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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 04 mars 2013 : 13:22

Et le voilà qui montre son vrai caractère de dictateur subversif.Il adresse un ultimatum à Natanyhou,le menaçant de reconnaître la "Palestine" en 2014 dans les limites qu'il decidera seul si pendant son sejour en Israel,il n'obtient pas un plan precis de son evacuation de la Judée Samarie .
Il semble que le mot "negociation" signifie pour lui "injonction",non pas aux deux parties,mais à celle qu'il deteste,Israel,cherchant à intimider Natanyahou.
Comme il le fait aux USA avec ses adversaires politiques,et le relatif echec de cette methode ne le decourage pas.
Rendez-vous donc en 2014.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 16 mars 2013 : 09:15

Les dangers de la presse au service d'un parti politique quelconque comme c'est le cas actuellement en Amerique.

Danger pour la democratie lorsque les failles et les dangers sont dissimules par les medias.

[video.foxnews.com]
(en anglais)






Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 13 mai 2013 : 14:09

!is sont 100 millions d'Amreicains qui sont de son avis,

[www.youtube.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 13 mai 2013 : 19:11

tiens ! un signe de modernisation de l'islam: des terroristes humanistes
ils viennent de faire exploser une voiture piégée devant un hopital à Benghazi en Libye pour que les blessés puissent etre pris en charge rapidement, c'est quand meme un progrés ? non ?

je me suis trompé d'endroit c'etait pour le sujet peut on moderniser l'islam




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 11:06

l'attitude de l'administration US envers les soulèvements populaires du monde musulman semble donner raison à ceux qui sont persuadé de la partialité d'0BAMA.Et à ceux qui sont persuadés de son appartenance à l'Islam.
Partout il a soutenu et encouragé les mouvements contre les dictateurs ,mouvements dont les principaux acteurs etaient les musulmans radicaux des "frères musulmans".Appelant ces dictaeurs à céder le pouvoir rapidement.

Aujourd'hui son silence est assourdissant concernant les revolutions laiques qui veulent en finir avec la dictature islamique.En Iran lors de la revolution reprimée par les pasdarans,en Tunisie,en Egypte et surtout en Turquie où Erdogan n'est même pas critiqué car ses liens etroits avec Obama sont soigneusement occultés.

Et enfin,le nombre de "conseillers" islamiques dans son entourage,dont un a invité à la Maison Blanche le nº 2 de la branche terroriste des frères.

Sans oublier son ent^tement à refuser que le meurtrier de Fort Hood soit jugé comme terroriste !1

Nous le pressentions lors de son pemier mandat,maintenant il montre son vrai visage !!

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2013 : 11:03

le figaro
"Barack Obama a par ailleurs annoncé qu'il allait demander aux agences et ministères concernés d'étudier les "implications" légales de la nouvelle situation pour l'aide que Washington verse annuellement à l'Egypte et qui, en vertu de la loi américaine, ne peut aller vers un pays où un coup d'Etat a eu lieu. L'armée égyptienne qui entretient d'étroites relations avec le Pentagone a encore reçu 1,3 milliard de dollars cette année.

"J'appelle maintenant le pouvoir militaire égyptien à rendre toute l'autorité rapidement et de manière responsable à un gouvernement civil démocratiquement élu selon un processus ouvert et transparent".

Il ne s'était pas autant inquité quand Moubarak,democratiquement élu,etait destitué par le peuple islamique !! Il va tout faire pour affaiblir l'armée ,alors qu'ellem devait servir d'exemple à l'armée turque.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2013 : 18:38

Gilou, je crois que cette fois tu te trompes concernant le coup d'Etat en Egypte et les rapports avec Obama.
"Sissi", chef 'Etat Major egyptien a certainement agi en concertation etroite et avec le soutien total d'Obama et les declarations publiques de ce dernier ne sont rien d'autre que du cinema qu'il se doit de faire car l'Amerique ne peut ouvertement soutenir un coup d'Etat.
D'ailleurs, le chef de l'Armee egyptienne a deja passe le pouvoir a un civil qui lui est president par interim jusqu'a des nouvelles elections.

Je pense qu'il y a un revirement politique d'Obama et cela s'est manifeste lors de la visite surprise d'Obama en Israel et ses declarations etonnantes.
Les Americains surtout ainsi que l'Europe semblent comprendre que la prise de pouvoir par les islamistes dans les pays arabes n'a rien de printanier et ils semblent faire marche arriere face au danger que cela represente pour tous.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2013 : 21:46

les USA ne se sont pas opposé à Morsi lorsqu'il a été nommé president car l'armée les a assuré qu'ils ne le laisseront pas depasser les lignes rouges que sont les accords de camp david et la politique exterieur vis à vis des USA. Il a été renversé pour des causes qu'on a discutées sur ce forum à savoir l'echec total sur le plan economique et l'amelioration du quotidien des egyptiens. Morsi comme Erdogan s'est accaparé le pouvoir et confond son parti avec l'etat.
Une difference avec les islamistes marocains au pouvoir, nous avons une institution, le cabinet royal, qui detient un staff tres competent qui donne les indications à suivre et des fois les impose en coulisse au gouvernement islamiste, pour ne pas tomber dans le meme probleme que l'Egypte.
La Tunisie n'a pas cet equivalent d'institution ça risque de derapper chez eux. D'or et deja un mouvement "TAMARROD" a pris naissance en Tunisie, à suivre.
PS: les egyptiens ont emprunté aux tunisiens le mot "DEGAGE" ces derniers ont repris le mot egyptien "TAMARROD" rebellion




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2013 : 22:04

l'Arabie seoudite ne cache pas sa joie sur le revirement politique en Egypte, le roi Abdallah est le premier à feliciter le nouveau president. Sa chaine alarabiya diffuse la joie des egyptiens à longueur de journée. A aljazeera u Qatar c'est un autre son de cloche c'est un coup d'etat contre la legitimité d'un president democratiquement élu. Les deux sunnites unis contre les chiites d'Iran ne semble unis jusqu'à ce point, la j'avoue que je ne comprends pas leur differend.
Qu'en sera t'il de Gazza ? l'echec des fréres musulmans en Egypte s'il se confirme aux prochaines elections legislatives et presidentielles sera fatal pour le movement islamiste dans tout le monde arabe y compris à Gazza

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 05 juillet 2013 : 08:43

Etrange que l'Arabie Seoudite se rejouisse de la chute de Morsi des Freres Musulmans, des Sunnites tout comme eux. Je pense aussi que le Qatar a majorite sunnite egalement ne peut se rejouir de cette chute.

Quelle hypocrisie de pretendre a des elections democratiques lorsque les Freres Musulmans arrivent au pouvoir. Ils l'obtiennent peut-etre par des voies legales, quoiqu'en utilisant l'ignorance et l'analphabetisme des campagnards auxquelles ils font miroiter des croyances et la promesse d'un monde meilleur mais ensuite, un fois le pouvoir en main, ils se chargent bien rapidement de defaire toutes les bases sur lesquelles reposent le libre choix et la legalite des institutions pour mettre a la place des pantins qui obeiraient au doigt et a l'oeil a la voix du seigneur interpose en la personne d'un Cheikh dogmatique, ignare et illumine preoccupe surtout a utiliser la religion pour regner en guide supreme auto-declare.

C'est bien ce qu'a tente de faire Morsi mais grace a une longue tradition d'education "laique" (avec des guillemets!), son programme est tombe et il est balaye.

Le probleme c'est que dans les pays arabes, il n'y a pas de culture democratique et les mouvements politiques non religieux, senses pretendre au pouvoir, n'existent pas encore ou ne sont pas encore suffisamment influents. C'est bien la raison pour laquelle, seuls les partis extremistes islamistes qui eux sont bien organises, s'interposent immediatement et prennent le pouvoir retire aux dictateurs.
Ce n'est qu'une question de temps, esperons-le, avant que ces mouvements se mettent en place et constituent une alternative reelle a la main-mise immediate des islamistes sur le pouvoir dans les pays arabes.

Ce qu'il nous reste a esperer c'est que l'exemple de l'Algerie n'en soit pas un pour les islamistes egyptiens et que toute cette affaire ne se transforme pas en guerre civile destructrice et meurtriere dans laquelle periraient surtout des civils innocents.

J'ai encore en tete le violent article de Thomas Friedman du New York Time qui vilipendait Israel pour son scepticisme concernant ce qui etait vu comme un "Printemps" arabe. Israel craignait avec raison la montee islamiste au pouvoir, ce qui s'est avere un peu partout dans les pays arabes en revolution.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 05 juillet 2013 : 11:00

Quand les pays cesseront de se definir comme islamiques ,les oppositions politiques pouront s'organiser et se structurer.Car s'opposer politiquement au pouvoir dans ces pays signifie s'opposer à l'Islam.Et comme constitutions st legislations sont issues de la religion,tout opposant devient passible de condamnation à mort.

Les democraties occidentales sont conscientes de l'absurdité de leur système qui les transforme en petaudières ingouvernables,dans lesquelles soit une moitié de la population decide sans ecouter l'autre,soit comme en Israel où la formation la moins importante numeriquement menace en permanence l'equilibre national.

La Suisse a reussi par les referendums populaires à tranferer une partie des responsabilités au peuple directement.

Les autres respectent les tyrannies islamistes car elles font regner par la terreur un ordre social dont ils ne beneficient pas.Nos socialistes français ont un ministre de l'interieur et une de la justice (sic!!!) qui ne sont pas loin de prendre exemple sur Khomeini et Poutine.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 05 juillet 2013 : 22:12

Gilou
Pendant les campagnes électorales les islamistes disent:
Vous rendrez compte à Dieu sur votre vote le jour du jugement dernier car c'est un acte comme tous les actes
Darlett
L'Arabie seoudite à ses propres islamistes les wahhabites
Les sunnites aussi sont divisés
Alarabiya à dit que des armes et des étrangers sont rentrés en Égypte venant de Lybie. C'est la syriasition

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 06 juillet 2013 : 01:02

Derka
ceux qui ont etudié attentivement le monde islamique depuis les premieres années de ses conquêtes savent que les musulmans se sont toujours battus entre eux ,chacun pretendant le faire au nom du mème Dieu.Sauf que chacun restait persuadé que son interpretation du message était la seule valable.Mème en Andalousie decrite par les admirateurs inconditionnels de ce pretendu âge d'or comme ue periode paix ,de prosperité et de progrès,les rois de chaque province etaient en conflit permanent.Je n'ai pas besoin de citer les autres regions de cet empire.Jusqu'au dernier,l'Ottoman qui a en plus opposé turcs et arabes musulmans.

Ce dont nous sommes aujourd'hui les temoins est tout simplement la poursuite de cette guerre fratricide.Mais malheureusement pour des populations prises en otage par ce fanatisme suprémaciste,les armes ne sont plus le sabre et les fléches.Il se pourrait bien qu'un de ces tyrans fanatiques utilise un arsenal chimique ou atomique autrement plus meurtrier.

La responsabilité incomberait plus aux Occidentaux,qui n'ont jamais cessé de leur fournir ces moyens sans commune mesure avec les besoins d'un maintien policier de l'ordre .Le plus etrange est que personne ne se pose la question de savoir par exemple qui a fourni les armes chimiques à Assad,Surtout pas Chirac qui les en avait offert à Saddam et qui lui avait permis de les transferer à Assad père.Et que dire des sovietiques et des Americains !!!




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 juillet 2013 : 15:21

j'ajoute juste une precision à ce que tu as dit Gilou, c'est que les differences entre factions musulmanes ont surtout comme origine les differences politiques, ils peuvent taire les differences d'interpretation mais jamais les differences politiques. La plus grande difference d'interpretation est entre les sunnites et les chiites mais au temps du Shah personne n'en parle. La difference entre sunnites seoudite et qataris est d'ordre politique entre les dirigeants de ces pays. D'aileurs tous les differents courants islamiques ont vu le jour à cause de la lutte pour le pouvoir.
Quand le prophete est mort, seul sa famille avec son gendre Ali l'ont enterré, ses apotres oh combien importants chez les musulmans et promis au paradis par le prophete lui meme etaient occupés de lors de l'enterrement pour lutter à la designation de celui qui ca lui succeder au pouvoir. Le pouvoir avant tout. Ce fut le debut de la dissention sunnite-chiite

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 10:27

L'implication recente americaine en Egypte. Revelations faites par le New York Time americain.

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Egypte: l'entêtement de Morsi et le rôle américain dans le coup d'Etat



Une semaine à peine après le coup d’Etat militaire qui a écarté du pouvoir le président islamiste Mohamed Morsi, on en sait un peu plus sur le fil des événements qui ont conduit l’armée a passer à l’action mercredi soir au Caire. Selon le New York Times, deux éléments clés ont précipité l’histoire : l’incroyable entêtement de Mohamed Morsi et le rôle très important que les Etats-Unis ont joué en coulisses durant les jours qui ont précédé le renversement du président égyptien.


Quelques heures avant son arrestation jeudi 4 juillet à l’aube, le président islamiste élu reçut un ultime coup de téléphone d’un ministre des Affaires étrangères arabe agissant pour le compte des Etats-Unis, soulignent les auteurs d’un article fort bien documenté du New York Times, sans préciser de quel pays il s’agissait, peut-être du Qatar, l’émirat qui ces dernières années joua le rôle d’intermédiaire entre ses alliés Frères musulmans et Washington.

Les Etats-Unis exigeaient de Morsi qu’il accepte un nouveau Premier ministre à la tête d'un nouveau gouvernement doté des pouvoirs législatifs qui désignerait de nouveaux gouverneurs en province. Mais Mohamed Morsi refusa, déclarant au dignitaire arabe qu’il préférait mourir plutôt que d’accepter un coup d’Etat.

Peu après, son conseiller pour les affaires étrangères, Essam el-Haddad, appela l’ambassadrice des Etats-Unis au Caire, Anne W. Patterson, pour lui relayer le niet de Morsi à la proposition américaine, tandis qu’à Washington, Susan Rice, la patronne du Conseil national de sécurité, avait eu également au téléphone l’entourage de Morsi.

« La mère (sous-entendu l’Amérique, ndlr) vient de nous dire qu’elle allait cesser de jouer dans une heure », laissa alors tomber un proche de Morsi. Manière de reconnaître que les Etats-Unis n’allaient plus s’opposer à l’action de l’armée égyptienne qui quelques heures plus tard allait procéder à l’arrestation du premier raïs, démocratiquement élu en Egypte.

Selon le New York Times, « Mors ne crut jamais que l’armée le renverserait, à partir du moment où il respectait les prérogatives des militaires et leur autonomie ». C’est là où il s’est profondément trompé.





Pendant des mois, le président « géra seul » sa relation avec l’armée, sans y associer d’autres responsables islamistes. Ses bonnes relations avec le général conservateur Abdel Fattah al-Sisi, qu’il avait nommé à l’été 2012, le protégeaient, pensait Mohamed Morsi, persuadé que le général Sisi se tiendrait à l’écart de la politique. Mais à partir de l’automne dernier, lorsque le désenchantement anti-Morsi commença à se manifester, le général Sisi signala qu’il n’allait pas forcément se tenir longtemps encore loin du jeu politique.

Et l’un des premiers conflits éclata lorsque le président islamiste s’opposa à l’initiative du général Sisi de réunir – sans le consulter - toutes les factions politiques pour les inclure dans un large gouvernement. « Au lieu de se plier à cette requête, Morsi tenta à plusieurs reprises de dissuader le général de faire des déclarations contre lui », rappellent les journalistes du New York Times sur la foi de témoignages à l'intérieur de la mouvance islamiste.

Jusqu’au dernier moment, le chef de l’Etat est resté persuadé que l’armée ne bougerait pas : il fut en fait le seul parmi la hiérarchie islamiste à penser ainsi.

Pourtant depuis plus de six mois, les Etats-Unis le priaient de conclure un compromis avec l’opposition. C’était le message que le président Barack Obama transmit à son sherpa Essam el-Haddad en le recevant en décembre 2012 dans le bureau ovale de la Maison-blanche. Le président américain alla même jusqu’à proposer de jouer les intermédiaires entre Morsi et certains leaders de l’opposition, tel Mohamed el-Baradeï, l’ancien patron de l’AIEA, ou Amr Moussa, l’ancien chef de la ligue arabe. Mais là encore, Mohamed Morsi répondit par une fin de non-recevoir.

Ce qui est curieux dans le récit que fait le New York Times des événements de ces dix derniers jours, c’est que l’entourage de Morsi semble avoir été plus conscient de la gravité de la situation que le raïs lui-même, enfermé dans sa tour d’ivoire, et convaincu – bien à tort - que les Américains ne le laisseraient pas tomber.

Même après l’avertissement du 21 juin lorsque le général Sisi demanda au chef de l’Etat « d’écouter les exigences du peuple », Morsi ne crut pas un instant qu’un coup d’Etat était en préparation. Et lorsque l’homme fort de l’armée l’appela une nouvelle fois le samedi 29 juin, la veille des premières manifestations, pour le prier d’accepter des concessions - notamment un nouveau gouvernement - il essuya un nouveau refus, Morsi prétextant qu’il devait d’abord en parler avec la direction des Frères musulmans.

D’après le New York Times, l’entourage de Morsi a sous estimé le nombre des manifestants qui descendirent dans la rue le dimanche 30 juin, persuadé que les pro-Morsi étaient plus nombreux que leurs opposants. Ils se sont trompés sur le rapport de forces qui prévalait dans la rue ce dimanche de mobilisation à travers l’Egypte.

Mais le lendemain, lorsque le général Sisi lança un ultimatum de 48 heures à Morsi, son entourage commença à changer d’avis, pensant désormais qu’un coup d’Etat était bel et bien en route.





Le lundi 1er juillet, les conseillers de Morsi eurent plusieurs rencontres avec l’ambassadrice américaine au Caire (photo ci-dessus) et ses conseillers, de même que des conversations téléphoniques avec Susan Rice à Washington. Avec à chaque fois le même message : si vous laissez tombez Morsi, « ce sera un désastre à long terme pour l’Egypte, et la rue arabe ne croira plus en la démocratie ».

Le mardi à 14 heures lorsque les conseillers de Morsi rencontrèrent le général Sisi, ils lui transmirent finalement un accord pour les concessions réclamées. Mais à 18 h, lorsque le chef de l’armée retourna à son bureau de la garde républicaine, l’opposition avait déjà envahi les rues du Caire. Le raïs et son entourage ignoraient que dans le même temps, le général Sisi avait négocié une feuille de route avec Baradeï, des jeunes en pointe de la contestation et des dignitaires religieux. Et quand dans la soirée du mardi 2 juillet, Mohamed Morsi réagit à cette nouvelle par un discours véhément contre ses adversaires qualifiés de « traitres », son compte était déjà réglé. Le général Sisi considéra cette intervention du raïs islamiste comme la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Le lendemain ordre était donné de l’arrêter. Avec l’aval de l’allié américain des militaires égyptiens, déçu que l' autre allié de Washington au Caire, Mohamed Morsi, reste imperméable à toute proposition de sortie de crise par le haut, comme les Etats-Unis avaient pu déjà l’expérimenter du temps des dictateurs régnant sur le Moyen-Orient.

Par Georges Malbrunot

[blog.lefigaro.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 13:07

Darleett
les analyses d Malbrunot n'ont jamais été fondées que sur ses prejugés et ses convictions .D'autres sources affirment que si Morsi ne se sentait pas soutenu par Obama,il aurait consenti à des changements de personnes pour calmer les revendications,sans perdre aucune de ses prerogatives .La menace de supprimer l'aide d'un milliard et demi aux forces armées qui fut suggerée avant l'intervention pour la neutraliser,n'eut aucun effet tout simplement parce qu'elle fut compensée par 5 milliards offerts par les Saoudiens.De plus,Morsi qui comme Erdogan avait commencé le noyautage de l'armée par des officiers islamistes,a sous estimé la rancune des officiers limogés.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 17:32

D'accord avec toi Gilou sur le peu de credit a donner aux articles de Malbrunot mais en ce qui concerne ce qui est dit, il se base sur un article publie sur le New York Time americain et si ce n'etait cette reference, je n'aurais meme pas pris la peine de le lire.

Voici l'article du New York Time que Malbrunot n'a fait que retransmettre

[www.nytimes.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 19:14

Tu sais certainement chère Darlett,que le NYT est le journal qui considère Obama comme un genie politique.Si Malbrunot le cite c'est tout simplement que l'opinion de ce torchon est toujours en faveur d'Obama.
Tu sais aussi que de ses editorialistes,le JUif Friedman,est le plus acharné detraceur de la politique israelienne.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 20:51

Boston : l'ex-maire de New York dénonce le "politiquement correct"


L'ex-maire de New York estime que "les bureaucraties ont été réticentes à identifier les futurs tueurs comme de potentiels terroristes islamiques".

[www.lepoint.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 21:22

Citation:
gilou
Tu sais certainement chère Darlett,que le NYT est le journal qui considère Obama comme un genie politique.Si Malbrunot le cite c'est tout simplement que l'opinion de ce torchon est toujours en faveur d'Obama.
Tu sais aussi que de ses editorialistes,le JUif Friedman,est le plus acharné detraceur de la politique israelienne.

Oui evidemment, le NYT est le journal-maison d'Obama. C'est sur ce journal qu'il fait partir ses fuites ou alors qu'il s'exprime ou defend ses positions par l'entremise des journalistes en service dont Friedman mais concernant le coup d'Etat en Egypte, je ne suis pas sure qu'Obama apprecie la publicite faite autour de l'assistance americaine a l'Armee egyptienne dans le coup d'etat en Egypte et la destitution de Morsi, du moins publiquement. L'hypocrisie toujours des politiciens.

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