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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 06 octobre 2012 : 16:52

On n'est pas forcément manipulés,,, mais on peut constater que les statistiques US sont à géométrie variable!

En qui faire confiance?





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 06 octobre 2012 : 20:22

A propos chomage et statistiques de chomage, voici le Former. General Electric, CEO Jack Welch, un des plus grands businessman qui s'exprime, chiffres a l'appui sur l'impossibilite d'obtenir, un mois avant les elections, le chiffre de 7,8 %, exactement le meme chiffre lorsqu'Obama a pris ses fonctions. Une chute en un mois comme on en avait pas vu depuis 1983!.
D'autre part, le Wall Street Journal rapporte que 25 grands economistes dont ceux de la HSBC, Barclays, Bank of America, Credit Suiss, City's Group, etc... (les plus importants et influents economistes du pays) ont tous exprime leurs réticences et surprise sur ces chiffres alors que tous prevoyaient un chiffre en hausse par rapport a septembre qui etait de 8,1 %.

Voici Jack Welch, l'influent et respectable GEO de General Electric qui s'exprime sur le sujet :

[video.foxnews.com]

[live.wsj.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 07 octobre 2012 : 09:04

L’Iran plonge dans l’économie de guerre
Le rial a perdu 17 % lundi 1er octobre face au dollar.


Les sanctions américaines et européennes visant à réduire les exportations de pétrole et à empêcher les transactions des pétrodollars affectent directement le cours de la monnaie iranienne. Source de la grande majorité des recettes fiscales et en devises du pays, les exportations de pétrole se sont fortement contractées. Le rapatriement des pétrodollars dans le pays est difficile.

Le gouvernement a créé la semaine dernière un nouveau « centre d’échange » où des dollars sont mis à la disposition des importateurs à un taux inférieur à celui du marché libre mais cette initiative n’a fait qu’alimenter la spéculation. Résultat, le pays s’enfonce dans une économie de guerre. Les devises sont désormais exclusivement réservées à l’achat de produits prioritaires.

La chute du rial a accéléré l’inflation, officiellement environ 23 %, en réalité près de 50 %. Dans un pays qui importe l’essentiel de ses produits alimentaires, l’impact sur le prix des produits de première nécessité (tomates, lentilles, lait, pain, poulet) est particulièrement sensible.

L’augmentation des prix ne se limite pas aux produits importés mais touche aussi les produits locaux. De nombreux Iraniens partant chaque année à l’étranger pour le tourisme ou des pèlerinages annulent leurs déplacements. Ceux qui ont envoyé leurs familles à l’étranger pour y vivre ou faire des études ont de plus en plus de mal à leur envoyer de l’argent. Les plus fortunés tentent de vendre des biens immobiliers pour placer leur épargne en dollars.

Quelles sont les conséquences politiques ?

Pendant que les Iraniens ordinaires sont frappés de plein fouet par l’inflation et les pénuries, la crise économique exacerbe les divisions à l’intérieur du régime. Le président Ahmadinejad accuse les autorités financières de mauvaise gestion tandis que le vice-président du Parlement n’exclut pas de le convoquer devant les députés. Le Parlement a lancé une enquête sur la politique monétaire du gouvernement et de la Banque centrale.

Sur le front diplomatique, à la veille des élections américaines, les négociations entre les grandes puissances et l’Iran sur le programme nucléaire sont dans l’impasse. Sur proposition du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne, les ministres des affaires étrangères de l’Union européenne doivent examiner le 15 octobre l’adoption d’une nouvelle série de sanctions.

François d’Alançon


[www.la-croix.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 07 octobre 2012 : 09:15

La guerre contre l’Iran deviendrait de moins en moins probable


Les actes de sabotage réussis contre les sites nucléaires iraniens ont rendu moins probable une éventuelle attaque israélienne. Ce fait est confirmé par les propos du conseiller du ministre de la défense israélien Amos Guilad qui a affirmé qu’il n’y aurait pas d’intervention militaire dans les semaines à venir. Il s’agit de la première déclaration de ce genre depuis quelques mois bien qu’elle concerne une période limitée.

L’Iran a attendu plus d’un mois avant de faire état des explosions qui se sont produites sur les lignes à haute tension alimentant les usines d’enrichissement d’uranium à Fordu et Natanz. Les centrifugeuses d’enrichissement d’uranium supportent mal les coupures d’électricité, mais le chef de l’Agence nucléaire iranienne Fereidun Abbasi-Diwani a assuré qu’elles fonctionnaient bien parce que les entreprises étaient pourvues de sources d’énergie de réserve. Pourtant, selon les médias israéliens, elles ont été passablement endommagées et l’usine de Fordu a cessé son activité pendant plusieurs jours en attendant la mise en place d’une ligne électrique de dérivation. Cet incident a mis en lumière le caractère particulièrement vulnérable du programme nucléaire iranien vis-à-vis des pannes techniques, estime le président de l’Institut du Proche-Orient Evgueni Satanovski.

Si les logiciels susceptibles de contaminer les sites nucléaires iraniens ou d’autres moyens d’action techniques permettent d’arrêter le programme nucléaire iranien sans recourir à la guerre, on aura forcément recours.

Le président Barack Obama ne veut pas de guerre, ce qu’il a démontré à plus d’une reprise. Le chef de la Maison Blanche avait même refusé de fixer la nouvelle ligne rouge sur laquelle insistait Israël s’agissant du programme nucléaire iranien. Ces lignes ont été franchies par l’Iran 7 fois en 18 ans. Face à cette situation, les alliés disposent d’une ressource. Ce sont les opérations secrètes dont ils n’aiment pas parler en public.

Les sabotages sur les sites nucléaires en font partie. Les méthodes d’espionnage ne cessent de se perfectionner. C’est ainsi qu’on a découvert au voisinage de Fordu un matériel de surveillance de l’usine qui avait l’aspect d’un banal bloc de pierre et a explosé lorsqu’on a entrepris de le déplacer. Les agents étrangers ont tellement infiltré le programme nucléaire iranien que les autorités se montrent sérieusement préoccupées. Le général de brigade Amir Ali Hadjizadeh a même évoqué la possibilité de porter un coup préventif contre Israël et sa déclaration ne s’adresse pas qu’aux Iraniens.

Après l’intervention agressive du général, le député du parlement iranien Djavad Djahanigirzadheh a admis la possibilité du retrait iranien de l’AIEA. Les autorités affirment que cette organisation fournit des renseignements qui permettent d'échafauder des actes de sabotage sur les sites nucléaires iraniens. Ces déclarations relèvent de sondages, estime Evgueni Satanovski.

Dans ce contexte, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a fait un geste apaisant assez exceptionnel en déclarant à la veille de la rencontre des six médiateurs internationaux (les cinq membres permanents du CS plus l’Allemagne) que son pays souhaitait conclure un accord sur l’établissement de la limite supérieure des réserves d’uranium enrichi. Mais il a précisé qu’il ne comptait sur aucun progrès autour du « dossier » iranien avant la présidentielle de novembre aux États-Unis.



[french.ruvr@]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 07 octobre 2012 : 19:24

Un commentaire judicieux sur le Newyorker, le journal situe a gauche normalement. Apres la caricature postee plus haut par Anidavid, montrant Romney parlant a une chaise vide, voici ce qu'un internaute ecrit :

Citation:
15% REAL UNEMPLOYMENT. Over 23 million unemployed. $5 GAS. 9/11/2012 attack that KILLED 4 AMERICANS and Obama had advance notice. Only his base of drug addicts, welfare leeches and illegals still support this miserable failure.

Je traduis :

Avec 15 %, chiffre reel du chomage, plus de 23 millions de chomeurs, 5 $ le gallon d'essence, l'attaque du 9 septembre 2012 qui a fait 4 morts americains et Obama marque encore de l'avance dans les sondages. Seulement ses supporters de drogues, personnes assistees et les illegaux soutiennent ce pietre bilan.

Read more [www.newyorker.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 08 octobre 2012 : 11:26

Un autre fameux supporter d'Obama, Chavez qui a ete reelu pour 6 ans. L'ami d'Ahmednidjad, d'Assad de Syrie et du Hezbollah appelle a voter Obama.
Au fait, J.L. Melenchon apprecie aussi beaucoup Chavez.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 08 octobre 2012 : 12:36

Concernant les derniers chiffres du chomage publies dernierement, voici un calcul mathematique tout simple. En fait, je reproduis un commentaire tout a fait logique recolte sur un des journeaux americains :

Citation:
23M unemployed in America = 8% unemployment, meaning 23M divided by 8 is 1% = 2.875M. Then unemployment drops from 8.3% to 7.8%...that's a 0.5% drop, which SHOULD mean 1,437,500 people suddenly got jobs....jobs report says 114,000 jobs in September. Go figure. "it's Math. it's arithmetic."

Traduction

Il y a en Amerique 23 millions de chomeurs = equivalent a 8 % de non employes. Ce qui entraine 23 millions a diviser par 8 = 1 %, cela donneraient le chiffre de 2.87 millions de chomeurs.
On annonce que le chomage a baisse de 8.3 % a 7.8 %... ce qui entraine une baise de 0.5 %, autrement dit 1.437.500 personnes ont soudainement trouve du travail.
Or, le departement du travail annonce un rajout de 114.000 nouveaux postes en septembre. Imaginez-vous...
Voila, c'est mathematique.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 08 octobre 2012 : 15:46

Obama Admin. Sends Anti-American, Anti-Israel Islamist Marayati To Speak Overseas on Human Rights

L'admistration Obama envoie l'anti-americain, anti-israelien islamiste Mayarati outre-mer pour parler des droits de l'homme.

It was, unfortunately, no surprise when the Obama Administration selected Salam Al-Marayati to join the U.S. delegation at a human rights conference being held in Warsaw by the Organization of Security and Cooperation in Europe (OSCE). No surprise, because Marayati, the director of the Islamist Muslim Public Affairs Council (MPAC), had already been dispatched by the Obama Administration in 2010 to speak on human rights on behalf of the U.S. to UNESCO in Paris and at the U.S. mission to the United Nations in Geneva. Yet, the bill of particulars against Marayati’s appointment to the delegation is large and, indeed, had resulted in 1999 in Marayati’s appointment to a Congressional committee on terrorism being actually rescinded, once his record of extremism to that date had been publicized by the ZOA.



[www.algemeiner.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 09 octobre 2012 : 23:09




La phrase choc de Romney hier devant les Marines a l'Institut militaire de Lexington :

"«Je sais que les Américains se demandent si notre pays, avec son économie malade et sa dette massive après 11 ans de guerre, est toujours capable d'être le leader, a lancé Romney lundi, face à une mer de cadets en uniforme blanc. Je crois que si l'Amérique n'assume pas le leadership, d'autres le feront, qui ne partagent pas nos intérêts et nos valeurs… Et le monde deviendra plus sombre.»

Tellement juste !

[www.lefigaro.fr]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 10 octobre 2012 : 17:31

En tête dans les sondages, dispute l'Ohio à un Obama combatif
Créé le 09-10-2012 à 21h46 - Mis à jour le 10-10-2012 à 11h16



Nouvel Observateur

Le républicain Mitt Romney est venu disputer mardi l'Etat crucial de l'Ohio au président Barack Obama, ce dernier adoptant un ton combatif pour tenter d'enrayer l'élan d'un adversaire qui le dépasse désormais dans les sondages nationaux. (c) Afp

CUYAHOGA FALLS (AFP) - Le républicain Mitt Romney est venu disputer mardi l'Etat crucial de l'Ohio au président Barack Obama, ce dernier adoptant un ton combatif pour tenter d'enrayer l'élan d'un adversaire qui le dépasse désormais dans les sondages nationaux.

Pour la première fois depuis le début de la campagne en vue de la consultation du 6 novembre, la moyenne de sondages réalisée par le site spécialisé RealClearPolitics (RCP) a accordé mardi une avance à M. Romney, le créditant de 48% des voix contre 47,3% au président démocrate sortant.

Ce résultat s'inscrit dans la continuité du décrochage de M. Obama depuis sa mauvaise prestation au débat de Denver au Colorado (ouest) le 3 octobre, le premier des trois rendez-vous entre le 44e président des Etats-Unis et celui qui aspire à devenir le 45e.

Les sondages nationaux peuvent toutefois se révéler trompeurs, la présidentielle étant organisée Etat par Etat, ce qui donne une importance disproportionnée aux territoires où la course est serrée, comme précisément l'Ohio (nord): aucun républicain ne s'est installé à la Maison Blanche sans l'avoir remporté.

M. Romney a prévu de passer la soirée de mardi et toute la journée de mercredi dans cet Etat où un nouveau sondage CNN accordait mardi quatre points d'avance à M. Obama (51% contre 47%), un écart non seulement dans la marge d'erreur, mais divisé par deux par rapport à des enquêtes publiées dans la semaine précédant le débat.

Sur place, notamment à Cuyahoga Falls dans la banlieue de Cleveland, M. Romney s'adjoindra l'aide du gouverneur républicain du New Jersey, Chris Christie, réputé pour son franc-parler.

M. Obama, devant 15.000 personnes rassemblées sur le campus d'une université à Columbus dans le même Etat, a lui aussi affûté ses arguments mardi lors d'un discours plus nerveux et plus percutant qu'à l'habitude.

"Des qualités de bateleur"

Il est revenu sur des thèmes familiers contre son adversaire, comme le reproche d'avoir "passé la moitié du pays par pertes et profits", référence à la vidéo volée dite des "47%" divulguée à la mi-septembre et dans laquelle M. Romney évoquait la mentalité d'"assistés" des électeurs de M. Obama.

"Les Américains ont travaillé trop dur. La dernière chose que nous pouvons nous permettre est de revenir aux mêmes politiques (...) Je ne peux pas permettre que cela se produise, et je ne le laisserai pas se produire", a promis le président, en estimant que M. Romney, lors du débat, n'avait pas démontré "des qualités de chef, mais des qualités de bateleur".

Côté républicain, on assurait ne pas s'emballer après ces bons sondages, qui contrastent avec le creux de la vague que connaissait leur campagne depuis près d'un mois. Selon l'un des principaux conseillers de M. Romney, Kevin Madden, "on ne peut pas trop miser sur cette idée d'élan. C'est quelque chose qui peut disparaître (...) Nous pensons toujours que cette élection sera très serrée".

En l'absence de nouveau face-à-face entre MM. Obama et Romney cette semaine, l'attention va se concentrer sur le débat des numéros deux: le vice-président Joe Biden et le colistier de M. Romney, Paul Ryan, se retrouvent jeudi dans le Kentucky (centre).

Le camp Obama a aussi diffusé mardi une publicité tentant de ridiculiser M. Romney, qui avait professé à Denver l'idée de couper les crédits à la chaîne publique PBS. Elle diffuse notamment l'émission enfantine "1, Rue Sésame" dont l'un des héros est l'oiseau géant "Big Bird".

M. Romney a estimé mardi que de telles attaques étaient déplacées. "Les temps sont durs, les dossiers sont difficiles. Et donc, je me gratte la tête quand je vois le président parler de la nécessité de sauver Big Bird", a-t-il jugé dans l'Iowa, un autre Etat-clé du centre des Etats-Unis où il effectuait une escale avant l'Ohio.

De son côté, la société propriétaire des droits de "Big Bird" a protesté contre l'utilisation politique de son oiseau fétiche, et réclamé que la publicité démocrate soit retirée.


[tempsreel.nouvelobs.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 10 octobre 2012 : 19:37

Romney dépasse Obama dans un sondage


Renforcé par sa performance lors du premier débat présidentiel, Mitt Romney continue de grimper dans les sondages. Selon une étude du Pew Center, publiée lundi 8 octobre, le candidat républicain devance même le président américain Barack Obama dans les intentions de vote au niveau national. Le sondage, réalisé entre le 4 et le 7 octobre, donne 49 % des voix à Romney contre 45 % à Obama chez les électeurs susceptibles de participer au scrutin. Chez les électeurs inscrits sur les listes électorales, les deux candidats sont à égalité avec 46 %.

[fr.news.yahoo.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 12 octobre 2012 : 11:43

Tellement amusante la situation presente des E.U. ? Jo Biden hier s'est esclaffe la plupart du temps pendant le debat qui l'opposait a Paul Ryan


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 13 octobre 2012 : 21:55

Joe Biden le bouffon du roi.


Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 14 octobre 2012 : 01:15

Lara Logan, une courageuse journaliste de CBS, la meme qui a ete violee en Egypte lors des recentes emeutes, raconte tout recemment, dans la fameuse emission de CBS "60 minutes" l'echec total des forces americaines en Afghanistan et l'inquietante avancee des Talibans et d'Al Qaida.

Sur cette video, elle explique le role trompeur du Pakistan qui beneficie d'un soutien enorme financier de la part des Americains mais qui, contrairement a sa position officielle, prend une part active dans le soutien actif donne aux terroristes qui attaquent les soldats U.S. en Afghanistan et causent des pertes continuelles aux soldats (dont les corps sont ramenes discretement en Amerique sous Obama contrairement a l'administration precedente qui recevait avec ceremonie et honneurs les soldats tombes).

Le soutien de l'administration pakistanaise aux terroristes est confirme par le President Afghan Karzai qui confirme l'echec americain et sa frustration de l'echec de cette mission dont le but etait d'eradiquer ou du moins afaiblir les forces Talibanes et celles d'Al Qaida alors que c'est le contraire qui se produit. Les Americains devraient theoriquement quitter l'Afghanistan dans une vingtaine de mois. Le bilan des morts americains s'eleve, a ce jour, a plus de 2000 soldats morts.

Elle exprime le but poursuivi par Al Qaida et les Talibans qui est avant tout d'attaquer les E.U., l'Occident et son mode de vie par la terreur et c'est ce qu'ils font avec une extreme determination en ne reculant devant rien pour arriver a leurs fins . Cela, avec fermete et conviction et leur message est clair pour l'Occident sauf que l'Occident refuse de voir cette menace absolument urgente, inquietante et reelle.
Lara Logan cite les nombreux sites islamistes, ceux d'Al Qaida ainsi que les TV arabes qui continuellement renseignent sur les but poursuivis par les islamistes radicaux qui contrairement aux informations, augmentent en nombre et deviennent plus importants et plus menacants.

"You are not listening to what the people who are fighting you say about this fight. In your arrogance, you think you write the script."

Traduction :

Vous n'ecoutez pas ce que disent ceux qui se battent pour vous au sujet de ce combat. Avec arrogance, vous supposez etre en mesure d'ecrire le script.


Sur ce clip, elle interviewe le President Karzai, un haut officier de l'armee, ainsi qu'un Taliban camoufle, qui lui donnent tous les renseignements qu'elle exprime sur cette video. En resume, echec total de la mission occidentale en Afghanistan.


Cette journaliste est absolument admirable et elle rappelle combien ce que signifie et ce que devrait etre un journaliste : s'efforcer de transmettre avec exactitude les informations necessaires pour une meilleure connaissance des dangers et menaces qui guettent. "C'est cela la democratie dit-elle car sans informations exactes et honnetes, pas de democratie."

Voici le clip de Lara Logan qui, bien desolee, est en anglais.






Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 14 octobre 2012 : 12:06

Je reviens sur le reportage absolument fascinant de Lara Logan pour signaler ce qu'elle exprime plus haut, c'est la duplicite des autorites pakistanaises qui en accord avec les Talibans s'evertuent a tromper les americains qui naivement injectent des milliards de dollars a ceux-la meme qui utilisent cet argent pour fortifier les rangs et les activites terroristes des islamistes qu'ils sont senses combattre.

Les services de securite americains, le FBI et la CIA ainsi que les politiciens aiment dire aujourd'hui qu'il ne reste plus qu'une cinquantaine de membres d'Al Qaida, mais cela est tout simplement faux.Et ils le savent !

C'est une situation extremement difficile de prouver que cela est faux et les politiciens ainsi que les services de securite americains refusent la discussion, refusent de publier ce qu'ils savant, a savoir que les forces occidentales qui s'appretent a quitter l'Afghanistan, s'appretent a laisser derriere une grave et inquietante menace contre l'Occident, contre les valeurs de l'Occident. Surtout ils refusent de faire face a leur echec, au fait que la victoire actuellement est du cote des djihadistes, des forces d'Al Qaida qui non seulement n'ont pas diminuees mais sont devenues bien plus importants et plus dangereux. Victoire par le fait qu'ils ont reussi ou qu'ils reussissent a ejecter de leur territoire les Americains venus les combattre et les affaiblir et c'est le contraire qui se produit. Les soldats americains continuent et de plus en plus a se faire tuer par des Talibans, soutenus par les Pakistanais, devenus tres habiles a ce jeu la.

Voici ce que le General Allen (le seul a accepter de parler ouvertement) raconte :
"We arrived in the Afghan capital just after four U.S. soldiers were gunned down by an Afghan policeman who was with them in a firefight. It's what the U.S. military calls an "insider attack" when U.S. forces are killed by the Afghans they're training and fighting with. Last month, these attacks were the leading killer of American troops."

Traduction :

"Nous sommes arrives dans la capitale afghane juste apres que 4 soldats U.S. furent tues par un policier afghan qui etait avec eux dans l'attaque.
C'etait ce que les militaires U.S. nomment "une attaque interne" lorsque les forces U.S. sont tuees par des Afghans qui sont entraines par nous. Le mois dernier, ce genre d'attaque etait la principale des attaques meurtrieres contre les troupes americaines"




Le pouvoir pakistanais ainsi que les Talibans font ce que tous les islamistes recemment au pouvoir et s'evertuent a persuader l'Occident, a savoir qu'ils sont moderes, qu'ils refutent l'obscurantisme des extremistes, qu'ils aimeraient tant voir des femmes occuper des postes importants, etc...etc... Mais tout cela est faux et mensonger !
Il ne s'agit que de manipulations a l'image du Ministre tunisien qui a travers une camera cachee s'exprimait dernierement en faveur du salafisme et leur demandait de la patience jusqu'a ce qu'ils viennent a bout de tous les obstacles et puissent ouvertement exprimer leurs convictions de fanatiques.

"Les Talibans ne veulent rien d'autre que leur pays libre a nouveau et que les Americains devraient cesser de gaspiller leurs millions de dollars inutilement et que les americains devraient retourner chez eux au lieu de perdre ici leur temps" disent-ils. Cela est faux et mensonger. Il ne s'agit que de tactique permis par l'Islam. Mentir afin de parvenir a son but est autorise dans l'Islam.

"Nous croyons que nous avons gagne la campagne alors que nous n'avons meme pas encore commence a combattre reellement.

Extremement perturbantes ces revelations et l'Occident ferait bien de se reveiller seul et cesser d'ecarter d'un revers de main ce qu'il n'aime pas voir mais qui ne tardera pas a les rejoindre.


Lara Logan avec les generaux americains en Afghanistan


Voici l'article a lire sur l'emission de CBS "60 minutes"
[www.cbsnews.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 14 octobre 2012 : 15:04

Je pensais que ce projet insense etait ecarte mais non !!!

Ground Zero, une mosquée bien armée

Des gravas du 11 septembre va bien s'ériger une mosquée. Avec la bienveillance du pouvoir américain, ravi de voir qui sont les généreux mécènes à l'origine du projet. Tous ou presque, sont liés au secteur de la Défense ou de la sécurité.

Barack Obama : « …En tant que citoyen, en tant que président, je crois que les musulmans ont le même droit de pratiquer leur religion que quiconque dans ce pays. Cela comprend le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire dans une propriété privée dans le sud de Manhattan… »


Lire tout l'article sur

[www.bakchich.info]






Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 16 octobre 2012 : 11:55


[www.bbc.co.uk]

Sordide vraiment la politique et les politiciens.

L'attaque de Benghazi qui a fait 4 morts, dont l'Ambassadeur americain en Libye et des nombreux blesses, a suscite scandale aux E.U. a cause des declarations mensongeres de la part de l'equipe d'Obama.

Pendant 2 semaines, ces derniers ont soutenu que les emeutes etaient "spontanees", causees par le clip "anti-islam" et suite a cette fureur des masses, l'Ambassadeur et les 3 fonctionnaires ont ete tues.

Or, cela est faux et les services de securite americains ont, sous serment, affirme lors de la commission d'enquete ouverte a ce sujet, avoir immediatement averti la Maison Blanche qu'il s'agissait bien d'un attentat commis le 11 septembre justement par les forces d'Al Qaeda, nombreuses et actives en Libye. De plus, les services de securite ont souligne les demandes pressantes de l'Ambassade americain en Libye d'augmenter la securite autour de l'Ambassade, demande rejetee par la Maison Blanche. "Vous demandez la lune et les etoiles" a ete la reponse faite a l'Ambassade qui pressentait l'attaque. Rien a voir evidemment avec le clip anti-islam. Les Americains sur place connaissaient parfaitement les groupes terroristes actifs en Libye dont bien sur Al Qaeda.


Deni mensonger de Jo Biden lors de l'entretien avec Paul Ryan et maintenant quelques heures avant le second debat entre Obama et Romney, Obama, (qui accusait Romney d'etre un menteur) s'apprete a faire porter la responsabilite de cette désinformation et mensonge terrible a Hillary Clinton qui surprise, se soumet a cette fausse declaration.

Evidemment, Obama, celui qui a reussi a faire tuer Ben Laden, ne tient pas a faire savoir que Ben Laden mort, les terroristes islamistes d'Al Qaeda, eux se portent tout a fait bien et en viennent meme a souligner l'attentat du World Trade Center de New-York, le 11 septembre par un autre attentat meurtrier et reussi a cette date justement.

Lamentable ! Cela n'aide pas beaucoup Obama car qui dont est responsable d'Hillary Clinton si ce n'est lui ?




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 octobre 2012 : 14:53

Menaces de soulevement par certains ( sur Twitter ) si Obama perd l'election presidentielle.
Pas un mot dans la presse Francaise que je puisse trouver.






Examples of what people are saying include the following;

“If obama dont get re-elected & romney wins .. on life every white persons getting pistol whipped and im startin a riot.” (SOURCE)

“If Obama don’t win lets start a riot so Romney know what he’s getting himself into.” (SOURCE)

“You know you ain’t shit if you gotta “MAKE” Mafukas vote for ROMNEY ! …. Mannnn OBAMA better get back in office . Or BLACK FOLKS will riot.” (SOURCE)

“If Romney wins im goin on a rampage.” (SOURCE)

“If Mitt Romney wins the election I think its our duties as Black folks to riot and fuck shit up.” (SOURCE)

“If every action IS met with an equal and opposite reaction ..what should workers do to employers if Romney’s elected? #Riot in the streets!!” (SOURCE)

“If Romney becomes president let’s all start a riot.” (SOURCE)

“I Heard Mitt Romney , Tryna Take Away Food Stamps , If He Do .”IMA START A RIOT , IMA START A RIOT.” (SOURCE)

“If romney wins, imma start a mf’n riot! Rns.” (SOURCE)

[www.infowars.com]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 16 octobre 2012 : 16:22

A Detroit, les salariés de l’automobile votent Obama
Par Frédéric Autran - Publié le 15 octobre 2012, à 13h32



Mitt Romney marque des points sur le programme économique d'Obama
Objectif "12 millions d’emplois" pour Mitt Romney
Obama vs Romney : qui soutient qui chez les industriels américains ?

La Maison Blanche lance un concours pour promouvoir le "made in USA"
La meilleure fortune de l’industrie automobile américaine remonte le moral de ses salariés. Reportage parmi les salariés de GM à Detroit qui estiment devoir une fière chandelle à l’actuel président.

Avec 1,2 millions de véhicules vendus en septembre (+13% par rapport à septembre 2011), le marché automobile américain confirme sa croissance. Et même si l’augmentation des ventes est due essentiellement aux bons résultats de Toyota et Honda, on se réjouit aussi du coté des "Big Three" de Détroit.

General Motors, par exemple, a vendu 210 245 véhicules le mois dernier. Certes, la hausse globale est modeste (1,5%) mais c’est tout de même le meilleur mois de septembre du constructeur depuis 2008. Et surtout, les ventes de voitures particulières ont explosé de 29%.

Signe que la confiance est de retour, General Motors va ouvrir une deuxième chaîne de production mi-2013 dans son usine de Detroit-Hamtramck, qui emploie 1 600 personnes. A l’heure actuelle, l’usine fonctionne sur un seul "shift" et produit les modèles Malibu et Volt de Chevrolet. L’année prochaine, la Chevrolet Impala y sera assemblée.
Ce vendredi matin, au local 22 de l’UAW, le puissant syndicat de l’automobile, une vingtaine d’ouvriers terminent une semaine de formation. Dès lundi, ils commenceront à travailler à l’usine Detroit-Hamtramck. Ce ne sont pas des nouveaux employés, mais des "transfered", des ouvriers venus d’autres usines du groupe, principalement du Michigan et de l’Ohio.

"Cela fait deux ans que je travaille dans l’usine General Motors de Parma, dans l’Ohio. C’était difficile car mon mari et ma famille sont restés à Détroit. Je suis vraiment heureuse de pouvoir revenir à la maison", confie Yvette. Comme la grande majorité des ouvriers du secteur, elle votera pour Barack Obama le 6 novembre prochain. "Ce que je peux vous dire, c’est que Barack Obama sera le prochain président des Etats-Unis, et qu’il aura le soutien du Michigan", explique Malcolm, qui a lui aussi demandé sa mutation à Détroit, sa ville d’origine. "Comme on dit ici : "He had our backs and now we have his". Traduction : il nous a soutenu, maintenant c’est notre tour.

Ici, beaucoup estiment que le plan de sauvetage automobile de 2009, mis en place par l’administration Obama, a tout simplement permis d’éviter une catastrophe économique dans une région déjà sinistrée. "75%, voire plus, des travailleurs du secteur automobile voteront pour Barack Obama", pronostique Georges Mc Gregor, le président du local 22. Selon les dernières estimations de Nate Silver, le spécialiste sondages du New York Times, le président sortant a d’ailleurs 94% de chances de l’emporter dans le Michigan.

Pour autant, tout n’est pas rose pour les salariés de l’usine Detroit-Hamtramck. Les ventes de la Volt, le véhicule hybride de General Motors, sont décevantes (21 500 depuis décembre 2010). Les analystes estiment que le constructeur perd environ 49 000 dollars sur chaque unité vendue, et la production doit parfois être ralentie. La chaîne de montage est ainsi fermée depuis le 17 septembre, et doit rouvrir ce lundi 15 octobre.

Autre sujet d’inquiétude : les salaires. Les négociations menées dans le cadre du plan de sauvetage gouvernemental ont en effet débouché sur des baisses de salaires importantes pour les nouveaux employés. "Je m’estime chanceuse, car grâce à mon ancienneté, mon salaire n’a pas été réduit et je touche aujourd’hui environ 28 dollars de l’heure", explique Yvette. 28 dollars, contre 14 ou 15 à l’heure actuelle pour les nouveaux arrivants.


[www.usinenouvelle.com]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 17 octobre 2012 : 11:18

Obama-Romney : un deuxième débat beaucoup plus combatif
Par Virginie Robert | 17/10 | 06:25 | mis à jour à 08:29
Les deux candidats à la présidence sont montés sur le ring et ont échangés des coups mais il n'y a pas eu de KO. Le débat à Hofstra University, sur Long Island, a été beaucoup plus vivant que celui de Denver, mais aucun des deux rivaux ne s'est vraiment détaché.


AFP
Cette fois-ci, Barack Obama a fait don de sa présence. Le président a été beaucoup plus combatif que lors de sa première rencontre avec Mitt Romey à Denver. Les deux hommes sont parfois montés à l'assaut l'un de l'autre, se confrontant debout, face à face, s'interrompant, cherchant à marquer des points.

«Le gouverneur Romney n'a pas un plan en cinq points. Il a un plan en un point : faire que ceux qui sont au top bénéficient de règles différentes», a asséné le président. De son côté, son rival républicain a pris fait et cause pour la classe moyenne -l'axe majeur de la campagne d'Obama -et promis qu'il saurait créer des millions d'emplois et équilibrer les budgets. C'est d'ailleurs sur le chapitre de l'économie qu'il était le plus convaincant, même s'il est souvent imprécis sur ce qu'il entend faire.

«Le président a montré beaucoup d'énergie et a su marquer les contrastes», constatait son directeur de campagne Jim Messina, dans la «spin room» où les conseillers viennent débriefer les débats. Pour sa part, John Sununu, l'ex-gouverneur républicain du New Hampshire, constatait qu'Obama s'était renforcé. «Le résultat du débat à Denver était plus évident. C'était plus compétitif cette fois», a-t-il remarqué, déplorant toutefois que le format du débat était fade et décourageait les échanges». Il s'agissait en effet d'un «Townhall Meeting», une assemblée d'environ 80 électeurs encore indécis de la région de New York qui ont été recrutés par l'institut Gallup. Une douzaine de leurs questions ont été choisies par Candy Crowley, journaliste à CNN.

Désaccord sur Benghazi
Celle-ci a subi l'ire des républicains à l'issue du débat parce qu'elle est venue au secours de Barack Obama sur la Libye. Mitt Romney lui a reproché de n'avoir pas su dire suffisamment tôt qu'il s'agissait d'un acte terroriste, alors que le président a mentionné «un acte de terreur» dès son intervention dans le Rose Garden -ce qu'a également soutenu la journaliste. Le président a pris la responsabilité du manque de sécurité auquel ont dû faire face ses diplomates, mais le manque de réactivité de son administration -alors qu'une aide supplémentaire avait été demandée -est un sujet de contention qui va sans doute continuer à monter jusqu'aux élections.

Les réponses des deux candidats sont souvent apparues comme très «scriptées», chacun essayant en quelques minutes de donner la liste de ses réussites ou de ses projets. Ils se sont beaucoup attaqués sur les questions fiscales, sans vraiment persuader ni l'un ni l'autre. Un moment amusant a suivi une question où une femme demandait à Mitt Romney qu'elles étaient ses différences avec George Bush. Ce dernier a voulu montrer ce qui les distinguent (pas besoin d'aller chercher de l'énergie ailleurs, un budget équilibré, il sera dur avec la Chine). L'ironie est venue du fait qu'Obama s'est senti obligé de défendre Bush pour marquer le contraste avec Romney : «Bush était favorable à la réforme sur l'immigration, ne voulait pas d'un coupon forfaitaire pour Medicare et n'a jamais suggéré de réduire les fonds de ‘Planned Parenthood'» (centre de soins pour les femmes).

Pas de gaffe, ni de grand moment
Mitt Romney a été beaucoup moins bon sur des questions comme l'immigration, expliquant que les gens se déporteraient d'eux-mêmes vu les difficultés qu'ils rencontreraient, ou sur les armes (les parents doivent jouer un rôle pour éradiquer la violence et il vaut mieux commencer par être mariés pour avoir des enfants).

L' énergie a aussi été un grand sujet de polémique alors que leurs positions ne sont pas si éloignées. Obama a reproché à Romney de défendre le charbon alors qu'il a fermé des usines, et le candidat républicain a accusé le président d'avoir fait baisser le nombre de licences pour exploiter pétrole et gaz sur les terres fédérales.

Au final, les gaffes ont été évitées mais il n'y a pas eu de grand moment. La tension est montée de plusieurs crans à plusieurs reprises entre les deux candidats, sans qu'aucun n'en obtienne un avantage décisif. Mitt Romney a excellé à attaquer le bilan du président, et celui-ci a su se défendre en parlant du passé (la crise et les années Bush) mais a manqué de conviction dans sa vision pour l'avenir.


[www.lesechos.fr]

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