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Le nouveau Maroc
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 22 décembre 2009 : 19:49

S.M. le roi aurait du penser Ă  nous !

Le nouveau Maroc
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 22 décembre 2009 : 20:55

Ce n'est pas la cause de leur nationalitĂ© IsraĂ©lienne qui a gĂȘnĂ©e ces tristes individus refusant une formation, mais tout simplement la jalousie d'ĂȘtre formĂ© par un juif !!!!!!)!*




Le nouveau Maroc
Posté par: alex (IP enregistrè)
Date: 23 décembre 2009 : 00:42

Citation:
CEREJIDO
S.M. le roi aurait du penser Ă  nous !

ca viendra

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 24 décembre 2009 : 14:48

Citation:
CEREJIDO
Ce n'est pas la cause de leur nationalitĂ© IsraĂ©lienne qui a gĂȘnĂ©e ces tristes individus refusant une formation, mais tout simplement la jalousie d'ĂȘtre formĂ© par un juif !!!!!!)!*

Et pourtant Cerejido, et pourtant ! pendant des siécles au Maroc les musulmans ont toujours demandé conseil aux juifs quand ils ont des problemes, que ce soit les rois ou les simples citoyens et ceci jusqu'au 20 éme siecle. Les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas vecu cette periode et ils ne connaissent pas l'histoire de leur pays.

Le nouveau Maroc
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 24 décembre 2009 : 14:55

Citation:
derka
Citation:
CEREJIDO
Ce n'est pas la cause de leur nationalitĂ© IsraĂ©lienne qui a gĂȘnĂ©e ces tristes individus refusant une formation, mais tout simplement la jalousie d'ĂȘtre formĂ© par un juif !!!!!!)!*

Et pourtant Cerejido, et pourtant ! pendant des siécles au Maroc les musulmans ont toujours demandé conseil aux juifs quand ils ont des problemes, que ce soit les rois ou les simples citoyens et ceci jusqu'au 20 éme siecle. Les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas vecu cette periode et ils ne connaissent pas l'histoire de leur pays.


derka
tu ne crois pas si bien dire !mon cousin germain etait le premier conseille du roi hassan II §
ET IL A ETE LE REPRESENTANT DE LA COMMUNAUTEE JUIVE DE CASABLANCA §

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Le nouveau Maroc
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 24 décembre 2009 : 20:29

Des DERKA, ALEX,HAIFA (j'en oublie bien d'autres et je m'en excuse) on peut les compter que par dizaines hélas!
Sans hypocrisie, sachez que vousavez
toute la sympathie de la communauté JUIVE-MAROCAINE.
BONNE FIN 2009




Le nouveau Maroc: "Like a virgin"
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 20 janvier 2010 : 00:47

MAROC ‱ "Like a virgin"

Des hymens artificiels, promettant de simuler "la premiÚre fois", sont commercialisés par une société chinoise qui entend bien percer dans les pays musulmans. Exemple au Maroc avec le récit de TelQuel.



Se refaire une virginitĂ© comme on s’achĂšte un string. Au souk du coin, en moins de cinq minutes et pour moins de 26 euros. On dirait une pub, ce sera bientĂŽt une rĂ©alitĂ©. L’hymen artificiel, produit chinois digne d’une boutique de farces et attrapes, risque de faire fureur sur le marchĂ© informel marocain. QuĂšsaco ? Une petite poche translucide de quelques centimĂštres de large contenant du liquide rouge, placĂ©e Ă  l’intĂ©rieur du vagin environ vingt minutes avant le rapport sexuel. Sous l’effet de la chaleur corporelle, la membrane se dilate et, lors de la pĂ©nĂ©tration, une sensation de dĂ©floration est ainsi recrĂ©Ă©e, le liquide rouge se rĂ©pand, imitant la rupture de l’hymen et tachant de quelques gouttes les draps. Le tour est jouĂ© pour une somme modique.

Ce produit d’origine japonaise, conçu dans les annĂ©es 1990 par un fabricant d’accessoires coquins, Ă©tait proposĂ© comme sex-toy pour couple dĂ©bridĂ©. Mais la sociĂ©tĂ© chinoise Gigimo, qui propose une livraison dans le monde entier, sous pli discret, pour 21 euros, a saisi le potentiel commercial d’un tel produit dans les pays musulmans. Bien dĂ©cidĂ© Ă  pĂ©nĂ©trer ces marchĂ©s, Gigimo s’est offert, fin septembre, une publicitĂ© – en arabe – sur les ondes Ă©gyptiennes. Stupeur dans les chaumiĂšres. La presse locale enfonce le clou en affirmant que le produit serait bientĂŽt disponible sur le marchĂ© pour 10 euros. Scandale dans le landerneau politique. Les dĂ©putĂ©s conservateurs montent au crĂ©neau. Le cheikh Sayed Askar, membre des FrĂšres musulmans et de la commission parlementaire des Affaires religieuses, demande au gouvernement l’interdiction d’importer et de commercialiser ce produit “dangereux”, qui permettrait aux femmes de “succomber Ă  la tentation du vice”. La polĂ©mique franchit vite les frontiĂšres et arrive au Maroc avant mĂȘme le produit incriminĂ©.

“Depuis quelques semaines, je reçois des patientes qui me demandent mon avis sur cet hymen artificiel. Elles veulent savoir s’il existe des risques pour leur santĂ© et oĂč se le procurer”, raconte Aboubakr Harakat, sexologue Ă  Casablanca. Ne relevant pas du domaine mĂ©dical, c’est sur le marchĂ© informel que le produit pourrait ĂȘtre disponible. Mais, pour l’heure, l’hymen chinois n’a pas envahi les Ă©tals comme les autres produits made in China. “Vous ne trouverez pas ça ici”, lance, catĂ©gorique, le propriĂ©taire chinois d’une boutique du souk casablancais, se faisant presque menaçant. Pourtant, dans ce quartier, tous semblent bien connaĂźtre Gigimo. A la vue de la photo, les vendeuses sourient jaune. “Les Chinois sont extrĂȘmement mĂ©fiants. Ils ont conscience que la virginitĂ© est un sujet sensible et ne commercent qu’avec des acheteurs qu’ils connaissent bien”, confie un employĂ© d’une Ă©choppe chinoise, convaincu que le produit circule en petites quantitĂ©s, mĂȘme s’il n’en a pas vu lui-mĂȘme. Quelques portes plus loin, un autre commerçant, marocain, lĂąche : “Cela n’existe pas au Maroc. C’est bloquĂ© Ă  la douane.” A-t-il tentĂ© de l’importer ? Impossible d’en savoir plus.

Il n’en fallait pas plus au Conseil des oulĂ©mas de Rabat, qui, fidĂšle Ă  l’adage “mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir”, n’a pas attendu pour se prononcer sur le sujet. Sans surprise, il condamne cette “brĂšche ouverte” aux relations illĂ©gitimes. Dans une fatwa Ă©mise fin octobre, ces gardiens du temple religieux rĂ©affirment que, selon le Coran, “l’hymen ne peut ĂȘtre recousu” et dĂ©clarent que l’utilisation d’un hymen artificiel est une “tricherie interdite” qui porte “atteinte aux principes et valeurs de l’islam”. Les oulĂ©mas s’attaquent aux utilisatrices et aux vendeurs du gadget, qui portent prĂ©judice aux maris. Mais les thĂ©ologiens ne sont pas unanimes. Pour Abdelbari Zemzami, dĂ©putĂ© islamiste du Parti de la renaissance et de la vertu, l’hymen artificiel peut ĂȘtre licite pour les femmes victimes de viol ou en cas de perte accidentelle de la virginitĂ©. Et l’ancien imam d’ajouter qu’il n’existe pas d’obligation d’en informer l’époux. “Le mariage est souhaitable dans l’islam, et tout moyen pour y parvenir est lĂ©gitime”, a-t-il expliquĂ© dans la presse. Les artifices de simulation de la virginitĂ© se banaliseront suffisamment pour que l’hypocrisie sociale sur ce sujet s’arrĂȘte, se prĂȘte Ă  rĂȘver Aboubakr Harakat. “Ce produit aura peut-ĂȘtre le mĂ©rite d’ouvrir un dĂ©bat de sociĂ©tĂ© sur la virginitĂ©â€, estime le sexologue. Qui conclut : “A ce rythme, dans deux ou trois gĂ©nĂ©rations, la virginitĂ© sera tombĂ©e aux oubliettes.”

Holocauste : Le Maroc se félicite de sa tolérance envers les Juifs
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 29 janvier 2010 : 23:57

28 janvier 2010 – Le Maroc s'est fĂ©licitĂ© jeudi de sa tolĂ©rance envers les Juifs et de sa rĂ©sistance aux politiques antisĂ©mites mises en place durant la DeuxiĂšme guerre mondiale, dans le cadre de la commĂ©moration des victimes de l'Holocauste au siĂšge de l'ONU.

Dans un message lu en son nom, le Roi du Maroc, Mohammed VI, a dĂ©clarĂ© que l'expĂ©rience de son pays avec les Juifs permettait de tirer des enseignements importants pour le prĂ©sent, spĂ©cialement pour le conflit israĂ©lo-palestinien. « L'exclusion existe toujours mĂȘme quand des mesures sont prises pour inciter au dialogue entre les civilisations, les cultures et les religions », a-t-il dit.

Mohammed VI a souligné que le souvenir de l'Holocauste « impose fermement des normes éthiques, morales et politiques qui seront, demain, les vraies garanties de la paix, basée sur la justice et la dignité, à laquelle Palestiniens et Israéliens aspirent ».

Le Maroc a résisté aux politiques mises en place par l'Etat français du régime de Vichy, durant la DeuxiÚme guerre mondiale, en refusant d'exclure les Juifs des fonctions publiques et de les obliger à porter l'étoile jaune.

Six millions de Juifs ont été tués dans le génocide perpétré par les Nazis, ainsi que des Tziganes, des Slaves, des homosexuels, des handicapés, des Témoins de Jéhovah, des communistes et des dissidents.

L'hĂ©ritage des survivants de l'Holocauste « porte un message crucial », a dĂ©clarĂ© de son cĂŽtĂ© le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU, Ban Ki-moon dans un message vidĂ©o transmis pour la JournĂ©e internationale en mĂ©moire des victimes de l'Holocauste, cĂ©lĂ©brĂ©e mercredi 27 janvier. « Un message sur le triomphe de l'esprit humain. Un tĂ©moignage vivant que la tyrannie, mĂȘme si elle apparaĂźt, ne l'emportera certainement pas ».

Holocauste : Le Maroc se félicite de sa tolérance envers les Juifs
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 30 janvier 2010 : 01:47

Oui, le Maroc et grùce à S.M. feu MOHAMED V nous avions été épargnés de la déportation par les allemands et les collabos de Vichy du maréchal PUTAIN.

Holocauste : Le Maroc se félicite de sa tolérance envers les Juifs
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 30 janvier 2010 : 12:27

Mais non,Cerejido,nous avons echappĂ© Ă  la dĂ©portation parce que les Allemands n'Ă©taient pas encore prĂȘts Ă  envahir le Maroc.GrĂące Ă  la duplicitĂ© de Franco,qui leur avait interdit le transit ferroviaire de
leurs troupes.Mais en novembre 1942,leur plan Ă©tait prĂȘt et les premiers agents de la Gestapo Ă©taient prĂ©sents pour superviser les troubles anti-juifs organisĂ©s par la Milice qui auraient "contraint" les autoritĂ©s françaises Ă  "regrouper" les Juifs dans des camps "de protection ",prĂ©lude au massacre et Ă  l'extermination.

Le Roi Mohamed V,a courageusement interdit aux autorités du Protectorat et particuliÚrement au sinistre NoguÚs,la discrimination administrative des Juifs marocains concernant la vie qotidienne.Mais qu'aurait-il pu faire contre les Nazis,si miraculeusement les Alliés ne les avaient pas devancé le 8 Novembre de quelques Jours seulement ? Rien ,hélas.

Il le savait et il avait Ă©mis l'idĂ©e que des enfants Juifs en grand nombre pouvaient ĂȘtre sauvĂ©s de la mort physique par des familles musulmanes en se convertissant.Une autre forme de la mort,que l'Eternel
nous a évité.

Le Maroc, un exemple de coexistence
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 31 janvier 2010 : 09:06

Le Maroc, un exemple de coexistence

Le Maroc a de tout temps été un exemple de coexistence et de tolérance, y compris durant les sombres moments de l'histoire de l'humanité, ont souligné, jeudi à New York, plusieurs intervenants lors d'une conférence intitulée «les Marocains de confession juive durant la 2e guerre mondiale».

Le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay et l'ambassadeur itinérant, Serge Berdugo.

Feu S.M. Mohammed v a assure protection aux juifs durant une periode sombre de l'histoire de l'humanite
Cette conférence, organisée par l'Onu, a été notamment l'occasion pour le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay, l'ambassadeur itinérant du Souverain, Serge Berdugo, et les universitaires Peter Geffen et Micha Stettin, de souligner le rÎle d'avant-garde de feu SM Mohammed V en assurant protection aux juifs durant cette période sombre de l'histoire de l'humanité, et de mettre en exergue les valeurs de tolérance et de coexistence qui ont toujours prévalu au Maroc.

Dressant une rétrospective de la vie des juifs au Maroc, M. Berdugo a expliqué comment feu S.M. Mohammed V avait contré la politique raciste du protectorat et atténué la rigueur des mesures antisémites.

«A l'évidence, le Sultan, pour sauvegarder les sujets de confession juive, a pris des risques d'autant plus considérables que son pouvoir était battu en brÚche par le protectorat français, lequel n'hésitera pas à le destituer et à l'exiler en 1953», a affirmé M. Berdugo.

DĂšs lors, a-t-il ajoutĂ©, «on comprend la vĂ©nĂ©ration que les juifs marocains vouent Ă  feu S.M. Mohammed V, qui, dans leur mĂ©moire collective, est pour l'Ă©ternitĂ© le ‘Juste parmi les Nations' qui les a sauvĂ©s des griffes nazies».

S.M. le Roi Mohammed VI se fait un devoir de protĂ©ger ses sujets juifs au mĂȘme titre que ses sujets musulmans
Se rĂ©fĂ©rant au message de S.M. le Roi Mohammed VI, du 18 mars dernier, aux participants Ă  la cĂ©rĂ©monie de lancement Ă  l'Unesco du projet «Aladin pour un dialogue interculturel fondĂ© sur la vĂ©ritĂ© historique, la connaissance et le respect mutuel», M. Berdugo a relevĂ© qu'en «assumant son rĂŽle spirituel de commandeur des croyants, S.M. le Roi, descendant du ProphĂšte, se fait un devoir de protĂ©ger Ses sujets juifs au mĂȘme titre que Ses sujets musulmans».

«Le Sultan est garant de la sécurité des trois composantes du Royaume, arabe, berbÚre et juive, qui ont vécu, des siÚcles durant au Maroc, dans l'harmonie et la fraternité», a affirmé l'ambassadeur itinérant de S.M. le Roi.

Il a ajouté qu'«aujourd'hui, S.M. le Roi Mohammed VI, fidÚle à ces principes, réaffirme Sa responsabilité religieuse, historique et constitutionnelle dans la préservation des personnes, des droits et des valeurs sacrées de Ses sujets de confession juive».

Les Rois du Maroc, a-t-il poursuivi, ont toujours fait preuve de sollicitude envers cette composante de la population marocaine et «l'attachement des Juifs à leur marocanité ne s'est jamais démenti qu'ils soient restés au Maroc ou qu'ils vivent sous d'autres cieux».

«S'il y a une leçon fondamentale à retenir de l'action des Rois du Maroc de Hassan 1er à S.M. le Roi Mohammed VI en passant par feu S.M. Mohammed V et feu S.M. Hassan II, c'est bien l'importance du rÎle que peut jouer un chef d'Etat dans l'instauration d'un climat apte à la reconnaissance et au respect des droits et des libertés des minorités religieuses», a insisté M. Berdugo.

Les juifs sont citoyens au mĂȘme titre que tous les autres marocains
Intervenant en vidĂ©oconfĂ©rence depuis Davos en Suisse, M. Azoulay a, pour sa part, soulignĂ© que tout en Ă©tant «un Etat arabe et musulman, un Etat qui se bat pour les droits des Palestiniens Ă  vivre Ă  cĂŽtĂ© d'IsraĂ«l, le Maroc reste un pays pacifique oĂč les Juifs sont citoyens au mĂȘme titre que tous les autres marocains».

Et d'ajouter : «nous sommes fiers de notre pays musulman qui milite pour toutes les causes arabes, y compris pour la recherche d'une paix juste et durable entre les peuples palestinien et israélien avec deux Etats vivant dans la logique de la coexistence, d'une meilleure entente et de construction d'une vision de convivialité».

Ce qu'a fait le Maroc durant la sombre pĂ©riode nazie est en «parfaite cohĂ©rence avec l'histoire du Royaume et nous sommes aujourd'hui dans la continuitĂ©, avec les mĂȘmes valeurs, le mĂȘme engagement et la mĂȘme rationalité», a insistĂ© le Conseiller de SM le Roi.

Le Maroc : un havre de paix pour les milliers de juifs européens fuyant le nazisme
Durant la période du nazisme, le Maroc a adressé au reste du monde un message d'humanité en résistant à l'application sur son territoire des lois de Vichy, a-t-il précisé, ajoutant que le Maroc a été un havre de paix pour les milliers de juifs européens, qui fuyaient leurs pays pour sauver leur vie.

Quant à M. Geffen, il a fait part de son étonnement que ce pan de l'histoire du Maroc reste méconnu, s'engageant à n'épargner aucun effort pour faire connaßtre «l'attitude exemplaire de feu Mohammed V qui reflÚte tous les idéaux des droits de l'Homme».

Il a, en outre, plaidé pour une mobilisation en vue de mieux faire connaßtre la noble action du pÚre de la Nation, le regretté S.M. Mohammed V, aux Etats-Unis et à travers le monde.

Micha Stettin a, pour sa part, appelé à tirer des enseignements de cette période et à transmettre aux générations futures l'exemple du Royaume, riche en symboliques de cohabitation et de tolérance.

Lors du débat, les participants ont rendu hommage aux Souverains marocains pour leur humanisme, esprit de tolérance et d'ouverture, valeurs plus que jamais d'actualité.

Cette conférence s'est déroulée en présence, notamment de l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprÚs de l'Onu, Mohamed Loulichki et d'une nombreuse assistance composée des représentants d'ONG accréditées auprÚs des Nations unies, des Etats-Unis et de plusieurs autres pays, de hautes personnalités de l'organisation mondiale et du monde diplomatique ainsi que de membres de la communauté marocaine, de confession juive et musulmane, établie aux Etats-Unis.

Par MAP

Le Maroc, un exemple de coexistence
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 06 février 2010 : 16:09

Les opposants sahraouis à la souveraineté
marocaine sont refoulés aux frontiÚres et dans les aéroports, et parfois
privés de leurs passeports !!
Au Maroc, vivent aujourd'hui 37 millions de personnes, la plupart professant la religion musulmane. Il y a aussi 250.000 ressortissants etrangers dont pres de 200.000 Francais. Et il reste 3.300 Marocains professant la religion juive.

La police marocaine, sous toutes ses formes, comprend environ 1 million de personnes. Avec une telle force, il n'y a pratiquement pas d'opposition, et les personnes indesirables sont envoyees casser des cailloux au Sahara. Et des cailloux ils n'en manquent pas.

C'est vrai, le Maroc est un beau pays, tres beau meme. La seule question que je me pose au sujet de ce beau pays, est de savoir pourquoi ses jeunes ne revent que de le quitter.



[www.hrw.org]-

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Le Maroc, un exemple de coexistence
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 06 février 2010 : 16:16

Ils ne rĂȘvent pas de le quitter mais changer et trouver un emploi pour aider leurs familles et c'est triste Ă  constater mais leur but revenir au pays et c'est normal.

«Le Maroc un cas d'école unique dans la coexistence entre juifs et musulmans»
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 07 février 2010 : 16:35

«Le Maroc un cas d'école unique dans la coexistence entre juifs et musulmans»
Entretien avec Nicole Elgrissy Banon :

Dans l'entretien suivant, Nicole Elgrissy Banon raconte les circonstances et les raisons qui l'ont poussée à s'investir pour écrire ce livre-témoignage sur l'exode des juifs marocains vers Israël et d'autres pays dans les quatre coins du globe. Entretien.
L’Opinion: Pourquoi un tel livre aujourd'hui ?

Nicole Elgrissy Banon: Ce livre est un cri du cƓur surtout vers ceux qui se sont exilĂ©s, j'ai voulu que ces gens admettent que ça fait 42 ans qu'ils sont partis par peur, Ă  cause de la rumeur. AprĂšs la guerre de 1967, celle de 1973, la guerre du Golfe, rien ne s'est passĂ© de ce qu'on leur avait racontĂ©. ReconnaĂźtre cette erreur c'est le minimum d'hommage que les Marocains juifs devraient rendre Ă  leurs Rois qui les avaient toujours protĂ©gĂ©s. Le Maroc est un cas d'Ă©cole unique dans le monde pour ce qui est de la coexistence confessionnelle entre juifs et musulmans pour former un seul peuple, une seule nation, une culture riche de sa diversitĂ© et ses diffĂ©rences.

L’Opinion: Les premiĂšres vagues d'exode c'Ă©tait Ă  cause de la guerre de 1967 ?

Nicole Elgrissy Banon: En dehors de la guerre des six jours, il y avait eu hĂ©las le traumatisme, cinq ans auparavant, de l'expulsion en masse, en 1962, des familles juives d'AlgĂ©rie au lendemain de l'indĂ©pendance de ce pays. Des chanteurs comme Enrico Macias et Patrick Bruel qui faisaient partie des familles expulsĂ©es ont chantĂ© ce traumatisme. Dans le lot, il y avait aussi le grand comĂ©dien Roger Hanin. Or, Ă  cause de ce traumatisme, des Juifs marocains croyaient qu’il pouvait leur arriver la mĂȘme chose Ă  leur tour d'un jour Ă  l'autre, ce qui a fait qu'il y a eu les premiĂšres grandes vagues de dĂ©part. Aujourd'hui, des anciens juifs expulsĂ©s d'AlgĂ©rie sont en train de revendiquer rĂ©paration Ă  l'Etat algĂ©rien en demandant 144 millions de dollars. Les juifs d'AlgĂ©rie Ă©taient environ 120 milles. Contrairement aux Marocains, les juifs d'AlgĂ©rie en exil n'ont pas dĂ©veloppĂ© de nostalgie pour leur pays d'origine. Contrairement aux Marocains, ils ont une douleur rentrĂ©e qu'ils ne pourraient pas exorciser.

L’Opinion: Si les premiers dĂ©parts Ă©taient au milieu des annĂ©es 60, Ă  quelle Ă©poque il y eut les premiers retours ?

Nicole Elgrissy Banon: Les premiĂšres vagues de retour vers le pays c'est vers 1990 et 1991. Entre temps, les contacts ne s'Ă©taient pas perdus. Ceux qui avaient des mariages, communion solennelle, demandaient qu'on leur envoie des articles vestimentaires typiquement marocains, des caftans et aussi des produits, des objets oĂč ils sentaient l'odeur du pays. Le sens olfactif avait son importance. Il n'y a donc jamais eu une coupure complĂšte. Quand on avance en Ăąge on a envie de retrouver son enfance, c'est forcĂ©.


L’Opinion: Le chti c'est quoi au juste ?

Nicole Elgrissy Banon: Ce que j'appelle le chti c'est ce langage marocain judĂ©o-arabe, un mĂ©lange d'hĂ©breu, de berbĂšre et d'arabe. J'ai empruntĂ© ce nom du titre d'un film intitulĂ© «Bienvenue chez les chtis», un film français sur la vie dans un village oĂč les habitants communiquent par une langue Ă  eux, du patois. Cette langue que j'appelle chti c'est la darija marocaine version juive avec de l'humour juif riant dans le drame. On dit chez nous «ktrat lhamm kaddhhak» (trop de soucis fait rire). Cette langue a Ă©tĂ© plus ou moins conservĂ©e mĂȘme au sein des familles juives marocaines expatriĂ©es pendant des annĂ©es en IsraĂ«l ou au Canada. Suzanne, une de mes tantes s'Ă©tait expatriĂ©e Ă  l'Ăąge de 50 ans. Comme elle Ă©tait restĂ©e seule on lui faisait peur en lui disant que des musulmans allaient l'attaquer chez elle et la tuer. Elle a fini par cĂ©der Ă  la peur pour partir au Canada. Elle n'avait pas de formation particuliĂšre pour trouver du travail, elle Ă©tait assistante dans un cabinet mĂ©dical Ă  Casablanca. Pour survivre, elle s'est retrouvĂ©e en train de garder des enfants Ă  MontrĂ©al comme baby-sitter.. Quand elle voulait faire dormir l'un des enfants, elle ne pouvait s'empĂȘcher de lui chanter en arabe. Des enfants dont la langue maternelle est l'anglais ! Sa complainte qu'elle chantait c'est «awili awili alach mchit min lmaghrib?»


L’Opinion: Vous parlez avec beaucoup d'humour de femmes juives marocaines qui s'Ă©taient exilĂ©es en France, qui ne connaissaient pas le français et qui avaient des difficultĂ©s Ă  communiquer avec le marchand de lĂ©gumes du quartier.

Nicole Elgrissy Banon: J'ai décrit des scÚnes trÚs vraies. Il s'agit de Marocaines juives analphabÚtes qui n'avaient jamais été à l'école. Grosso modo, on avait deux catégories de personnes, il y avait ceux qui habitaient Place Verdun ou derb Linglize (quartier des anglais) du Mellah, pour prendre l'exemple de Casablanca, ceux-là parlent darija uniquement et il y avait ceux qu'on appelait les «raffinés» ou «nass lfinou» qui habitaient boulevard Mohammed V et rues limitrophes, rue Tahar Sebti, Lalla Yakout et autres, c'étaient les gens imprégnés par le Protectorat. Ceux-là, tout en parlant la darija comme langue maternelle étaient parfaitement francophones.
La darija, le judéo-arabe marocain urbain, était le propre de toutes les catégories sociales de la communauté juive. Aujourd'hui en 2010 en Israël, la deuxiÚme génération de Marocains parle encore la darija quand ils sont en famille.

L’Opinion: Ça parait difficile à croire.

Nicole Elgrissy Banon: Pourtant j'ai vĂ©rifiĂ© moi-mĂȘme cette rĂ©alitĂ©.

L’Opinion: En Europe la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration des RME ont du mal Ă  prĂ©server la langue maternelle qui n'est plus la darija marocaine.

Nicole Elgrissy Banon: Quand on est en plein dans la nostalgie du pays et qu'on ne s'intĂšgre pas on s'accroche Ă  l'identitĂ© d'origine. On parle judĂ©o-arabe entre membres de la famille, on se sent du mĂȘme bord, on a riht lablad. Ma cousine Micheline qui a quittĂ© le Maroc en 1967 parle toujours et uniquement en darija avec sa mĂšre et ses cousines. La politesse, swab, l'expression des sentiments affectueux ça ne peut pas passer sans la darija, c'est impossible.

L’Opinion: Comment c'est venu l'idĂ©e d'Ă©crire ?

Nicole Elgrissy Banon: Des amies m'encourageaient quand elles m'entendaient parler dans ce mĂ©lange de culture arabe, juive et française. J'ai Ă©crit quelques pages sans aller plus loin. AprĂšs ĂȘtre tombĂ©e malade, je me suis retrouvĂ©e dans ce que j'appelle un dĂ©luge de l'Ă©criture. Je commençais Ă  trois heures de l'aprĂšs-midi et restais jusqu'Ă  quatre heures du matin. Ça a commencĂ© en 2007 et je n'ai achevĂ© le travail qu'en 2009.

L’Opinion: Avez-vous eu des difficultĂ©s Ă  trouver un Ă©diteur ?

Nicole Elgrissy Banon: Pas du tout. J'avais envoyé des mailings à des éditeurs français, au moins une vingtaine. Mais il fallait attendre pour la décision du comité de lecture. Je rigolais, je me disais qu'il allait me falloir attendre un an pour trouver un éditeur quand j'ai eu la réponse favorable assez rapidement de l'éditeur casablancais Afrique Orient. J'avais soumis auparavant le manuscrit à dix amis et dix autres personnes étrangÚres pour avoir leur avis. J'ai mis des extraits sur Facebook ce qui m'a permis de découvrir que les Marocains avaient envie de lire des choses qui les intéressent.

L’Opinion: Comment ĂȘtes-vous arrivĂ©e Ă  connaĂźtre de prĂšs le malaise des dĂ©racinĂ©s dans les autres pays oĂč ils se sont expatriĂ©s ?

Nicole Elgrissy Banon: C'est tout simple, parce qu'ils n'ont pas cessĂ© de me solliciter tout le temps pendant des annĂ©es, parce qu'ils n'ont jamais cessĂ© de me demander de les recevoir, ils ne cessent de me demander de leur envoyer des caftans, des jellabas, belghas, les gĂąteaux marocains, du safran, du cumin, des denrĂ©es qui existent lĂ  oĂč ils sont mais ça n'a pas le mĂȘme arĂŽme du pays. Mon cousin David Perez me demandait de lui envoyer du poisson, de l'alose ! Et puis un jour il me dit «je ne veux pas ĂȘtre enterrĂ© Ă  Pantin, je veux ĂȘtre enterrĂ© au cimetiĂšre de Ben Msik». Le Maroc est le seul pays au monde oĂč on peut programmer le lavage rĂ©gulier de la tombe de nos morts. Il y a des enfants juifs dĂ©racinĂ©s qui payent pour laver les tombes de leurs parents.

L’Opinion: Vous Ă©tiez tĂ©moin de ce qui est arrivĂ© mais vous Ă©voquez aussi le tĂ©moignage des autres.

Nicole Elgrissy Banon: Je suis issue d'une famille trĂšs nombreuse. J'Ă©tais petite quand les choses se sont passĂ©es. J'avais grandi dans les jours de la peur et la psychose. Mon pĂšre me disait tout le temps: tu es marocaine avant d'ĂȘtre juive. Ma mĂšre par contre Ă©tait trĂšs peureuse. Mon pĂšre avait passĂ© 42 ans de travail Ă  la CTM. Jamais je n'oublierais le wissam et ma mĂšre pleurant. Je voyais ma mĂšre s'arrachant les cheveux et le tableau oĂč la mĂ©daille du wissam, accordĂ© Ă  mon pĂšre mort, Ă©tait accrochĂ©e. Mon pĂšre Ă©tait trĂšs cultivĂ©, il analysait les choses de maniĂšre lucide, il savait, il disait que tout ce n'Ă©tait que de la propagande.
Me vient à l'esprit aussi, l'exemple, bien plus tard, du jeune juif marocain ùgé de 20 ans installé en Israël qui doit passer son service militaire. Il ne souhaite pas s'engager dans l'armée parce qu'il refuse de tirer sur des musulmans qu'il a toujours cÎtoyé depuis son enfance dans son quartier au Maroc avec qui il avait joué dont des camarades de classe.

L’Opinion: Vous parlez de la spiritualitĂ©, le culte des saints comme un leitmotiv.

Nicole Elgrissy Banon: La spiritualité j'en parle parce que c'est important. Par exemple pour ce wali David U Moshé dont le mausolée se trouve à Agouim, à 60 kms d'Ouarzazate et que les musulmans berbÚres du coin appellent du nom de Cheikh d'Amekhzen, possÚde une place particuliÚre dans ma vie. Il m'avait appelé. Malgré ma phobie des routes à cause du traumatisme d'un accident de la route en 1981, j'ai pris la route. L'appel de David U Moshé m'a guéri de la phobie de la route. Le pÚlerinage aux mausolées des saints juifs au Maroc était une réalité bien ancrée depuis des millénaires dans la tradition de la communauté juive marocaine qui y trouve paix, réconfort et équilibre. Il existe plus de 640 mausolées de saints juifs au Maroc. Ils sont évoqués dans le livre de Issakhar Ben Ammi.

L’Opinion: Comment est venu le texte ?

Nicole Elgrissy Banon: J'ai dĂ©crit les Ă©vĂ©nements comme je les ai vĂ©cus. Qui se conçoit bien s'Ă©nonce bien dit-on. Je suis partie du fait qu'au lieu de s'esquinter en efforts pour atteindre le statut d'immigrĂ© intĂ©grĂ© Ă  l'Ă©tranger, il vaut mieux consentir ce mĂȘme effort et plus pour construire mon pays selon les moyens dont je dispose. L'Ă©criture en est un.
Plus précisément, je peux dire que j'ai écrit par réminiscences. C'était trÚs douloureux croyez-moi de se souvenir de ces années de folle rumeur instrumentalisée. C'est trÚs douloureux parce qu'il n'y avait rien. Jamais personne parmi les juifs marocain n'a été spolié de ses biens. Je n'ai jamais eu aucun écho d'un juif marocain à qui on aurait pris son bien encore moins par un musulman.

L’Opinion: Vous avez lancĂ© des extraits sur facebook quelles Ă©taient les rĂ©actions ?

Nicole Elgrissy Banon: Un lecteur ùgé de 70 ans installé en Israël m'écrit:
«J'en voudrai tout le temps à mes parents de m'avoir obligé à partir, je languis du Maroc».
Un autre a Ă©crit :
«Ton livre va lever notre drapeau parce que pour les ashkénazes nous n'avons pas de culture».
Ce qui est complĂštement faux ! Les ashkĂ©nazes s'estiment plus cultivĂ©s parce qu'ils s'habillaient en EuropĂ©ens, ils se prĂ©tendaient plus «civilisĂ©s». Les SĂ©pharades marocains Ă©taient arrivĂ©s en IsraĂ«l en jellaba, chkkara, belgha. Mais par la suite, ce sont les sĂ©pharades qui ont appris aux ashkĂ©nazes ce qu'est une fĂȘte, ce qu'est le shabat et le respect de la tradition. Les Marocains dans leur culture cultivent le sens de l'abondance inhĂ©rente Ă  nos gĂȘnes.
Je dois préciser aussi que beaucoup de pauvres et d'analphabÚtes étaient partis en Israël. Parmi les riches juifs Marocains il y en a qui sont partis en France, au Venezuela, aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil


L’Opinion: Que dire des tout premiers retours au pays ?

Nicole Elgrissy Banon: Des gens de ma famille qui habitaient rue LacepĂšde, Ă  leur retour pour la premiĂšre fois au Maroc aprĂšs tant d'annĂ©es d'absence, voulaient voir l'ancienne maison oĂč ils habitaient, la cour oĂč ils avaient jouĂ© enfants, ils voulaient voir aussi l'Ă©picier, leur frĂšre musulman. Quand ils l'ont retrouvĂ© c'Ă©tait les Ă©treintes, embrassades, larmes. Et les musulmans du quartier ne cessaient de leur demandaient: alach mchitou? Ils voulaient prendre en photo le cinĂ©ma L'Arc et le cinĂ©ma Verdun.
Une tante revenue au pays me demande: «Mon Dieu qu'est-ce qui vous est arrivĂ© vous qui ĂȘtes restĂ©s». A son grand Ă©tonnement on lui disait «Mais rien que du bien».
Une autre vient une fois par mois de Paris. Agée de 65 ans elle va se promener 3 heures à la kissaria Haffari à derb Soltane. Elle me confie: «Je ne comprends pas pourquoi on a quitté le pays».

L’Opinion: Quel est le circuit des premiĂšres promenades des «revenants» ?

Nicole Elgrissy Banon: D'abord le quartier de l'enfance, la maison, le cimetiÚre, le quartier des Habous, Bab Marrakech, le Mellah pour prendre l'exemple de Casablanca. Ces parents que j'ai accompagnés dans la rue pour les promenades vivent peureux, il faut les presser à chaque fois à avancer. Il faut toujours les presser pour qu'ils avancent.




Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 22 juillet 2010 : 17:37

nouveau maroc ou plutot l'ancien maroc
cela s'est passé a khenifra
une femme est tombée malade et a été hospitalisée. Son mari en profite pour amener a la maison une autre qu'il vient de draguer. Il decide d'aller acheter des boissons et des amuse gueules. Il enferme la femme dans son appartement prend sa moto et s'en va. Malheuresement il fait un accident, jambe fracturée et se retrouve a l'hopital, le meme ou sa femme se trouve. Il sent qu'un scandale se prepare, il appelle un infirmier lui avoue son secret et lui demande de lui rendre un service.
-voici mes cles et mon adresse, va liberer cette femme lui demande t'il.
A la fin de son poste l'infirmier s'y rend et je vous laisse deviner sa mine quand en ouvrant la porte il se trouve face a face avec sa femme.
Cette histoire ne peut arriver qu'au moyen atlas.
Connaissant bien la region je suis sur que l'infirmier a accepté de lui rendre ce service car il sait qu'il va se retrouver seul avec une femme dans un appartement et qu'il va essayer d'en profiter. deception !!!!




Le nouveau Maroc
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 22 juillet 2010 : 17:57

Elle est bonne, c'est vraiment du VAUDEVILLE*%(

Le nouveau Maroc
Posté par: scarla (IP enregistrè)
Date: 22 juillet 2010 : 18:07

je suis morte de rire en lisant ca...

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 02 août 2010 : 18:56

par contre Scarla et Cerejido celle ci ne fait pas rire mais je la raconte pour demontrer encore l'evidence c'est à dire l'obscurantisme n'a pas de limite. Les barbus marocains militent pour supprimer le symbole des pharmacies les croix et laisser uniquement les croissants quoique je les prefere au petit dejeuner, voila une idée qui aidera notre Maroc a faire un bond economique en avant. Mais Mohamed 6 est la et nous sommes contents de l'avoir

Le nouveau Maroc
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 02 août 2010 : 19:13

S.M. le Roi doit mater al Qaida du Maghreb Islamique comme ils l'appelle depuis la Mauritanie, sinon nous allons droit Ă  la cata !

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 02 août 2010 : 19:18

Citation:
CEREJIDO
S.M. le Roi doit mater al Qaida du Maghreb Islamique comme ils l'appelle depuis la Mauritanie, sinon nous allons droit Ă  la cata !

en Mautitanie il a aidé plusieurs fois mais ailleurs l'Algerie est contre toute intervention etrangére meme francaise

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