

Et il a raison ! Honnêtement, je ne sais pas si nous, Québécois, de souche ou d’adoption, aurions toléré que nos voisins immédiats s’attaquent à un sixième de la population et à nos enfants comme le font ceux que les médias appellent d’un bel euphémisme, d’un doux mot, « les résistants », alors que ce ne sont que des assassins d’enfants. Crois-tu que le gouvernement resterait les bras croisés ? Comment vivrions-nous si nous avions pour voisins immédiats des hommes qui se sont fixé la triste mission de nous détruire ? Car l’objectif du Hamas et de tous les Palestiniens est de détruire l’État juif.

Et l’Union européenne attendrait-elle si longtemps si elle était menacée ? Nous savons tous que non. De toute évidence, tout autre pays aurait réagi et mis un terme depuis longtemps à ce genre d’attaques, quitte à entrer en guerre si besoin est. Mais dans le cas qui nous intéresse, celui d’Israël, on demande la retenue. D’ailleurs, à la suite des tirs du 11 novembre, Catherine Ashton, la représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, s’est déclarée « très préoccupée » par la flambée de violence et, au lieu d’appeler le Hamas à cesser ses tirs, elle a appelé les deux parties à la retenue.

Eh bien, Israël a suffisamment patienté et doit maintenant réagir. « Nous n’accepterons pas cette réalité insupportable où la vie de la population civile du sud du pays est menacée, a déclaré le Général Yoav Poli Mordechai, nous continuerons à opérer contre tout élément qui participe à des activités terroristes dans la bande de Gaza, »

D’ailleurs, le 30 octobre dernier, Bibi Netanyahou a annoncé une « dure réponse » aux tirs des palestiniens de Gaza. Et mieux encore, dimanche 11 novembre, le Premier ministre a été très clair et n’a pas craint d’affirmer que « Le monde doit comprendre qu’Israël ne restera pas sans rien faire face aux tentatives de nous attaquer », et il a ajouté que son pays est « prêt à l’escalade ».

4. Faut-il donc réagir et mettre en application le dicton « Aux grands maux les grands remèdes » ?

Il semble bien que ce soit la seule solution pour permettre à un million de personnes de vivre en paix. Personnellement, vois-tu, je ne comprends pas une telle retenue et une telle prudence de la part des Israéliens. Israël est un pays et a le droit de se défendre comme il l’entend sans avoir de comptes à rendre aux autres pays.

Bien sûr, si Israël réagit comme l’aurait fait tout autre pays qui se serait trouvé dans la même situation, la communauté internationale s’indigne. D’ailleurs, la quasi-totalité des décisions du Conseil de sécurité de l’ONU sont adoptées contre l’État juif. Et les médias n’ont qu’une expression sous leur plume : « la force disproportionnée » dont use Israël pour se défendre.

Si aucun pays n’ose condamner vertement les tirs du Hamas, en revanche Israël est régulièrement cloué au pilori. Pourquoi ? Certes, l’explication coule de source : le combat contre les Juifs est un « combat de résistance », donc un combat noble ! N’oublions pas qu’il est de bon ton de soutenir et de défendre bec et ongles la cause palestinienne. Mais aussi – n’ayons pas peur des mots – à quelques exceptions près, les gens sont antisémites et, par conséquent, toute attaque contre les Juifs, aussi grave soit-elle, n’incommode personne. Il faut reconnaître que, depuis la nuit des temps, cette minorité a été oppressée et agressée sans que nul ne s’en émeuve.

Alors, pourquoi l’État juif devrait-il tenir compte des réactions de la communauté internationale ? Je l’ai dit et je le redis : quoi que fasse l’État juif, et même s’il choisit la passivité, il est accusé.

Comme de toute façon sa sécurité est bien le cadet des soucis de la communauté internationale, comme elle ne relève que de lui, et comme toutes ses tentatives pour mettre fin au terrorisme ont échoué, il faut appliquer le dicton « Aux grands maux les grands remèdes ».

Tsahal ne doit rien tolérer qui puisse mettre en danger la vie des Israéliens, et les frappes ciblées, aussi décriées qu’elles soient, doivent se poursuivre.

Les habitants de Sdérot demandent une offensive de Tsahal de grande envergure, et ils finiront bien par obtenir gain de cause. Il faut appliquer la tolérance zéro en ce qui concerne les risques à la sécurité des habitants.

Le temps n’est plus aux réticences, la patience du gouvernement, tout comme celle des habitants, a été mise à rude épreuve et il est fort possible que la réplique soit à la mesure de leur exaspération.

Dora Marrache

Chroniqueuse, pour Radio-Shalom, (Montréa)l pour israel-flash (Israël) et europe-israel (Europe)

[jcdurbant.wordpress.com]

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 novembre 2012 : 15:39

Pallywood: le Hamas recycle une photo du conflit syrien...


Si vous voyez cette photo d'un enfant mort (le monde arabe adore montrer ce genre de photos, surtout si l'on peut l'attribuer aux actions de 'l'entité sioniste'), sachez qu'il s'agit d'une photo du conflit syrien et qu'elle n'a rien à voir avec les opérations militaires à Gaza. Les terroristes des brigades d'Al Aqsa la revendiquent sur Twitter...



[philosemitismeblog.blogspot.fr]

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 20 novembre 2012 : 16:48

La désinformation de Pallywood se heurte à la réalité des faits


19 novembre 2012


Un enfant palestinien est mort sous les roquettes du Hamas. CNN, le New York Times et bien d’autres ont accusé Israël. Mais The Telegraph a enquêté...

Pallywood et sa machine à propagande anti-israélienne fonctionne à plein régime. Sans aucun respect pour la petite victime, la photo de l’enfant mort, embrassé sur le front par le PM égyptien, en larmes, a fait le tour de la planète, grâce à la coupable complicité du Daily Mirror et de CNN, et autres médias, aussi peu soucieux de la vérité. **




Enfant tué par le Hamas


Quoi de plus poignant, de plus révoltant que la mort d’un enfant, victime innocente d’une haine dévastatrice, quoi de plus facile que d’utiliser cette mort pour susciter la colère des ennemis d’Israël ?

Et les propagandistes du Hamas et leurs alliés médiatiques occidentaux ne se sont pas fait prier et se sont servis de cet enfant mort pour propager le mensonge qui servira à légitimer encore plus, dans l’esprit des crédules, leurs frappes criminelles contre les civils israéliens.

Or, la vérité est tout autre : cet enfant, sur lequel pleure le PM égyptien, n’a pas été tué par Tsahal lors d’un raid aérien, mais par une roquette errante tirée par le hamas.

Pour CNN, il n’y avait aucun doute : l’enfant avait été bel et bien tué lors d’un raid israélien et il était devenu le symbole des victimes civiles palestiniennes.

Or, le compte rendu de cette triste affaire publié sur le « NY Times » n’a pas confirmé cette version mensongère.

Profitant de la trêve de trois heures, décrétée pour la visite du PM égyptien, Abed Abou Wardah et son fils de 22 ans Aiman, se rendirent au marché pour y faire des provisions. Les enfants du quartier Annazla sortirent également pour jouer au foot. Mais, vers 9h45, des membres de la famille Wardah et des voisins entendirent le bruit d’ une explosion près de la maison d’Abed Abou, tuant Aiman, le fils, qui rentrait du marché et le petit Mahmood Sadallah de 4ans, qui jouait dans les parages, malgré la demande de son cousin de rester à l’intérieur.

Le père et la tante de l’enfant attribuèrent la mort de l’enfant à un raid israélien, de même que les responsables de la sécurité du hamas.

Comme les dégâts matériels occasionnés par l’explosion n’étaient pas suffisamment importants pour avoir été provoqués par un F-16 israélien, il restait dès lors l’hypothèse que seul un missile errant, tiré par des militants palestiniens, pouvait être responsable de ce drame.

aucune attaque aérienne n’avait été lancée pendant la visite du PM égyptien Mr Kandil.

Israël, d’ailleurs, nia avec véhémence tout implication dans ce drame, réaffirmant qu’aucune attaque aérienne n’avait été lancée pendant la visite du PM égyptien Mr Kandil.

Personne ne semblait avoir été témoins directs de l’explosion. Des éclats d’obus s’étaient incrustés dans les murs et dans les portes des maisons, proches du lieu de l’explosion, et la fenêtre d’une cuisine avait été brisée. En outre, d’après les habitants du quartier, des responsables locaux de la sécurité s’étaient empressés de ramasser les débris, de sorte qu’il devenait impossible de déterminer l’origine de l’explosion.

Si cette explosion avait été effectivement causée par un missile israélien, les gens du Hamas se seraient fait une joie de présenter les débris aux médias.

Or, le PCHR (Palestinian Center for Human Rights) n’avait pas inscrit les deux victimes sur la liste des tués par les raids israéliens, alors qu’il n’avait pas hésité à y inclure une personne, décédée d’une crise cardiaque.

L’enfant a bien été tué par un tir de roquette en provenance de Gaza et non pas d’Israël

Ajouter à cela que le Hamas et les autres groupes terroristes n’avaient pas respecté la trêve de trois heures, contrairement à Tsahal, que plus de 100 roquettes tirées par le Hamas sont tombées sur Gaza, que les dégâts occasionnés et les éclats d’obus correspondent étrangement à ceux observés sur le territoire israélien par les obus de Gaza, il apparaissait dès lors très clairement que l’enfant a bien été tué par un tir de roquette en provenance de Gaza et non pas d’Israël.

Honte aux médias qui colportent les mensonges du Hamas et blâment automatiquement Israël de la mort de civils palestiniens, sans prendre la peine de vérifier l’authenticité des faits reportés.

**MISE A JOUR

Contrairement au Daily Mirror et à CNN, médias de propagande anti-israélienne, The Telegraph, après vérification, a déclaré que l’enfant avait bien été tué par une roquette du hamas.

« La mort, très médiatisée du petit Mohammed, a été causée par l’explosion d’une roquette artisanale et non par un tir israélien. »


Mais la photo montrant le PM égyptien soulevant le corps de l’enfant mort, hors de l’ambulance, avait déjà fait la une des médias.

Très ému, le PM égyptien déclara : « la mort de ce petit garçon, ce martyr, dont le sang recouvre encore mes mains et mes vêtements, est un drame, que nous ne pouvons passer sous silence » avant de promettre au peuple palestinien de le défendre.

Hélas pour les disciples de la propagande anti-israélienne, les experts du Centre palestinien pour les droits de l’homme, venus sur place samedi, confirment : l’explosion a été provoquée par une roquette palestinienne.

Félicitations à l’équipe du « The Telegraph » pour leur travail d’investigation en toute objectivité.

A quand les démentis des médias, propagateurs de mensonges ?

Traduit et adapté d’un article de R. Spencer – [www.jihadwatch.org]

[www.dreuz.info]

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 21 novembre 2012 : 04:08

Mise en scene coutumiere de la propagande palestinienne.


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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 21 novembre 2012 : 05:17

Haut Commandant anglais à l'ONU: "Hamas est expert dans l’art de dicter aux médias leurs gros titres, mais l'armée israélienne est la plus morale"







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Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 21 novembre 2012 : 12:01


L'histoire devrait inciter Berlin à plus de générosité envers Athènes.
Grèce, quand l'Allemagne oublie ses dettes
Le Point.fr - Publié le 23/09/2011 à 12:26 - Modifié le 23/09/2011 à 13:10


6 avril 1941, la Wehrmacht envahit la Grèce. Hitler s'est lassé de voir que son allié Mussolini ne parvient pas à mettre au pas l'armée grecque, qui, depuis octobre 1940, lui résiste courageusement. Le Führer va lui faire payer cher ce combat désespéré. Commence en effet une occupation très dure qui va mettre la Grèce à genoux. Les historiens estiment qu'après la Pologne et l'URSS, la Grèce est le pays qui a le plus souffert de la barbarie allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Un chiffre : on évalue à 300 000 le nombre de personnes littéralement mortes de faim pendant cette période, du fait des privations liées à l'occupation nazie.



Après la Libération, l'Allemagne a dû accepter de compenser matériellement les souffrances et les pertes humaines que le Troisième Reich avait infligées aux populations occupées. Et après examen par une foultitude de commissions d'évaluation et des tergiversations qui devaient tenir compte de ce que l'Allemagne fédérale était devenue un allié précieux face au bloc soviétique, les réparations ont été définitivement fixées par un traité signé en 1953 à 41 milliards de dollars, payés par la seule Allemagne de l'Ouest à la Grèce.

Revanche

Or ces compensations ne tenaient pas compte d'une autre dette, facilement chiffrable puisqu'il s'agit d'un prêt forcé de 476 millions de reichsmarks que la Banque centrale de la Grèce occupée avait été contrainte de verser à Berlin, en 1941, au titre des contributions "à l'effort de guerre allemand". Un prêt à l'époque sans espoir de remboursement, dont l'Allemagne fédérale considère qu'il était compris dans les dommages de guerre dont elle s'est acquittée.

Seulement, quand on est, comme la Grèce, au bord de la faillite, tous les moyens sont bons. Et, comme croit le savoir Die Welt, certains à Athènes ont commencé à avancer que le prêt de 476 millions de reichsmarks fait sous la contrainte à l'Allemagne nazie ne pouvait être assimilé à un sinistre de guerre comme les autres. C'est, disent ceux qui exhument ainsi le passé, un emprunt dont la Grèce est en droit de demander le remboursement.

Or, selon les calculs des spécialistes, la somme libellée en reichsmarks correspond aujourd'hui à 14 milliards de dollars, environ 10 milliards d'euros. De plus, si on affecte ce montant d'un taux d'intérêt classique de 3 % sur 66 ans, on parvient à un total de 95 milliards de dollars, 68 milliards d'euros, soit un cinquième de la dette grecque. Certes, cela ne suffirait pas à renflouer le Trésor grec, mais cela améliorerait grandement la situation. Et cela constituerait surtout une jolie revanche d'Athènes sur un gouvernement allemand qui, depuis le début de la crise des dettes souveraines, est plus que réticent à apporter son aide au moins sérieux des pays du "club Med'", comme on le dit assez méchamment à Berlin.

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Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 30 janvier 2013 : 04:38

Une journaliste d'Al Jazeera parle de "l'humanisme" d'Hitler envers les Musulmans





Doha : La journaliste algérienne au sein de la chaîne qatarie Al Jazeera, Khadija Benguena, a évoqué, sur sa page facebook, "L'humanité d'Hitler".



Khadija Benguena a illustré ses propos par la photo de soldats allemands faisant la prière, une photo inédite qui montre des soldats et officiers de la SS qui faisaient leur prière ensemble, puisque "Hitler leur avait permis de prier", selon la journaliste.

«Les médias, qui se trouvent dans les mains des Juifs, masquent cette vérité et concentrent leur attention sur des spéculations liées à l'Holocauste» conclut la journaliste qui assure que les victoires des Nazis avaient donné aux Musulmans la liberté de pratiquer l'Islam.

Les propos de Khadija Benguena ont été largement partagés, notamment venant d'une personnalité considérée, en 2007, parmi les 10 femmes les plus puissantes dans le monde arabe, selon le magazine américain Forbes.

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Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 30 janvier 2013 : 04:47

soldats musulmans de l'armée allemande en 1943




[/URL][URL=http://www.casimages.com]

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 04 octobre 2013 : 07:58

L’hostilité croissante des médias envers Israël, d’Oslo à nos jours.


Il y a vingt ans, j’ai interviewé David Bar-Illan, alors rédacteur en chef du Jerusalem Post. Il déclarait, à propos des médias étrangers : « La BBC est, de loin, le pire calomniateur qui soit, dès qu’il s’agit d’Israël ».

L’un des exemples qu’il citait, pour illustrer cette perversion, concernait un café-bar de l’Est arabe de Jérusalem, qui, un beau jour, s’est effondré, à cause de problèmes structurels liés à sa construction. Les Juifs et les Arabes ont travaillé ensemble à sauver des vies, ce qui stupéfiait les militants de l’OLP. La BBC n’a pas dit un mot pour évoquer cette coopération. Tout ce qu’elle ont mentionné, c’est que les Arabes souffraient, et elle s’est mise à répéter la rumeur disant qu’on aurait posé une bombe à cet endroit. Bar-Illan ajoutait qu’il existe des centaines d’exemples de malveillance, de la part de la BBC, dans la sphère politique.



Après les Accords d’Oslo, de septembre 1993, j’ai interviewé 16 Israéliens de renom, et parmi eux, Bar Illan, pour la rédaction d’un livre. Je les interrogeais pour savoir comment ils percevaient la situation d’Israël et quelles étaient leurs attentes, pour l’avenir. Ce livre a, récemment, été republié sous le titre de : Israel’s New Future Revisited [Le Nouvel Avenir d’Israël Revisité. Voir la couverture en bas d’article]. Il comporte une nouvelle introduction, qui compare les attentes d’alors aux réalités présentes et perspectives d’avenir.

Le titre de l’interview de Bar Illan, : “ Les dés pipés par les médias étrangers sont là pour durer », est devenu réalité. Il était convaincu qu’en dépit des concessions massives d’Israël à l’OLP, lors des accords d’Oslo, les déformations anti-israéliennes des plus importants médias-papier et, bientôt, Internet, se poursuivraient.

Bar Illan postulait que les medias mondiaux ne diraient pas : “Les Israéliens ont fait des concessions que personne n’espéraient. Maintenant, c’est au tour des Arabes de passer des compromis sur un certain nombre de points qui posent problème ». Il prédisait, tout simplement, que la plupart d’entre eux continueraient à s’acharner contre Israël, pour l’exhorter à faire encore et toujours plus de concessions.



Les prédictions de Bar Illan se sont, une fois encore, avérées justes, après le retrait unilatéral israélien de Gaza, en 2005, durant le Gouvernement d’Ariel Sharon. Le crédit qu’Israël a obtenu, pour son geste, est, depuis logtemps oublié. Les « dividendes » qu’Israël a retiré de ce retrait comprennent rien moins que le renforcement du Hamas, qui a remporté les élections parlementaires palestiniennes de 2006, la poussée du Jihad Islamique à Gaza, autant que des tirs de roquettes, qui vont toujours plus loin en Israël, d’abord sur Sderot, plus tard sur Ashkelon, Ashdod, puis Be’er Sheva, Tel Aviv et occasionnellement, même jusqu’aux environs de Jérusalem.

Bar Illan était un excellent visionnaire sur bien d’autres sujets, également. Il disait : « A partir du moment où vous postulez que la paix est votre but ultime, il n’y a absolument plus rien que l’autre camp ne puisse exiger en son nom ». Bar Illan ajoutait que le « processus de paix » pourrait, en définitive, mener à ce qu’il appelait « la paix des cimetières ». Il critiquait un autre argument-massue : qu’Israël doit, à tout prix, faire la paix, puisque c’est lui qui est le plus fort. Bar Illan rétorquait que cela signifierait, logiquement, qu’Israël deviendrait, nécessairement, plus faible en faisant la paix, et que, par conséquent, il ne connaîtrait plus jamais la paix. La conclusion logique de tout ceci serait alors : « Si on peut obtenir la paix en n’ayant plus de pays à soi, pourquoi, alors, ne pas, ipso facto, renoncer à tout ? ».



Pour en revenir à la BBC : quelques années plus tard, Trevor Asserson , avocat spécialiste des litiges, a entrepris plusieurs analyses détaillées sur la façon d’opérer de la BBC, à l’encontre d’Israël. Il écrit : « Ses reportages d’actualité, concernant Israël, sont faussés par omission, par insertion de distorsions non-factuelles, en ne donnant que des faits parcellaires, en sélectionnant ceux qu’elle veut bien interviewer, et par l’information contextuelle apportée, ou le manque d’éléments historiques de contexte. Il a aussi découvert qu’il existe un problème systématique et récurrent avec le système de plaintes émises à ce propos, par les lecteurs ».

Un des exemples cités, parmi les nombreux que rapporte Asserson était : « En Irak, les troupes de la coalition occidentale sont décrites dans des termes chaleureux et rayonnants, démontrant de l’empathie pour ces hommes, autant en tant qu’individus que pour leur situation difficile en tant que soldats. Au contraire, les troupes israéliennes sont décrites comme formées de soldats sans visage, de tueurs impitoyables et brutaux, en montrant peu, voire aucune compréhension du cadre dans lequel elles mènent leurs actions ». Il concluait que « la partialité, dans la façon de rapporter les faits, de la part de la BBC, infecte très probablement sa couverture de tous les sujets politiquement sensibles ».

L’évaluation du monde arabe, que faisait Bar Illan, bien que particulièrement sombre, n’était, peut-être, pas encore suffisamment pessimiste. Il prévoyait qu’il existait une possibilité, nettement décelable, que les pays arabes deviennent démocratiques, dans dix ou quinze ans. Bar Illan concluait que si cela se produisait, Israël n’aurait sans doute plus la même image, aussi négative qu’à ce moment-là, parmi les Arabes. Les révolutions de ces dernières années ont prouvé qu’il s’agissait d’une illusion. La Tunisie, où se sont déroulés bien moins de meurtres qu’ailleurs, au cours du « Printemps Arabe », tente d’élaborer une constitution, avec les plus grandes difficultés. On prévoit qu’elle contiendra une clause, qui a recueilli un très large soutien, condamnant le Sionisme et la normalisation des relations avec Israël. Ce sera la première section de ce type qui apparaisse, dans une constitution, telle qu’il n’en a jamais existé d’autre, partout ailleurs dans le monde, à ce jour.

Actuellement, l’analyse et l’observation des médias, dans une perspective favorable à Israël – exercice pour lequel Bar Illan était un pionnier, sont menées par diverses organisations. CAMERA et Honestreporting sont les plus connus d’entre eux. Pourtant, il existe une mesure à prendre, dont le manque se fait cruellement ressentir. Vingt ans après les Accords d’Oslo, le gouvernement israélien n’a pas encore appris que les médias et les journalistes étrangers opérant en Israël se rangent dans deux catégories : les reporters intègres et les manipulateurs d’information. Accorder des privilèges équivalents aux uns et aux autres n’est encore qu’un des aspects de la piètre performance d’Israël, en matière de guerre de propagande, qui recèle tant de dangers.

Par Manfred Gerstenfeld

Le Dr. Manfred Gerstenfeld est membre du Conseil d’Administration du Centre des Affaires Publiques de Jérusalem, qu’il a présidé pendant 12 ans. Il a publié 20 ouvrages. Plusieurs d’entre eux traitent d’anti-israélisme et d’antisémitisme.

Adaptation : Marc Brzustowski
[www.jforum.fr]

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