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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 13 novembre 2012 : 16:59

Obama président de la première puissance mondiale s'incline devant celui d'un misérable "état" qui n'existe pas Mahmoud Abbas. Qu'en serait il avec la Chine ou la Russie
[m.washingtontimes.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 13 novembre 2012 : 18:03

Citation:
anidavid
Revelation explosive by Paula Broadwell.

Broadwell and Benghazi
A sex scandal raises intriguing new foreign-policy questions.


By JAMES TARANTO


If you're a conspiracy theorist, the timing of David Petraeus's resignation was perfect. He stepped down as CIA director Friday, six days before he was to have testified before the Senate Intelligence Committee on the 9/11 attacks in Benghazi and three days after Barack Obama's re-election, thereby shielding Obama from both pre-election embarrassment and postelection revelations of failure or worse. The proximate cause only adds to the suspicion: What better distraction than a sex scandal?

The trouble with conspiracy theories, and with conspiracies, is that they assume conspirators can control events. As it turns out, Petraeus's resignation has raised new questions about Benghazi. That is thanks to a report by Israel's Arutz Sheva, which found a speech that Paula Broadwell, author of "All In: The Education of General David Petraeus," delivered Oct. 26. Broadwell, who "was allegedly improperly involved with" Petraeus, spoke at her alma mater, the University of Denver.

Here's the pertinent quote from the Broadwell speech:

"The fact that came out today [in a report by Fox News Channel] is that the ground forces there at the CIA annex, which is different from the consulate, were requesting reinforcements.

"They were requesting the--it's called the C-in-C's [Commander in Chief's] In Extremis Force--a group of Delta Force operators, our very, most talented guys we have in the military. They could have come and reinforced the consulate and the CIA annex. Now, I don't know if a lot of you have heard this but the CIA annex had actually taken a couple of Libyan militia members prisoner, and they think that the attack on the consulate was an attempt to get these prisoners back. It's still being vetted.

"The challenging thing for Gen. Petraeus is that in his new position, he's not allowed to communicate with the press. So he's known all of this--they had correspondence with the CIA station chief in Libya, within 24 hours they kind of knew what was happening."

[online.wsj.com]

Interessantes les revelations de Paula Broadwell. Ainsi Obama qui avait pretendu vouloir fermer Guantanamo ne l'a pas fait et lors de son arrivee a la Maison Blanche, Barack Obama avait annonce la suspension des tribunaux d'exception instaures par Bush et dit sa volonte de juger ceux qui doivent l'etre devant des tribunaux federaux.
Or, ce que Paula Broadwell revele c'est que justement, en Libye et dans une annexe de la CIA, etaient detenus, en detention illegale, des prisonniers, libyen, salafistes du moyen-orient, etc...

De plus, Obama, au lieu de s'encombrer d'arrestations et emprisonnement a Guantanamo, les drones americains ont, parait-il, vise et tue 3000 fondamentalistes. Un chiffre jamais atteint par l'administration de Bush, qui fut tellement critiquee. (Lire a ce sujet justement l'article suivant :
[jcdurbant.wordpress.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 13 novembre 2012 : 19:50

CIA, héros de guerre, sexe, rivalité féminine : les ingrédients du scandale à l’américaine


Un militaire respecté, une femme (voire deux) très ambitieuse, les services secrets et une possible atteinte à la sécurité nationale : la relation entre David Petraeus et Paula Broadwell a tous les ingrédients américains de l’affaire d’Etat.

LE CASTING

Un héros de la guerre d’Irak devenu patron des espions.

Général le plus médiatique de l’armée américaine, commandant de la mythique 101e division aéroportée lors de la guerre d’Irak en 2003, David Petraeus est notamment considéré comme l’artisan de la stratégie gagnante dans le pays à partir de 2007. A la tête de la coalition, il avait alors préconisé de renforcer les effectifs ("the surge") tout en impliquant les responsables provinciaux irakiens dans la lutte contre Al-Qaïda.



Dans la même optique, Barack Obama, avec qui les relations étaient parfois tendues, l’avait propulsé en 2010 à la tête des forces internationales en Afghanistan pour combattre les talibans. Sur ce point, son bilan est plus mitigé. En juin 2011, David Petraeus, à qui les observateurs prêtaient des ambitions politiques, a pris la tête de la CIA. Son expérience de la lutte contre Al-Qaïda était en effet perçue comme un atout pour une agence de renseignement essentiellement chargée aujourd’hui de lutter contre le terrorisme.

C’est dire si la relation extraconjugale de David Petraeus avec Paula Broadwell a fait tomber le mythe, surtout dans un pays puritain où les valeurs morales sont autant importantes que la qualité du travail effectué. L’assassinat de l’ambassadeur américain en Libye en septembre dernier avait cependant déjà écorné les dysfonctionnements de la CIA, et donc les erreurs de David Petraeus.

Une femme ambitieuse



Agée de 40 ans, Paula Broadwell, celle par qui le scandale est arrivé, est souvent décrite comme brillante, élégante, sûre d’elle et surtout ambitieuse. En 2006, alors étudiante à Harvard, elle n’avait pas hésité à aborder David Petraeus, venu donner une conférence. En 2008, elle décide d’écrire la biographie du général. Elle le suivra officiellement dans de nombreux déplacements, au point de vivre pendant un an en Afghanistan, où il est alors affecté. Leur liaison aurait commencé après le départ du général de l’armée et au plus tard deux mois après sa prise de poste à la CIA en juin 2011. Elle se serait terminée il y a quatre mois.

Une seconde femme



Agée de 37 ans, Jill Kelley, agent de liaison sociale" avec une base aérienne en Floride, connaissait David Petraeus depuis longtemps. Les dates de leur liaison ne sont pas encore établies avec certitude.

LE SCENARIO

Une bataille de femmes

Paula Broadwell et Jill Kelley étaient "en concurrence" pour David Petraeus. C’est du moins ce que laisse penser des e-mails anonymes envoyés par la première à la seconde : "Je sais ce que tu as fait, va-t-en, éloigne-toi de mon mec", aurait notamment écrit Paula Broadwell, selon le New York Post.

Une découverte fortuite

La "love affair" entre le général et Paula Broadwell a été découverte par hasard après que Jill Kelley, s’estimant menacée par les e-mails de sa concurrente anonyme, a demandé à un agent du FBI, ami personnel, d’enquêter et d’être protégée. Petit à petit, malgré l’anonymat de ces courriels, l’enquête est remontée jusqu’à David Petraeus. Selon des responsables policiers cités par le Washington Post, il aurait été interrogé par la police fédérale "il y a deux semaines" pour savoir s’il était au courant de l’attitude de Paula Broadwell et si la sécurité nationale, étant donné sa fonction, aurait pu être remise en question par leur liaison.

DES IMPLICATIONS POLITIQUES

Une atteinte à la sécurité nationale ?

David Petraeus a-t-il donc pu faire des "confidences sur l’oreiller" ou bien se faire subtiliser des documents par Paula Broadwell (la remarque est la même pour son autre maîtresse) ? Celle-ci aurait-t-elle pu être manipulée par un service étranger ? Officiellement, la réponse est non, selon la présidente de la commission du renseignement du Sénat américain, la démocrate Dianne Feinstein.

Une chronologie qui pose question

Le "timing" de la révélation de l’affaire avec l’élection présidentielle, soulève des interrogations. Le FBI a commencé à enquêter sur les e-mails pendant l’été avant de remonter assez vite à Petraeus. Mais, étant donné l’aspect sensible du dossier, ses responsables, ainsi que ceux du ministère de la Justice, prévenus à la "fin de l’été" selon le New York Times, n’en ont informé personne -pas même la commission du renseignement du Sénat- jusqu’à la semaine dernière. L’administration a-t-elle alors attendu de révéler l’affaire après la bataille entre Barack Obama et Mitt Romney ? Juste avant le scrutin, un scandale impliquant de fait la sécurité nationale aurait en effet pu faire mauvais effet pour le président sortant.

Le New York Times explique en fait que le FBI n’aurait "bouclé" le dossier concluant à la non-implication du général qu’à 17h le mardi 6 novembre, le jour de l’élection ! Mais, entre-temps, l’agent du FBI qui a débuté l’enquête avait prévenu Eric Cantor, le leader des républicains à la Chambre des représentants. Celui-ci a alors appelé le patron du FBI le 31 octobre. Ce coup de fil est-il à l’origine de l’accélération de la révélation de l’affaire ?


LA THEORIE DU COMPLOT


Une audition menacée

David Petraeus devait être entendu jeudi par la commission du renseignement du Sénat sur la mort de l’ambassadeur américain en Libye, tué le 11 septembre dernier lors de l’attaque du consulat de Benghazi. L’enquête a pour l’instant montré les dysfonctionnements de la CIA mais aussi ceux de l’administration Obama. Sa démission pourrait lui éviter d’être interrogé puisque c’est son remplaçant par intérim, Mike Morrell, qui doit se présenter devant les parlementaires.

D’où le lien rapidement établi par les "conspirationnistes" entre Benghazi et le scandale sexuel. Pour désamorcer la polémique, Dianne Feinstein indique cependant que malgré sa démission, David Petraeus pourrait devoir se déplacer. Son audition est réclamée par le parti républicain.

par Fabrice Aubert - TF1 NEWS



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La cause de la démission du chef de la CIA peine à convaincre


Officier brillant et jouissant d’une grande popularité aux Etats-Unis pour son action en Irak, le général David Petraeus annonçait, le 9 novembre, sa démission de la CIA, qu’il dirigeait depuis un peu plus d’un an, en raison d’une liaison extra-conjugale.

Mais est-ce là la vraie cause de ce départ dont l’annonce est venue trois jours après la réélection de Barack Obama à la Maison Blanche alors que le général Petraeus aurait été sollicité par Mitt Romney, le candidat républicain vaincu, pour éventuellement devenir son vice-président ?

Membre de la majorité démocrate au Sénat et présidente de la Commission du renseignement, Dianne Feinstein a estimé, au lendemain de l’annonce du général Petraeus, qu’une “erreur n’aurait pas dû avoir mené à son départ.” Et même d’ajouter : “J’aurais préféré que le Président Obama refuse sa démission. Je voulais qu’il continue. Il était bon, il aimait son travail et a une maîtrise des questions de renseignement sans équivalent.”

En tout cas, l’histoire qui est à la base de cette affaire tient du vaudeville. Tout a commencé quand une certaine Paula Broadwell, la maîtresse du général Petraeus, qui est aussi sa biographe, a envoyé des courriels incendiaires à une autre femme, une employée de la base aérienne de Tampa en Floride, qu’elle voyait comme une rivale potentielle. Cette dernière est entré en relation avec le FBI pour faire cesser ce harcèlement.

C’est en analysant les courriels envoyés par Paula Broadwell que les agents fédéraux ont été mis au courant de la liaison qu’elle entretrenait avec la général Petraeus. Et comme elle semblait avoir accès au compte Gmail de ce dernier, ils se sont inquiétés d’une possible atteinte à la sécurité nationale. Finalement, l’enquête, commencée au printemps dernier, a conclu à l’absence de danger de ce côté là.

Cependant, plusieurs questions restent en suspens. Pourquoi le général Petraeus a cru bon de devoir démissionner en novembre alors que sa relation avec Paula Broadwell – qui a pris fin cet été – était manifestement connu étant donné qu’elle faisait même jaser à Washington, y compris entre les murs de la CIA ?

Autre interrogation : comment se fait-il que le président Obama n’ait pas été tenu au courant d’une enquête fédérale concernant le chef de la pricipale agence de renseignement du pays ? Le directeur du FBI, Robert Mueller, aurait-il perdu le numéro de téléphone de la Maison Blanche ? Or, pour lancer ses investigations, le Bureau a obligatoirement dû obtenir le feu vert du procureur général, Eric Holder, lequel dirige le département de la Justice…

Cela dit, la commission du renseignement, au Sénat, n’a pas été informée non plus, alors qu’elle aurait dû l’être. Sa présidente a annoncé l’ouverture d’une enquête pour en déterminer les raisons.

Quoi qu’il en soit, la démission du général Petraeus a été acceptée alors qu’il devait être auditionné au Congrès au sujet de l’affaire de l’attaque du consulat américain de Benghazi, le 11 septembre dernier. L’ambassadeur des Etats-Unis en Libye y avait perdu la vie, de même que trois de ses compatriotes. Du coup, l’administration Obama a indiqué qu’il n’est plus question de faire témoigner le désormais ancien patron de la CIA.

Or, depuis le début, la Maison Blanche, et plus généralement les responsables américains en exercice, ont donné des versions contradictoires de cette affaire. Après avoir nié le caractère terroriste de l’attaque, ils ont été finalement amenés à le reconnaître. Cela n’a pas eu d’incidences sur la réélection de Barack Obama. Mais tout de même, des zones d’ombres subsistent et il est difficile de faire la part du vrai et du faux dans les déclarations des uns et des autres.

Et l’audition du général Petraeus par la commission du Sénat aurait permis d’éclaircir le rôle de la CIA dans cette affaire, laquelle disposait d’une annexe à seulement quelques du consulat attaqué. La Centrale de Langley s’est récemment défendue des accusations de passivité portée contre elle. Et il est probable que son ancien patron ait eu à donner une version des faits différente de celle fournie par la Maison Blanche…


[www.jforum.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 15 novembre 2012 : 00:12

GAZA.


Mahmoud Abbas, dont l'Autorité palestinienne gouverne la Cisjordanie mais pas Gaza, contrôlé depuis 2007 par le Hamas, "a appelé mercredi soir le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi à convoquer une réunion d'urgence pour discuter de la dangereuse escalade israélienne et de l'agression brutale dans la bande de Gaza", selon l'agence officielle palestinienne WAFA.

L'Egypte, via son ministre égyptien, "condamne (elle) les raids aériens qu'Israël est en train de mener contre la bande de Gaza" et exige "leur arrêt immédiat".

De leur côté, les Etats-Unis n'ont pas tardé à réagir officiellement. "Nous sommes au courant, nous surveillons la situation de près", a affirmé un porte-parole du Pentagone. "Nous sommes solidaires de notre partenaire israélien dans son droit de se défendre contre le terrorisme", a-t-il ajouté.

Enfin, le ministère britannique des Affaires étrangères a appelé "toutes les parties à la retenue pour éviter une dangereuse escalade".





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 17 novembre 2012 : 15:34

November 17,

Along Comes Hamas.

Nous constatons deja les resultats du 6 Novembre.

We’re already seeing the wages of November 6.

By Andrew C. McCarthy


[www.nationalreview.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: sarah bavs (IP enregistrè)
Date: 18 novembre 2012 : 12:47

Citation:
lionel

Il me semble qu'il y a encore aux Etats-Unis des Américains d'origine anglo-saxonne, allemande, européenne en général et non uniquement des noirs et des latinos, donc ces gens-là ont également voté et ils étaient nombreux dans les meetings d'Obama, même si, je te le concède, les noirs y étaient aussi plus nombreux que dans ceux de son challenger ..
Quant à dire qu'aux USA, c'est un avantage d'être coloré, je crois que tu vas un peu vite en besogne même s'il y a eu une évolution positive pour les noirs depuis Martin Luther King. Il est vrai qu'il y a pas mal de noirs parmi les délinquants mais il y a aussi pas mal de condamnations à mort et d'exécutions d'innocents à la suite de procès baclés pour le seul fait que l'accusé est noir. Alors, dire que c'est un avantage d'être coloré aux Etats-Unis me paraît pour le moins un peu abusif.
Par ailleurs, tu dis que les idées admises en famille ont un impact solide sur les enfants et je te réponds que oui, mais pas toujours et ça n'est pas un argument suffisant pour faire automatiquement d'Obama un communiste.....
Tu requiers à charge contre Obama, Ariella et c'est ton droit et je le respecte...dans le fond, j'ai moi-même requis à charge à l'époque contre son prédecesseur qui était tout sauf une "lumière", donc nous sommes quitte......
Autre chose m'intrigue : comment se fait-il que 70% des Juifs ont voté pour Obama ?

Mon cher Lionel, les Juifs américains votent Démocrate parce qu'ils ont une vision simpliste de la tsedaka (aider les autres, justice sociale, etc.). C'est d'autant plus absurde que le niveau le plus élevé de la tsedaka selon le rambam, c'est l'approche des Républicains !

Sinon, je suis consternée que tu continues à dire que les gens qui sont contre Obama sont racistes. Trop facile ! N%#

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 18 novembre 2012 : 13:52

Citation:
sarah bavs
Citation:
lionel

Il me semble qu'il y a encore aux Etats-Unis des Américains d'origine anglo-saxonne, allemande, européenne en général et non uniquement des noirs et des latinos, donc ces gens-là ont également voté et ils étaient nombreux dans les meetings d'Obama, même si, je te le concède, les noirs y étaient aussi plus nombreux que dans ceux de son challenger ..
Quant à dire qu'aux USA, c'est un avantage d'être coloré, je crois que tu vas un peu vite en besogne même s'il y a eu une évolution positive pour les noirs depuis Martin Luther King. Il est vrai qu'il y a pas mal de noirs parmi les délinquants mais il y a aussi pas mal de condamnations à mort et d'exécutions d'innocents à la suite de procès baclés pour le seul fait que l'accusé est noir. Alors, dire que c'est un avantage d'être coloré aux Etats-Unis me paraît pour le moins un peu abusif.
Par ailleurs, tu dis que les idées admises en famille ont un impact solide sur les enfants et je te réponds que oui, mais pas toujours et ça n'est pas un argument suffisant pour faire automatiquement d'Obama un communiste.....
Tu requiers à charge contre Obama, Ariella et c'est ton droit et je le respecte...dans le fond, j'ai moi-même requis à charge à l'époque contre son prédecesseur qui était tout sauf une "lumière", donc nous sommes quitte......
Autre chose m'intrigue : comment se fait-il que 70% des Juifs ont voté pour Obama ?

Mon cher Lionel, les Juifs américains votent Démocrate parce qu'ils ont une vision simpliste de la tsedaka (aider les autres, justice sociale, etc.). C'est d'autant plus absurde que le niveau le plus élevé de la tsedaka selon le rambam, c'est l'approche des Républicains !

Sinon, je suis consternée que tu continues à dire que les gens qui sont contre Obama sont racistes. Trop facile ! N%#

Bein voyons : Aurais tu la gentillesse de nous expliquer ce en quoi les Juifs américains ont une vision simpliste de la tsedaka, seraient ils par hasard de grands "enfants", comme les autres ?

Quand au reflex anti colorés,,, si ce n'est pas le cas de tous, c'est le cas de pas mal de gens, qui sont affectés par ce mal raciste, mais qui ne veulent surtout pas que cela soit dit.





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 21 novembre 2012 : 15:27

Clinton: l'engagement américain pour la sécurité d'Israël est "inébranlable"


La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a affirmé à Jérusalem aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu que l'engagement des Etats-Unis pour la sécurité d'Israël était "inébranlable".

Hillary Clinton, arrivée mardi soir en Israël, a également plaidé pour une "désescalade" du conflit qui sévit depuis une semaine à Gaza, mais n'a pas fait référence aux négociations en cours pour obtenir une trêve entre l'armée israélienne et des groupes armés palestiniens.

"L'engagement américain pour la sécurité d'Israël est fort comme un roc et inébranlable. C'est pourquoi je pense qu'il est essentiel d'(obtenir) une désescalade de la situation à Gaza", a affirmé Hillary Clinton durant une brève conférence de presse.

"Dans les jours à venir, les Etats-Unis travailleront avec leurs partenaires ici en Israël et ailleurs dans la région pour promouvoir la sécurité d'Israël, améliorer les conditions de vie de la population à Gaza et aller de l'avant vers une paix globale pour tous les peuples de la région", a ajouté la chef de la diplomatie américaine, dépêchée en urgence en Israël depuis le Cambodge où elle participait à un sommet asiatique avec le président américain Barack Obama.

Elle a exigé que "les tirs de roquettes des organisations terroristes depuis Gaza contre les villes cesse(nt) et (que) le calme (soit) rétabli".

Hillary Clinton a également plaidé pour "promouvoir la stabilité régionale ainsi que la sécurité et les aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens".

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 21 novembre 2012 : 21:59

Après la France, les États-Unis condamnent à leur tour "une attaque terroriste" après l'explosion dans un bus à Tel-Aviv qui a fait au moins 10 blessés, dont trois graves, a indiqué mercredi la Maison Blanche dans un communiqué.

Washington apportera son "aide si besoin pour identifier et porter devant la justice les auteurs de l'attaque", ajoute le communiqué, qui réaffirme "l'engagement inébranlable (des États-Unis) dans la sécurité d'Israël, ainsi que son amitié et sa solidarité profondes avec le peuple israélien".

En début d'après-midi, la Russie a elle aussi condamné "l'attentat terroriste criminel". "Nous renouvelons nos appels aux deux parties à mettre fin immédiatement à la confrontation armée", a ajouté le ministère des Affaires étrangères

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 29 novembre 2012 : 21:41

Palestine à l'ONU: Obama défavorable




Le président américain Barack Obama a exprimé aujourd'hui au dirigeant palestinien Mahmoud Abbas son opposition à la demande d'élévation de la Palestine au statut d'Etat non membre à l'ONU, a annoncé le porte-parole de M. Abbas, Nabil Abou Roudeina. "Il y a eu une longue conversation téléphonique entre le président Mahmoud Abbas et Barack Obama", a déclaré à l'AFP M. Abou Roudeina, précisant que le président américain avait "exprimé l'opposition des Etats-Unis à la décision d'aller à l'Assemblée générale des Nations unies".

"Le président Abbas a expliqué, lors de cette conversation, les raisons et les motivations de la décision palestinienne d'aller à l'ONU pour obtenir le statut d'Etat non membre, dont la poursuite de la colonisation et des agressions israéliennes contre les citoyens et leurs biens", a-t-il ajouté. "Le président Obama, pour sa part, a exprimé l'opposition des Etats-Unis à la décision d'aller à l'Assemblée générale des Nations unies", a précisé le porte-parole.

Mahmoud Abbas a confirmé aujourd'hui que la demande à l'Assemblée générale de l'ONU, où la majorité simple requise lui semble acquise, serait déposée en novembre, coupant court aux spéculations sur un report sous des pressions en particulier américaines. "Nous allons à l'ONU en novembre 2012, pas en 2013 ni en 2014", a déclaré M. Abbas dans un discours à Ramallah à l'occasion du huitième anniversaire de la mort du dirigeant historique palestinien Yasser Arafat.

Le président palestinien avait officialisé le 27 septembre son projet de faire voter par l'Assemblée générale l'élévation de la Palestine au rang d'Etat non membre de l'ONU. Israël et les Etats-Unis s'opposent à ce projet, affirmant qu'un Etat palestinien ne peut résulter que de négociations de paix, abandonnées depuis plus de deux ans.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 29 novembre 2012 : 21:48

Palestine à l'ONU : Que voteront l'Europe et les grandes puissances ?
Le Monde.fr | 29.11.2012 à 12h00 • Mis à jour le 29.11.2012 à 15h38
Par Hélène Sallon

Soixante-cinq ans jour pour jour après l'adoption par l'Assemblée générale de l'ONU, en 1947, du plan de partage de la Palestine qui prévoyait l'établissement d'un État juif et d'un État arabe, le président palestinien Mahmoud Abbas va faire voter, jeudi 29 novembre, par l'Assemblée générale, une résolution faisant de la Palestine un Etat observateur à l'ONU. Si le suffrage favorable d'une majorité des 193 membres de l'Assemblée générale est acquis, l'enjeu portera sur le vote des pays européens et des cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne). Tour d'horizon des intentions de vote.


[www.lemonde.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 30 novembre 2012 : 12:49

La nouvelle stature internationale donne aux Palestiniens accès à des agences de l'ONU et à des traités internationaux.




Mais elle expose l'Autorité palestinienne à des représailles financières américaines et israéliennes.
Un nouveau statut qui ouvre la voie... à des sanctions
La Palestine est devenue jeudi un Etat observateur aux Nations unies, lors d'un vote historique à l'Assemblée générale de l'ONU. Le vote de cette résolution, qui fait de "l'entité" palestinienne un "Etat observateur non membre" de l'ONU, a été acquis à une majorité confortable mais pas écrasante de 138 voix pour, 9 contre dont les Etats-Unis et Israël et 41 abstentions parmi les 193 pays membres. Cette nouvelle stature internationale donne aux Palestiniens accès à des agences de l'ONU et à des traités internationaux et constitue une victoire diplomatique majeure. Mais elle expose l'Autorité palestinienne à des représailles financières américaines et israéliennes.

Joie à Ramallah, jour "historique" pour Abbas
A Ramallah (Cisjordanie), siège de l'Autorité palestinienne, plusieurs milliers de Palestiniens ont accueilli ce vote par des acclamations, des tirs en l'air et des scènes de liesse populaire.

Scène de liesse... à l'ONU
Dans l'hémicycle même de l'Assemblée générale à New York, les délégués palestiniens se sont congratulés et ont brandi brièvement un drapeau palestinien. Mahmoud Abbas, très applaudi à son arrivée à la tribune, a estimé qu'il s'agissait de la "dernière chance de sauver la solution à deux Etats" (Israël et un Etat palestinien). Il a promis de "tenter de ranimer les négociations" de paix avec Israël, au point mort depuis plus de deux ans, sans toutefois prendre d'engagements précis. "Le temps presse, la patience s'épuise et l'espoir s'amenuise", a-t-il averti. Evoquant les "droits nationaux inaliénables" des Palestiniens, il a affirmé que ceux-ci "n'accepteront rien de moins qu'un Etat de Palestine indépendant avec Jerusalem-est comme capitale, sur tout le territoire palestinien occupé en 1967, vivant en paix et en sécurité aux cotés de l'Etat d'Israël". Il a fait plusieurs références à "l'agression israélienne" à Gaza, une semaine après un cessez-le-feu entre le Hamas qui contrôle ce territoire et Israël. Lors d'une réception à l'issue du vote, M. Abbas a qualifié la journée d'"historique", tout ne prévenant que "la route était longue et difficile" jusque l'indépendance.


Scène de liesse en Palestine, nouvel Etat observateur à l'ONU Vidéo LCIWAT sélectionnée dans Actualité

Le Hamas salue une "nouvelle victoire"
Le mouvement islamiste palestinien Hamas s'est lui aussi félicité de cette "nouvelle victoire sur le chemin de la libération de la Palestine". "Le Hamas la considère comme un succès unitaire qui suscite la joie au sein de notre peuple", a déclaré Ahmed Youssef, un dirigeant du mouvement dans la bande de Gaza.

Israël "agira en conséquence"
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pour sa part dénoncé un discours "diffamatoire et venimeux". Selon lui, "la décision de l'ONU ne changera rien sur le terrain. Il n'y aura pas d'Etat palestinien sans arrangements garantissant la sécurité des citoyens d'Israël". "En présentant leur demande à l'ONU, les Palestiniens ont violé leurs accords avec Israël, et Israël agira en conséquence", a-t-il dit. Parmi les mesures de rétorsion possibles, Israël pourrait bloquer les taxes qu'il perçoit pour le compte de l'Autorité palestinienne ou réduire le nombre de permis de travail pour les Palestiniens. Le Congrès américain pourrait de son côté refuser de verser 200 millions de dollars d'aide promis aux Palestiniens. En compensation, la Ligue arabe a promis aux Palestiniens un "filet de sécurité" de 100 millions de dollars par mois. Israéliens et Américains, qui ont voté contre la résolution, s'inquiètent de la possibilité qu'elle donnerait aux Palestiniens de poursuivre Israël devant la Cour pénale internationale, qui ne traite qu'avec les Etats. Des responsables palestiniens ont évoqué cette hypothèse mais M. Abbas n'y a pas fait allusion. Il a promis dans son discours "d'agir de manière responsable et positive dans les prochaines étapes". Cette résolution "met davantage d'obstacles sur le chemin de la paix", a estimé Hillary Clinton, la chef de la diplomatie américaine. Elle a réaffirmé que la création d'un Etat palestinien ne pouvait résulter que de négociations directes avec Israël.

La France a voté pour
La Grande-Bretagne, qui s'est abstenue, a appelé à rouvrir les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens. "Nous respectons la démarche du président Abbas et le résultat du vote", a déclaré le ministre des Affaires étrangères William Hague. La France a voté en faveur de la résolution, "un choix cohérent avec l'objectif de deux Etats vivant en paix et en sécurité, affirmé dès 1947", selon le président François Hollande. Lui aussi a appelé à une reprise des négociations de paix "sans conditions et le plus rapidement possible. Le dialogue direct est en effet la seule voie pour trouver une issue définitive à ce conflit. La France est prête à y contribuer, en amie à la fois d'Israël et de la Palestine", a-t-il ajouté. Le Vatican a quant à lui "salué" le vote de l'ONU mais a jugé que ce n'était "pas une solution suffisante aux problèmes de la région".

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 01 dcembre 2012 : 15:00

Beautifull America ou le capitalisme confiscatoire.

740 Park Avenue : Le film du jour.


[videos.arte.tv]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 dcembre 2012 : 18:30

Barack Obama est elu par le 'TIME' magazine "Homme de l'annee".

Pourquoi ? Qu'a-t-il fait de particulier cette annee sauf d'etre reelu grace aux millions distribues comme "food stamps" et les nombreux assistes ?




D'autre part sur l'affaire Benghazi, celle qui a coute la vie a quatre diplomates americains dont l'ambassadeur Chris Stevens et qui avait souleve un tas de questions quelques semaines avant les elections (soigneusement etouffees par la quasi-totalite de la presse americaine et internationale) revient sur scene a present avec ce titre :

Etats-Unis: le congrès américain examine le rapport sur l’attaque de Benghazi





Curieusement, il faut bien l'avouer, ce rapport commande par Hillary Clinton (malade justement cette semaine et donc dans l'incapacite de temoigner...confused smiley) :

- dénonce des failles importantes du département d'Etat en matière de sécurité. Des failles structurelles, c'est-à-dire, des faiblesses dans la chaîne de commandement, une mauvaise coordination entre les différents responsables, et une véritable confusion à Washington et à Benghazi sur la répartition des responsabilités. Le Bureau des affaires proche-orientales, ainsi que le bureau de la sécurité diplomatique sont pointés du doigt.

et cerise sur le gateau :

Ce document ne met en cause aucun fonctionnaire en particulier.

Avec cela, allez me dire que les politiciens ne sont pas corrompus et que les gouvernements dits "democratiques" fonctionnent comme ils le pretendent et comme ils devraient.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 20 dcembre 2012 : 01:49

fais gaffe, Barack....ça fait un moment que Darlett rêve de te faire la peau ! et quand elles s'y mettent, les femmes sont redoutables.....*)(#(*

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 20 dcembre 2012 : 02:38

Alors la, tu n'as pas tort. Je deteste les faux-jetons et en plus les hommes de paille fabriques par des medias influents et redoutables.

Puis, il faut etre naif ou aveugle pour ne pas saisir combien l'affaire Benghazi est revelatrice de la manipulation et de la force abusive des politiciens qui reussissent tellement a endormir ceux qui le veulent bien.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: sarah bavs (IP enregistrè)
Date: 22 dcembre 2012 : 04:30

L'affaire Benghazi ? C'est réglé ! Hillary a été remplacée.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 22 dcembre 2012 : 17:22

Je comprends un peu maintenant pourquoi les débats politiques sont stériles
C'est génétique chacun ses gènes
[www.slate.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 23 dcembre 2012 : 00:46

Bien d'accord avec toi Derka, les debats politiques sont totalement steriles car chacun campe sur ses positions et tous les arguments du monde, les plus rationnels, les plus documentes, ne servent a trois fois rien.
Saufs quelques individus, leaders, ou opportunistes, le revirement politique est tres rare et de pere en fils, les opinions et rangements derriere une ideologie ou un parti quelconque, se transmettent obeissant ainsi a des lois qui frolent l'irrationnel, la subjectivite.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 25 janvier 2013 : 19:23

Obama dans son discours d'investiture a cite Neville Chamberlain en 1938, apres sa rencontre avec Adolf Hitler, en une phrase par laquelle il promettait « la paix pour notre temps ». Barack Obama n’a pas promis « la paix pour notre temps » : il a dit qu’elle était déjà la, puisqu’il a « mis fin » aux guerres dans lesquelles les Etats-Unis etaient impliquees, et puisque, grace à l’exécution de Ben Laden, la lutte contre al Qaida a pris fin.

Ni plus ni moins ! Si ce n'etait pas autant pathetique, cela ferait bien rire.

A present, le meme Obama qui a refuse d'aider Hollande au Mali alors que l'avancee islamiste se precisait et que les hommes d'Al Qaida s'appretaient et s'apprete toujours a transformer le Mali en une nouvelle base islamiste semblable a celle de l'Afghanistan, fournit les Freres Musulmans de Morsi en avions de combat F16.
Pourquoi faire ? Et en quoi Morsi a t-il besoin d'avions de combat aujourd'hui alors que des millions d' Egyptiens crevent la faim ?

Et n'oublions pas que c'est ce meme Obama qui a precipite la chute de Moubarak ("Il doit partir maintenant !"), ce qu'il s'est abstenu de dire lorsque le regime iranien etait bouscule.
Obama qui a aide a faire basculer Kadhafi et qui aujourd'hui approvisionne en armes les "rebelles" syriens qui ne sont autres que des fideles islamistes d'Al Qaida.

Le meme Obama qui pour fortifier sa nouvelle politique a choisi pour ministre de la defense un sympathisant de la cause islamiste qui s'est constamment oppose a des mesures de boycott prises contre l'Iran.

A quoi joue Obama et comment expliquer sa politique ????

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