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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 novembre 2012 : 00:01

Citation:
Si vous avez aimé la façon dont se sont passées les choses sous George Bush, votez pour Mitt Romney. Mais si vous voulez une croissance économique qui dure, si vous croyez dans la défense des classes moyennes, si vous ne voulez pas revenir aux politiques de George Bush, alors votez pour la réélection du Président Barack Obama

c'est plutôt le contraire qui est vrai, en votant pour Mitt ce n'est pas du Bush mais pour le changement mais voter pour Obama c'est voter pour du deja vu (en pire).

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 02 novembre 2012 : 18:43

En opposition a l'article mentionne ci-dessus, voici des faits et des chiffres incontestables. Il s'agit de l'article de Kenneth Weinstein, président de l'Hudson Institute (Washington, DC)de poste hier sur Lemonde.fr

[www.lemonde.fr]


"Mitt Romney, un futur président 'normal'"

Mitt Romney a compris qu'après douze années de pratique présidentielle dominée par des soucis idéologiques, le public se fatigue et attend une politique plus pragmatique et une meilleure coopération des partis à Washington. Ainsi, la candidature de Mitt Romney, dirigée contre Barack Obama, s'oppose aussi, mais avec subtilité, à George W. Bush.

A l'égard de Barack Obama, la critique est claire : la vision économique de l'actuel président est étatiste et régulatrice, donc incapable d'amorcer la croissance nécessaire pour endiguer le chômage. Pour Mitt Romney, la crise ne peut être résolue qu'à partir du secteur privé, notamment des PME. Le bilan de l'administration Obama est calamiteux : 23 millions d'Américains au chômage total ou partiel, et une augmentation inouïe de la dette nationale - passée de 5 à 16,2 trillions de dollars entre 2009 et 2012. En outre, en privilégiant la redistribution par rapport à la croissance, le président a rendu impossible toute coopération avec les républicains.

Face à Barack Obama, Mitt Romney affiche son expérience du secteur privé. Comme des dizaines de millions d'entrepreneurs à travers le pays, il est conscient des effets néfastes des impôts et de la régulation sur la croissance et l'investissement.

Plutôt qu'un idéologue, Mitt Romney s'est imposé comme un dirigeant se basant sur les faits et le bon sens, et non sur de vagues intuitions. À Bain Capital (fonds d'investissement où Mitt Romney travaillait avant de se lancer en politique), il a aidé à la création de grandes marques nationales. Appelé à la rescousse à Salt Lake City en 2002, Romney devait redresser une gestion déficitaire et corrompue, rétablir la réputation des Jeux olympiques, et finalement clore son budget avec un excédent de 100 millions de dollars.

Ses talents de négociateur lui seront également précieux au cours de sa carrière politique. Gouverneur républicain d'un Etat démocrate, le Massachusetts, Mitt Romney apprend à transcender les lignes partisanes pour travailler avec les leaders démocrates et faire aboutir d'importantes réformes dans les domaines de la santé et de l'éducation. Contrairement au président, Mitt Romney a une vraie qualité d'écoute et sait travailler avec des adversaires pour atteindre un objectif commun.

Quant à sa critique de George W. Bush, elle doit se lire entre les lignes. Sa vision de la politique étrangère est plus modérée. Si les deux hommes sont convaincus de l'existence d'un "exceptionnalisme américain" -- ce qui a conduit Mitt Romney à critiquer la politique du "leading from behind" (diriger de l'arrière) -, le candidat républicain n'a pas hésité à se montrer plus proche des positions de Barack Obama, notamment sur l'Afghanistan.

En s'opposant aux deux hommes, Mitt Romney se présente comme un pragmatique conscient de ses propres limites : un homme capable de relancer l'économie, de maîtriser les dossiers et de coopérer avec un Parlement démocrate. Le pays, semble-t-il, souhaite cette fois une présidence normale. Mitt Romney, le politique et le businessman, expérimenté et pragmatique, est bien l'homme capable de l'assurer.





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 02 novembre 2012 : 19:49

le meilleur service que G.W.Bush peut rendre à Romney c'est de faire campagne pour Obama

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 02 novembre 2012 : 21:16

Citation:
darlett
Bla, bla, bla, c'est de la vieille rengaine Bravo. Si vieille que meme les democrates n'utilisent plus ces arguments.
Tellement de choses se sont passees ensuite et je crois qu'il serait bon de s'informer un peu plus.

Au fait, il date de quand cet article ? S'il est recent, alors c'est deplorable tellement c'est maigre en argument et plein de rabachage et puis surtout, cela signifie que les journalistes francais ne font pas grand chose et qu'ils feraient bien de se reveiller un peu. Les evenements sont tellement plus compliques que cela.


Ha Ha Ha ! Le loup est sorti du bois, Darlett ! Bien sur que tout cela est vieux,,, mais ça démontre que ce n'est pas avec du vieux qu'on peut faire du neuf, le mythe de Romney consiste à faire revivre l'ancien régime bushiste, tout en racontant que c'est du neuf ! et qui va le croire,,, les électeurs crédules peut être ?

En tout cas l'article en question, a eu au moins ce mérite de réveiller un forum qui était en état semi comateux.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 18:34

En tous les cas, si deux républicains connus comme le sont le maire de new-york et le gouverneur du New-Jersey appellent à voter Obama comme cela semble être le cas, cela ne va pas faire les affaires de Mitt Romney.
cela est probablement dû à l'attitude d'Obama avant, pendant et après la tornade, bien loin de celle de Bush lors de l'ouragan Katrina.

Il faut bien que l'expérience de uns serve aux autres.....#(*

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 18:51

Le gouverneur republicain du New Jersey preferait un democrate a la presidence, ce qui lui permettrait de se presenter pour 2016.
Mais si c'est Romney le president, la place est prise jusqu'en 2020 c'est donc perdu pour Chris Christie.
Cela explique son parti pris actuel.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 19:01

Depuis Katrina, les responsables politiques du monde entier y compris Sarko ont compris l'importance et l'impact d'une presence mediatique en cas de degats de la nature.
Mais a voir Obama consoler une femme car elle a perdu son yatch, cela fait sourire, je peux comprendre que l'on console pour des pertes humaines, meme pour la perte de son chien, a la rigueur pour la destruction de votre maison, mais un yatch c'est du superflu et l'image est plutot grotesque et prouve que tous les politiciens du monde sont presents pour l'image. Ne leur demandez pas d'aller consoler quelqu'un sans camera derriere.


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 19:03

Ce qui montre bien que ces politiciens ne sont pas à une trahison près pour assurer leur carrière.
En attendant, Chris Christie aurait intérêt à perdre quelques kilogs s'il veut pouvoir un jour tenter sa chance à la présidence. Il devrait être végétarien comme Darlett plutôt que probablement s'empiffrer de MC Does, de glaces, de coca cola, de bière et d'autres douceurs du même genre...à moins que ce ne soit un problème glandulaire, auquel cas je retire ce que j'ai dit....

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 19:06

Citation:
gerard
Depuis Katrina, les responsables politiques du monde entier y compris Sarko ont compris l'importance et l'impact d'une presence mediatique en cas de degats de la nature.
Mais a voir Obama consoler une femme car elle a perdu son yatch, cela fait sourire, je peux comprendre que l'on console pour des pertes humaines, meme pour la perte de son chien, a la rigueur pour la destruction de votre maison, mais un yatch c'est du superflu et l'image est plutot grotesque et prouve que tous les politiciens du monde sont presents pour l'image. Ne leur demandez pas d'aller consoler quelqu'un sans camera derriere.


Son yacht était peut-être sa seule maison et comme ça bouge, un yacht, c'était donc une sans domicile fixe.......meskine ^)*

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 03 novembre 2012 : 21:20

Citation:
gerard
je peux comprendre que l'on console pour des pertes humaines, meme pour la perte de son chien, a la rigueur pour la destruction de votre maison,

Désolé,,, mais là on est inconsolable !

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 04 novembre 2012 : 01:18

En voila une qui n'en peut plus ! Z%^


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 04 novembre 2012 : 02:03

Obama has not been supportive of Israel.


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 04 novembre 2012 : 07:06

Etats-Unis : le verrou israélien

Par Jean Daniel

Les deux candidats à la présidence ont au moins une chose en commun : ils recherchent tous deux le soutien des électeurs pro-israéliens. Ce qui détermine en partie leur politique étrangère.

[tempsreel.nouvelobs.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 04 novembre 2012 : 20:40

Mr.le President, vous dormez bien la nuit ?






Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 05 novembre 2012 : 01:41

Le temoignage (en anglais) d'une ancien camarade de classe de Barack Obama.

Meeting Young Obama (Rencontrer le jeune Obama)
By John Drew


[www.americanthinker.com]


John C. Drew, Ph.D. is an award-winning political scientist and a blogger at David Horowitz's NewsReal Blog .

ainsi que cet article :

Young Obama’s Dreams of a Communist Revolution in America


[frontpagemag.com]’s-dreams-of-a-communist-revolution-in-america/




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 07 novembre 2012 : 16:38

La démocratie américaine et ses trois bémols


C’est le jour J, le grand jour. Après dix mois d’une interminable campagne, la plus riche et la plus puissante des démocraties élit aujourd’hui son président mais, question, les Etats-Unis sont-ils vraiment une démocratie ?

La réponse est évidemment oui, fondamentalement oui, car il faut vraiment que le pouvoir y soit au peuple pour que ce pays qui est celui de l’individu, des pionniers, de l’homme qui se fait par lui-même, ait pu porter à sa tête, après la crise de 29, un président, Franklin Delano Roosevelt, qui fut le véritable inventeur de l’Etat providence ; pour que ce pays qui fut celui de l’esclavage ait finalement rompu avec la ségrégation raciale grâce au mouvement des droits civiques ; pour que ce pays façonné par le protestantisme ait pu briser un tabou fondamental en élisant un catholique.

John Fitzgerald Kennedy, en 1961 ; pour que ce pays qui avait organisé le monde contre le communisme lui ait abandonné le Vietnam car sa jeunesse ne voulait plus de cette guerre ; pour que ce pays puritain ait été à l’avant-garde de la révolution sexuelle des années 70 et pour que ce pays, enfin, où la question raciale est tout sauf résolue ait, il y a quatre ans, porté un Noir à la Maison-Blanche.

Les Etats-Unis ne sont pas qu’une démocratie. Ils sont une démocratie en mouvement où les évolutions de l’opinion bouleversent régulièrement la donne mais il y a, pourtant, plus d’un bémol à mettre à ce constat.

Le premier est l’argent. Entre la présidentielle, le renouvellement du Congrès et les scrutins des 50 Etats, l’Amérique aura dépensé cette année six milliards de dollars et peut-être plus pour financer ses campagnes. Côté démocrate, les petites donations pèsent lourd mais, pour les deux partis, l’essentiel de l’argent vient de l’industrie et des plus grosses fortunes qui investissent sur des candidats et pas à perte.

Là comme ailleurs, l’argent attend un retour sur un investissement et c’est ainsi, au nom du « Qui t’a fait roi ? » qu’il est pratiquement impossible d’introduire des réformes menaçant de gros intérêts et pas même de plafonner des dépenses électorales auxquelles les plus fortunés trouvent leur intérêt car, plus les campagnes coûtent cher, plus elles leur créent d’obligés qui auront des dettes à honorer.

Il y a quelque chose de pourri au royaume américain. Ce quelque chose est le lien toujours plus étroit entre l’argent et la politique et le deuxième bémol.est le lien croissant entre les lobbies religieux et la politique.

Organisés en groupe de pression électoral et financier, les fondamentalistes chrétiens, essentiellement protestants mais également catholiques, font désormais l’agenda du Parti républicain, déportant les conservateurs, la moitié des Etats-Unis, vers une effarante réaction obscurantiste qui n’aurait rien à envier aux positions prises, dans le monde arabe, par les partis islamistes.

Et puis, troisième bémol, une moitié des Américains ne vote plus, ce qui n’est pas exactement un signe de bonne santé démocratique. L’Amérique vote aujourd’hui. Il y a désormais non pas une certitude mais de bonnes chances qu’elle réélise Barack Obama mais sa démocratie est très loin d’être parfaite.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 07 novembre 2012 : 16:49

Les leçons d'un scrutin



Avec un chômage qui reste élevé et une croissance qui demeure faible, Barack Obama aurait dû perdre cette élection. C’eut été la logique de la vie politique d’un pays où les indépendants, les électeurs qui ne s’identifient à aucun des deux grands partis, font la décision et la font sur l’état de l’économie quelle que soit la situation dans laquelle le président sortant l’avait trouvée, quel qu’ait été, en l’occurrence, le krach de 2008 dont il a sorti le pays, mais dans cette seconde campagne, l’atout de Barack Obama, un atout majeur, aura été la droitisation des Républicains.

Mitt Romney aura eu beau se recentrer, opérer un tête-à-queue depuis septembre et revenir sans doute à ce qu’il est vraiment, les huit mois de surenchères à droite auxquelles les primaires républicaines avaient donné lieu ont manifestement choqué, voire effrayé, une grande partie des électeurs, notamment des femmes et des Hispaniques, et c’est la bonne nouvelle de ce scrutin.

L’Amérique n’a pas voulu donner la victoire à un parti qui s’était autant radicalisé. L’Amérique a mis un haut-là à la dérive de sa droite et clairement approuvé le rôle économique de l’Etat aussi bien dans le sauvetage de l’industrie américaine que dans l’appui aux régions sinistrées par l’ouragan de la semaine dernière mais, victoire ou pas, ce deuxième mandat de Barack Obama pourrait bien n’être pas plus facile que le premier.

Victoire présidentielle ou pas, il se retrouve, comme il l’était depuis deux ans, face à une Chambre des Représentants dont les Républicains ont conservé le contrôle bien qu’ils n’aient pas repris celui du Sénat, et deux scénarios sont ainsi possibles. Dans l’un, la droite de la droite ne perd pas son emprise sur les élus républicains et les quatre années qui viennent seraient alors marquées par une guérilla permanente entre la Maison-Blanche et la Chambre qui paralyserait l’exécutif américain, avant tout sur les questions budgétaires et la réduction du déficit.

C’est le scénario noir.

Il est parfaitement plausible mais on peut imaginer aussi que les Républicains modérés s’insurgent contre l’extrême-droite, contre ce Tea party dont de nombreuses figures ont mordu la poussière hier, qu’ils veuillent recentrer leur parti et cherchent en conséquence des compromis avec le président.

C’est ce qu’on veut croire à la Maison-Blanche. C’est sur ce scénario qu’on y parie mais, même dans ce cas-là, tout se négociera, et sans cadeaux. Sur sa scène intérieure, ce sont de rudes années qui attendent Barack Obama alors même qu’il aura de difficiles décisions à prendre sur la scène extérieure.

A l’international, il aura à décider ou pas de vraiment engager les Etats-Unis aux côtés de l’insurrection syrienne ; à hausser le ton contre l’Iran et, si nécessaire, à bombarder ses sites nucléaires, pour l’empêcher d’accéder à la bombe et il lui faudra enfin – ce ne sera pas le plus facile – contraindre le Premier ministre israélien à accepter une relance du processus de paix. Sur aucun de ces trois dossiers, l’Amérique ne pourrait échouer sans signer un recul de son influence internationale mais tous trois sont inextricables et Barack Obama devra, d’abord, affirmer sa victoire.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 07 novembre 2012 : 17:39

"Il lui faudra enfin – ce ne sera pas le plus facile – contraindre le Premier ministre israélien à accepter une relance du processus de paix."

ce n'est pas une relance de la negociation refusée par ABBAS qu'il va tenter d'imposer à Natanyahou que lui, a toujours voulu mener sans conditions prealables.Ce sont ces conditions qu'il voudrait peut-être exiger d'accepter,c'est-à-dire la capitulation d'Israel.
Mais il a d'autres preoccupations concernant les conditions financières et economiques des USA,bien plus importantes pour la paix interieure.Car en fait le nombre réel de votants fait apparaître un très faible avantage .Le mode d'élection absurde na represente pas la realité de sa victoire.
Il devra donc composer avec son opposition qui ne lui laissera pas les mains libres.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 07 novembre 2012 : 22:42

Je crois plutot Gilou que les republicains, majoritaires au congres, devront faire en sorte de ne pas trop s'opposer aux decisions qui permettraient a l'Amerique de sortir de l'impasse economique dans laquelle le pays se trouve actuellement.

Je crois que les difficultes financieres dans lesquelles l'Occident, autant en Europe qu'aux USA, se trouve actuellement, sont le resultat de l'ecart enorme qui se creuse un peu partout dans le monde entre les riches et les masses de plus en plus appauvries et le petit pourcentage immensement riche et exploitant. Il y a une course folle au gain qui ecrase et qui lentement mais surement, gangrene les societes et detruit toutes les valeurs et les principes.
Considerer que le systeme medical est lui aussi tenu par des societes privees preoccupees en permanence par le gain et les benefices conduisant a reduire les couts des soins et des medicaments avec toutes les consequences que cela implique sur le public, cela est extremement troublant et difficile a accepter.

Ce qui se produit en Amerique est identique a ce a quoi nous assistons aussi bien en Europe, qu'en Israel et un peu partout dans le monde occidental. Des classes moyennes ecrasees par un systeme impitoyable dans un evironnement agressif qui pousse de plus en plus a la consommation et tout cela sans aucune securite de l'emploi. C'est la degringolade rapide et assuree de toutes les valeurs et les jeunes succombent sous le poids de ces exigences auxquelles ils doivent faire face quotidiennement. Ils ne le peuvent !

Obama a ete identifie avec les couches necessiteuses (47 % c'est enorme !) et il ne fait aucun doute quant a ses tendances et l'ideologie qu'il aimerait etablir, une ideologie a l'oppose des valeurs connues de l'Amerique qui sont celles de l'enrichissement spectaculaire et du capitalisme. C'est un veritable tournant pour cette societe et esperons que cette nouvelle lutte des classes ne conduira pas a un desordre civil entre l'Amerique profonde et les immigrants et les noirs, ceux-la meme qui soutiennent aujourd'hui fortement Obama et qui ont trouve en lui une voix, un representant car ne l'oublions pas, les couches defavorisees se situent justement la.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 08 novembre 2012 : 10:46

Ces quelques reflexions ne sont pas pour attester d'un quelconque soutien a la politique d'Obama dont le programme economique tend a s'aligner avec le modele economique europeen qui, on le sait tous, a donne les resultats desastreux dont nous sommes actuellement temoins.

La solution au dilemne economique auquel fait face l'Occident reclame une remise en question totale des theories et moyens en action et il faudra bien reformuler les methodes et les esprits afin de retrouver le chemin du developpement et de la croissance.
Inutile de sombrer a nouveau dans les ideologies du passe, elles se sont averees comme etant desastreuses.

Ceci dit, le fonctionnement de la democratie est court-circuite par le manque d'ethique fragrant journalistique et cela constitue un handicap serieux a la bonne marche d'une societe.

Les elections americaines terminees, la situation desastreuse de l'economie americaine sera rapidement exposee.




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