Un conteur Place Djema el Fna Marrakech
Marcel VICAIRE (Paris 1893 - Saint-Etienne 1976)
"... En 1924 ce peintre est nommé Inspecteur des Beaux-Arts et Monuments Historiques du Maroc. Il effectue des études approfondies, sillonnant le Maghreb, pour retrouver les techniques ancestrales des métiers d'art : brodeuses et tisserands de brocart de soie, bijoutiers, tanneurs, relieurs, enlumineurs, babouchiers et selliers, tréfileurs d'or... obéissant ainsi à la mission du Maréchal Lyautey, soucieux de préserver les splendeurs du patrimoine culturel du Maroc.
Bonjour les amis(es)....de beaux paysages marins par Preciosa et Andrée.:clap:
Tu as raison, Darlett, le nombre de peintres orientalistes d'une époque est impressionnante mais comme tu dis, l'Orient et le Moyen Orient fascinaient.En ce moment il y a par contre une belle exposition au Musée Marmottan à Paris sur "La toilette: la naissance de l'intime". Nous avions beaucoup de retard sur les arabes question bains et usage de l'eau!!!
Et pourtant les romains avaient les thermes!!
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www.marmottan.fr]
L'invention du mot -
Avec le 17e siècle, la toilette s'installe en se centrant sur le visage. "L'eau est vue comme un milieu un peu inquiétant, susceptible de transporter des maladies, de donner des fluxions, d'attaquer les dents", souligne Georges Vigarello. C'est le temps de la toilette "sèche", le linge est le signe de la propreté, comme le montre un superbe tableau d'Abraham Boss, "La Vue (femme à sa toilette)". On utilise des onguents, "il y a quelque chose de l'ordre de l'intime".
C'est aussi le temps de l'invention du mot "toilette", d'abord étoffe sur un meuble pour y étaler brosses, peignes, parfums..., puis le meuble lui-même, avant de devenir l'action. En contrepoint, "La Femme à la puce" de Georges de la Tour, une modeste servante qui tue la vermine entre ses pouces.
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www.lexpress.fr]
Bonne fête
Louise
Gina, Lilou, Loeiza, Loeizig, Loïse, Lossa, Lou, Louella, Louisa, Louisane, Louisella, Louisette, Louisiane, Louison, Loyse, Ludovica, Luisa
Sainte Louise de Marillac
Fondatrice des filles de la Charité (✝ 1660)
Louise est la nièce du chancelier royal Michel de Marillac et du maréchal Louis de Marillac, arrêtés tous deux et condamnés à mort par Richelieu après la "Journée des Dupes" du 10 novembre 1630. Fille naturelle d'un grand seigneur, elle est élevée par les religieuses dominicaines de Poissy. En 1613, mariée à un simple bourgeois, elle devient Mademoiselle Le Gras. Son fils Michel lui donnera beaucoup de soucis. A 34 ans, elle se retrouve veuve. C'est alors qu'elle rencontre saint Vincent de Paul.
Subjuguée par la charité contagieuse du prêtre, elle devient rapidement sa collaboratrice dans toutes ses actions charitables. En 1633, ils fondent ensemble la "Compagnie des Filles de la Charité", appelée communément Sœurs de Saint Vincent de Paul. Louise, supérieure de la nouvelle communauté, oriente les sœurs vers tous les exclus de son temps : elle crée des petites écoles pour les fillettes pauvres; elle organise l'accueil et l'éducation des enfants trouvés; elle développe la visite à domicile pour les malades pauvres; elle envoie des sœurs auprès des galériens.
Les Louise séduisent souvent par leur discrétion et leur volonté. De nature méfiante, imprévisible et astucieuse, elles sont aussi des personnes actives, émotives et passionnantes. Sérieuses et appliquées, elles sont également persévérantes et toujours en quête de perfection. Pouvant paraître matérialistes, les Louise sont toutefois pragmatiques et se montrent habituellement sérieuses et travailleuses. Ne croyant pas en leur chance, elles sont convaincues que leur réussite dépend seulement de leur travail et de leurs efforts. Disposant du sens accru du devoir des grands guerriers, elles sont particulièrement rigoureuses. De ce fait, elles affectionnent le travail bien fait.
Intuitives, elles disposent aussi de grandes qualités de séduction. Pouvant parfois paraître superficielles, elles adoptent notamment cette attitude pour dissimuler leur vraie personnalité et garder leur pouvoir d’enchantement. Se repliant facilement sur elles-mêmes, elles peuvent passer des sentiments de bouderie à la rumination intérieure. Même si elles sont très sensibles et émotives, les Louise prennent toutefois du plaisir à diriger les autres.
De nature complexe, elles peuvent parfois osciller entre un côté sédentaire ou routinier sécurisant et l’amour du changement ou le besoin de voyage ou d’aventure. Leur penchant pour la justice leur confère notamment une âme de missionnaire. Ayant généralement les pieds sur terre, les Louise ont un sens scrupuleux de la morale. Ennemies de tout ce qui est superficiel ou des artifices, elles sont habituellement des adeptes de la nature, des fleurs, des plantes et des animaux.
Le dicton du 15 mars :
À la mi-mars, le coucou est dans l'épinard.
Taille tôt, taille tard ; taille toujours en mars
Proverbe du jour:
La tristesse vit dans la solitude.
Proverbe de la Bible ; L'Ecclésiastique - IIe av. J.-C.
Citation du jour:
Dans le doute, mieux vaut savoir faire marche arrière.
Citation de la sagesse populaire ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Dans le doute, mieux vaut savoir faire marche arrière.
Citation de la sagesse populaire ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Bon dimanche à tous.....
Laila