Je dois dire que sur Obama, je n'ai ni d'opinion positive, ni négative.

Il a engagé une autre voie en politique, je suis incapable de dire s'il va droit dans le mur ou s'il a des chances de succés, mais les hommes politiques n'ont pas de baguette magique, nous sommes dans un monde extrêmement compliqué avec un durcissement des positions énorme et une gigantesque crise.

Devant la complexité des dossiers, je crains qu'il n'y ait pas de vérité, il y a des tentatives dont on ne peut qu'espérer qu'elles soient les bonnes.

Oui, la Chine s'est éveillée comme le prédisait Peyrefitte, son poids politique et commercial est extrêmement lourd, et oui, j'ai été choquée que Sarkozy ne reçoive pas le Dalaï Lama, mais les Etats n'ont pas de sentiments, ils n'ont que des intérêts.

L'évolution du Monde occidental et les charges qui en découlent en font un colosse aux pieds d'argile, très très délicat à gérer.
Je n'ai pas assez de notions de géopolitique, pas plus que je n'ai en mains les dossiers et encore moins le dessous des cartes, alors je ne sais pas personnellement ou est la vérité.

En tout état de cause, je ne crois pas à la providentialité d'un homme et Obama n'est en rien mon Président, il y a bien longtemps d'ailleurs que je n'ai pas vu de grands Présidents.

Pour répondre ligne par ligne à l'article de Millière il faut que je me documente, je le ferai si j'en ai le temps.

Et ma réflexion sur la droite extrême de cet organe de presse ne te concernait nullement, comme tu le sais.

Mon grand intérêt ne se porte pas vers ce qui est écrit,,,
mais surtout pour ce qui n'est pas écrit, et qui est des plus révélateur.

Très intéressant Carla, toi et Darlett, vous avez révélé à travers la référence des 4-vérités, une facette que j'ignorait, mais ce que je savais du bonhomme, c'est que durant la guerre US du Vietnam, il se targuait d'être gauchiste et anti US, ce qui en dit long sur un itinéraire, quelque peu semblable à un certain Garaudi, spécialiste des retournage de veste, mais bon, on en a vu d'autres.

Carla, mes competences en geopolitique et relations internationales sont egalement tres limitees et je ne fais que souligner ou noter telle reaction ou telles paroles, actes ou decisions rapportes par la presse concernant les USA et Obama.

Je ne suis pas sans ignorer que, derriere les actes et paroles, il y a les tirs de ficelles meconnus du grand public et que les politiques se font bien a l'ecart de la critique et des medias. C'est evident.

Pour ce qui est de Guy Milliere, decidemment, il me semble que mes opinions coincident exactement avec les siennes, et apparemment, j'ai moi aussi retourne ma veste de ultra-gauchiste pour m'associer aujourd'hui a la "vraie droite" puisque je pensais, a l'epoque, c-a-d il y a cinquante ans, tout comme lui, que les Americains n'avaient rien a foutre au Viet-Nam et qu'ils devaient s'en aller*^.

En fait, j'ai deteste les Americains qui se trouvaient au Viet-Nam et qui avait utilise la bombe atomique sur Hirochima apres les avoir adore lorsqu'ils sont venus nous delivrer au Maroc des lois de Vichy et delivrer la France et les Francais de l'envahisseur allemand, pour finalement, aujourd'hui, continuer d'apprecier les americains en excluant leur President actuel, qui depuis un an n'a rien fait ou presque sauf etre couronne du Prix Nobel.

Je dois, je m'en rends compte(*%, faire un effet de girouette qui oscille ici et la avec autant de pirouettes et de retours de veste qu'il est possible d'imaginer et difficile donc de me plaquer une etiquette puisqu'elle ne tiendrait pas longtemps sur moi.

Sans y connaitre grand chose, il me faut des resultats concrets inapparents pour l'instant et c'est la raison pour laquelle, je signe a deux mains, l'article de Guy Milliere;;.).

C'est exactement ce que j'aurais voulu répondre à Bravo si j'avais su m'exprimer aussi bien que Darlett!( les deux textes).
Si je peux ajouter une information qui me concerne et qui m'a toujours concerné c'est celle d'avoir toujours pensé que la "gauche" était un parti de droite ( très proche du nazisme avec toute la propagande qu'elle comporte...)et que la "droite" dont je fait parti est un parti de gauche qui reflète bien le socialisme.
Chacun voit midi à sa porte.
Bernard.
PS: tous les textes de GUY sont chez moi bien classés et je les garde comme trophées.

D'accord avec vous la droite et la gauche dont vous parlez se confondent, j'évoquais une autre droite, celle des Camelots du Roi, de l'action Française, celle qui rejoint par certains cotés l'extrême gauche dans l'antisémitisme.

Citation:

darlett
Carla, mes competences en geopolitique et relations internationales sont egalement tres limitees et je ne fais que souligner ou noter telle reaction ou telles paroles, actes ou decisions rapportes par la presse concernant les USA et Obama.
Je ne suis pas sans ignorer que, derriere les actes et paroles, il y a les tirs de ficelles meconnus du grand public et que les politiques se font bien a l'ecart de la critique et des medias. C'est evident.

Pour ce qui est de Guy Milliere, decidemment, il me semble que mes opinions coincident exactement avec les siennes, et apparemment, j'ai moi aussi retourne ma veste de ultra-gauchiste pour m'associer aujourd'hui a la "vraie droite" puisque je pensais, a l'epoque, c-a-d il y a cinquante ans, tout comme lui, que les Americains n'avaient rien a foutre au Viet-Nam et qu'ils devaient s'en aller*^.

En fait, j'ai deteste les Americains qui se trouvaient au Viet-Nam et qui avait utilise la bombe atomique sur Hirochima apres les avoir adore lorsqu'ils sont venus nous delivrer au Maroc des lois de Vichy et delivrer la France et les Francais de l'envahisseur allemand, pour finalement, aujourd'hui, continuer d'apprecier les americains en excluant leur President actuel, qui depuis un an n'a rien fait ou presque sauf etre couronne du Prix Nobel.

Je dois, je m'en rends compte(*%, faire un effet de girouette qui oscille ici et la avec autant de pirouettes et de retours de veste qu'il est possible d'imaginer et difficile donc de me plaquer une etiquette puisqu'elle ne tiendrait pas longtemps sur moi.

Sans y connaitre grand chose, il me faut des resultats concrets inapparents pour l'instant et c'est la raison pour laquelle, je signe a deux mains, l'article de Guy Milliere;;.).

chere darlett !
tu n'as pas a te justifie ? la politique evolue elle meme change de main !change de visage !change d'horizon !et je dirais meme !change de causes et d'interets ! pour quoi voudrais tu que nous nous ne changions pas de menu et a forciori de parti ?
sarkosy en est la preuve meme pour avoir la paix 5 ans il a decapite le parti socialiste !!!! on est d'accord ???,

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Citation:

yossi1

Citation:

darlett
Carla, mes competences en geopolitique et relations internationales sont egalement tres limitees et je ne fais que souligner ou noter telle reaction ou telles paroles, actes ou decisions rapportes par la presse concernant les USA et Obama.
Je ne suis pas sans ignorer que, derriere les actes et paroles, il y a les tirs de ficelles meconnus du grand public et que les politiques se font bien a l'ecart de la critique et des medias. C'est evident.

Pour ce qui est de Guy Milliere, decidemment, il me semble que mes opinions coincident exactement avec les siennes, et apparemment, j'ai moi aussi retourne ma veste de ultra-gauchiste pour m'associer aujourd'hui a la "vraie droite" puisque je pensais, a l'epoque, c-a-d il y a cinquante ans, tout comme lui, que les Americains n'avaient rien a foutre au Viet-Nam et qu'ils devaient s'en aller*^.

En fait, j'ai deteste les Americains qui se trouvaient au Viet-Nam et qui avait utilise la bombe atomique sur Hirochima apres les avoir adore lorsqu'ils sont venus nous delivrer au Maroc des lois de Vichy et delivrer la France et les Francais de l'envahisseur allemand, pour finalement, aujourd'hui, continuer d'apprecier les americains en excluant leur President actuel, qui depuis un an n'a rien fait ou presque sauf etre couronne du Prix Nobel.

Je dois, je m'en rends compte(*%, faire un effet de girouette qui oscille ici et la avec autant de pirouettes et de retours de veste qu'il est possible d'imaginer et difficile donc de me plaquer une etiquette puisqu'elle ne tiendrait pas longtemps sur moi.

Sans y connaitre grand chose, il me faut des resultats concrets inapparents pour l'instant et c'est la raison pour laquelle, je signe a deux mains, l'article de Guy Milliere;;.).

chere darlett !
tu n'as pas a te justifie ? la politique evolue elle meme change de main !change de visage !change d'horizon !et je dirais meme !change de causes et d'interets ! pour quoi voudrais tu que nous nous ne changions pas de menu et a forciori de parti ?
sarkosy en est la preuve meme pour avoir la paix 5 ans il a decapite le parti socialiste !!!! on est d'accord ???,

Sarkozy a même proposé que Jérusalem soit la capitale des deux Etats.

Finalement, je suis d'accord avec toutes vos reflexions. Le pragmatisme politique actuel a fini de s'embarrasser des ideologies et des etiquettes encombrantes, et il va tout droit dans la direction ou vont ses interets.
Mais, ce qu'ils continuent de faire, c'est maintenir abusivement des classifications qui ne signifient plus grand chose pour personnes sauf pour eux-memes et leurrent les masses en leur faisant des promesses illusoires et mensongeres.

Droite, Gauche aujourd'hui, les discours sont les memes et les personnages derriere qui les clament se ressemblent et partagent la meme vision economique, celle unique du capitalisme et des interets. Leur but est avant tout de convaincre pour arriver au pouvoir avec des discours populos qu'on aime bien entendre et qui seduisent toujours autant. Mais il faut se garder de les rechercher ensuite, apres les elections...

N'est-ce pas ce qu'avait fait Mitterand, lui qui avait eu le cynisme d'appartenir a une epoque a l'abominable groupe de 41, les "cagoulards" ?

Et que fait notre Barack, un pur "travailliste" (gauche israelienne ) parmi les Natanyahou ou les Liberman ? Et dire que ce meme Barack, celui de la gauche, a une villa grandiose a Cesaree !+%

Il y a une enorme difference aujourd'hui entre la realite politique actuelle et celle de l'epoque lorsque le communiste ou le socialiste (par ex. celle israelienne des kibboutzim) etait une realite.
De la meme maniere, tout a fait absurde, un George Marchais a continue a diriger un parti "communiste" jusqu'aux annees 90, date a laquelle il est mort, d'autres aujourd'hui, continuent de se dire "socialistes" ou "democrates" aux USA, faute de pouvoir se dire de "gauche" puisque ce terme est tabou en Amerique mais c'est du pareil au meme, tous !

L'ideologie est morte et les ideologues n'existent plus. Il ne reste qu'une seule et unique ideologie, celle de savoir comment rembourrer son compte en banque au plus vite et sans trop se fatiguer. C'est d'ailleurs ce qu'a fait le grand ideologue de notre epoque, celui qui se baladait pendant 40 ans avec une Kefia sur la tete, le grand menteur Arafat.

carla !
la france reste pro arabe pour son economie pour ça rien de changer a l'orizon ! autant il peut nous passe la brosse dans le dos autant au meme moment il peut donner un baiser aux arabes !!
la seul difference avec ces predecesseurs c'est que nous n'avions pas de brosse sur le dos !

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Vers un renouveau des relations entre Etats-Unis et Israël ?

Une prise de position qui emboîte le pas à celle de Thomas L. Friedman, deux jours plus tôt, dans le New York Times : "Le processus de paix israélo-palestinien est devenu une mauvaise pièce de théâtre. Il est évident que toutes les parties jouent seulement les mêmes vieilles scènes, avec les mêmes vieux clichés fatigués."

Outre les enjeux de la rencontre, la presse israélienne, elle, s'interroge sur la manière dont elle a été organisée. La Maison Blanche avait précédemment refusé de confirmer la rencontre, forçant les responsables israéliens à déclarer que l'absence éventuel d'entretien ne devait pas être interprété comme le signe révélateur d'une crise avec les Etats-Unis. Pour Haaretz, Washington "voulait que Nétanyahou transpire, avant d'être récompensé par le président américain. Mais même si le président américain ne se comporte pas bien, il est toujours le plus fort dans la relation" bilatérale. "Israël se plaint d'absence d'intimité, mais ne fait que prendre, sans rien donner en retour", poursuit le quotidien de gauche.

D'autres publications, telles que le Jerusalem Post, soulignent une évolution dans les relations entre les deux Etats. Après avoir soutenu pendant des mois qu'Israël devait geler totalement la colonisation en Cisjordanie occupée avant la reprise des discussions, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a créé la surprise, la semaine dernière à Jérusalem, en appelant les Palestiniens à renoncer à l'exigence d'un tel préalable. Pour le Jerusalem Post, cette évolution du discours américain a placé Mahmoud Abbas, chef de l'Autorité palestinienne, dans "une position intenable : avec l'annonce de Mme Clinton, Abbas a été affaibli".

Ynet news appelle également les autorités israéliennes à ne pas rater une nouvelle "opportunité" de résolution du conflit, et de reprendre le dialogue. Pour l'éditorialiste du site, les Etats-Unis constituent, depuis le discours du Caire du président Obama, la meilleure médiation avec les Etats arabes. "A ce moment crucial, où l'Iran est peut être en train d'obtenir des armes nucléaires, que les mouvements politiques de la Turquie sont considérés par les médias israéliens comme 'un alignement vers l'axe du Mal' (...), Nétanyahou ferait bien de regarder au-delà des manœuvres internes", conclut le site.

ARTICLE PARU DANS LE MONDE DU 09 11 2009

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

A propos de l'Iran et le fait que l'accord Etats-Unies-Iran n'est toujours pas signe, Obama pretexte le fait que l'Iran est en situation politique instable. (Reuters)

En attendant, les turbines de la centrale nucleaire iranienne tournent a plein temps et l'annonce de l'arme atomique se fera parrallelement a la signature du papier en question.(*%

Que faire ? il n'y a plus un seul dirigeant d'envergure a l'horizon mais seulement des politiciens plats et ternes.<?)

Berlin: Obama, le grand absent



N'importe quel autre président américain que Barack Obama aurait fait le voyage de Berlin pour le vingtième anniversaire de la chute du Mur.

Ne serait-ce que pour célébrer le rôle essentiel des États-Unis dans la victoire de la liberté en Europe.

Citation:

Trop occupé pour accepter l'invitation d'Angela Merkel, le président américain voit, il est vrai, les dossiers s'accumuler sur sa table de travail du Bureau ovale. La réforme du système de santé vient seulement de passer le cap de la Chambre des représentants avant la vraie bataille au Sénat. Le chômage ne cesse de croître, malgré les signes de reprise. L'Afghanistan attend toujours une décision sur la stratégie à suivre. Enfin, Benyamin Nétanyahou frappe à sa porte pour lui rappeler que l'Iran se rapproche chaque jour un peu plus de l'arme nucléaire. Bref, Barack Obama a beaucoup à faire ces jours-ci.

Eh oui ! C'est ce qui arrive lorsque pendant une annee entiere, Monsieur n'a fait que parlotter, parlotter, sur toutes les chaines de televisions et devant tous les micros possibles et imaginables.
Et dire qu' en campagne electorale, ce meme Obama s'etait rendu a Berlin justement ! Mais c'etait avant son election.
[blog.lefigaro.fr].

Et en Afghanistan: Obama repousse sa décision !-:/

Citation:

darlett
Berlin: Obama, le grand absent


N'importe quel autre président américain que Barack Obama aurait fait le voyage de Berlin pour le vingtième anniversaire de la chute du Mur.

Ne serait-ce que pour célébrer le rôle essentiel des États-Unis dans la victoire de la liberté en Europe.

Citation:

Trop occupé pour accepter l'invitation d'Angela Merkel,
Enfin, Benyamin Nétanyahou frappe à sa porte pour lui rappeler que l'Iran se rapproche chaque jour un peu plus de l'arme nucléaire. Bref, Barack Obama a beaucoup à faire ces jours-ci.

Eh oui ! C'est ce qui arrive lorsque pendant une annee entiere, Monsieur n'a fait que parlotter, parlotter, sur toutes les chaines de televisions et devant tous les micros possibles et imaginables.
Et dire qu' en campagne electorale, ce meme Obama s'etait rendu a Berlin justement ! Mais c'etait avant son election.
[blog.lefigaro.fr].

Et en Afghanistan: Obama repousse sa décision !-:/

C'est parce qu'il préparait un diner en tête à tête avec Netanyahu.


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AFP, Mise a jour: 10/11/2009 07:15
Obama reçoit discrètement Netanyahu en pleine crise dans les efforts de paix

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a passé 1H40 à la Maison Blanche lundi soir, mais ses entretiens avec le président Barack Obama ont été entourés d'un huis clos total qui en dit long sur les crispations entre les deux grands pays alliés.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu rencontre des sénateurs américains au Capitole à Washington le 9 novembre 2009

AFP/Getty Images

La Maison Blanche s'est contentée d'un compte rendu de trois phrases rapportant que MM. Obama et Netanyahu avaient "discuté de l'Iran et de la manière de faire avancer la paix au Proche-Orient", sans plus de détails.

M. Obama a réaffirmé le "ferme engagement" américain à assurer la sécurité d'Israël, a-t-elle dit.

M. Netanyahu est arrivé à la Maison Blanche juste avant 19H00 (00H00 GMT mardi) et en est reparti à 20H40, sans dire un mot à la presse qui ne l'a aperçu que brièvement à son arrivée et son départ en voiture.

Comme prévu, à aucun moment les deux dirigeants ne sont apparus ensemble devant la presse, fait exceptionnel pour une rencontre entre le président américain et un haut dirigeant étranger, a fortiori quand il s'agit du Premier ministre israélien.

Le délabrement de l'édifice de paix israélo-palestinien était déjà apparu avant la rencontre: l'Autorité palestinienne a dit craindre un déchaînement de violence, M. Netanyahu a protesté de la bonne volonté israélienne et la Maison Blanche a tâché de présenter sous une lumière pas trop défavorable les discussions prévues entre M. Obama et M. Netanyahu.

Nabil Abou Roudeina, porte-parole de l'Autorité palestinienne, a mis en garde contre un nouvel embrasement "si l'Amérique continue à se montrer incapable d'assumer le rôle qu'on attend d'elle".

"La violence va exploser pour combler le vide causé par l'échec des efforts pour relancer le processus de paix si l'administration américaine ne fait pas rapidement pression sur le gouvernement israélien", a-t-il dit à l'AFP.

"Je dis aujourd'hui à Mahmoud Abbas, le dirigeant de l'Autorité palestinienne: saisissons l'occasion de conclure un accord historique. Commençons les discussions immédiatement", a répondu M. Netanyahu devant des organisations juives à Washington avant d'être reçu par M. Obama.

Pour la presse israélienne, l'invitation de dernière minute à la Maison Blanche relevait de la rebuffade.

M. Obama ferait ainsi payer à M. Netanyahu l'état des efforts de paix entre Israéliens et Palestiniens et l'embarras qu'il représente pour son administration.

Toute l'énergie déployée par l'administration Obama s'est heurtée au refus de M. Netanyahu de geler complètement la colonisation, gel sans lequel les Palestiniens refusent de reprendre les tractations.

L'insistance initiale de l'administration à réclamer un tel gel, puis son fléchissement devant la résistance de M. Netanyahu ont été perçus comme une sérieuse erreur de calcul.

"Aucun gouvernement israélien ne s'est montré plus disposé à réfréner les activités de colonisation", a dit M. Netanyahu.

Le porte-parole de M. Obama, Robert Gibbs, a, lui, assuré que l'administration américaine continuait à réclamer un gel complet de la colonisation.

L'administration Obama se débat avec les retombées de propos tenus par la secrétaire d'Etat Hillary Clinton en Israël fin octobre. Elle avait provoqué la consternation chez les Palestiniens et les Arabes et renforcé l'impression d'une diplomatie américaine en plein désarroi en saluant une offre de M. Netanyahu, non pas d'arrêter complètement, mais de limiter la colonisation.

Depuis lors, la frustration palestinienne s'est exprimée encore plus bruyamment dans la décision de M. Abbas, interlocuteur des Israéliens et des Américains depuis des années, de ne pas se représenter à la tête de l'Autorité palestinienne en janvier.

A la table de poker menteur, de la grande braderie des tapis proches-orientaux, quoi de plus normaux que les marchandages et discussions, qui fusent dans tous les azimuts, afin de mieux bluffer le jeu l'adversaire et de la concurrence.

Seuls les initiés sont au parfum,,,

mardi 10 novembre 2009
Rien n’est plus difficile à écrire que l’histoire.


Il y a les faits, bien sûr, grandes dates, grands événements, mais il ne suffit pas de les connaître pour les comprendre. Il faut arriver, aussi, à les remettre dans leur contexte, dans l’histoire longue et, là, tout se complique. Parce que chaque époque cherche à en tirer ses propres enseignements et que chacun y cherche ses justifications, l’histoire est sujette à polémiques et celle de la fin du communisme ne fait pas exception à cette règle.

En marge des cérémonies du 20ième anniversaire de la chute du mur de Berlin, Lech Walesa s’est ainsi dit « terrifié » du « mensonge » qui serait, à l’en croire, en train de s’imposer. « On fait des héros de ceux qui ne l’ont pas été, a déclaré le fondateur et ancien président de Solidarité. Gorbatchev n’a jamais voulu renverser le Mur ni le communisme, a-t-il ajouté, et si l’on présente les choses ainsi, on édifie l’Europe sur un mensonge et cela me terrifie ». Pour Walesa, la fin du communisme est due pour 50% à Jean-Paul II, pour 30% à Solidarité et à lui-même et pour 20% au « reste du monde » sans plus de précision. C’est dit, c’est clair mais, au même moment, Angela Merkel, chancelière allemande venue de l’Allemagne de l’est, remerciait Mikhaïl Gorbatchev, présent à ses côtés comme Lech Walesa, en lui disant : « Vous avez rendu cela possible. Vous avez courageusement laissé les choses arriver et c’était bien plus que ce que nous pouvions attendre ».

Il y a là deux narrations d’une même histoire, l’une et l’autre fondées. Sans l’élection d’un pape polonais, sans le « n’ayez pas peur » lancé par Jean-Paul II sitôt après son intronisation, sans son premier voyage de souverain pontife sur sa terre natale et la manière dont il avait rassemblé son peuple derrière lui en lui disant de ne pas être contre mais d’être pour, non pas contre le communisme mais pour la liberté, le monde ne se serait pas souvenu que l’Europe soviétique était aussi l’Europe, la Pologne ne se serait pas vue unie dans son aspiration à la démocratie, Solidarité ne serait pas née, pas aussi vite en tout cas, et la Pologne n’aurait pas ainsi sonné le tocsin du soviétisme.

Lech Walesa a raison mais si ce n’était pas Mikhaïl Gorbatchev que le parti soviétique avait porté à sa tête lorsque toute la génération brejnévienne se fut éteinte, si cet homme n’avait pas appartenu à cette génération soviétique dont tous les espoirs de changement avaient été déçus depuis 1956, s’il n’avait pas été décidé à sortir la Russie de son impasse et à refuser la violence quoi qu’en coûtât, s’il n’avait pas lancé le signal du changement dans tout le bloc et pressé les dirigeants de l’Europe communiste de suivre son exemple, non, le Mur ne serait pas tombé, pas si vite en tout cas et pas aussi pacifiquement surtout.

Walesa comme Gorbatchev, chacun a joué son rôle et s’il y a débat, c’est sur ce que l’on veut narrer : des révoltes populaires ou la sagesse du dernier président soviétique, la Pologne qui change le monde ou le Kremlin qui rend sa liberté à l’Europe centrale, une révolution ou une évolution. Ce fut tout cela en même temps mais il faudra beaucoup de temps et de recul pour chacun l’admette.

Je suppose que Tout le monde lit Guysen, néanmoins en voici quelques dépêches:

19:46 Netanyahou - Obama: une rencontre favorable à Israël (Guysen.International.News)

Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a confié mardi que sa rencontre de lundi avec le président américain Barack Obama à Washington avait été bénéfique à Israël et aux efforts de paix. Les deux dirigeants se sont rencontrés une centaine de minutes à huis clos lundi soir. Ils ont discuté des ambitions nucléaires de l'Iran ainsi que de l'impasse des pourparlers de paix au Moyen-Orient.


21:28 Barak: rien ne sera négligé dans le cadre des négociations (Guysen.International.News)

Le ministre de la Défense Ehoud Barak a déclaré à l'issue de ses entretiens à Washington que sa visite, en compagnie du Premier Ministre Netanyahu, revêtait une grande importance. « Nous ne laisserons rien au hasard dans le cadre de la relance des négociations.» Et de préciser avoir été accueilli au Pentagone et à la Maison Blanche par le président Obama, « dans un environnement attentif aux besoins sécuritaires israéliens ».


21:55 Netanyahou à propos des négociations avec les Etats-Unis : Tout sera clair (Guysen.International.News)

Le chef du gouvernement israélien Binyamin Netanyahou a tenu à faire taire les rumeurs disant qu'une mauvaise ambiance régnait lors des entretiens de lundi avec le président Obama. Il a précisé que ces informations étaient « complètement inexactes et grossières ».


20:17 Nasrallah: Obama est totalement engagé envers Israël
Le secrétaire général du Hezbollah, Sheikh Hassan Nasrallah, a critiqué le président américain Barack Obama mercredi, déclarant: "Beaucoup attendaient et comptaient sur lui, mais ces espoirs se sont rapidement évaporés devant son engagement total vis-à-vis d'Israël ». Nasrallah a en outre noté que cet engagement « sincère et résolu » à la sécurité d'Israël était apparu évident lors du discours prononcé sur la place Rabin, à Tel-Aviv.

20:54 La rencontre entre Netanyahou et Sarkozy prend fin
Le Premier ministre Binyamin Netanyahou et le président français Nicolas Sarkozy ont mis fin à leur rencontre, dans une loge privée du palais de l'Élysée. La réunion qui devait durer 45 minutes s'est prolongée d'une heure. Les dirigeants ont décidé de ne pas tenir de conférence de presse à l'issue de ce rendez-vous.

Cacher l’attentat djihadiste de Fort Hood ? Pour les intérêts de qui ?

Par Guy Millière

Le Président Obama a demandé, en s’adressant à la presse, que nul ne tire de conclusions hâtives de ce qui s’est passé, le 5 novembre au soir, sur la base militaire de Fort Hood.

Lire tout le texte sur [www.menapress.com]

J'avoue que je suis comme toi, Darlett, je ne comprends pas, si l'enquête est terminée pourquoi on en cacherait les résultats, bizare...

Si tu me permets de sourire, il y a une phrase de Millières qui m'a amusée, parce que j'aime les lapalissades: "Le fait est que tous les musulmans ne sont pas des terroristes islamistes, loin s’en faut, mais que tous les terroristes islamistes sont musulmans".

Je me demande juste comment un terroriste islamiste pourrait ne pas être musulman.

Citation:

Carla
J'avoue que je suis comme toi, Darlett, je ne comprends pas, si l'enquête est terminée pourquoi on en cacherait les résultats, bizare...
Si tu me permets de sourire, il y a une phrase de Millières qui m'a amusée, parce que j'aime les lapalissades: "Le fait est que tous les musulmans ne sont pas des terroristes islamistes, loin s’en faut, mais que tous les terroristes islamistes sont musulmans".

Je me demande juste comment un terroriste islamiste pourrait ne pas être musulman.

N'ai-je pas déjà entendu cette phrase énoncée par notre ami CEREJIDO??..
qui reflète bien ce que veut nous faire comprendre nOtre ami GUY et qui encore une fois nous met en garde de ce que pourrait être le terrorisme à grande échelle.
La solution??....
Pour moi, il n'y a aucun doute qu'il faut les affronter de la même façon qu'ils emploient,c'est à dire avec les méthodes les plus barbares qu'elles soient!!...
Car ce n'est pas cette soi-disant déclaration des droits de l'homme qui va les atteindre.Pour eux, les méthodes ( qu'elles soient orales ou sur le terrain) les plus abjectes,sont permises.
Où est le souvenir du 11 Septembre???....
Putain!!! jusqu'à quand vous allez comprendre ça??( je parle au monde entier)
Oui, BUSH, lui, l'avait bien compris, pas OBAMA!!..du moins pas pour l'instant..en espèrant qu'il ne soit pas trop tard.

Bernard.

"Je me demande juste comment un terroriste islamiste pourrait ne pas être musulman."

Et oui! est ce un pléonasme ou une lapalissade ???