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Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 14 septembre 2012 : 16:15

Merci Anidavid
je ne suis guère etonné des divagations de ce malheureux juif,depuis longtemps specialisé dans les analyses à contre courant de la realité.
Ce qui lui a permis comme tous ceux qui ecrivent des âneries d'être
appelés à donner leur avis pour accentuer l'influence de la pensée anesthesiante.Celle qui accentue la decadence du courage et de la lucidité.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 14 septembre 2012 : 18:02

Le silence des médias

Voici comment a évolué le nombre de soldats tués en Afghanistan depuis le début de la guerre, soit depuis 2001:




La guerre en Afghanistan en est maintenant à son 131e mois. Pour les 87 premiers mois de cette guerre, Bush était le président des États-Unis. Durant cette période, 564 soldats ont été tués. Pour les 44 mois suivants, la présidence a été occupée par Barack Obama et 1 454 soldats ont perdu la vie.

Autrement dit, Bush a supervisé 66% de la guerre en Afghanistan et sous sa présidence, on a enregistré 28% des pertes. Obama a supervisé 33% de la guerre en Afghanistan et sous sa présidence, on a enregistré 72% des pertes.

Quand Bush était président, les médias se faisaient un devoir de couvrir avec assiduité chaque perte de vie, n’hésitant pas à nous montrer des cercueils rapatriés en sol américain… Depuis qu’Obama est devenu président, même si la situation s’est considérablement détériorée, on ne parle plus du tout de l’Afghanistan...


[www.antagoniste.net]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Itzik (IP enregistrè)
Date: 14 septembre 2012 : 18:23

Le vidéoclip suivant m´a été adressé par notre cher ami Emilio.

[www.youtube.com]

A l´occasion de Rosh Hashana je souhaite à tous les amis de Darnna
une nouvelle année, comblée de joie, de santé et d´optimisme !

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 00:04

Merci Itzik et shana tova pour toi aussi. Tout y est dans ce clip. Il suffit de le voir pour reconstituer la politique d'Obama envers Israel.

Le plus gros reproche qu'on pourrait faire a Obama, c'est que, au tout debut de son mandat, et pour s'attirer les bonnes graces du monde arabo-musulman, il a pointe du doigt les israeliens en demandant, publiquement, l'arret total des constructions dans les territoires disputes. Une exigence que les Palestiniens n'avaient jamais demande auparavant et qu'ils ne pouvaient plus, decemment, ignorer.

Cet appel public, repete maintes fois par l'administration d'Obama et par lui-meme, a contribue a isoler Israel et a lui faire porter l'entiere responsabilite de la situation alors que rien n'etait demande en echange aux Palestiniens, qui eux, continuaient et continuent a louer dans leur programme scolaire le shahidisme en montrant partout une carte de la Palestine sans Israel.

Resultat : paralysie totale entre Israel et les Palestiniens.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 01:31

09/09/2012 - Israel menace l'Iran d'utiliser la bombe éléctromagnétique

Israël réfléchirait à lancer une impulsion électromagnétique (IEM) sur l'Iran pour paralyser l'ensemble de ses réseaux de transports et de communications, et arrêter ainsi le développement de son programme nucléaire, a affirmé dimanche le Sunday Times.

Le journal cite le spécialiste américain des questions de défense Bill Gertz qui, le 29 août, dans sa chronique vidéo sur le site conservateur The Washington Free Beacon, a fait part "d'inquiétudes croissantes" rapportées par les services secrets américains "sur le déclenchement par Israël d'une frappe sur l'Iran grâce à une explosion nucléaire en haute altitude destinée à perturber tous les appareils électroniques du pays"

[minuit-1.blogspot.ca]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 16:03

13/09/2012


Libye : l'ambassadeur américain aurait été sodomisé avant d'être tué



Selon le service de nouvelles libanais Tayyar.org, citant des sources de l’AFP, l’ambassadeur américain en Libye Christopher Stevens aurait été sodomisé avant d'être abattu par les hommes qui ont attaqué le consulat américain de Benghazi mardi.

[www.postedeveille.ca]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 21:34

Repugnant !!! Et dire que ces gens se disent religieux et respectueux de Dieu.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 22:10

Les memes discours, les memes promesses.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 23:00

Le film anti-islam tourné par un cinéaste porno


PARODIE DE MAHOMET — Le film qui enflamme actuellement le monde arabe a été tourné sous le titre de «Guerriers du désert» près de Los Angeles, par une organisation caritative chrétienne (copte parait il) et un réalisateur de films pornographiques.


[www.lematin.ch]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 23:54

2016: Obama's America.






«2016: Obama’s America» est l’œuvre du réalisateur John Sullivan. Adaptation d’un best-seller «The Roots of Obama’s Rage» («Les Racines de la rage d’Obama») écrit par Dinesh D’Souza, un conservateur convaincu.

Le film imagine l’Amérique en 2016 au cas où Barack Obama serait réélu, de manière très sombre, explique un article du Huffington Post.

Le producteur, Gerald Molen, souligne le fait que le documentaire respecte un souci de véracité. Avis que ne partage pas la presse américaine, qui dénonce, entre autres, le nombre élevé d’extrapolations et de déductions.

Ce qui n’empêche pas «2016: Obama’s America» de figurer à la 8e place du dernier box-office en date, à côté de blockbusters tels que «The Expendables 2», «The Bourne Legacy», «ParaNorman» ou encore «The Dark Knight Rises».


[www.lematin.ch]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 15 septembre 2012 : 23:57

Le film n'explique pas les violences mais les violences expliquent bien le film il est même en dessous de la réalité

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 16 septembre 2012 : 11:58

Manifestation près de l'ambassade américaine à Paris

Black out des grandes chaines !



Alors que les manifestations anti-américaines ont gagné tout le monde musulman, plusieurs dizaines de personnes "ont manifesté de manière sauvage", selon la police, devant l'ambassade américaines à Paris. Une centaine d'entre eux ont été arrêtées.
Par Dépêche (texte)

AFP - Une centaine de personnes ont été interpellées samedi à Paris, soupçonnées d'avoir pris part à une manifestation non déclarée près de l'ambassade américaine et du ministère de l'Intérieur, ont annoncé à l'AFP des sources policières.

Les manifestations anti-américaines, parfois meurtrières, se sont multipliées à travers le monde musulman après la diffusion d'extraits d'un film islamophobe, "Innocence of Muslims" ("L'innocence des musulmans"), qui décrit l'islam comme un "cancer".

Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 16H30, plusieurs dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants, que la source policière présente comme pouvant être "proches des salafistes", "ont manifesté de manière sauvage aux alentours de l'ambassade des Etats-Unis et se sont heurtées aux forces de police".

"Ils ont été maintenus au niveau des Tuileries. Des petits groupes se sont ensuite éclatés", a indiqué une autre source policière.

Ils ont alors contourné l'ambassade des Etats-Unis et certains des manifestants se sont dirigés près de la place Beauvau, non loin de là, où d'importantes forces de police étaient présentes, notamment en raison des Journées du patrimoine.

La police a procédé à une centaine d'interpellations au total, en majorité des hommes, qui ont été conduits dans divers commissariats parisiens.

Lors des heurts, deux ou trois policiers ont été légèrement blessés, a-t-on appris de source policière.

En fin d'après-midi, de nombreux CRS et gendarmes mobiles empêchaient de circuler aux abords de l'ambassade américaine, a constaté un journaliste de l'AFP.

Un groupe de quelques dizaines de manifestants restait encerclé par les forces de l'ordre près de la place de la Concorde.

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 16 septembre 2012 : 21:47

AFGHANISTAN: WEEK-END NOIR POUR L'OTAN, DÉBORDÉE PAR LES INSURGÉS


Afp

Les incroyables pertes infligées à l'Otan par les talibans lors de l'attaque contre la base abritant le prince Harry, ajoutées aux six militaires étrangers tués ensuite par des policiers afghans, marquent un week-end noir pour la coalition, débordée par les insurgés.

L'Isaf, la force armée de l'Otan en Afghanistan, s'est en outre rendue coupable d'un bombardement dans le Laghman (est de Kaboul) ayant fait, selon elle, "entre 5 et 8" victimes civiles, que les autorités locales et nationales évaluent à "8 femmes tuées" et 7 ou 8 autres blessées, selon les sources.

Si la coalition affirme avoir tué "un grand nombre d'insurgés" dans cette attaque aérienne, les habitants du district reculé d'Alingar soutiennent que les victimes civiles allaient chercher du bois avant l'aube. Des dizaines d'entre eux ont défilé dimanche aux cris de "Mort à l'Amérique, mort aux Juifs" devant le gouvernement provincial.


[tempsreel.nouvelobs.com]


Il n'est pire fou que celui qui aime la guerre !

En temps de paix, ce sont les enfants qui enterrent les parents.

En temps de guerre ce sont les parents qui enterrent les parents.

Aristote !





Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 17 septembre 2012 : 07:25

«J'accuse» : Obama a vendu l'Occident à l'islam, par Magdi C. Allam

Obama est l’expression ultime du relativisme au sens large, dans un contexte spécifique, non seulement religieux. Lors d'un discours à l’Université du Caire, il a cité quelques versets du coran, légitimant pleinement l’islam et le mettant sur un pied d’égalité avec le judaïsme et le christianisme.

Faisant ainsi, en mode dépourvu de critique et le sortant du contexte, il a institutionnalisé l’idée d’un islam bon et modéré, et le concept que le terrorisme serait en réalité l’œuvre d’une minorité fanatique sortie du «véritable» islam. Ceci relève de la pure ignorance, et il suffit de lire l’intégralité du coran ou la biographie officielle de Mahomet pour se rendre compte que l’islam est une idéologie qui inspire, prêché et ordonne la haine, la violence et la mort. Obama a pleinement exposé un relativisme religieux et l’histoire le reconnaitra comme l’auteur principal de la vente de notre société civile à l’islamisme radical au nom des intérêts matériels.

[www.postedeveille.ca]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 17 septembre 2012 : 08:19

De la même eau que ceux qui voudraient faire effacer de la mémoire, les bûchés de la sainte inquisition et de Torquemada, contre les Juifs d'Espagne et du Portugal.

Ou comment une laïcité serait inscrite dans le christianisme.

Le Crucifix à l’Assemblée nationale


Le Crucifix à l’Assemblée nationale, ou comment la laïcité est inscrite dans le christianisme, par Hélios d'Alexandrie

Le débat sur la laïcité et le Crucifix à l’Assemblée nationale du Québec s’est rallumé à la faveur de la campagne électorale, suite aux déclarations de Djemila Benhabib quant à sa position personnelle sur le sujet.

Pour elle la laïcité institutionnalisée ne peut logiquement admettre un symbole religieux au salon bleu, là où les représentants du peuple québécois débattent de différents sujets politiques. Madame Benhabib, qui se présente aux élections sous la bannière du Parti Québécois, se rallie toutefois à la position officielle du parti, à savoir que le Crucifix à l’Assemblée Nationale constitue un symbole et un héritage culturel du peuple québécois, comme tel sa présence au salon bleu n’a pas de signification religieuse.

On le voit, le débat se situe, non sur la place de la religion dans le champ politique (aucune place ne lui est reconnue), mais sur la signification d’une représentation à caractère religieux au sein de l’institution politique. Les uns n’admettent que son caractère religieux, les autres ne lui reconnaissent qu’une valeur culturelle. Le débat en ce qui concerne la laïcité ne se situe donc pas sur le plan pratique, maintenir ou enlever le Crucifix du salon bleu de l’Assemblée Nationale ne changera rien aux mesures que le futur gouvernement appliquera pour assurer la laïcité de l’espace public.

Il est réconfortant de constater qu’on discute passionnément de part et d’autre d’un symbole. Si le salon bleu était orné de représentations de Jupiter, d’Hercule, de Mars ou de Vénus, nul ne s’en offusquerait ; il s’agit pourtant de dieux de l’antiquité, donc de représentations religieuses. Si l’on ne s’en fait pas du tout quand il s’agit de divinités grecques ou romaines c’est parce qu’elles n’ont plus pour nous de signification religieuse. Nous les regardons comme des entités mythologiques et nous nous arrêtons sur l’aspect artistique et esthétique de leur représentation. Si le Crucifix suscite autant de passion c’est que, contrairement aux personnages mythologiques, il recèle un sens profond pour la majorité des gens, partisans comme opposants à sa présence au salon bleu.

Les opposants autant que les partisans donnent l’impression d’être sous l’emprise de leurs sentiments et de leurs émotions. Si le sujet n’est pas à proprement parler explosif, il est du moins passablement brûlant. C’est pourquoi il devient important d’en discuter objectivement afin d’y voir plus clair : la question qui se pose est de savoir si religion chrétienne et laïcité sont antinomiques au point de devoir occulter toute référence au christianisme dans l’espace public.




[www.postedeveille.ca]




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 17 septembre 2012 : 11:14

Echec de la Stratégie Musulmane d’Obama


Dès son arrivée au pouvoir, le président américain Barack Obama avait prononcé, le 4 juin 2009 depuis l’université du Caire, un discours intitulé « Un nouveau départ » destiné à améliorer les relations américaines avec les musulmans.

Le choix de l’Égypte avait été volontaire pour démontrer aux pays arabes modérés, alliés des États-Unis, qu’ils constituaient des pièces maitresses dans la stratégie américaine au Moyen-Orient.

Mais cela ne l’a pas empêché d’abandonner Moubarak au premier coup de feu tiré.

Alignement sur les thèses politiques

Or, les dernières manifestations antiaméricaines dans tous les pays musulmans consacrent l’échec de Barack Obama dans sa tentative d’aligner sa politique sur les thèses des nouveaux régimes issus des révolutions arabes.

L’exemple particulier des deux pays, la Libye et l’Égypte, qui ont reçu une aide militaire et financière illimitée prouve qu’il a échoué à s’attirer les bonnes grâces des gouvernements islamistes, arrivés au pouvoir après le départ des dictateurs. Le défi diplomatique de ces journées de violence est tel que les États-Unis sortent affaiblis alors qu’ils avaient fait preuve de tolérance face à la prise de pouvoir des islamistes.

Les diplomates devront à nouveau travailler à récupérer des relations sévèrement endommagés. Mais l’ingratitude à l’égard des américains semble une constante. Alors que Mohamed Morsi avait demandé l’aide des États-Unis pour combler son déficit et assurer la continuité budgétaire de son pays, l’ambassade américaine au Caire était attaquée sous le regard des forces de forces de l’ordre passives.

Il est inconcevable de croire que l’armée, équipée par Moubarak et Tantawi, n’avait pas les moyens de s’opposer à des manifestants civils au point d’être assimilée à un tigre de papier.

Toute la stratégie d’Obama est à revoir et il devra concevoir une nouvelle méthode pour s’adapter aux forces politiques nouvelles qui gèrent les anciennes dictatures. Le Pakistan, qui reçoit 2 milliards de dollars d’aide annuelle américaine, a laissé les sympathisants du groupe islamiste Jamaat el-Daawa manifester en toute impunité dans la capitale Karachi.

Les guerres menées par les américains s’avèrent stériles. La lutte contre le groupe terroriste Al-Qaeda, né en Afghanistan a échoué puisqu’il a réussi à essaimé son idéologie et ses activistes dans le monde entier.

Les manifestations anti-américaines, parfois meurtrières, ne peuvent uniquement s’expliquer par la diffusion d’extraits d’un film islamophobe, nul de surcroit, « l’innocence des musulmans », qui décrit l’islam comme un « cancer ».

La Maison Blanche sait pertinemment que la vidéo qui se moque du prophète Mahomet est un alibi pour justifier les attaques contre les intérêts américains dans le monde, à Benghazi en particulier, où l’ambassadeur a dû faire face à un commando préparé et organisé dans une attaque préméditée.


[www.jforum.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 septembre 2012 : 11:16

Avec Obama,ce n'est que sous anonymat qu'on peut s'adresser aux journalistes pour diffuser une information capitale comme la mort de 4 soldats americains en Afghanistan.

Afghanistan: les 4 soldats de l'Otan tués dimanche sont Américains


KABOUL (Afghanistan) - Les quatre soldats de l'Otan tués par des membres présumés de la police afghane dans le sud du pays sont Américains, a indiqué dimanche à l'AFP un responsable américain, sous condition d'anonymat.




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 19 septembre 2012 : 01:25

Mitt Romney le gaffeur se met en danger face à Obama


Mitt Romney, mardi à Los Angeles, a reconnu devant la presse que ses propos n'avaient pas été «formulés élégamment». Crédits photo : JIM YOUNG/REUTERS

VIDÉO - Dans son dernier faux pas, il a traité la moitié des Américains «d'assistés». Sa campagne est en perte de vitesse.

Ce n'est pas encore un naufrage mais, à sept semaines de l'élection présidentielle, le bateau de la campagne Romney traverse une véritable zone de tempête. Avec un chômage au-dessus de 8% et 60% des Américains convaincus que le pays va «dans la mauvaise direction», le challenger d'Obama devrait, en théorie, avoir le vent en poupe. «Avec de tels chiffres, une victoire du président sortant devrait être une impossibilité mathématique», note Jonathan Martin du journal Politico.

Au lieu de cela, Romney se retrouve empêtré dans une cascade de gaffes et de minicrises d'autant plus embarrassantes qu'il en est lui-même responsable. La dernière concerne la mise en ligne lundi, sur le site du journal libéral Mother Jones, d'une vidéo montrant Romney en train d'ironiser sur «les 47 % d'Américains qui ne paient pas d'impôts et dépendent du gouvernement». «Ceux-là ne voteront sans doute jamais pour moi» car «ils estiment avoir droit à la santé, à la nourriture, au logement et quoi que ce soit d'autre!», explique sans fard le candidat républicain à de riches donateurs, qui ont payé 50 000 dollars pour venir l'écouter.

«Mon boulot n'est pas de m'occuper de ces gens-là, je ne les convaincrai jamais qu'ils doivent assumer leurs propres responsabilités», dit-il avec une franchise - et une imprudence - stupéfiante.

La vidéo, tournée subrepticement en mai à Boca Roca en Floride, dans la maison du financier Mark Leder, n'était pas censée se retrouver sur Internet. Mais beaucoup de stratèges républicains observent discrètement que George W. Bush n'aurait jamais commis l'impair de prononcer de telles paroles en public. C'est le petit-fils du président Carter qui a mis Mother Jones en contact avec l'auteur de la vidéo, un geste perçu par certains comme une vengeance contre les attaques répétées du camp conservateur contre son grand-père.

Le document est en tout cas une véritable aubaine pour les démocrates. «C'est difficile d'être le président de tous les Américains quand vous avez tiré un trait avec mépris sur la moitié de la nation», a asséné Jim Messina, le directeur de campagne d'Obama, qui dépeint Romney comme un multimillionnaire acquis aux intérêts des plus riches. «Quand on est président des États-Unis, on est le président de tous les Américains, pas seulement de ceux qui ont voté pour vous», a surenchéri la Maison-Blanche.

Forcé de se justifier par l'ouragan de critiques, le candidat républicain a dû convoquer une conférence de presse. Nerveux et raide, Mitt Romney a reconnu que ses propos n'avaient pas été «formulés élégamment», même s'il ne s'est pas rétracté sur «le fond du débat». L'effet était assez calamiteux.

Plus tard dans la journée, Mother Jones a encore enfoncé le clou, avec cette fois une vidéo, tirée de la même réunion de donateurs, dans laquelle on peut entendre Mitt Romney affirmer que «les Palestiniens ne s'intéressent absolument pas à la paix» avec Israël, et «qu'un cheminement vers la paix est presque absolument impensable». Le candidat républicain y confesse notamment que s'il était élu, il n'interviendrait pas pour tenter de relancer le processus de paix israélo-palestinien. «Ce n'est pas du leadership, c'est le contraire du leadership», a réagi le porte-parole de la Maison-Blanche, Jay Carney.

Le timing de la sortie de la vidéo est assassin, alors que la campagne Romney se remet à peine de ses faux pas de la semaine dernière. Accusant Obama d'avoir semé les graines de la révolte par son indulgence vis-à-vis des extrémistes, le camp républicain avait tiré à vue sur la Maison-Blanche, en pleine crise libyenne et égyptienne, sans même prendre le temps d'établir les faits, s'attirant une volée de bois vert de ses propres rangs.

Tensions parmi les conseillers

Résultat, de fortes tensions se font jour dans l'équipe de campagne. Les unes concernent la main excessive que conservent les faucons néoconservateurs en politique étrangère. Les autres traduisent des divergences sur la gestion de la campagne. L'une des critiques récurrentes concerne aussi le message trop économique de Romney, qui a échoué à changer son image de «robot» technocrate. Trois sondages donnent désormais l'avantage à Obama sur la gestion de l'économie.

Plusieurs figures conservatrices estiment enfin que Romney a dilué l'effet porteur de la nomination de son candidat à la vice-présidence, Paul Ryan, en brouillant ses intentions concernant Medicare et la réduction de la dette. «Mon équipe est formidable», a rétorqué lundi le candidat.

La campagne républicaine s'apprête à lancer une série de nouveaux clips publicitaires pour préciser son projet de gouvernement. Il s'agit de présenter une alternative plus claire à Obama. Malgré leurs récents revers, les républicains continuent d'affirmer que les Américains en rêvent et que la victoire reste à portée de main. Il est vrai que si le président est en tête, l'écart (d'environ 4 %) entre les deux hommes reste dans la marge d'erreur statistique.


[www.lefigaro.fr]

Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 septembre 2012 : 15:34

L'enfance musulmane d'Obama

par Daniel Pipes


Barack Obama est apparu bien décidé à se battre contre son rival républicain, parrainant des annonces télévisées qui demandaient, «Qu'est-ce que Mitt Romney nous cache?». C'est une allusion à ces questions relativement mineures comme les déclarations fiscales des années antérieures de Romney, la date où il a cessé de travailler pour Bain Capital, ainsi que les documents non publics de son travail à la tête des Olympiques de Salt Lake City et en tant que gouverneur du Massachusetts. Obama a justifié ses exigences pour que Romney lâche plus d'informations sur lui-même, en déclarant en août 2012 que «Le peuple américain suppose que si on veut être président des Etats-Unis il faut que votre vie soit un livre ouvert quand il s'agit de choses comme vos finances.» Des libéraux comme Paul Krugman du New York Times appuient avec enthousiasme cette focalisation sur l'histoire personnelle de Mitt Romney.

Si Obama et ses partisans souhaitent se concentrer sur la biographie, bien sûr, il s'agit d'un jeu que les deux peuvent jouer. Le modéré, et affable Romney a déjà critiqué la campagne de réélection d'Obama comme «basée sur le mensonge et la malhonnêteté» et une publicité télévisée est allée plus loin, affirmant que Obama «ne disait pas la vérité.»


Il ne dit pas toujours la vérité: Obama a revendiqué une naissance au Kenya en 1991 pour vendre son autobiographie.

L'accent mis sur la transparence et l'honnêteté est susceptible de nuire à Obama beaucoup plus qu'à Romney. Obama reste le candidat mystère avec une autobiographie pleine de lacunes et même d'inventions. Par exemple, pour vendre son autobiographie en 1991, Obama a prétendu à tort qu'il "était né au Kenya"." Il a menti à propos du fait de n'avoir jamais été membre et candidat du Nouveau parti socialiste de Chicago des années 1990, et quand Stanley Kurtz a produit des preuves pour établir qu'il en était membre, les attachés de presse d'Obama ont sali et traité avec dédain Kurtz. L'autobiographie d'Obama en 1995, Les Rêves de Mon Père, [traduction en français de Danièle Darneau « Les rêves de mon père. L'histoire d'un héritage en noir et blanc. Presses de la Cité Etranger, mars 2008 (NDLT)] contient un flot d'inexactitudes et de mensonges comme à propos de son grand-père maternel, de son père, de sa mère, du mariage de ses parents, du père de son beau-père, de son ami de lycée, de sa petite amie, de Bill Ayers et Bernardine Dohrn , et du révérend Jeremiah Wright. Comme Victor Davis Hanson le dit, «Si un écrivain est capable d'inventer les détails de la maladie en phase terminale de sa propre mère et sa quête pour une assurance, alors il pourra probablement inventer sur n'importe quoi.»
Dans ce contexte plus large de mensonges sur sa vie passée se pose la question de la discussion sur la religion d'Obama, peut-être le plus singulier et le plus scandaleux de ses mensonges




Contradictions

Interrogé sur la religion de son enfance et de sa jeunesse, Obama apporte des réponses contradictoires. Il a peaufiné une question de mars 2004, «Avez-vous toujours été chrétien?" en répondant: «J'ai été élevé plus par ma mère et ma mère était chrétienne". Mais en décembre 2007, il a tardivement décidé de donner une réponse claire: «Ma mère était une chrétienne du Kansas .... J'ai été élevé par ma mère Donc, j'ai toujours été Chrétien.». Cependant, en février 2009, il a donné un compte-rendu complètement différent:

«Je n'ai pas grandi dans un foyer particulièrement religieux. J'ai eu un père qui est né musulman mais est devenu athée, des grands-parents qui étaient des méthodistes et des baptistes non-pratiquants, et une mère qui était sceptique quant à la religion organisée. Je ne suis pas devenu chrétien ... jusqu'à ce que je déménage dans le côté sud de Chicago après le collège.

Il a en outre élaboré cette réponse en septembre 2010, en disant: «. J'en suis venu à ma foi chrétienne tard dans la vie"

Quel est-il? Obama a-t-il «toujours été chrétien» ou est-il «devenu chrétien» après le collège? La contradiction avec soi-même sur une si fondamentale question d'identité, lorsque cela s'ajoute à la remise en question générale à propos de l'exactitude de son autobiographie, soulève des questions sur la véracité; quelqu'un qui aurait dit la vérité pourrait-il dire des choses aussi variées et opposées à propos de lui-même? L'incohérence est typique del'invention: en maquillant les choses, il est difficile de s'en tenir à la même histoire. Obama semble cacher quelque chose. Était-il l'enfant areligieux de parents impies? Ou fut-il toujours chrétien? Toujours musulman? Ou était-il, en fait, quelque chose de sa propre création - un chrétien / musulman?

Obama donne quelques informations sur son passé islamique dans ses deux livres, les rêves et l'audace d'espérer (2006) [ce dernier livre paru en 2007 aux Editions «Presses de la Cité» a été traduit par Jacques Martinache sous le titre «L'audace d'espérer: une nouvelle conception de la politique américaine» (NDLT)]. En 2007, quand Hillary Clinton était encore candidate démocrate favorite à la présidence, un certain nombre de journalistes avaient déterré des informations sur le temps passé par Obama en Indonésie. Les déclarations d'Obama en tant que président ont fourni des informations importantes sur sa mentalité. Cependant les principales biographies de Barack Obama, qu'elles soient amicales (comme celles de David Maraniss, de David Mendell, et de David Remnick) ou hostiles (comme celles de Jack Cashill, de Jerome R. Corsi, de Dinish D'Souza, d'Aaron Klein, d'Edward Klein , et de Kurtz Stanley), consacrent peu d'attention à ce sujet.

J'établirai qu'il est né et a grandi comme musulman, je fournirai des preuves qui le confirment tirées des dernières années, je sonderai la perception qu'on a de lui en tant que musulman, et je placerai cette tromperie dans le contexte plus large des fictions autobiographiques d'Obama.

"Je n'ai jamais été Musulman"

Obama reconnaît volontiers que son grand-père paternel, Hussein Onyango Obama, s'est converti à l'islam. En effet, les rêves de mon père (p. 407) contient une longue citation de sa grand-mère paternelle pour expliquer les raisons du grand-père pour avoir agi ainsi: les coutumes du christianisme lui paraissaient «des sentiments stupides» pour lui, «quelque chose pour consoler les femmes», et ainsi il s'est converti à l'islam, pensant que "ses pratiques s'approchaient plus de ses convictions» (p. 104). Obama le disait volontiers à tout venant: par exemple lorsque lui fut demandé par un barbier (p. 149): «Etes-vous musulman?", il a répondu: «Grand-père l'était."

Obama présente ses parents et son beau-père comme non-religieux. Il note (dans l'audace d'espérer 2006, pp 204-205), que son «père avait été élevé comme musulman", mais était «athée» au moment où il a rencontré la mère de Barack, qui à son tour «professait la laïcité». Son beau-père, Lolo Soetoro , «comme la plupart des Indonésiens, a grandi comme musulman», même si non-pratiquant, d'un islam syncrétique qui ( les rêves, p. 37), «fait entrer des traces anciennes des croyances animistes et des croyances hindoues. "

En ce qui le concerne personnellement, Obama avoue de nombreux liens avec l'islam mais se défend d'être un musulman. "Le seul lien que j'ai eu avec l'islam, c'est que mon grand-père du côté de mon père venait de ce pays", at-il déclaré en décembre 2007. "Mais je n'ai jamais pratiqué l'Islam .... Pendant un moment, j'ai vécu en Indonésie parce que ma mère enseignait là-bas. Et c'est un pays musulman. Et je suis allé à l'école. Mais je n'ai pas pratiqué." De même, a t-il déclaré en février 2008 à part mon nom et le fait que j'ai vécu dans un pays peuplé de musulmans pendant 4 ans, lorsque j'étais enfant j'avais très peu de liens avec la religion islamique .» Notons sa déclaration sans équivoque ici: "Je n'ai jamais été Musulman." Sous le titre «Barack Obama n'est pas et n'a jamais été musulman», le premier site web durant la campagne présidentielle a effectué une déclaration encore plus catégorique en novembre 2007, en déclarant qu '«Obama n'avait jamais prié dans une mosquée. Il n'a jamais été musulman, n'a pas été élevé comme musulman et est un chrétien engagé. "

"Barry était musulman"

Mais de nombreux éléments plaident en faveur du fait qu'Obama est né et a grandi comme musulman:

(1) L'islam est une religion patrilinéaire: Dans l'islam, le père transmet sa religion aux enfants, et quand un homme musulman a des enfants avec une femme non-musulmane, l'islam considère les enfants comme musulmans. Le grand-père et le père de Barack Obama ayant été musulmans - dans la mesure où leur piété n'a pas d'importance du tout – cela signifie que, aux yeux des Musulmans, Barack est né musulman.

(2) Les prénoms arabes sur la base de la racine trililitère HSN: Tous les prénoms tels que Husayn (ou Hussein, Hassan, Hassan, Hassanein, Ahsan, et autres) sont exclusivement accordés à des bébés musulmans. (La même chose vaut pour les prénoms basés sur la racine HMD.) Le prénom d'Obama, Hussein, proclame explicitement qu'il est né musulman.



Document attestant l'inscription d'Obama à Saint François d'Assise, une école catholique, à Djakarta.


(3) Inscrit en tant que musulman à l'école catholique Saint François d'Assise: ]Obama a été inscrit dans une école catholique à Djakarta sous le nom de "Barry Soetoro." Un document qui a été conservé le répertorie correctement comme né à Honolulu le 4 août 1961 ; en outre, cela le classe comme ayant la nationalité indonésienne et de religion musulmane.


(4) Inscrit en tant que musulman à SD Besuki [SDN Besuki ou the Besuki School est une école publique indonésienne à Menteng, Djakarta (NDLT)]: Bien que Besuki (également connu sous le RPS 1 Menteng) soit une école publique, Obama s'y réfère curieusement dans l'audace d'espérer (p. 154) comme «l'école musulmane qu'il a fréquentée à Djakarta. Ses inscriptions n'existent plus, mais plusieurs journalistes (Haroon Siddiqui, du Toronto Star, Paul Watson, du Los Angeles Times, David Maraniss du Washington Post ) ont tous confirmé que là aussi, il a été enregistré en tant que musulman.

(5) La classe islamique à Besuki: Obama mentionne (L'audace d'espérer, p 154.) qu'à Besuki, «le professeur a écrit pour dire à ma mère que je faisais au cours des grimaces durant les études coraniques.» Seuls les étudiants musulmans assistaient aux deux heures hebdomadaires de cours de Coran; Watson relate:

deux de ses enseignants, l'ancien vice-principal Tine Hahiyari et le professeur de troisième année Effendi, ont dit qu'ils se rappelaient clairement que dans cette école aussi, il a été enregistré en tant que musulman, ce qui a déterminé à quel cours il a assisté durant les cours de religion hebdomadaires. «Les étudiants musulmans étaient enseignés par un professeur musulman, et les étudiants chrétiens étaient enseignés par un enseignant chrétien», a déclaré Effendi.»

Andrew Higgins, du Washington Post cite Rully Dasaad, un ancien camarade de classe, disant qu' Obama chahutait au cours et, au cours des lectures du Coran, il "a ri à cause de sa drôle de prononciation." Maraniss nous a appris que le cours comprenait non seulement l'étude «comment prier et comment lire le Coran», mais aussi de faire la Prière du vendredi commune sur les terrains de l'école.



Obama avec sa classe à Besuki SD, une école publique, à Djakarta.



(6) la présence à la Mosquée: Maya Soetoro-Ng, la jeune demi-sœur d'Obama, dit que son père (à savoir, le beau-père de Barack) allait à la mosquée "pour les grands événements communaux»; Barker a constaté qu' «Obama de temps en temps suivait son beau-père à la mosquée pour les prières du vendredi. " Watson relate:

«Les amis d'enfance disent qu'Obama allait parfois à la prière du vendredi à la mosquée locale. «Nous priions, mais pas vraiment sérieusement, juste suivant les gestes effectués par les personnes plus âgées dans la mosquée. Mais comme gosses, nous avons adoré rencontrer nos amis , aller à la mosquée ensemble et jouer», a déclaré Zulfin Adi, qui se décrit comme faisant partie des plus proches amis d'enfance. ... Parfois, quand le muezzin faisait retentir l'appel à la prière, Lolo et Barry allaient à pied à la mosquée de fortune ensemble, dit Adi. «Sa mère allait souvent à l'église, mais Barry était musulman. Il se rendait à la mosquée", dit Adi.

(7) Le vêtement musulman: Adi rappelle au sujet d'Obama, "Je me souviens de lui portant un sarong." De même, Maraniss a constaté non seulement que «Ses camarades de classe ont rappelé que Barry portait un sarong» mais des échanges écrits indiquent qu'il a continué à porter ce vêtement aux États-Unis. Ce fait a des implications religieuses parce que, dans la culture indonésienne, seuls les musulmans portent des sarongs.

(8) La piété: Obama dit qu'en Indonésie, il «ne pratiquait pas [l'Islam]», une affirmation qui reconnaît par inadvertance son identité musulmane en laissant entendre qu'il était musulman non pratiquant. Mais plusieurs de ceux qui l'ont connu sont en contradiction avec ce souvenir. Rony Amir décrit Obama comme «très religieux précédemment dans l'Islam." Un ancien professeur, Tine Hahiyary, cité dans le Kaltim Post , dit que le futur président a pris part à des cours de religion islamique avancés: «Je me souviens qu'il avait étudié le mengaji." Dans le contexte de l'Islam de l'Asie du Sud-est, le Coran en mengaji signifie réciter le Coran en arabe, une tâche difficile dénotant des études supérieures.

En résumé, le dossier montre Obama né musulman d'un père non musulman pratiquant et ayant vécu pendant quatre ans dans un milieu entièrement musulman sous les auspices de son beau-père indonésien musulman. Pour ces raisons, ceux qui connaissaient Obama en Indonésie le considéraient comme un musulman.

«Ma foi musulmane»

En outre, plusieurs déclarations de Barack Obama ces dernières années soulignent son enfance musulmane.

(1) Robert Gibbs, directeur de campagne de communication pour la première course à la présidentielle d'Obama, a affirmé en[url=http://articles.latimes.com/2007/mar/15/nation/na-obama15 janvier 2007:[/url] «Le sénateur Obama n'a jamais été musulman, n'a pas été élevé comme musulman et est un chrétien engagé qui assiste à l'Eglise unie du Christ à Chicago . " Mais il s'est ravisé en mars 2007, affirmant qu '«Obama n'a jamais été un musulman pratiquant." En mettant l'accent sur la pratique étant enfant, la campagne ne soulève pas un problème car les musulmans (comme les Juifs) ne considèrent pas que la pratique soit au cœur de l'identité religieuse. Gibbs a ajouté, selon une paraphrase de Watson, que «Etant enfant, Obama avait passé du temps dans le centre islamique du quartier." De toute évidence, «centre islamique du quartier» est un euphémisme pour «mosquée», passer du temps là montre encore qu'Obama était musulman.

(2) Il a peut-être fait des grimaces et chahuté dans le cours de Coran, mais Obama a appris à faire la prière salat en classe de religion, son ancien professeur à Besuki, Effendi , rappelle qu'il «se joignait aux autres élèves pour les prières musulmanes." Effectuer la prière-la salat-en elle-même fait d'Obama un musulman. En outre, il conserve encore fièrement la connaissancedes cours suivis, il ya longtemps: en mars 2007, Nicholas D. Kristof du New York Times, témoigne qu'Obama "a rappelé les premières lignes de l'appel à la prière en arabe, en les récitant [à Kristof] avec un accent de premier ordre. " Obama n'a pas récité la salat elle-même, mais l'adhan, l'appel à la prière (en général scandé des minarets). Les deuxième et troisième lignes de l'adhan constituent la déclaration de foi islamique, la shahada, dont l'énonciation rend musulman. L'adhan complet dans son itération sunnite (en sautant les répétitions) se déroule comme suit:

Dieu est le plus grand.
Je témoigne qu'il n'y a pas de divinité à part Dieu.
Je témoigne que Mahomet est le Messager de Dieu.
Venez à la prière.
Venez à la réussite.
Dieu est le plus grand.
Il n'y a pas de divinité à part Dieu.

Aux yeux des musulmans, réciter l'adhan en classe en 1970 a fait d'Obama un musulman alors - et de le faire à nouveau pour un journaliste en 2007 une fois de plus fait d'Obama un musulman.

(3) Dans une conversation avec George Stephanopoulos en septembre 2008, Obama a parlé de "ma foi musulmane" , ne changeant par«ma foi chrétienne» qu'après que Stephanopoulos l'a interrompu et l'a corrigé. Personne ne pourrait laisser échapper "ma foi musulmane" à moins que quelque base existe pour une telle erreur.

(4) Lorsqu'il s'adresse à un public musulman, Obama utilise des expressions spécifiquement musulmanes qui rappellent son identité musulmane. Il s'est adressé à des auditoires au Caire ( en juin 2009) et Djakarta ( en novembre 2010) avec «as-salam alaykoum», un message d'accueil que celui qui est allé à la classe de Coran, sait qu'il est réservé à un musulman s'adressant à un autre. Au Caire, il a également déployé plusieurs autres termes pieux qui signalent aux musulmans qu'il est l'un d'entre eux:

«Le Coran» (un terme mentionné cinq fois): une traduction exacte de la référence de l'arabe standard au texte écrit, «Al-Qur'an al-Karim».
«Le droit chemin»: une traduction de l'arabe «as-Sirat al-mustaqim», par lequel les musulmans demandent à Dieu de les guider chaque fois qu'ils prient.
«J'ai connu l'islam sur trois continents avant de venir dans la région où il a été révélé": les non-musulmans ne font pas référence à l'islam comme révélé.
"L'histoire de l'Isra, avec Moïse, Jésus et Mahomet... unis dans la prière»: ce conte coranique d'un voyage nocturne établit la prééminence de Mahomet sur toutes les autres figures saintes, y compris Jésus."Moïse, Jésus et Mahomet, que la paix soit sur eux»: une traduction de l'arabe alayhim 'as-salam, ce que le musulman pieux dit après avoir mentionné les noms des prophètes morts autres que Mahomet. (une salutation différente, «salla Allahu alayhi wa sallam»: «Que Dieu lui rende hommage et lui accorde la paix», suit normalement le nom de Mahomet, mais cette expression n'est presque jamais dite en anglais.)



Obama parle de l'islam au Caire en juin 2009.


Obama disant: «Que la paix soit sur eux» a d'autres implications au-delà d'être une expression purement islamique jamais utilisée par les arabophones juifs et les chrétiens. Tout d'abord, elle contredit ce qu' un chrétien auto-proclamé croit, car cela implique que Jésus, comme Moïse et Mahomet, est mort;la théologie chrétienne tient qu'il est ressuscité, vivant et le Fils immortel de Dieu. Deuxièmement, y inclure Mahomet dans cette bénédiction implique la vénération pour ce dernier, quelque chose d'aussi extravagant qu'un Juif parlant de Jésus-Christ. Troisièmement, un chrétien serait plus naturellement porté à rechercher la paix venant de Jésus plutôt que de souhaiter la paix pour lui.

(5) La description exagérée et inexacte d'Obama de l'islam aux États-Unis révèle une mentalité islamiste. Il surestime considérablement le nombre et le rôle des musulmans aux États-Unis, annonçant en juin 2009 que «si vous aviez réellement évalué le nombre de musulmans Américains, nous serions l'un des plus grands pays musulmans du monde." (Difficilement: Selon un listing des populations musulmanes les États-Unis, avec environ 2,5 millions de musulmans, se classe au 47eme rang). Trois jours plus tard, il a donné une estimation gonflée de " près de 7 millions d'Américains musulmans aujourd'hui dans notre pays" et bizarrement a annoncé que «l'islam a toujours fait partie de l'histoire de l'Amérique .... Depuis la fondation de c epays, les musulmans américains enrichissent les États-Unis." Obama a également annoncé le fait douteux, en avril 2009 , que de nombreux Américains "ont des musulmans dans leur famille ou ont vécu dans un pays à majorité musulmane." Dans l'ordre de priorité des communautés religieuses aux États-Unis, Barack Obama donne toujours la première place pour les chrétiens, mais la deuxième place varie entre juifs et musulmans, notamment dans son discours inaugural de janvier 2009: "Les Etats-Unis sont une nation de chrétiens et de musulmans, de juifs et d'hindous et de non-croyants. " Obama surestime donc énormément le rôle musulman dans la vie américaine ce qui suggère une mentalité islamique suprématiste spécifique à une personne venant d'un milieu musulman.

Dans l'ensemble, ces déclarations confirment le témoignage de l'enfance d'Obama qu'il est né et a grandi musulman.

"Toute ma famille était musulmane"

Plusieurs personnes qui connaissent bien Obama le perçoivent comme musulman.Fait extrêmement étonnant, sa demi-sœur, Maya Soetoro-Ng, a déclaré: "Toute ma famille était musulmane." Toute sa famille, évidemment, comprend son demi-frère Barack.

En juin 2006, Obama a raconté comment, après une longue évolution religieuse, il "a finalement réussi à se convertir à l'Eglise du Christ «la Trinity United Church of Christ»sur la 95e Rue dans le quartier sud de Chicago un jour et affirmer sa foi chrétienne» avec une invitation à l'autel . Mais quand son pasteur de l'église Trinity-United, le révérend Jeremiah Wright, fut interrogé(par Edward Klein, the Amateur , p. 40), «Avez-vous converti Obama de l'islam au christianisme?" Que ce soit par ignorance ou par discrétion, Wright peaufiné la question, répondant énigmatique: «C'est difficile à dire.» Notons qu'il ne rejetait pas d'emblée l'idée que Barack Obama avait été musulman.

Le demi-frère âgé de 30 ans de Barack qui l'a rencontré à deux reprises, George Hussein Onyango Obama, a déclaré à un enquêteur en mars 2009 que «Il peut se comporter différemment en raison de l'endroit où il se trouve, mais à l'intérieur Barack Obama est musulman."

«Son deuxième prénom est Hussein»

Les musulmans ne peuvent pas se défaire du sentiment que, sous son identité chrétienne proclamée, Obama est vraiment l'un d'entre eux.

Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre de la Turquie, s'est reféré à Hussein comme à un nom «musulman». Les discussions entre musulmans sur Obama mentionnent parfois son deuxième prénom comme un code, sans commentaire supplémentaire nécessaire. Une conversation à Beyrouth, cité dans le Christian Science Monitor, saisit bien la perplexité. "Il doit être bon pour les Arabes parce qu'il est musulman", fit observer un épicier. «Il n'est pas musulman, c'est un chrétien,» répondit un client. Non, dit l'épicier, "Il ne peut pas être chrétien. Son deuxième prénom est Hussein." Le nom est une preuve irréfutable.




En dépit du fait de le connaître mieux, Asma Gull Hasan «n'arrive pas à
accepter que Obama n'est pas musulman.»


L'écrivaine américaine musulmane Asma Gull Hasan a écrit dans " Obama, mon président musulman "

Je sais que le président Obama n'est pas musulman, mais je suis tentée de penser néanmoins qu'il l'est, comme la plupart des musulmans que je connais. Dans un sondage sans valeur scientifique, oral, effectué sur des membres de la famille pour s'étendre à des amis musulmans, il en résulte que beaucoup d'entre nous ressentent ... que nous avons notre premier président américain musulman Barack Hussein Obama. ... Depuis le jour des élections, j'ai participé de plus en plus à des conversations avec les musulmans dans lesquelles ils sont d'accord qu'Obama est musulman et c'est soit de façon détachée ou avec enthousiasme qu'ils le laissent échapper. Dans les commentaires sur notre nouveau président, [on entend ]«je dois soutenir mon confrère musulman», qui s'échappait de la bouche avant qu'on ait eu le temps de réfléchir à deux fois. Ou " bien, je sais qu'il n'est pas vraiment musulman" ; je voudrais ajouter rapidement. Mais si les personnes à qui je parlais étaient musulmans, elles disaient, «oui il l'est.»

En guise d'explication, Asma Gull Hasan mentionne le prénom d'Obama. Elle conclut: «La plupart des musulmans que je connais (moi y compris) n'arrivons pas à accepter que Obama n'est pas musulman."

Si les musulmans ont ces impressions, on ne s'étonnera pas que le public américain les ait aussi. Cinq sondages par le Pew Reseach Center en 2008-2009 pour le peuple et la presse posant la questiont: «connaissez –vous quelle est la religion de Barack Obama?"ont trouvé un cohérent 11-12 pour cent des électeurs inscrits américains affirmant qu'il est vraiment musulman, avec des pourcentages beaucoup plus grands chez les républicains et les évangéliques. Ce nombre est passé à 18 pour cent en août 2010 pour une enquête de Pew. Un sondage de mars 2012 a trouvé environ la moitié des électeurs républicains susceptibles à la fois dans l'Alabama et le Mississippi de voir Obama comme un musulman. L'enquête de Pew de juin-juillet 2012 a révélé que 17 pour cent disent qu'Obama est un musulman et 31 pour cent ne connaissant pas sa religion, avec seulement 49 pour cent l'identifiant en tant que chrétien. Cela met en évidence une répartition égale entre ceux qui disent qu'Obama est un chrétien et ceux qui disent qu'il ne l'est pas.

Que ceux qui le voient comme musulman désapprouvent aussi massivement son rendement au travail montre une corrélation dans leur esprit entre l'identité musulmane et une présidence ratée. Qu'une si grosse partie du public persiste dans cette vision des choses tient à la réticence que le public éprouve à prendre Obama au mot d'être un chrétien. Ceci à son tour reflète le sentiment largement répandu que Mr. Obama a joué double jeu avec sa biographie.

"Il s'intéressait à l'Islam"

Pendant ses études en Indonésie, Obama, comme chacun le sait, a fréquenté le cours de Coran; ce qui est moins connu, comme il l'a rappelé en mars 2004, est son «étude de la Bible et du catéchisme» à l'école d'Assise. Comme chacun de ces cours de religion était destiné seulement pour les croyants [appartenant à cette religion], la participation aux deux cours ne se faisait pas. Plusieurs de ses anciens professeurs se souviennent bien d'Obama. Voici ce que disent trois d'entre eux à ce sujet:

L'institutrice d'Obama, en primaire à l'école d'Assise [alors qu'Obama avait 6 ou 7 ans (NDLT)], Israella Dharmawan, a rappelé à Watson du Los Angeles Times: "A cette époque, Barry priait également selon le rite catholique, mais Barry était musulman .... Il a été inscrit comme musulman parce que son père, Lolo Soetoro, était musulman. "

L'ancien instituteur de primaire à Besuki, Effendi,[alors qu'Obama avait 8 ou 9 ans (NDLT)] a dit à Anne Barrowclough du Times (Londres) , que l'école avait des élèves de diverses confessions et a rappelé que les élèves assistaient à des cours en fonction de leur religion- sauf pour Obama, qui, seul, avait insisté pour participera à la fois à des classes chrétiennes et islamiques. Il l'a fait, même contre la volonté de sa mère chrétienne: «Sa mère n'aimait pas cet apprentissage de l'Islam, bien que son père fût un musulman . Parfois, elle venait à l'école; elle était en colère contre le professeur de religion et disait:« Pourquoi lui avez-vous enseigné le Coran? Mais il a continué à aller au cours [de Coran] parce qu'il s'intéressait à l'Islam. "

Un administrateur de Besuki, Akhmad Solikhin, a exprimé (à un journal indonésien, le Kaltim Post, le 27 janvier 2007, traduction fournie pour "Un Américain expatrié en Asie du Sud-est", citation coupée pour plus de clarté) sa perplexité à propos de la religion d'Obama: "Il a en effet a été enregistré en tant que musulman, mais il prétend être chrétien ».

Cette religiosité double, il est vrai, est en cours de discussion au moment où Obama est une personnalité internationale et lorsque la nature de son appartenance religieuse a pris des proportions politiques.Mais en plus, que les trois figures de son passé indonésien fassent indépendamment une même constatation est frappant et montre la complexité du développement personnel de Barack Obama. Ils soulèvent également la possibilité peu probante mais fascinante que Barack Obama, même à l'âge entre six à dix ans , cherchait à combiner ses religions maternelle et paternelle dans un ensemble syncrétique personnel, en se présentant à la fois comme chrétien et musulman. De façon subtile, il fait encore cela.

Découverte de la Vérité

En conclusion, les données disponibles montrent que Barack Obama est né et a grandi comme musulman et conservé une identité musulmane jusqu'à ce qu'il ne soit pas loin de la trentaine [entre 26 et 29 ans (NDLT)]. Enfant d'une lignée d'hommes musulmans, étant donné qu'il avait un nom musulman, enregistré en tant que musulman dans deux écoles indonésiennes, il a appris le Coran en classe de religion, récite toujours la profession de foi islamique, et parle à des auditoires musulmans comme un croyant. Entre son père musulman non pratiquant, son beau-père musulman, et ses quatre ans de vie dans un milieu musulman, il était à la fois vu par les autres et se voyait comme un musulman.

Cela n'est pas pour dire qu'il était musulman pratiquant ou qu'il reste un musulman aujourd'hui, et encore moins un islamiste, ni que son origine musulmane influe considérablement sur sa vision politique (qui, en fait, est typique d'une gauche américaine). Ce n'est pas non plus qu'il ya un problème au sujet de sa conversion le faisant passer de l'islam au christianisme. La question est qu'Obama a spécifiquement et de façon répétée a menti sur son identité musulmane. Plus que toute autre tromperie, la façon qu'a Obama de traiter de son passé religieux met en lumière ses propres manquements moraux.

Questions sur la Vérité d'Obama

Pourtant, ces défauts restent encore largement inconnus de l'électorat américain. Considérons le contraste entre son cas et celui de James Frey, auteur de A Million Little Pieces. Les deux, Frey et Obama, ont écrit des mémoires erronées que Oprah Winfrey a approuvées et ont atteint le n°1 sur la liste des bestsellers de non-fiction. Lorsque les mensonges littéraires de Frey sur sa propre prise de drogue et sa criminalité sont devenus évidents, Winfrey s'en est pris violemment à lui, une bibliothèque a reclassé son livre comme une fiction, et l'éditeur a offert un remboursement aux clients qui se sont sentis trompés.

En revanche, les mensonges d'Obama sont allègrement excusés; Arnold Rampersad, professeur d'anglais à l'Université de Stanford qui enseigne l'autobiographie, admiratif a appelé les rêves "si plein d'habiles astuces -inventions pour l'effet littéraire- que j'ai été surpris, voire étonné Mais ne vous méprenez pas. , ce sont simplement des trucs dans les métiers d'art et hors de ces trucs est censé venir notre réalisation de la vérité.» Gerald Early, professeur de littérature anglaise et d'études afro-américaines à l'Université Washington à St. Louis, va plus loin: "Cela n'a vraiment pas d'importance s'il a truqué .... Je ne crois pas qu'il importe beaucoup de savoir si Barack Obama a dit la vérité absolue dans les rêves de mon père. Ce qui est important est de savoir comment il voulait construire sa vie. "

Comme c'est bizarre que l'histoire d'un voyou au sujet de ses activités sordides inspire des principes moraux élevés tandis que l'autobiographie du président américain est acceptée sans exigences [le niveau passable, la moyenne (NDLT)]. Richard le truqueur cède la place à Barry le fraudeur




M. Pipes (www.DanielPipes.org) est président du Forum du Moyen-Orient. © 2012 par Daniel Pipes. Tous droits réservés.

The Washington Times
Du 10 au 14 septembre 2012
[fr.danielpipes.org]

Version originale anglaise: Obama's Muslim Childhood
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert




Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 septembre 2012 : 23:23

Barack Obama, dont l'ambassadeur libyen ainsi que 3 fonctionnaires viennent d'etre massacres, n'apprecie pas les caricatures publiees par Charlie-Hebdo. Il prefere faire profil bas.

La Maison-Blanche a mis en doute mercredi la décision de l'hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo de publier des caricatures du prophète Mohammed. "Nous avons des questions sur le jugement qui a conduit à publier de telles choses", a déclaré le porte-parole du président Barack Obama, Jay Carney

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