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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 28 octobre 2012 : 23:18

Citation:
Bravo
Citation:
darlett
Bravo, les medias americains sont a 90 % democrates. Cela inclut la CBS, CNN, ABC, NBC, Newyorker, New York times, Huffington Post, Newsweek, Washington Post, The Economist, MSNBC, etc...etc...Bref les medias les plus importants et les plus largement diffuses.
Un seul echappe a cette etiquette et c'est le FOXNEWS fermement conservateur et republicain.

D'ailleurs si tu ecris "Benghazi" sur les news de Google, tu ne trouveras absolument rien sur les journeaux cites plus haut. Paraitra une liste de blogs et sites peu influents et loin d'atteindre les masses.

Qu'avait il besoin de la presse? Mitt Romney avait lors du deuxième débat avec Obama, une occasion en or pour faire connaître ces déclarations à la face du Monde, ce qui aurait immédiatement coulé son adversaire,,, de quoi avait il peur ? Au lieu de cela, on a eu droit à des poignées de mains chaleureuses, voir des accolades fraternelles,,, pas mal pour deux challengers, qui étaient là pour se foutre mutuellement des tannées et en découdre.

Poignees de mains, certes, chaleureuses, non. Accolades fraternelles, tu n'y es pas du tout. Les deux hommes ne s'apprecient nullement.
Quant a l'attitude de Romney, cela depend du regard. A mon avis, Romney etait cool et presidentiel alors que l'autre etait agressif et sur le qui vive, une attitude qui peut paraitre excessive pour certains qui doivent encore choisir.
En fait, il s'agit de strategie et on verra laquelle aura ete la plus payante.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 02:48

Difficile de concevoir de quelle stratégie il s'agit, à ne pas utiliser les arguments qui peuvent l'emporter, si ce qui fut annoncé plus haut est véridique à propos des ordres de ne pas intervenir à Benghazi, si c'est vrai Romney se doit de le dévoiler, si c'est faux on comprends alors qu'il se taise, au risque alors de perdre l'élection.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 11:20

Mais Romney et FoxNews devoilent tout cela sans cesse sauf que les journaux ne reprennent pas l'information.
De toutes les manieres, je ne vois pas comment cela pourrait etre faux lorsque tout cela est accompagne d'emails revelateurs et de temoignages d'agents de la CIA + le temoignage compromettant d'un responsable du departement d'Etat lors de la premiere reunion de la commission chargee de "clarifier" l'affaire.

De plus il y a le limogeage recent du General Carter Ham qui aurait desobei aux ordres venus de haut (c-a-d d'Obama, le commandant en chef de l'Armee) de ne pas attaquer en retour. Intervention qui a sauve la vie a 2 fonctionnaires de l'Ambassade et qui si elle avait ete faite a temps aurait permis un deroulement tout autre de l'affaire.

Romney a sciemment refuse un debat agressif mais ce qu'il avait a dire, il l'a dit et moi personnellement qui ai ecoute tout l'echange, je trouve qu'il a ete tres bien. Les revelations concernant la non assistance aux 4 diplomates en danger et le drone situe en permanence au dessus de l'Ambassade libyenne ne sont venus qu'apres le dernier debat. En fait, bien que les medias "sympathisants" aient note Obama comme vainqueur, je te signale que l'enthousiasme continue a grandir pour Romney et les sondages le prouvent. Selon Gallup, l'ecart entre Romney et Obama est maintenant de 5 points en faveur de Romney sauf que le systeme electoral americain est assez complique et certains etats sont decisifs et fixent le vainqueur, cela meme si dans la majorite c'est l'autre qui a plus de voix. On est loin des resultats du mois de septembre qui donnaient un peu partout et avec assurance Obama comme vainqueur probable.

Cette campagne electorale aurait ete extremement "sale" dit-on et comme on n'en a jamais eu en Amerique. Il y a eu un "character assassination" (je ne connais pas le terme en francais) extremement severe par l'ensemble de la presse, contre Romney que seule son apparition au premier debat a reussi a faire tomber.

Je pense personnellement que cette affaire suivra les elections car elle est beaucoup trop grave. Les revelations concernant l'interdiction d'intervenir sont surprenantes et il y aurait des tas de details qui viennent s'ajouter a cela comme par ex. la vente d'armes de la part des americains en Libye a des elements djihadistes appartenant a Al Qaida, pour intervenir en Syrie afin de faire tomber Bachar Al Assad. Affaire dans laquelle Chris Stevens et le Consulat americain seraient impliques.

Voici un article interessant concernant le comportement des medias sur le sujet avec video. (en anglais)
[www.foxnews.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 13:22

"character assassination" = salire la réputation ou campagne de dénigrement à l'aide d'arguments éxagérés, ou faux.

Revenons à nos moutons,,, même si l'info est arrivée après le dernier débat, il est curieux que le parti républicain ne s'en soit pas emparé depuis, pour le publier avec ses propres organes de média qui lui servent à faire campagne, et qui sont très puissants, or mis à part le Foxnews, depuis c'est silence radio!

Ce n'est pas parce qu'il y a beaucoup de témoignages par mail sur le sujet, que l'info est véridique, le Monde en a avalé bien d'autres.

Et puis quel intérêt avait Obama d'interdire l'intervention à Benghazi ?

Surtout si près des élections,,, et si Romney, faute d'avoir utilisé toutes ses "munitions", perd l'élection, il n'aura qu'à s'en prendre qu'à lui même.





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 14:54

Je crois avoir tout dit. Difficile de convaincre les convaincus.

Voici un article en francais qui donne aussi pas mal de renseignements qui ne sont nullement inventes.

[www.dreuz.info]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 17:09

Pour les anglophones qu'il y aurait parmi nous, voici un article extremement interessant qui donne des tas d'explications de premiere importance pour ceux qui aimeraient avoir plus de details au sujet des dessous de l'attaque de Benghazi. Tout y est et si c'est reel, il s'agit d'un bras de fer entre la Russie et l'Amerique.

[www.canadafreepress.com]

Une revelation parmi plusieurs donnee par ce journal :

Citation:
Based on information provided by my source and corroborated elsewhere, the official account by administration officials is a mosaic of lies that were necessary to cover the unpalatable truth of covert actions taking place in Libya, Syria, Turkey, Jordan and Lebanon. The primary objective of our covert actions was to secretly arm anti-Assad “rebels” in Syria by funneling arms from Libya to Syria via Turkey, with other destinations that included Jordan and Lebanon. Regarding the threat to Stevens and the other murdered Americans, the truth will reformat the persistent question posed to government officials, from UN Ambassador Susan Rice to White House Spokesman Jay Carney and others from “how could you not have known” to “how could you have done these things?”

Trad :

Bases sur des informations en provenance de mes sources et corroborees ailleurs, le compte rendu officiel donne par l'administration, est un tissu de mensonges necessaires afin de couvrir la desagreable verite des actions secretes qui se deroulaient en Libye, Syrie, Turquie, Jordanie et Liban.
L'objectif principal de ces actions secretes etaient d'armer secretement les rebelles anti-Assad en canalisant les armes de la Libye vers la Syrie via la Turquie, avec d'autres destinations qui comprenait la Jordanie et le Liban.
En ce qui concerne la menace de Stevens et les autres Americains assassines, la vérité va conduire a d'autres questions persistantes posees aux représentants du gouvernement, de l'ONU, Susan Rice, ambassadeur de la Maison Blanche, le porte-parole Jay Carney et d'autres de "comment pourriez-vous ne pas savoir» et «comment avez-vous pu faire ces choses?


Une autre revelation importante :

Citation:
First, it is important to understand that Ambassador Stevens, Sean Smith, Glen Dougherty and Tyrone Woods were not killed at a consulate office in Benghazi—as there is not such office there. They died at one of the largest CIA operations centers in the Middle East, which was located in Benghazi and served as the logistics headquarters for arms and weapons being shipped out of the post-Qaddafi Libya.

Trad :

Premierement, il est important de comprendre que l'Ambassadeur Stevens, Sean Smith Glen Dougherty et Tyrone Woods (les 4 morts) n'ont pas ete tue au consulat de Benghazi parce qu'il n'y a pas de bureau pareil la bas. Ils sont morts dans l'un des plus grands centre d'activites de la CIA au Moyen-Orient qui etait situe a Benghazi et servait de centre de logistique pour le commerce illicite des armes expediees hors de la Libye post-Qadhafi.

L'explication donnee par cet article concernant les mensonges officiels et l'opposition a envoyer des renforts pour sauver les personnes attaquees pendant de longues heures, n'etaient pas le resultat d'une mauvaise interpretation de la situation mais etaient plutot causes par l'opposition a exposer publiquement la nature et l'etendue de la mission americaine a Benghazi.

Citation:
The failure to dispatch an extraction team or otherwise rescue the men during a firefight that lasted upwards of nine grueling and tortuous hours was not the result of any intelligence failure, but caused by our unwillingness to widen the conflict and expose the nature and scale of our true mission in Benghazi.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 20:25

Des nouvelles du sujet sur :


[www.lemonde.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 29 octobre 2012 : 23:27

alors dans ce cas Darlett l'ambassadeur Stevens a été tué par des fanatiques islamistes au moment ou il envoit des armes à leurs fréres en Syrie. Je perds mon latin

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 octobre 2012 : 00:39

Citation:
derka
alors dans ce cas Darlett l'ambassadeur Stevens a été tué par des fanatiques islamistes au moment ou il envoit des armes à leurs fréres en Syrie. Je perds mon latin

Cette affaire est extremement compliquee et apparemment, et suivant ce que l'article mentionne plus haut atteste, Chris Stevens travaillait avec la CIA et son role etait de fournir en armes les forces combattantes contre Assad dont les djihadistes d'Al Qaida (sic). Ces armes en partance pour la Syrie, transitaient par la Turquie, le Liban, la Jordanie...

Etait prevu un vaste programme mis en place par les Americains en cooperation avec les rebelles anti-Assad de faire utilisation d'armes chimiques pour ensuite en accuser Assad et faire basculer l'opinion mondiale qui n'aurait pas supporte les effets desastreux d'une telle attaque chimique.

Or... et la est le hic, les Russes, soutenant le regime d'Assad, disposent eux aussi de satellites d'informations et ils ont ete informes de ces intentions. Ils ont, avec l'aide iranienne, decide de stopper les americains en attaquant les 4 fonctionnaires qui ne se trouvaient a ce moment-la non pas dans le consulat mais a 1 mile de la, au centre de la CIA.

C'est, parait-il, pour cela que l'attaque a dure si longtemps puisqu'elle a debute a 9h 30 du soir et ce n'est qu'a 4 h du matin que Chris Stevens a ete tue. Une agression terroriste ne necessitait pas autant d'heures pour tuer 4 personnes. Les forces en action envoyees par les Russes attendaient une reaction americaine qui n'est pas venue. Obama avait compris le message russe et il avait decide de laisser mourir les 4 fonctionnaires plutot que de faire opposition et d'engager un conflit ouvert contre les Russes.
C'est la raison pour laquelle, il n'a pas repondu aux 3 requetes de la CIA qui desirait intervenir et sauver les americains en danger.

Ces details proviennent du site [www.canadafreepress.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 octobre 2012 : 11:42

Obama savait en temps réel qu’une attaque terroriste était en cours à Benghazi

Dans une interview le 27 octobre sur Fox-News, deux lieutenant-colonel de l’armée américaine, Tony Schafer et David Hunt, ont déclaré que des extraits vidéo provenant de deux drones survolant les environs du consulat américain « ont été transmis en temps réel à 15 endroits différents, incluant la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche.

Plusieurs personnes ont été informées en temps réel de la situation » et ont évidemment fait suivre l’information vers le sommet.

« Jamais les communications n’ont été meilleures », a-t-il dit, avant d’ajouter :

« Je déteste dire ceci mais, selon mes sources, oui, il [le Président] était l’un de ceux présents dans la salle en temps réel regardant les événements.

La question devient donc ’’qu’a donc fait ou pas fait le Président alors qu’il voyait la situation se dérouler sous ses yeux ?’’

Seul lui pouvait donner l’ordre au secrétaire à la Défense Panetta de faire quelque chose. »

Le site internet breitbart.com a par la suite divulgué, sur la base de rapports confidentiels qui ont fait l’objet de fuites dans les médias, qu’un avion de combat, probablement un AC-130, survolait la région et que le personnel de sécurité du consulat a appelé à l’aide à plusieurs reprises mais que l’avion n’a jamais répondu.

Une autre bombe a été lâchée le 25 octobre par le journaliste Ed Klein, dans une biographie de Barack Obama, « The Amateur », qui inclut des informations confidentielles montrant que la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait bel et bien ordonné d’accroître la sécurité du consulat dans la période précédant l’attaque, sur la base de demandes provenant du terrain, mais que le Président en avait empêché l’exécution.

Klein a ajouté que Hillary Clinton refuse de rendre publiques les documents à sa disposition par peur de provoquer la défaite d’Obama à l’élection du 6 novembre prochain.


Si les affirmations de Klein concernant l’ordre d’Hillary Clinton d’accroître la sécurité ont été confirmées par d’autres sources proches de la secrétaire d’Etat, l’identité de celui qui a bloqué l’envoi de renforts militaires pour sauver l’ambassadeur et les autres diplomates reste à confirmer.

(Rappelons qu’une escouades de marines a dû violer l’ordre de ne pas intervenir pour tenter de sauver les victimes.)

Obama n’a toujours pas donné de compte-rendu détaillé de son emploi du temps ce jour là, à partir du moment où les nouvelles de l’attaque par 20 individus lourdement armés sur le consulat ont atteint la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche, à 16h05, heure de Washington.

Aucune mention de manifestation n’a été faite à ce moment là, contrairement aux allégations publiées par la suite par la Maison-Blanche.

Obama a toujours refusé de répondre aux questions directes des journalistes sur son emploi du temps.

Des experts du renseignement américain consultés par nos collègues de l’EIR ont déclaré que la raison pour laquelle Obama aurait agit de la sorte semble être le fait que le Président souhaitait à tout prix défendre le mythe selon lequel al-Qaïda n’existe plus depuis qu’il a lui-même ordonné l’assassinat d’Osama ben Laden le 2 mai 2011, une action dont il s’est vanté à plusieurs reprises par la suite.

Ainsi, non seulement Obama a-t-il supprimé la vérité sur le premier 11 septembre, celui de 2001 [1], mais il a voulu pousser le bouchon trop loin, jusqu’à faire croire qu’il avait « résolu 9/11 » en assassinant ben Laden, causant de ce fait un « 11 septembre version 2 ».

Une décision psychotique (à la Néron) qui lui sera probablement fatale, a commenté l’économiste américain Lyndon LaRouche à propos de ces révélations.

[www.jforum.fr]

Un autre article interessant a lire sur le sujet :

USA : l'ambassadeur Chris Stevens et l'envoi d'armes lourdes aux djihadistes syriens (Benghazigate)




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 30 octobre 2012 : 12:26

USA : l'ambassadeur Chris Stevens et l'envoi d'armes lourdes aux djihadistes syriens (Benghazigate)



Le gouvernement américain a attribué l'attaque terroriste du 11 septembre contre le consulat de Benghazi, qui a coûté la vie à l'ambassadeur Chris Stevens et trois autres Américains, à une manifestation spontanée contre un film "anti-islamique" qui aurait dégénéré. Cette explication vise à détourner l'attention de faits compromettants que le gouvernement américain chercherait à cacher. Hier, le sénateur John McCain a déclaré qu'il soupçonne l'administration Obama de mener une vaste opération de cover-up.

Pourquoi ? Cet article publié sur le site de Business Insider pourrait fournir une explication : les Américains seraient possiblement impliqués dans l'envoi aux terroristes d'Al-Qaïda en Syrie, via la Turquie, d'armes lourdes provenant de la Libye.



_____________________

La politique officielle des Etats-Unis est de refuser l’entrée d’armes lourdes en Syrie. Mais il y a des preuves croissantes que des agents américains, en particulier l’ambassadeur Chris Stevens qui a été assassiné, étaient à tout le moins au courant que des armes lourdes étaient acheminées aux rebelles syriens.

En mars 2011, Stevens est devenu l'agent de liaison officiel des États-Unis avec l’opposition libyenne liée à Al-Qaïda. Il travaillait directement avec Abdelhakim Belhadj du Groupe de combat islamique libyen maintenant dissous dont certains militants auraient participé à l’attaque ayant coûté la vie à Stevens.

En novembre 2011 The Telegraph rapportait que Belhadj, agissant en tant que chef du Conseil militaire de Tripoli, « a rencontré les leaders de l'Armée syrienne libre [FSA] à Istanbul et à la frontière avec la Turquie » dans le cadre des efforts du nouveau gouvernement libyen en vue de fournir de l’argent et des armes à l’insurrection croissante en Syrie.

Le mois dernier, le Times de Londres rapportait qu'un navire libyen « transportant la plus grande cargaison d’armes pour la Syrie … avait mouillé en Turquie ». La cargaison de 400 tonnes comprenait des missiles anti-aériens SA-7 et des lance-roquettes.

Ces armes lourdes viennent probablement du stock d’environ 20.000 systèmes antiaériens portables à tête chercheuse (des SA-7 pour la plupart) obtenus par Mouammar Kadhafi de l’ancien bloc soviétique. Reuters rapporte que les rebelles syriens ont utilisé ces armes pour abattre des hélicoptères et des chasseurs syriens.

Le capitaine du navire était « un Libyen de Benghazi dirigeant une organisation appelée le Conseil national libyen pour le secours et le soutien », probablement établie par le nouveau gouvernement. Cela signifie qu’il n’y avait qu’une seule personne - Belhadj - entre l'ambassadeur Stevens et l’homme de Benghazi ayant livré les armes lourdes en Syrie.

En outre, nous savons que les djihadistes sont les meilleurs combattants de l'opposition syrienne, mais d’où viennent-ils ? La semaine dernière le Telegraph rapportait qu'un commandant de la FSA se référait aux « Libyens » quand il a expliqué que la FSA « ne veut pas de ces extrémistes ici ».

Si le nouveau gouvernement libyen envoyait des combattants islamistes chevronnés et 400 tonnes d’armes lourdes en Syrie via un port du sud de la Turquie - une transaction négociée par le principal contact de Stevens en Libye pendant la révolution libyenne - les gouvernements de la Turquie et des Etats-Unis en avaient certainement connaissance.

Qui plus est, il y avait un poste de la CIA à Benghazi, à 1,2 mille du consulat américain, utilisé comme « base permettant, entre autres, la collecte d'informations sur la prolifération des armes pillées dans les arsenaux du gouvernement libyen, y compris des missiles surface-air » …et le système de sécurité de ce poste « était supérieur à celui de la villa louée dans laquelle Stevens est mort ».

Et nous savons que la CIA a fait passer des armes aux rebelles dans le sud de la Turquie. La question est de savoir si la CIA a été impliquée dans la distribution des armes lourdes en provenance de la Libye. En tout cas, le lien entre Benghazi et la montée des djihadistes en Syrie est plus fort que ce qui a été officiellement reconnu.

Source : How US Ambassador Chris Stevens May Have Been Linked To Jihadist Rebels In Syria, Business Insider, 19 octobre 2012. Traduction par Poste de veille

[www.postedeveille.ca]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 30 octobre 2012 : 14:23

Obama s'embourbe a Benghazi

Des mails internes du département d’Etat semblent confirmer que l’attaque de l’ambassade avait été planifiée par un groupe islamiste.
La polémique sur la lenteur, supposée, de la Maison Blanche à réagir après l’attaque contre l’ambassade américaine de Benghazi du 11 septembre dernier a connu un nouveau rebondissement, mercredi 24 octobre, avec la révélation d’emails internes du Département d’Etat.
Plusieurs médias, dont l’agence Reuters et la chaîne Fox, ont en effet dévoilé les contenus de mails envoyés dans les heures qui ont suivi l’attaque, dans laquelle 4 Américains avaient trouvé la mort, et montrant que le gouvernement aurait été informé très tôt de revendications islamistes, et n’en aurait pas tenu compte.
Ces nouveaux éléments viennent relancer une polémique particulièrement gênante pour le camp démocrate, et soigneusement entretenue par les républicains.
Depuis la mort de quatre employés de l’ambassade américaine de Benghazi, dont l’ambassadeur Christopher Stevens, l’équipe de Mitt Romney n’a en effet de cesse que de prouver un cafouillage de la Maison Blanche.
L’affaire avait d’ailleurs fait l’objet d’un vif échange entre Barack Obama et Mitt Romney lors de leur débat consacré à la politique étrangère du mardi 16 octobre.
Le candidat républicain avait alors une nouvelle fois attaqué la gestion de la crise par l’équipe du président à qui il reproche de ne pas avoir identifié plus vite la piste islamiste, préférant mettre cette attaque sur le compte des manifestations contre le film anti-islam.
L’attaque de l’ambassade de Benghazi était en effet intervenue le même jour que la première manifestation contre le film "The Innocence of Muslim" au Caire.
Mais selon plusieurs experts, contrairement à cette-dernière, la prise d’assaut de l’ambassade américaine en Libye aurait été en fait planifiée en amont par des groupes islamistes dans le but de "commémorer" les attentats de 2001.
Barack Obama est ainsi accusé de ne pas avoir pris la mesure de la menace terroriste, et de ce fait d’avoir mis en danger le personnel, notamment en ne décidant pas d’augmenter les mesures de sécurité à l’ambassade de Benghazi.
La veille du débat sur la politique internationale, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait tenté de désamorcer ces critiques en prenant, sur elle, "la responsabilité" de l’attaque contre l’ambassade.
Cela n’avait pas empêché Mitt Romney d’attaquer son adversaire en affirmant que son équipe avait mis plusieurs semaines à évoquer la piste terroriste.
La passe d’armes, qui avait été le moment le plus tendu du débat, avait finalement tourné à l’avantage de Barack Obama.
Le président sortant avait martelé avoir parlé "d’acte de terreur" dès le lendemain de l’attaque.
Une déclaration confirmée en direct, et à sa demande, par la modératrice du débat, la journaliste Candy Crowley.
Mitt Romney avait peut-être raison...
Malheureusement pour le camp démocrate, ce coup d’éclat n’a pas suffit à faire taire la polémique qui ne cesse de rebondir.
Dès le lendemain du débat, on apprenait que, finalement, la version de Mitt Romney était peut-être bien celle la plus proche de la réalité.
A la fin d’un discours prononcé le lendemain de l’attaque de Benghazi, Barack Obama utilise bien les mots "actes de terreur", mais d’une manière pouvant sembler générale, non forcément liée à la mort des quatre américains.
Et à aucun moment la piste islamiste n’est évoquée.
Or, en dehors de cette vague déclaration de Barack Obama du 12 septembre, il faudra plusieurs semaines à l’administration présidentielle pour évoquer concrètement la piste islamiste, dans un communiqué du département d’Etat du 9 octobre.
Dans les jours qui ont suivi le débat, Candy Crowley a elle tenté de se dissocier des propos de Barack Obama et de son rôle dans cette affaire :
Juste après, j’ai regardé Mitt Romney et j’ai dit : ‘mais vous avez raison, ça leur a pris plusieurs semaines pour en parler’.
Mais personne ne s’en souvient…"
Depuis, plusieurs éléments sont venus confirmer que le film anti-islam n’avait été qu’un prétexte à l’attaque de l’ambassade de Benghazi, et que celle-ci avait bel et bien était programmée par des militants islamistes, et notamment via les réseaux sociaux comme le montrent les mails révélées hier par Reuters et la Fox.
En effet, ces messages ont été envoyés dès le début des événements par le département d’Etat à différent services de renseignements et agence gouvernementales.
Or, l’un d’entre eux envoyé deux heures après le début de l’attaque est intitulé "Deuxième actualisation : Ansar al Charia revendique la responsabilité de l’attaque de Benghazi".
Et il y est indiqué :
L’ambassade à Tripoli signale que le groupe a revendiqué la responsabilité sur Facebook et Twitter et a lancé un appel à attaquer l’ambassade de Tripoli".
Difficile désormais pour la Maison Blanche de nier avoir été alerté sur l’implication des islamistes dans l’attaque.
D’autant plus qu’un homme, lié à un groupe islamiste violent, a récemment été interpellé en Tunisie pour avoir justement revendiqué l’attaque sur Facebook alors que celle-ci était encor en cours.
"Facebook n’est pas une preuve en soi"
Hillary Clinton a tenté toutefois de minimiser la portée de ces révélations en estimant :
Poster quelque chose sur Facebook n’est pas une preuve en soi.
Je pense que cela illustre seulement à quel point les informations étaient fluctuantes à ce moment-là, et combien elles le sont restées encore quelque temps"
De son côté, le porte-parole de la Maison blanche, Jay Carney, a rappelé qu’Ansar al Charia avait démenti "quelques heures plus tard" toute responsabilité dans l’attaque du consulat de Benghazi.
Selon les derniers éléments fournis par les services de renseignement américains, il semblerait que l’attaque de Benghazi n’ai pas été réellement "préparée" à l’avance.
Les "organisateurs" auraient lancé "l’assaut opportunément après les violences au Caire" qui auraient ainsi servi de prétexte.
L’affaire est en tous cas du pain béni pour le camp républicain.
L’attaque de l’ambassade de Benghazi fait en effet l’objet de trois enquêtes distinctes : une du FBI, une d’un "panel" du département d’Etat et une menée par le Congrès américain.
Jérôme Hourdeaux/Nouvel Obs.com




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 31 octobre 2012 : 02:07

C'est Sandy l' ouragan qui risque de décider du sort de l'élection US

Sandy a déjà bouleversé l'emploi du temps, très serré à 10 jours de l'élection présidentielle du 6 novembre, du candidat républicain Mitt Romney et du vice-président démocrate Joe Biden, qui ont chacun annulé leurs déplacements, prévus respectivement dimanche et samedi, à Virginia Beach en Virginie (est).


[www.lemonde.fr]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 31 octobre 2012 : 11:50


Ouragan Irène: Obama décrète l'état de "catastrophe majeure"
Par AFP, publié le 31/08/2011 à 12:56, mis à jour à 12:56

WASHINGTON - Le président américain Barack Obama a déclaré mercredi l'état de "catastrophe majeure" à New York et en Caroline du Nord, trois jours après le passage de l'ouragan Irène qui a fait au moins 43 morts aux Etats-Unis.

[www.lexpress.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 02:29

OBAMA RAHBAR




[attachment 17538 obama.jpg]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 13:17


Obama-Romney : duel au finish
Claude Porsella le mercredi, 31/10/2012
dans Monde

À l’issue de près d’un an de campagne électorale, les deux candidats se retrouvent à quasi égalité dans les sondages, grâce à une remontée significative de Mitt Romney, Explications:



[www.valeursactuelles.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 21:22

Pourquoi George Bush n'a pas fait campagne pour Romney ?



Au début de la semaine -alors qu'il faisait le tour du pays pour Barack Obama-, l'ancien Président Bill Clinton a remplacé au pied levé le Président pendant que ce dernier revenait à Washington pour superviser l'organisation du pays face à l'ouragan.

Cela semble être le contexte approprié pour se demander pourquoi est-ce que le dernier président républicain, George Bush, n'a pas fait de tournée dans tout le pays pour Mitt Romney?

C'est assez significatif que beaucoup d'Américains considèrent cette question comme absurde.

Clinton a été l'un des intervenants vedettes à la Convention démocrate. Bush n'a même pas été invité à Tampa.

Bush ne fait pas campagne pour Romney parce qu'aussi bien lui que sa politique sont mal vus par la plupart des électeurs américains.

George Bush a été envoyé en Sibérie politique parce que la campagne de Romney fait tout ce qui est humainement possible pour empêcher les électeurs de réaliser que si Romney est élu la semaine prochaine comme président, il a l'intention de revenir exactement aux mêmes politiques ratées de Bush à la Maison Blanche.

Commençons par le sujet qui retient le plus l'attention du pays actuellement : l'ouragan.

Il semble assez juste de dire que la réponse de Bush à l'ouragan Katrina n'a pas été son meilleur moment. Mais l'échec de Bush à répondre vite et efficacement à Katrina ne reflétait pas seulement l'incompétence de son administration. Il reflétait le fait que son administration n'avait pas confiance dans l'action de l'Etat.

Les catastrophes naturelles permettent aux gens de se rappeler pourquoi il est si important d'avoir une société dans laquelle chacun peut se reposer sur autrui. Elles nous rappellent que « gouvernement » est le nom que nous donnons aux choses que nous choisissons de faire ensemble.

Les catastrophes naturelles comme l'ouragan Sandy nous rappellent que la loi de la jungle - le chacun pour soi irresponsable et débridé - n'est pas ce qu'on nous a appris au catéchisme.

Même Chris Christie, le gouverneur très à droite du New Jersey, a critiqué les citoyens de son état qui avaient refusé d'évacuer des zones inondables parce qu'ils mettaient la vie des secouristes en jeu, parce qu'ils avaient une responsabilité les uns envers les autres.

Bush - et sa réponse à Katrina - ont illustré l'échec de la droite à comprendre que la plupart des Américains croient en une société dans laquelle on fait face à ce genre de défi ensemble, pas seul.

Et Mitt Romney partage complètement le point de vue de Bush. En réalité, Romney a même proposé d'éliminer l'Agence fédérale des situations d'urgence (FEMA) et de laisser aux états la responsabilité de répondre aux catastrophes. Il a l'air d'ignorer que quand un malheur frappe, nous sommes d'abord des Américains. Nous nous soutenons mutuellement, que nous soyons du Mississipi ou du New Jersey. Nous le faisons parce que c'est la chose à faire. Nous le faisons aussi parce que si la catastrophe s'est abattue chez nos voisins du New jersey aujourd'hui, c'est peut-être nous qu'elle frappera dans l'Illinois demain.

Mais bien sûr, il y a de nombreuses autres raisons pour lesquelles les républicains n'ont pas demandé à George Bush de faire campagne pour leur duo présidentiel. Deux s'imposent.

Nous avons eu deux grandes expériences économiques en Amérique ces 30 dernières années. L'une a réussi. L'autre a échoué - ce fut une catastrophe d'origine humaine.

La première a été menée par le Président Bill Clinton. Clinton croyait que la croissance économique viendrait des classes moyennes et non des plus aisées. Il avait compris que les entreprises n'investissent pas et n'embauchent pas, à moins qu'il y ait des clients avec de l'argent ; que ce sont elles qui sont « créatrices d'emploi », et pas un groupe de responsables de Hedge funds à Wall Street.

Clinton a proposé un budget fédéral qui éliminerait le déficit principalement en demandant aux Américains les plus riches de payer plus d'impôts - et en investissant dans les infrastructures et l'éducation pour faire croître l'économie. Et Clinton a défendu énergiquement des programmes comme le Medicare quand Newt Gingrich voulait les couper pour faire profiter les riches de réductions d'impôts.

Quand son budget a été débattu au congrès, les républicains ont prédit qu'il mènerait à un chômage massif et à la récession.

Les républicains avaient complètement tort. Clinton a présidé la période la plus prospère de l'histoire de l'humanité - littéralement. Sous sa surveillance, l'économie a connu une croissance solide et a créé 22 millions d'emplois aux Etats-Unis. Clinton a éliminé le déficit fédéral et a laissé à son successeur un énorme surplus budgétaire.

Vient alors George Bush. Il réduit les impôts pour les riches - soutenant que cela boosterait l'emploi et que le déficit se résorberait tout seul. En fait, le vice-président de Bush, Dick Cheney - un homme qui a également été remarquablement absent de la campagne présidentielles de cet automne - a même déclaré de façon célèbre que « les déficits n'ont aucune importance ».

Le résultat : Bush a quitté ses fonctions en ayant présidé la pire croissance d'emploi depuis la Grande Dépression - zéro créations d'emploi dans le secteur privé ; oui, j'ai bien écrit zéro.

Pire, son échec à réguler Wall Street a préparé le terrain pour le plus gros effondrement financier depuis la Grande Dépression, faisant perdre à 8 millions d'Américains leur emploi, éliminant 40 % des pensions de bien des gens, faisant s'écrouler le marché immobilier, et causant la pire crise économique depuis 60 ans.

Cette politique fiscale de Bush a non seulement échoué à faire croître l'économie - mais elle a laissé le gouvernement fédéral enseveli sous une dette plus grande que celles de tous les présidents précédents réunis depuis le début de la république. Et rappelez-vous, le poids de cette dette a rendu la tâche de relancer l'économie encore plus difficile pour le Président Obama lors de sa prise de fonctions en 2009.

Il n'y a alors rien de surprenant à ne pas voir George Bush en tournée, essayant de convaincre les Américains que la politique économique de Mitt Romney va donner une meilleure vie aux classes moyennes. Bien sûr, il pourrait remplacer Romney, il connaît le script : c'est même lui qui l'a écrit.

Après tout, Mitt Romney met en avant exactement la même politique économique dont Bush s'est servie il y a plusieurs années pour ne créer aucun emploi dans le secteur privé, faire s'écrouler l'économie, et creuser le déficit.

Il y a mieux. Vous ne voyez pas George Bush faire campagne pour Romney parce que la plupart des Américains estiment que sa politique étrangère était une autre catastrophe d'origine humaine. Bush nous a mené dans deux guerres - qu'il a d'ailleurs payées en empruntant sur le dos du contribuable - et a aliéné l'Amérique du reste du monde.

Il a intentionnellement menti pour les raisons de la guerre d'Irak, convainquant les Américains que Saddam Hussein avait des armes de destructions massives, alors qu'il n'en possédait aucune. La guerre d'Irak a coûté des milliers de vies américaines, et a laissé des dizaines de milliers de soldats blessés ou invalides. Certains économistes pensent qu'elle a coûté trois mille milliards à l'économie américaine, de l'argent qui aurait pu plutôt être dépensé aux Etats-Unis, dans la construction d'écoles, de routes, et de ponts, et investi dans l'emploi.

Le côté cavalier seul de Bush, sa politique étrangère aussi adroite qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, a éloigné le reste du monde de l'Amérique, épuisé son armée, laissant le pays affaibli. Et les images des humiliations à Abou Ghraib - sa politique de torture, d'emprisonnement exceptionnel et le manque de respect pour la loi - ont facilité le recrutement de nos ennemis.

Bush ne fait pas campagne pour Romney parce que la campagne de Romney n'a aucun intérêt à focaliser l'attention des électeurs sur le fait que ce dernier est entouré des mêmes conseillers en politique étrangère que ceux qui ont présidé à la guerre d'Irak. En plus, Romney et Bush ont le même passif : aucune expérience en matière de politique étrangère avant de se présenter aux présidentielles.

Le fait est que si vous avez apprécié la guerre d'Irak, vous allez adorer la politique étrangère de Romney. Durant les six prochains jours, chaque fois que vous entendrez Bill Clinton faire campagne pour le Président Obama, considérez ça comme un rappel du type que vous ne voyez pas en train de faire campagne pour Mitt Romney.

Le choix est clair. Si vous avez aimé la façon dont se sont passées les choses sous George Bush, votez pour Mitt Romney. Mais si vous voulez une croissance économique qui dure, si vous croyez dans la défense des classes moyennes, si vous ne voulez pas revenir aux politiques de George Bush, alors votez pour la réélection du Président Barack Obama.

Robert Creamer est un conseiller politique chevronné, et auteur du livre : Stand Up Straight : How Progressives Can Win, sur Amazon.com. Il est l'un des partenaires de Democracy Partners et l'un des principaux conseillers de Americans United for Change. Vous pouvez le suivre sur Twitter @rbcreamer.




[www.huffingtonpost.fr]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 23:02

Bla, bla, bla, c'est de la vieille rengaine Bravo. Si vieille que meme les democrates n'utilisent plus ces arguments.

Tellement de choses se sont passees ensuite et je crois qu'il serait bon de s'informer un peu plus.

Au fait, il date de quand cet article ? S'il est recent, alors c'est deplorable tellement c'est maigre en argument et plein de rabachage et puis surtout, cela signifie que les journalistes francais ne font pas grand chose et qu'ils feraient bien de se reveiller un peu. Les evenements sont tellement plus compliques que cela.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 23:10

Très intéressant
Merci Bravo

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 01 novembre 2012 : 23:56

Robert Creamer n'est pas est un conseiller politique chevronné comme indiqué, c'est un strategiste politique démocrate intéressé avec une firme travaillant pour les démocrates.
Quelle valeur donner a ses avis intéressés et écris pour la gauche !
Autant demander a Marine Le Pen un article sur son père, ses valeurs et le publier dans le journal de sa commune!


une idée sur qui est Robert Creamer, en anglais, je ne ferais pas l'effort de traduire, car ses relations avec Arianna Huffington sont connues!

Robert Creamer has been a political organizer and strategist for four decades. He and his firm, Democracy Partners, work with many of the country’s most significant issue campaigns. He was one of the major architects and organizers of the successful campaign to defeat the privatization of Social Security. He has been a consultant to the campaigns to end the war in Iraq, pass universal health care, pass Wall Street reform, change America’s budget priorities and enact comprehensive immigration reform. He has also worked on hundreds of electoral campaigns at the local, state and national level. Creamer is married to Congresswoman Jan Schakowsky from Illinois. Arianna Huffington calls his book, Stand Up Straight: How Progressives Can Win, a master’s class in electoral politics.

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