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Informations et desinformations...
Posté par: elide910 (IP enregistrè)
Date: 31 octobre 2011 : 14:29

Citation:
darlett
Lorsqu'on choisit d'omettre certains details essentiels pour une comprehension adequate de la situation, on ne fait plus de l'information mais de la "desinformation" et c'est criminel, tout simplement.
Cette horrible escalade de la violence a debute par un tir de missile qui a atteint Rehovot et meme Rishon-Le-Tsion (tout a fait proche de Tel-Aviv) creant la panique dans une region qui jusque-la ne connaissait pas cette menace. On comprend en Israel, qu'il s'agissait pour le Jihad d'experimenter la portee des nouveaux engins qu'ils venaient de recevoir, certainement en provenance de la Libye.
ou a rishon le zion

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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 16 novembre 2011 : 12:14

Voici le titre de ce matin en provenance de l'AFP par son journaliste nomme Abbas Momani (tiens, on l'aurait devine !). Ce dernier publie un texte qui fera le tour de toutes les teles et journeaux francophones :

Israël menace Gaza et bâtit à Jérusalem-Est

Et comme l'article n'est pas suffisamment instructif, voici l'image qui accompagne cette information.



Des Palestiniens récupèrent des meubles après le passage des bulldozers israéliens le 15 novembre 2011 à Jéricho.

Curieux le peu d'interet pour les memes bulldozers qui font de meme pour les constructions illegales des juifs israeliens et pourtant, elles sont aussi nombreuses sinon plus...

Citation:
voici un extrait du texte de l'AFP
Un nouvel appel d'offres a été lancé pour la construction de 800 logements dans la ville sainte. Dans le même temps, la tension monte avec Gaza et Israël poursuit le blocage de fonds dus à l'Autorité palestinienne. [www.lexpress.fr]

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Si ce n'est pas de l'information tendancieux qui ressemble fort a de la propagande alors qu'est-ce que la propagande ?
le tout servi par un journaliste-supporter, Abbas Momani, qui fait office d'"informateur" et d'agent deguise dans un organe de presse aussi puissant que l'AFP.

C'est de la presse engagee tout simplement et c'est honteux.

Abbas Momani, journaliste au service de l'AFP est tout simplement un agent de la cause palestinienne.




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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 10 janvier 2012 : 17:30

Affaire Al Dura, vous vous souvenez ? Philippe Karsenty et beaucoup d'autres loin d'etre identifiables avec l'"extreme droite israelienne" pretendaient au faux temoignage et a la mise en scene de la part du journaliste de France2, Charles Enderlin et de son cameramen engage, Il furent alors couvert par l'ensemble de la presse francaise. qui petitionnat pour eux.

Eh bien, aujourd'hui il s'agit d'une autre affaire qui vient demontrer que cette pratique est une pratique "habituelle" pour France2 et les voila pris au piege par un imprevu.

Lisez plutot...

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Après l'arrestation des faux braqueurs de France 2, le Syndicat national des journalistes (SNJ) s'indigne de l'esprit régnant au sein du magazine Complément d'enquête, présenté par Benoît Duquesne. Jeudi matin, des journalistes de France 2 travaillant pour ce magazine ont, en effet, reconstitué un braquage qui avait eu lieu au casino de Trouville le 25 août 2011. "Une mise en scène de l'information" dénoncée par le SNJ. L'affaire, assez burlesque dans la mesure où les journalistes ont été confondus par la police avec de vrais braqueurs, ne fait pas rire le SNJ, qui condamne "sans réserve" ce "mauvais mélodrame". "Le mélange des genres entre fiction et réalité n'est pas du traitement de l'info. Laissons la fiction aux cinéastes", recommande le syndicat.

De son côté, Thierry Thuillier, le directeur de l'information du groupe France Télévisions, ne veut pas laisser l'affaire sans suite. "Je ne veux pas encore parler de sanctions, mais une enquête interne est déclenchée de manière à établir les faits", déclare-t-il au Point.fr. La fine équipe de France 2 était composée d'un journaliste en CDI de la chaîne, d'une JRI pigiste et d'un preneur de son. Ils n'avaient pas prévenu les autorités et, pour les besoins de la scène, avaient utilisé un pistolet factice pouvant être confondu avec une arme authentique. "Je suis totalement opposé à l'achat d'un pistolet factice", prévient Thierry Thuillier qui a, depuis, visionné les rushs. Les textes internes de France Télévisions sur la déontologie sont assez muets sur les reconstitutions de faits divers. "Nous avons surtout pensé à encadrer leur diffusion, mais nous avons peu de chose sur la préparation. Cette affaire sera l'occasion d'en débattre et de poser des bornes pour la suite afin d'éviter que cette mésaventure se reproduise", indique-t-il.

La délinquance des personnes âgées

L'équipe de France 2 avait choisi de camper la scène sur un parking, tôt le matin, pensant qu'il n'y aurait personne. Manque de chance, un couple de bijoutiers à la retraite qui passait par là a donné l'alerte en apercevant le preneur de son faire les cent pas, le faux pistolet à la main, près d'une voiture mal garée avant de monter précipitamment dans le véhicule et de prendre la fuite. Le couple ne peut voir la présence de la caméra, qui est, à ce moment-là, dans la voiture. La JRI filme la scène depuis le siège passager avant.

Le preneur de son aurait, selon l'épouse du bijoutier, pointé l'arme sur eux. Effrayée, elle se serait jetée à terre. "Il est heureux que les choses, sur le terrain, n'aient pas été plus graves", relève le SNJ. Cette reconstitution de Complément d'enquête était censée illustrer le thème de l'émission : la délinquance des personnes âgées... À l'origine, le vrai braquage du casino de Trouville avait été le fait d'un homme de 75 ans.

L'équipe de France 2 avait donc repris la route depuis une bonne vingtaine de minutes en ignorant que la police était en état d'alerte. Une patrouille reconnait la voiture signalée et procède aux arrestations. "Heureusement, au commissariat, l'équipe de tournage s'est bien comportée. Elle a présenté ses excuses et nous aussi, tant à la commissaire qu'au procureur", insiste Thierry Thuillier.

[www.lepoint.fr]

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Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 26 janvier 2012 : 13:25

La desinformation pratiquée par les "journalistes" français ( et de presque tous les occidentaux ) s'applique à tout ce qui se rapporte à l'histoire de Juifs en particulier.
Ce matin dans le Figaro un reportage sur le Birobidjan,etat sovietique attribué en 1933 aux juifs,traite les deportés juifs de pionniers volontaires enthousiastes.
Cette qualification evitant de rappeler que Staline ne voulait plus leur donner de place dans l'équipe dirigeante,et pour pouvoir deux ou trois ans plus tard pratiquer plus facilement les purges exterminatrices de l'intelligentia juive.
Mais tout le monde sait que le Juifs n'ont jamais été persecutés et que leurs exils etaient des croisières de decouvertes anthropologiques!!!!

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Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 27 janvier 2012 : 12:57

Des islamistes qui incendient une mosquée !

Le 3 octobre dernier, une dépêche de l’AFP, publiée entre autres par L’Express, et reprise par de nombreux media français, rapportait l’incendie criminel d’une mosquée dans un village bédouin du nord d’Israël, Touba-Zangariyya.

L’Express l’attribuait, sans nuances, ni réserve ou doute exprimé, à des « colons » israéliens.

Des criminels qui laissaient derrière eux, sur un mur du lieu de culte carbonisé, les inscriptions « price tag », le prix à payer. Des mots qui avaient été employés par des extrémistes des implantations juives, ayant tagué des graffitis sur une mosquée du village arabe de Cisjordanie de Yatma, deux mois plus tôt.

Les premiers soupçons de la police israélienne se portèrent sur des extrémistes au profil identique, sans toutefois parvenir à identifier les coupables.

La Ména avait réagi immédiatement, dès l’annonce de l’incendie, dans une dépêche datée du 3 octobre (Incendie de la mosquée en Haute Galilée : crapuleux !), écrivant qu’il était infiniment peu probable que cet événement soit la résultante d’un acte politique commis par des Juifs des implantations.

Les analystes de l’agence, comme nombre d’habitants de la vallée du Jourdain supérieur, connaissaient en effet suffisamment leur région, ainsi que les particularités du village concerné, pour émettre cette mise en garde.



Touba-Zangariyya est un village situé à mille lieues du conflit israélo-arabe. Les problèmes récurrents de cette localité ont trait au larcinage, par ses habitants, des troupeaux de bétail de leurs voisins, du vol de métaux, ainsi qu’aux règlements de comptes perpétuels entre les différents clans qui la constituent. Mais cette population ne s’intéresse pas au différend nationaliste entre Juifs et Arabes.

La police n’y pénètre d’ailleurs qu’à grands renforts d’hommes, tant les forces de l’ordre ne sont pas les bienvenues à Touba-Zangariyya, où les villageois ont la gâchette facile. Hormis ces inconvénients, les bédouins sont plutôt des nationalistes israéliens, qui, lors de la guerre d’indépendance, en 1948, s’étaient battus dans les rangs du Palmach, l’élite de la Haganah, afin de défendre les villages de Haute Galilée contre l’agression syrienne.

La Ména fut la seule entité à affirmer que l’incendie avait été, plus que probablement, allumé par des délinquants du village. Ce, tandis que la presse nationale et internationale accusait les « colons », sur la base de seules rumeurs, sans prendre le soin d’enquêter sur l’incident et, comme souvent dans de pareils cas, sans la moindre preuve.

La police, qui avait rapidement relâché les suspects qu’elle avait appréhendés, n’avait pas réussi à identifier les auteurs du crime ; mais, pour l’AFP et l’entièreté de la presse française, l’affaire était classée, les coupables étaient des Juifs.

L’Humanité, lorsqu’il s’agit de commenter l’actualité moyenne-orientale, est restée scotchée aux vieux principes de l’antisémitisme stalinien. L’organe du Parti Communiste titrera ainsi, sans états d’âme, « Une mosquée incendiée par des colons israéliens ». Vingt-cinq années après la perestroïka, c’est plus qu’étonnant, c’est inquiétant.

Des journalistes éthiques auraient pris la peine de procéder à une enquête avant de répandre des propos aussi péremptoires. Le cas précis l’illustre, quand il s’agit de stigmatiser Israël et les Juifs, les journalistes francophones, plus que d’autres, font l’impasse sur notre déontologie (obligation de vérité, de rigueur, d’exactitude, d’intégrité, etc.).

Chaque opportunité est exploitée afin d’exprimer de la haine contre Israël et les Juifs, voire de l’inciter. On ne met plus de gants pour déverser ce type de racisme et d’antisémitisme ; c’est inutile, puisqu’à l’exception du gouvernement israélien, des instances et des sites communautaires israélites et de la Ména, personne ne relèvera l’infraction.

On a même dépassé cet état dans la légitimation de l’arbitraire à l’encontre de l’Etat hébreu et de ses sympathisants, dans l’affaire d’ « Un Œil sur la Planète ». A cette occasion, les réalisateurs de ce reportage, les responsables de France Télévisions, la presse française ainsi que tous les syndicats de journalistes, avaient jugé nécessaire de fustiger, de surplus, ceux qui avaient critiqué le parti pris anti-israélien outrancier de l’émission.

Paris MATCH, qui n’est pas l’organe du Parti Communiste, mais qui s’inscrit lui aussi dans cette mouvance condamnable, écrira quant à lui : « L’événement révèle aussi la montée de l’extrémisme israélien ». Répandre de telles conclusions sur la base d’une information non vérifiée, procède non seulement d’une démarche indigne de professionnels, mais, de plus, elle met en danger la paix civile, en France, en général, et les membres de la communauté israélite, en particulier.

Il n’est pas nécessaire d’être un expert dans le domaine de la sécurité pour saisir que les musulmans de France ont pu, fort naturellement, se sentir blessés par la mise à sac d’un lieu de culte de leur religion par des Juifs, et que le risque objectif existait, de voir des éléments extrémistes minoritaires de cette communauté surréagir.

Les media des pays arabo-musulmans, de même que des sites musulmans de France, ne se sont naturellement pas privés d’accuser les Israéliens et de déverser des flots de haine à leur encontre. Difficile, cependant, de leur jeter la première pierre, alors que les media généralistes leur avaient montré la voie. Sur Iran Radio Francophone, on pouvait ainsi lire « Palestine occupée : une autre mosquée incendiée par Israël » ; sur le site francophone Trouvetamosquée.fr : « Mosquée incendiée par les colons juifs – la haine des Palestiniens devient débordante ».

L’AFP et ses perroquets borgnes portent, à n’en point douter, une lourde part de responsabilité dans ces réactions, qui s’ajoute à celle générée par la diffusion, au fil des ans, d’autres informations fallacieuses contre Israël, ainsi que par l’emploi systématique d’expressions inappropriées et de descriptions bidouillées, allant jusqu’à la dénaturation des principes de la langue française.

Les media français et arabes ne sont toutefois pas les seuls à s’être fourvoyés quant à l’identité des coupables de l’incendie de cette mosquée. Ainsi, une grande partie des media israéliens, qui, sans imputer la faute à des extrémistes juifs, pencheront d’avantage vers cette hypothèse plutôt que vers une affaire interne au village de Touba-Zangariyya.

La police israélienne, quant à elle, avait, on l’a déjà signalé, préalablement orienté ses recherches en directions des milieux juifs extrémistes de Cisjordanie. Après avoir effectué les vérifications nécessaires, elle avait toutefois rapidement remis en liberté un jeune étudiant d’une école talmudique, qui n’avait rien à voir avec le crime.

Même les plus hauts représentants de l’Etat s’étaient précipités pour émettre des excuses, exprimées en direction de la communauté arabe israélienne. Le Président Shimon Pérès s’était ainsi déplacé à Touba-Zangariyya, soucieux de ne pas laisser la situation s’envenimer entre les diverses communautés d’Israël, en compagnie des deux grands rabbins de l’Etat hébreu. Le Président et Prix Nobel de la Paix avait déclaré en cette occasion : « Je me sens tout honteux devant ce geste exécrable ».



Exprimer des excuses, avant que les responsabilités ne soient attribuées, relevait pourtant d’une légèreté contestable de la part des institutionnels. La faute aussi au Shinbet – le contre-espionnage –, qui n’est pas parvenu à identifier rapidement les auteurs de l’incendie. Le Shinbet s’est d’ailleurs fait épingler pour sa carence, dans un article d’Haaretz, quelques jours après l’événement. Le journaliste d’Haaretz pensait y voir de la répugnance, de la part de ce service, à poursuivre des terroristes juifs.

Cependant, et c’est une bonne leçon pour tous ceux qui ont manqué de réserve ou de prudence, la vérité finit toujours par éclater ; et les menteurs, que ce soit au terme de quelques jours, de quelques mois ou de plusieurs années, finissent toujours par être dévoilés.

A la Ména, nous pressentions très fortement une nouvelle embrouille, nous disant que tout le monde faisait fausse route. Mais une intuition n’est pas une certitude pour un journaliste, et ne remplace assurément pas la nécessité de conduire une enquête en profondeur. C’est que nous fîmes. C’est dans ce cadre-là que je me rendis à Touba-Zangariyya afin d’y rencontrer un important chef de clan (Visite à Dalton City, Galilée). A la rédaction, nous ne cessâmes de suivre l’évolution des événements.

Et, comme à l’accoutumée, quelques mois après le crime, les langues commencèrent à se délier. Jusqu’à ce qu’un habitant de Touba-Zangariyya, Bassem Souad, un musulman sunnite, ne dévoile des éléments incontournables sur l’identité des criminels.

L’homme, au regard clair, à la carrure très imposante, ne mit que quelques minutes avant de m’accorder l’interview que je venais de solliciter. Quelques heures plus tard, il me fit la démonstration de ce qu’il était impossible que cet incendie ait été commis par des Juifs. Inversement, Souad me démontra que cet acte de pyromanie était le fait de gens de son village.

« C’est la mosquée de Zangariyya qui a été incendiée » (Touba-Zangariyya est le résultat de l’unification des deux villages Touba et Zangariyya), m’explique mon interlocuteur.

« Des individus venus de l’extérieur auraient bouté le feu à la mosquée de Touba, à l’entrée unique des deux villages. Car pour rejoindre celle de Zangariyya, il faut emprunter une longue route qui passe d’abord par Touba, puis, surtout, traverser l’intégralité du village. Des pyromanes juifs, incendiant une mosquée dans ces conditions, avec la tension permanente prévalant dans le village, et les dizaines de fusils mitrailleurs et de grenades qui s’y trouvent, n’avaient pratiquement aucune chance d’en ressortir vivants.

D’autre part, concernant l’impact médiatique que recherchaient les auteurs de ce méfait, il n’existait aucune différence entre détruire la mosquée de Zangariyya, ou celle de Touba, située à quelques pas uniquement de la sortie du village. Personne de sensé n’aurait pris un risque aussi inutile ! », poursuit notre homme.

« Pour le surplus », précise Bassem Souad, « les inscriptions dessinées sur les ruines de la mosquée l’ont été à l’aide d’un morceau de charbon. C’est un moyen communément utilisé par les Arabes, à la différence des Juifs, qui, lors de tous les price tag de Cisjordanie, ont eu recours à des sprays.

Ce crime », conclut l’homme de 43 ans, « a été perpétré pour des raisons politiques. Il est l’apanage d’une petite faction islamiste de Touba, récemment constituée, dont l’objectif consiste à provoquer des troubles entre les Juifs et les Arabes. Tout le monde, dans le village, sait pertinemment de quel groupe il s’agit, mais personne n’informera la police, car la délation, dans notre tradition, participe d’un crime encore plus grave que celui qui a été commis. Reste que ce groupuscule a tenté, maladroitement, d’imiter la manière d’agir des extrémistes juifs afin de les faire accuser de cet acte ».

En avançant de tels propos, Bassem Souad sait qu’il risque sa vie. Mais cela n’empêche pas les hommes de sa trempe de faire ce qu’ils considèrent juste et nécessaire. Il faut préciser que, comme d’autres bédouins, Souad est lieutenant-colonel de réserve dans l’armée israélienne, qu’il a passé plus de douze ans au Liban à ce titre, la plupart de ceux-ci à la tête de commandos spéciaux.

Reste que le risque est bien tangible. Ainsi, quelques heures après la diffusion d’une interview sur la deuxième chaine de télévision israélienne, malgré les mesures de sécurité déployées autour de son domicile, des hommes ont tiré sur sa maison et ses occupants à balles réelles. Ils n’ont manqué la tête de sa fille de 16 ans que de quelques centimètres.

Son fils de 17 ans, qui s’apprête lui aussi à rejoindre les rangs de Tsahal dans un mois, a failli être assassiné. Un homme cagoulé, probablement l’un de ces islamistes, s’est jeté sur le jeune homme dans l’intention de le poignarder. Fort heureusement, des villageois qui se trouvaient à proximité sont parvenus à repousser l’assassin en puissance.

A Touba-Zangariyya, on ne règle pas ses différends devant la justice, mais à coups de poignards, de fusils mitrailleurs, de grenades et de bombes incendiaires. Ce sont là quatre bonnes raisons qui poussent les habitants des lieux à garder le silence, même si, en privé, ils se déclarent révulsés par le crime des islamistes.

Des islamistes, qui risquent eux aussi de faire prochainement les frais de ces lois de western, même si rien, dans les propos de Souad, n’évoque cette éventualité.



Bassem Souad, un témoin honnête et très courageux Photo Sandra Ores © Metula News Agency

Le colonel conservera tout au long de l’interview un regard dur mais aussi honnête et souriant. Il dit préférer que la vérité soit révélée devant les tribunaux, et renseigne les inspecteurs dans leur enquête, qui progresse. Souad appartient lui aussi à un clan respecté du village ; il est lui-même le fils d’une tribu de douze enfants.

Sa famille, son épouse en particulier, ne cache pas ses craintes pour elle et leurs six enfants. Elle exprime, sans regret, son souhait de quitter le village, une éventualité qu’écarte encore Bassem, confortablement installé dans sa maison de trois étages, s’avouant fortement attaché à son village d’origine, et entretenant d’excellentes relations avec la plupart des habitants. A en croire Souad, Touba-Zangariyya serait un authentique paradis, sans les criminels et les délinquants qui y sévissent.

Principalement le groupuscule d’islamistes, désireux d’amorcer la « guerre sainte » du Djihad à l’intérieur d’Israël, et non plus uniquement en Cisjordanie et à Gaza, et qui, selon Souad, n’en resteront pas à leur dernière frappe. L’embrasement de la mosquée de Zangariyya recelait, en réalité, deux objectifs : le premier, ébranler les relations entre Juifs et Arabes, dans le pays et dans la vallée, en surfant sur les actes anti-arabes commis par les extrémistes juifs en Cisjordanie ; ensuite, en réglant l’un de leurs nombreux différends, avec les clans adverses de Zangariyya.

Attiser les tensions entre les Juifs et les Arabes s’avère, pour ces fondamentalistes, une action d’une dévotion extrême, et le Djihad, une guerre encore plus sacrée que leur propre lieu de culte, qu’ils n’ont pas hésité à réduire en cendres dans la réalisation de leur objectif.

Ils n’ont pourtant pas réussi à mettre le feu entre les Juifs et les Arabes de Galilée. Dans le pays, en effet, et en dépit de l’image sombre et controuvée qu’on en rapporte souvent en France, les relations entre les deux communautés demeurent assurément descentes. Les individus continuant à travailler de concert et à vivre en bon voisinage.

Certains professionnels ont cependant fait de l’incitation à la haine entre les Juifs et les Arabes leur fonds de commerce. Aux dépens de la déontologie de notre profession, à l’instar des journalistes ayant écrit noir sur blanc que l’incendie de la mosquée était le fait de Juifs. Leur haine viscérale à l’encontre de ces derniers saute aux yeux et a cessé, depuis longtemps, de ne constituer qu’une simple hypothèse.

Le personnage remarquable de Bassem Souad, d’autre part, un bédouin sunnite parvenu au grade de colonel au sommet de Tsahal, démontre que l’Etat d’Israël ne ferme aucunement ses portes à ses citoyens non israélites. Encore, le cas de Souad n’est pas isolé, des musulmans israéliens étant officiers supérieurs dans l’armée et la police, grands reporters à la télévision, footballeurs adulés, ou juges à la Cour Suprême. Vous parlez d’un apartheid !

Par Sandra Ores © Metula News Agency


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Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 02 fvrier 2012 : 17:13

Nouvelle imposture anti-israélienne d’un photographe de l’AFP



Nouvelle grosse affaire de démonisation à bon compte des soldats israéliens avec la participation active d’un employé d’un media français.

Des sites d’activistes palestiniens et de sympathisants pro-palestiniens, y compris celui de Philip Weiss, rapportent que, mercredi dernier, le 25 janvier, un incident très grave s’est produit aux abords du village palestinien de Al-Dirat, dans la région d’Hébron.

Ce jour-là, Tsahal avait été appelé en renfort par l’administration civile afin d’empêcher des Palestiniens de procéder à des constructions sans autorisations appropriées dans cette région de la zone C de Cisjordanie, celle soumise entièrement à la supervision israélienne.

Des militants palestiniens font barrage aux soldats, qui tentent, avec infiniment d’égards et de retenue, de s’approcher du sommet d’une butte, sur laquelle a commencé la construction illégale.

Intentionnellement, nous n’entrerons pas dans la polémique, consistant à déterminer qui a le droit de construire en Cisjordanie, où et quand ; ce, car l’événement qui s’est produit, mercredi dernier, sur le site de cette confrontation, est infiniment plus important que les péripéties de la manifestation elle-même.

Durant les discussions entre soldats et manifestants, un homme se couche devant les roues d’une remorque agricole, tirée par un tracteur palestinien. Le photographe de l’AFP, Hazam Bader, est là, aux abois. L’homme au sol se met à hurler de douleur ; il prétend que le tracteur, avec un soldat israélien à ses commandes, lui a roulé sur les jambes. Mais le tracteur n’a pas bougé d’un centimètre, et aucun Israélien n’a pris le volant.


Des douleurs "atroces"


Les soldats ont très rapidement réalisé la supercherie, ils créent un périmètre de sécurité autour du blessé imaginaire, et font immédiatement appel à deux médecins : un praticien de Tsahal, et un docteur palestinien du Croissant Rouge.

Les diagnostics des deux toubibs concordent : ils ne discernent pas sur le corps du nouveau Mohammed A Dura la moindre égratignure. D’ailleurs, l’ambulance du Croissant Rouge palestinien repart à vide, l’homme ne sera pas même hospitalisé. D’autres témoins que nous avons interviewés affirment l’avoir vu quitter la scène, debout et le sourire aux lèvres, après le retrait des militaires.

Cette minable péripétie du conflit israélo-palestinien aurait dû s’arrêter là. Un militant qui fait du zèle, un photographe complaisant, qui bidouille un remake des scenarii de victimisation de civils palestiniens soumis à la "barbarie" des monstrueux soldats israéliens sadiques. "Ceux qui prennent du plaisir à maltraiter leurs voisins", pour citer Edgar Morin-Nahum et le Monde.

Mais l’opportunité est trop belle. Hazam Bader lance l’affaire. Des pseudo-media Internet arabes – et l’agence officielle palestinienne WAFA -, européens et américains s’engouffrent dans la brèche et diffusent les "souffrances atroces" du pauvre type" sur le corps duquel les Israéliens ont roulé".



Un camarade soigne le martyr… avec les pieds


Les grands media franciliens, probablement échaudés par les précédentes mises en scènes du même genre, se tiennent pour l’instant à carreau. Pas l’AFP, et sa tristement célèbre officine de Jérusalem. L’agence semi-officielle française décide de soutenir le faussaire, dans un énième déni de vérité.

Une journaliste de la Ména a appelé le chef du bureau de l’AFP hiérosolomytain, Philippe Agret. Celui-ci est déjà au courant, il est hystérique. La journaliste affirme au directeur de l’AFP que la Ména a mené son enquête, grâce à ses correspondants permanents sur place ainsi qu’au porte-parole de l’armée israélienne.

Ils ont interrogé des témoins et des médecins ayant ausculté l’ouvrier du bâtiment, qui rêvait d’être un nouveau héros de la cause palestinienne. La journaliste déclare à Agret qu’il n’existe pas le moindre doute sur cette affaire, et qu’il s’agit d’une parfaite imposture. Une mise en scène dans laquelle un employé de l’agence française interprète l’un des deux rôles principaux.

Nous demandons si l’AFP souhaite entreprendre une enquête de son côté. Nous désirons lui demander si, dans le cas où il s’agirait d’une nouvelle imposture, l’AFP entend prendre des sanctions contre son photographe palestinien, voire le licencier, ce qui se justifie pleinement pour un bidouillage-photo aussi grave.

Nous n’en avons pas le temps. Philippe Agret hurle au téléphone : "Vous étiez sur place au moment des faits ? Je me tape de votre enquête !", avant de raccrocher. Sandra Ores tente de le rappeler mais on lui signifie que le chef de bureau refuse de reprendre la conversation.

Voilà pour les faits. Ce qui nous avait mis la puce à l’oreille, en lisant l’article de Philip Weiss, c’était la profusion inhabituelle des images : avant et après l’"incident", bien entendu, pas pendant !

Et puis la "victime" n’avait pas une trace de terre sur ses habits, sur une scène où la boue, suite aux récentes pluies diluviennes, collait à tout ce qui bougeait.

Les photos, enfin ! Leur vitesse d’obturation avait éveillé nos soupçons : beaucoup trop lente pour des images prises sur le fait. Pour preuve, sur la première photo que nous reproduisons, les mains du "martyr" sont floues. Elles bougeaient. Au 1/30ème de seconde, c’est ce qui arrive, mais on ne photographie pas un évènement d’actualité, à chaud, à des vitesses aussi basses.

De toute façon ces considérations n’ont plus lieu d’être. Les témoignages ayant confirmé le doute.

Reste la posture professionnelle de l’agence de presse monopolistique française. Elle persiste à ne pas faire son métier. Elle persiste à soutenir n’importe quelle tentative de mise en scène d’un crime que les Juifs pourraient avoir commis afin de stigmatiser Israël. Elle persiste à octroyer l’impunité à ses fixeurs et employés arabes occupés à démoniser les Juifs. Elle ne s’occupe plus d’information dans la région.

A noter que le choix de cette mise en scène est particulièrement émétique.

Il ne s’agit pas uniquement de dénoncer un acte barbare que les soldats n’ont pas commis, comme de tirer sur un civil innocent. Cette fois, ils ont mis le paquet : dans l’affaire A Dura de France 2, les militaires tiraient sur un enfant sans discontinuer pendant quarante-cinq minutes, alors qu’il y avait deux cents adultes présents sur le Carrefour de Netzarim. A Al-Dirat, on a voulu faire croire qu’ils étaient immoraux au point de rouler sur les jambes d’un pauvre type avec un tracteur. Il n’y a rien d’innocent dans le choix de la mise en scène.

Il est évident que nous sommes à nouveau en présence d’une double tentative d’intoxication du public : la première, du fait d’un faux reportage réalisé par un photographe-activiste antisémite palestinien ; la seconde, dans l’appui qu’il a trouvé, pour propager sa sinistre besogne, en utilisant le sigle d’un hypermédia occidental et français.

Nous sommes à nouveau confrontés à la volonté de souffler sur les braises du différend israélo-palestinien, qui n’en a pourtant guère besoin. Avec permission de "tirer à vue" sur les Israéliens, en toute occasion, et, bien entendu, sans la moindre preuve. C’est de mauvais augure pour la sécurité des Juifs de France et pour l’équilibre de la démocratie française.


Il faudrait immédiatement interpeller, sur cette affaire, le Président Sarkozy, afin qu’elle n’empoisonne pas à nouveau l’atmosphère dans l’Hexagone pendant des années. Mais ça, ça n’est pas le travail de la Ména. Nous, nous informons. Nous ne faisons pas de politique, mais du journalisme.

[www.menapress.org]




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Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 02 fvrier 2012 : 19:11

Ils sont trés fort en comédie!
Une palme d'OR-dures devrait leur être décérnée.Z%^

In desinformations.../ L’Ombudsman Reproche à Radio-Canada son Reportage sur le Moyen-Orient
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 fvrier 2012 : 20:13

L’Ombudsman reproche à Radio-Canada son reportage sur le Moyen Orient


Ginette Lamarche, la correspondante de Radio-Canada en Israel derriere les reportages mensongers

Dans une réprimande a l’encontre de notre radiodiffuseur public, CBC Radio-Canada, et de son correspondant au Moyen Orient, Ginette Lamarche, au sujet de son reportage sur Israël,  l’ombudsman de Radio-Canada, Monsieur Pierre Tourangeau a  confirmé cette semaine une série de cinq plaintes déposées par HonestReporting Canada sur la couverture du réseau au Moyen-Orient.

Dans la révision des douze pages de l’Ombudsman sur les reportages diffusés sur les ondes de Radio Canada entre le 19 et le 23 décembre, M. Tourangeau a conclu que les cinq reportages qui ont fait l’objet de la plainte ne respectent pas l’une ou l’autre des valeurs d’exactitude, d’équilibre et d’impartialité des Normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada( une plainte a déjà été corrigée par Radio-Canada avant la révision par l’Ombudsman). 

Notant une absence d’opinion divergente pertinente, qu’elle soit israélienne ou autre, de vérification, et de contestation des arguments .qu’on lui soumettait, et le fait de prendre à son compte les prétentions des personnes qu’elle interviewait, M. Tourangeau a indiqué que ces reportages présentent « au moins une apparence de partialité ». Il a encouragé la direction de l’Information et Mme. Lamarche de procéder a une discussion de fond sur ses arguments et constats.

HonestReporting Canada a fait objection à un rapport diffusé au radio journal le 19 décembre, d’où deux jeunes palestiniens interrogés ont affirmé avoir purgé trois ans de prison pour avoir jeté des pierres. Dans le reportage de Mme Lamarche, elle dit que « plusieurs jeunes Palestiniens passent une bonne partie de leur jeunesse derrière les barreaux pour avoir jeté des pierres ou participé à une manifestation », sans vérifier les données.

En outre, HRC a obtenu la liste des 550 prisonniers récemment libérés qui a révélé que pas un seul ‘jeune’( âgé de moins de 25 ans) n’a passé trois ans de prison pour avoir jeté des pierres. Pour les jeunes âgés de 24 ans et moins, le temps passé en prison est en moyenne de sept mois (la plus longue période étant de 15 mois) et HRC a soutenu que cela ne représente nullement« une bonne partie de sa jeunesse ».

De plus, HRC a soumis que Mme. Lamarche a induit l’auditeur à conclure que la simple participation à une manifestation, sans la qualifier de pacifique ou de violente, conduit à l’incarcération.

L’Ombudsman a affirmé que « toujours est-il qu’il aurait été souhaitable que la journaliste valide auprès de sources officielles, la durée des séjours en prison que prétendent avoir faits les jeunes interviewés ou qu’elle insère dans son reportage un point de vue israélien….la prudence voudrait qu’on attribue à l’interviewé ses affirmations ».

Au sujet du reportage du 20 decembre diffusé au radiojournal, sur les nouvelles arrestations de Palestiniens par Israël, la narratrice a déclaré « depuis l’accord d’échange de prisonniers pour la libération du soldat Gilad Shalit en octobre, Israël a emprisonné pratiquement le même nombre de personnes qu’elle a relâché ».

Nous avons contesté cette réclamation faite par l’ONG Adameer et qui a été catégoriquement niée par l’Administration pénitentiaire israélienne. En outre, cette réclamation a été ni attribuée ni vérifiée par la journaliste. Nous avons en outre affirmé que Adameer (ou Al-Dameer) n’est pas une ONG impartiale mais plutôt une organisation pro-palestinien qui a été accusé de diabolisation d’Israel. L’Ombudsman a conclu que l’affirmation « aurait dû être attribuée à l’ONG Adameer.
À défaut, l’auditeur devait assumer que l’affirmation était strictement exacte parce qu’elle avait été vérifiée par la journaliste. Ce qui n’avait pas été le cas » et que le reportage aurait du préciser que Adameer est une organisation non gouvernementale, qu’elle est palestinienne ou qu’elle défend les prisonniers palestiniens d’Israël. En outre, l’Ombudsman a précisé que « la journaliste aurait dû attribuer les termes « brutales » et « arbitraires » à Adameer pour éviter toute perception de partialité ».
Dans son rapport du 22 decembre, 2011 intitulé « L’année 2011 au Moyen-Orient » Ginette Lamarche, correspondante pour Radio-Canada, introduisait le sujet du printemps arabe palestinien en disant: «Depuis la Naqba… c’est la création d’Israël en 1948″. Le terme «Naqba» représente la version palestinienne de la création de l’état Israël et signifie une «catastrophe».

Mme. Lamarche aurait dû attribuer ce terme aux Palestiniens faute de quoi cela suggère que Radio Canada qualifie la création de l’État d’Israël comme étant une catastrophe. HonestReporting Canada a demandé une clarification et la direction de l’Information a louablement reconnu l’erreur et a fait une clarification qui a également été  publiée dans l’espace réservé aux mises au point.

Enfin, deux reportages, l’un diffusé à l’émission Désautels et l’autre dans les radio journaux du 23 décembre, ont traité de la situation de la communauté palestinienne chrétienne de Bethléem. HRC a fait objection aux déclarations suivantes: « depuis la construction du mur (de séparation) en 2003, les résidents de Bethléem ne peuvent pas sans permission sortir de la ville ». Elle dit aussi « que le mur, les colonies (de peuplement juives) qui encerclent Bethléem et qui l’empêche de se développer poussent les chrétiens palestiniens à fuir la ville où Jésus est né » et « même si le nombre de touristes augmente, dit-elle, les retombées restent bien minces pour les Palestiniens de Bethléem ».

HRC a affirmé qu’il appartenait au journaliste de fournir un contexte pour toute restriction invoquée dans son reportage, à savoir l’Intifada, qui a coûté la vie à 1100 Israéliens par des terroristes palestiniens en provenance de la Cisjordanie. En outre, elle fait également une omission importante qui est le sujet de la persécution des chrétiens par les musulmans.

L’Ombudsman a dit : « Quant à l’affirmation voulant que les résidents aient besoin d’une permission pour quitter Bethléem, elle souffre d’imprécision…. Il en va de même de l’affirmation faite au début du long reportage sur le même sujet lorsqu’on dit que la barrière de séparation « coupe Bethléem du reste de la Cisjordanie ». En ce qui concerne le tourisme, « je constate qu’elle assume une affirmation qui aurait dû être attribuée à ses interlocuteurs palestiniens, puisqu’elle repose complètement sur leur opinion ».

Tout en reconnaissant les difficultés auxquelles sont souvent confrontés les reporters sur le terrain, particulièrement en zones de conflits, l’Ombudsman a conclu que les cinq reportages n’ont pas respecté l’une ou l’autre des valeurs d’exactitude, d’équilibre et d’impartialité des Normeset pratiques journalistiques de Radio-Canada :

« Les quatre reportages montés qui font l’objet de la plainte ne proposent que des points de vue palestiniens et aucune opinion divergente pertinente, qu’elle soit israélienne ou autre, n’a été offerte, et la journaliste n’a pas pu vérifier les données qu’on lui présentait comme des faits; elle n’a pas contesté non plus les arguments qu’on lui soumettait. À quelques occasions, elle a repris à son compte les prétentions des personnes qu’elle interviewait. Pour ces raisons, ces reportages présentent au moins une apparence de partialité…Il aurait fallu peu de chose pour que les reportages discutés ici soient conformes aux Normes et pratiques journalistiques: un texte plus précis, des commentaires plus prudents, des affirmations attribuées, quelques points de vue contraires portés par d’autres intervenants ou, à défaut, par la journaliste elle-même ».

L’Ombudsman a souhaité que, compte tenu de la portée de la révision, la direction de l’Information et sa journaliste aient une discussion de fond sur ses arguments et constats.

Il est à noter que les reportages de Mme Lamarche ont déjà fait l’objet de reproches de la part d’organisations telle que le CIJA il y a quelques mois, l’Ombudsman de Radio-Canada ayant à ce sujet déjà confirmé que deux reportages contrevenaient aux principes d’exactitudes et d’impartialite des normes journalistiques de Radio-Canada des reportages de Mme Lamarche au Moyen-Orient.

Notre organisation, HRC, apprécie les recommandations de M. Pierre Tourangeau, Ombudsman de Radio Canada. Nous espérons vivement que les recommandations de M. Pierre Tourangeau conduisent Radio Canada à examiner très sérieusement la manière dont sont menés actuellement les reportages sur Israël.

by Honestreporting.ca
[www.honestreporting.ca]




INFORMATIONS ET DESINFORMATIONS
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 03 mars 2012 : 19:59

STOP aux mises en scène de l’information !

Lire sur le SNJ - Syndicat National des journalistes -

[www.snj.fr]

Informations et desinformations...
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 mars 2012 : 01:11

alors vous voulez noyer les gazzaouis ! c'est pas gentil ça !

la chaine 2M marocaine vient de le dire. Les gazzaouis dans le reportage ont affirmé qu'à chaque fois que le barrage israelien est plein ils (les israeliens) ouvrent les vannes pour nous noyer.
Mais c'est dingue, c'est arrivé au Maroc meme il y a 2 ans un barrage pour une fois est plein et on a ouvert les vannes et ceux qui ont construit dans le lit de l'oued ont été innondés, ça leur apprendra
A chaque fois qu'il s'agit d'Israel ils deviennent plus fous

Informations et desinformations...
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 06 mars 2012 : 12:34

On ne leur retirera pas cette haine de jalousie de ce pays qui a réussi dans tous les domaines.
Qu'ont fait les arabes avant 1948 ? routes ? immeubles ? Ecoles ? Hôpitaux ? wallou que des mosquées en forme de rampe de lancement et aujourd'hui on nous invente un peuple cousu de toutes pièces nommé peuple palestinien, qui constate que le pays a été construit d'une beauté et le veut en se lavant les mains du passé.
Ques ces arabes Israéliens s'estiment heureux d'être encore acceptés au sein de cette nation unique en son genre en matière de démocratie et que les gênés s'en aillent vivre à gaza, car c'est à eux de se plier aux lois Israéliennes et non le contraire.




Informations et desinformations...
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 mars 2012 : 21:34

"On ne leur retirera pas cette haine de jalousie de ce pays qui a réussi dans tous les domaines."

j'ai fait ce message Cerejido car j'ai été sideré. Que quelqu'un critique son ennemi mais avec une logique et une suite dans les idées à la rigueur, mais etaler dans les télé par sattelite des idioties et de l'ignorance chronique de la part de la chaine marocaine est inacceptable d'autant qu'au Maroc des maisons ont été detruites par l'ouverture des vannes alors qu'à gazza on a mouillé la terre sans degat sans rien

Informations et desinformations...
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 08 mars 2012 : 09:01

Détrompez-vous!

Les étranges indignations de Stéphane Hessel décryptées

par Jean Szlamowicz (1)






Comment répondre aux élucubrations de l’Indigné sinon par la logique et le raisonnement, par la rigueur et le parler-vrai bien étayé. C’est la méthode qu’à choisie l’auteur, linguiste par ailleurs et spécialiste de l’analyse des discours. Adoptant la position d’un « linguiste éthique », Jean Szlamowicz se donne un double objectif : « Rectifier les contrevérités inscrites dans le discours de Stéphane Hessel et analyser les moyens de ce que nous sommes amenés à qualifier de propagande ».


« Fort heureusement, la réplique de Szlamowicz à Hessel est là pour nous rappeler un certain nombre de vérités attestées par des documents »
L’objectif de l’Indigné est clair : dans le sillage de la nébuleuse BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions), parvenir à brouiller les pistes afin d’entourer le terme même d’ « Israël » d’un halo massif à connotation négative jusqu’à même parvenir à pousser le public à identifier Israël et nazisme.



Dans son célèbre ouvrage, La Rhétorique, Aristote distingue trois moyens de convaincre un auditoire : l’ethos, c’est-à-dire l’autorité du locuteur, le pathos, à savoir l’émotion qu’il produit sur son public et le logos, le corpus d’arguments qu’il utilise. Or, le texte d’Hessel pèche par un travers abyssal : son efficacité se base essentiellement sur l’ethos et le pathos. La vérité, elle, n’est pas jugée assez utile pour être conviée au festin de l’indignation.



Fort heureusement, la réplique de Szlamowicz à Hessel est là pour nous rappeler un certain nombre de vérités attestées par des documents : la responsabilité de Hadj Amine El Husseini, grand admirateur d’Hitler dans l’exode de certains Arabes de Palestine lors de la Guerre d’Indépendance d’Israël, le chiffre extravagant du nombre des « réfugiés » palestiniens, l’occultation de la question des réfugiés juifs des pays arabes spoliés et chassés de leurs terroirs ancestraux, les attendus effrayants pour Israël et pour les Juifs contenus dans la charte de l’OLP jamais amendée comme dans celle du Hamas, l’éducation donnée aux enfants dans les écoles palestiniennes, le principe islamique de la tromperie, la taqqiya, Sans oublier l’utilisation abusive du terme « colon », le passé négationniste de Mahmoud Abbas auteur d’une « thèse » d’histoire soutenue à Moscou en 1982 et intitulée « La connexion entre les nazis et les dirigeants sionistes, 1933-1945 », ou encore l’expression de « Mur de l’apartheid » pour fustiger une barrière de sécurité appelée en hébreu geder hahafrada, « grillage de séparation », ce que le « Mur » est effectivement sur 96% de son parcours. Fort opportunément l’auteur nous rappelle les grands textes fondateurs de l’Israël moderne, notamment le traité de San Remo de la Société des Nations qui date de 1920 relatif aux territoires de Judée-Samarie. Ce traité, nous explique-t-il, n’a jamais été abrogé. Il aurait pu l’être par le plan de partage de 1948 mais les Arabes, on le sait, l’ont refusé. En somme, nous explique Szlamowicz, « non seulement les prétentions d’Israël sur ces territoires sont légitimes par rapport à cette histoire récente, mais les territoires aujourd’hui sous contrôle israélien ont été acquis-dans le cadre d’une nouvelle guerre d’extermination menée par les pays arabes et perdue par ces derniers-lors de la Guerre des 6 Jours de 1967 aux dépens de la Jordanie (et de l’Égypte pour Gaza) qui ne les réclame plus depuis 1988. Il s’agit donc de territoires qui n’ont jamais appartenu à une entité palestinienne qui n’existait pas à l’époque-et qui ne les a d’ailleurs jamais réclamés ni aux Jordaniens ni aux Égyptiens. Considérer que ces territoires seraient légitimement et automatiquement « palestiniens » est donc largement abusif ».



« L’ostensible secret du texte d’Hessel, nous dit l’auteur, réside dans son exhibition biographique ». Dans cet esprit, il n’est pas inutile de rappeler qu’Hessel n’a pas été l’un des rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme comme on le prétend et que si son père était juif, il se convertit à la chrétienté. Quant à sa mère, elle n’était pas juive, mais protestante.



Un travail remarquable qui désosse avec art les arguments fallacieux de l’Indigné et de ceux qui le soutiennent.



À lire absolument.





Jean-Pierre Allali



(1) Éditions Intervalles. 2ème trimestre 2011. 96 pages. 9 euros.




Informations et desinformations...
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 26 mars 2012 : 21:47

AFP pris en flagrant délit de désinformation contre Israël sur la mort prétendue d’un enfant palestinien !

Voici un exemple flagrant de la désinformation diffusée par l’AFP qui attise la haine anti-israélienne et par conséquent la haine anti-juive qui a conduit Mohamed Merah à assassiner 4 Juifs dont 3 enfants à Toulouse.

Selon l’AFP, principale agence de désinformation sur le conflit israélo-palestinien dirigée par un riche libanais anti-israélien, des soldats israéliens auraient blessé par balle un enfant palestinien qui s’approchait de la barrière de sécurité entre Israël et la bande de Gaza, selon des sources médicales palestiniennes.

L’armée israélienne a démenti aussitôt cette fausse information diffusée par l’agence française. Après enquête la famille a révélé que l’enfant a été touché par une balle perdue tirée par les miliciens du Hamas lors des obsèques d’un terroriste à Gaza.

Voici la version AFP : « Un enfant palestinien âgé de six ans a été blessé près du point de passage de Kerem Shalom, à l’est de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où vit sa famille », a déclaré à l’AFP le porte-parole des services d’urgence palestiniens Adham Abou Selmiya. « Il a subi des blessures de gravité modérée après avoir reçu une balle dans la jambe », a-t-il précisé.

Voici les faits: Les déclarations de la famille du garçon et de témoins présentent une toute autre version de celle initialement annoncée : lundi, les obsèques d’un terroriste palestinien ont été organisées à Gaza. Barka al-Mugrahbi fait partie du cortège funéraire, des hommes armés tirent des coups de feu en l’air. L’enfant aurait été accidentellement touché par une balle perdue.

Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose…

[www.europe-israel.org]




Informations et desinformations...
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 mai 2012 : 22:07

Désinformation : ces « soldats » ne sont pas israéliens

par Tsahal - Armée de Défense d’Israël

Une photographie mettant en scène de faux soldats israéliens maltraitant un palestinien présenté comme prisonnier a été mise en ligne sur le site internet d’un célèbre magazine français. La légende, même si elle ne précise pas que ces “soldats” appartiennent a l’armée israélienne, laisse penser que le traitement infligé à l’homme de la photo est le quotidien des prisonniers palestiniens.

Une image prise par un photographe de l’Agence France Presse (AFP), Mahmoud Zayyat, le 17 avril dernier à l’occasion de la Journée des prisonniers palestiniens est mise en ligne sur le site internet du magazine « L’Express » au sein de la rubrique « 24h en images ». Cette photographie intitulée « prisonnier palestinien » est le résultat d’une mise en scène.



Photo : AFP / Mahmoud Zayya

Sur cette photo, l’uniforme n’est pas conforme aux normes de Tsahal (couleur et forme) et les combattants réguliers de l’armée israélienne ne font pas usage d’armes de poing.

Il s’agit donc d’une mise en scène organisée à l’occasion de la Journée des prisonniers palestiniens. Un photographe de l’AFP a immortalisé cet évènement, et la légende de la photo reprise par L’Express ne précise plus son contexte. Le lecteur non averti n’en saura pas plus. Une fois encore, la ligne rouge qui sépare information et désinformation a été allègrement franchie.

Sur le site du magazine « L’Express », cette photographie est intitulée « prisonnier palestinien », une légende qui laisse clairement sous-entendre que l’homme maltraité sur le photo est un prisonnier sans défense. Il s’agit en réalité probablement d’un manifestant.

Il ne s’agit pas ici du premier cas de désinformation flagrante orchestrée par des manifestants palestiniens dans l’espoir d’une publication dans la presse internationale. Si la photo en elle-même traduit bien une réalité, il s’agit de celle des essais répétés de manipulation de l’opinion et non de celle des prisonniers palestiniens détenus en Israël.

A l’heure ou le pouvoir des images est plus que jamais au coeur des discussions sur les conflits dans notre région, la vigilance est l’affaire de tous...

[www.desinfos.com]

Informations et desinformations...
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 mai 2012 : 23:02

Retrait de la photo par le magazine "Lexpress.fr" apres que cette image a ete signalee comme truquee. (voir article avec la photo ci-dessus)

Peu de temps après la publication de la photo truquée de L’Express et de l’AFP, montrant un palestinien "maltraité" par deux "soldats israéliens", le magazine L’Express a retiré ladite image de son site Internet (http://www.lexpress.fr/24henimage/prisonnier-palestinien_1105924.html).

C'est scandaleux et grave pour un journal d'employer des "journalistes" ou "photographes" capables de pareils truquages..

Informations et desinformations...
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 mai 2012 : 23:27

Affaire de la photo truquée de L’Express : mise à jour

jeudi, 17 mai 2012

Peu de temps après la publication par nos soins de la photo truquée de L’Express et de l’AFP, montrant un palestinien "maltraité" par deux "soldats israéliens", le magazine L’Express a retiré ladite image de son site Internet (http://www.lexpress.fr/24henimage/prisonnier-palestinien_1105924.html).

Dans l’article précédent de notre cru, intitulé "Cette photo de l’AFP et de L’Express et un faux à connotation antisémite", nous publiions les détails de la nouvelle mise en scène réalisée par le photographe de l’AFP Mahmoud Zayyat, et reproduite par L’Express.

Il est évident que le retrait de cette photographie, ce jour, destinée à illustrer la soi-disant barbarie de l’armée israélienne, est notablement insuffisant de la part de L’Express.

Pour avoir un sens, au plan informationnel, il faut encore que la rédaction de l’hebdomadaire se fende d’une explication détaillée et d’excuses à l’endroit des personnes physiques et morales qu’elle a calomniées ; à savoir les soldats de Tsahal et l’Etat d’Israël.

L’Express franchirait un pas dans la bonne direction de la lutte contre l’extension du racisme et de l’antisémitisme si, dans le même communiqué, sa rédaction s’engageait à beaucoup plus de prudence à l’avenir face aux malversations de l’AFP, ainsi que d’autres media engagés diffusant ce genre d’impostures.

Le fait de refuser de publier des faux à caractère raciste et antisémite ne constitue par ailleurs pas une prise de parti dans le conflit proche-oriental ; c’est simplement une obligation éthique aussi bien que légale.

Jusqu’à ce que L’Express ne publie le communiqué dont nous parlons, et qu’il rende publiques les sanctions disciplinaires qu’il aura prises à l’encontre des responsables de la malfaisance, la rédaction de l’hebdomadaire restera naturellement condamnable pour sa participation à la propagation d’une fausse nouvelle à caractère notoirement antisémite et raciste. D’une fausse nouvelle, de nature à troubler l’ordre public en France, en générant des envies de violence auprès d’individus faibles d’esprit.

[www.menapress.org]

Informations et desinformations...
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 18 mai 2012 : 11:18

Le premier ministre palestinien est à court d'argent pour equilibrer son budgt ,les occidentaux se precipitent pour lui envoyer des milliards qu'ils empruntent même etant presque en faillite.
cependant que l'ancien pourvoyeur de fonds d'Arafat refugié....à Londres devenu milliardaire est accusé de detournements de fonds par Abbas,lui même devenu milliardaire ( dont les fils sont refugiés...au Canada )est accusé par le precedent de detournement des fonds distribués par les stupides occidentaux,qui refusent de constater la realité d'une association de malfaiteurs qui se dechire.

Informations et desinformations.../Les excuses de l'Express pour une photo de l'AFP qui n'est qu'une vulgaire mise en scene
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 mai 2012 : 16:03

Cette image signalee plus haut est une vulgaire mise en scene qui dessert une propagande grossiere dont l'AFP est friande. Rien a faire, c'est le photographe de l'AFP, Mohamed Zayyat qui est scandaleusement pris sur le fait.
Personnellement, je pense que ces photographes, journalistes musulmans (mais pas seulement!) qui oeuvrent pour l'AFP ne sont que des activistes deguises et ce travail de desinformation est tout simplement scandaleux.

Voici les excuses confondues du journaliste de l'Express. Tout le reste n'est que bla-bla-bla et bien entendu, on nous dit que les belles ames qui s'expriment dans le medias sont loin de se considerer antisemites, ils ne sont qu'"antisionistes", meme s'ils font un zele et un acharnamement pas possible pour stigmatiser Israel et presenter l'Etat Juif et son armee comme les plus grands criminels de la terre.



(PS. A ce propos, lire les commentaires qui suivent l'article ci-dessous sur le lien a l'Express.fr

Non, nous ne sommes pas antisémites

LE 18 MAI 2012 15H48 | PAR ERIC METTOUT

Nous avons commis une terrible erreur, un texte malencontreux sur l’une de nos photos du jour du 18 avril dernier (à gauche), mal traduit de la légende, tout ce qu’il y a de plus circonstanciée, elle, que nous avait fournie l’AFP*: sur la « reconstitution », dans un camp de réfugiés au Liban, de l’arrestation par de faux militaires israéliens d’un Palestinien, nous avons omis d’indiquer qu’il s’agissait d’une mise en scène, que ces « soldats » jouaient un rôle et que tout ça relevait de la pure et simple propagande.

C’est une faute – qu’atténuent à peine la précipitation et la mauvaise relecture qui l’ont provoquée.

C’en serait une dans tous les cas, ça l’est plus encore dans celui-là: laisser planer la moindre ambiguïté sur un sujet aussi sensible, quand on sait que les images peuvent être utilisées comme des armes de guerre, donner du crédit à un stratagème aussi grossier, qui peut contribuer à alimenter l’exaspération antisioniste là où elle s’enflamme sans besoin de combustible, n’appelle aucun excuse. Nous avons déconné, gravement. J’ai déconné, gravement: je suis responsable du site de L’Express, et donc du dérapage.

A ce titre, je fais amende honorable, la queue basse, auprès des internautes qui ont été abusés, de tous ceux que cette supercherie a pu blesser et de l’AFP, qui n’est EN AUCUN CAS comptable de nos propres bêtises.

Cela dit – et que les choses soient claires, ce que j’écris ci-dessous n’enlève rien à ce que j’ai écrit ci-dessus:

- Il arrive, quand nous nous trompons – parce que ça arrive, personne n’est parfait – que nous en soyons avertis directement, que celle ou celui qui a repéré une erreur nous envoie un mail, nous passe un coup de téléphone, nous écrive pour nous demander de nous expliquer, de corriger, de supprimer – il est assez facile de nous contacter si on le souhaite vraiment. J’attends toujours. Dès que j’ai eu connaissance, par le patron du service Monde de L’Express, de cette bourde, j’ai fait supprimer l’image et sa légende.

- Sur de nombreux sites pro-israéliens où l’affaire (!) a pris son envol et son ampleur, elle a servi à nourrir de vieilles rancœurs. Pour résumer: les médias français dans leur ensemble désinforment sciemment, s’acharnant sur Israël en toute (mé)connaissance de cause – quand nous ne sommes pas tout bonnement accusés d’encourager le terrorisme; j’ai lu tout à l’heure que nous aurions « fabriqué » Mohamed Merah…

Naturellement, ont resurgi à cette occasion d’autres incidents, au premier rang desquels figure, comme d’habitude, la mort du petit Mohamed Al-Durah, filmée par l’équipe du correspondant de France 2 à Jérusalem, Charles Enderlin – formidable journaliste, dont le courage n’a d’égal que le professionnalisme, j’en profite pour le répéter ici. Il faut avoir le cuir épais pour résister aux pressions brutales et inqualifiables dont il est la cible depuis ce jour-là. Il l’a, fait toujours bien son métier, rend coup pour coup, malgré les attaques infamantes et les calomnies dont il est l’objet, respect.

C’est d’ailleurs un regret supplémentaire: en manquant de rigueur, nous avons involontairement contribué à discréditer nos confrères qui font bien leur travail, qui relatent les emprisonnements arbitraires des uns, l’extrémisme religieux et les diatribes antisémites des autres, les opérations militaires implacables comme les tirs de roquettes, les colonies illégales comme les attentats aveugles – et rappellent aussi, ne serait-ce que par leur liberté d’y travailler, qu’Israël est la seule véritable démocratie de la région, qu’on y vote sans contrainte, qu’on y lit des journalistes indépendants, qu’on peut y manifester et s’y opposer sans risquer la torture et la mort.

- Marre de lire que tous autant que nous sommes, nous, journalistes français, nous cultivons non seulement un antisionisme atavique (ce qui est faux), mais aussi un antisémitisme historique – ce qui, pour le coup, me fait hurler. Evoquer, comme je l’ai lu ici ou là, « la connotation antisémite » de ce qui, encore une fois, n’est rien d’autre qu’une bévue, ce n’est pas seulement disproportionné et inutilement insultant, ce n’est pas seulement banaliser le Mal, c’est aussi un avertissement à peine déguisé.

J’ai utilisé le mot propagande au début de ce post, à propos de l’image qui l’a motivé. Il n’y en a pas d’autre pour qualifier les méthodes d’intimidation mises en oeuvre pour nous empêcher de parler librement du conflit israélo-palestinien. Et si reconnais bien volontiers, et bien tristement, notre erreur, je tiens à confirmer que nous continuerons, malgré elle et les réactions qu’elle a provoquées, à le faire.

PS qui a tout à voir: le sujet de ce post est éminemment sensible. Je ne vais être épargné par personne, ni par les défenseurs les plus intransigeants de la politique israélienne, ni par ceux qui dénoncent sans nuance le vil « colonisateur ». J’aimerais simplement que tous les autres, et j’espère qu’ils sont majoritaires, liront ce que j’ai écrit et pas ce que ces jusqu’au-boutistes en auront dit.

*PS qui a tout à voir aussi: pour information, la légende, en anglais, de la photo fournie par l’AFP: « LEBANON, AIN EL-HELWEH: Palestinian refugees pose as Israeli soldiers arresting and beating a Palestinian activist during celebrations of Prisoners’ Day at the refugee camp of Ain el-Helweh near the coastal Lebanese city of Sidon on April 17, 2012 in solidarity with the 4,700 Palestinian inmates of Israeli jails. Some 1,200 Palestinian prisoners held in Israeli jails have begun a hunger strike and another 2,300 are refusing food for one day, a spokeswoman for the Israel Prisons Service (IPS) said. »

[blogs.lexpress.fr]




Informations et desinformations...
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 05 aot 2012 : 13:32

Gaza camp de concentration ......de richesses et de bien-être!!!

[www.taringa.net]

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