Citation:moufik aziz
yossil,bravo, et darlet
Vous semblez méconnaitre l'histoire.Dans l'état actuel des choses les palestiniens sont un peuple colonisé,et en tant que tel ils luttent pour leur indépendance;quoi de plus légitimé ? Que dit l'histoire,tous les peuples qui ont subi le joute du colonisateur sont arrivés à le débouter 'avec des moyens dérisoires ) il n'y a plus pire que la volonté d'enlever à un peuple sa vocation et son histoire.Les USA (la plus grande puissance du monde avec leur arsenal nucléaire) ont été sorti du Vietnam dans la plus grande humiliation .
Alors ,arrêter d'attiser le feu (vous qui prétendais être originaires d'un pays Arabe) ,les palestiniens étaient à leur place avant l'arrivée des juifs.Ce qu'il faut c'est de trouver des formules de collaboration réciproques pour vivre en harmonie.le peuple palistinien ne demande que ça.Et merde pour les politiciens.tout le malheur de ce monde n'est que l'œuvre des politiciens,Hitler avec l'holocauste,Staline avec le malheur des russes,et les payes arabes avec leurs dictateurs,tout ça sous le couvert du galvaudage du concept de la "démocratie".Il y a lieu de repenser les moyens de gouvernance .A mon avis il faudrait que Ce soit les ONG qui aient le pouvoir de gouverner leurs pays respectifs et non les partis politiques qui ont
démontré leurs impuissance en la matière .Seule ,la sécurité puisse etre du domaine d'un organe à l'extérieur du domaine des ONG.
Et de grâce,respecter la susceptibilité de vos frères marocains (et arabe) ne mettez plus des vidéos débiles comme celle dénommée les arabes dans la lune.Je n'ai jamais vu de débilité comme celle -ci,alors enlever la de votre site si merveilleux
A MOUFIK AZIZ
C'est intellectuellement malhonnête de faire un pareil raccourci de cette histoire qui a demare en 1930 et qui a défrayé la chronique, pour la compréhension il faut raconter toute l’histoire et ne pas sombrer dans la désinformation.
Pendant plusieurs siècles, la Palestine a été une étendue de collines érodées, de déserts sablonneux et de marais paludéens, oubliée du monde, peu peuplée et à peine cultivée.
En 1880, le consul américain à Jérusalem signala que le déclin historique de la région continuait. Selon ses termes, « la population et la richesse de la Palestine (n’avaient) pas augmenté pendant les quarante dernières années. »
Voila ce que disait : Lewis French, le Directeur britannique du développement écrivait des appréciations à peu près similaires sur la Palestine : « Nous l’avons trouvée habitée par des fellahs vivant dans des taudis en boue et souffrant d’un paludisme endémique.
De vastes régions étaient en friche. Les fellahs, quand ils n’étaient pas eux-mêmes voleurs de bétail, étaient toujours prêts à héberger ceux-ci et d’autres délinquants. Les parcelles de terre changeaient de mains chaque année. Il y avait peu de sécurité publique, et le lot du fellah était une succession de pillages et de chantages de la part de ses voisins, les Bédouins. »
Depuis le début de la Première Guerre Mondiale, une partie des terres de Palestine appartenait à des propriétaires absents qui vivaient au Caire, à Damas et à Beyrouth. Environ 80% des Arabes de Palestine étaient des paysans criblés de dettes, semi-nomades et des Bédouins.
Les Juifs évitèrent, de façon générale, d’acheter des terres dans des régions où des Arabes pouvaient être déplacés. Ils recherchaient des terres qui étaient en grande partie incultes, marécageuses, bon marché et, surtout, sans métayers.
En 1920, le leader sioniste travailliste David Ben Gourion se préoccupa du sort des fellahs arabes qu.il considérait comme « l’atout le plus important de la population autochtone. » Ben Gourion déclara qu’en aucune circonstance il ne fallait toucher aux terres qui appartenaient aux fellahs ou sur lesquelles ils travaillaient.
Il recommanda de les aider à se libérer de leurs oppresseurs. « C.est seulement si un fellah quitte l’endroit où il est installé que nous devons lui proposer de lui acheter sa terre, à un prix décent. »
Après avoir acheté toutes les terres incultes disponibles, les juifs commencèrent à acheter des terres cultivées. Beaucoup d’Arabes étaient désireux de vendre à cause de la migration vers les villes côtières et parce qu.ils avaient besoin d’argent pour investir dans
L’industrie des agrumes.
Quand John Hope Simpson arriva en Palestine en mai 1930, il fit l’observation suivante : « Ils [les Juifs] paient les terres à des prix élevés, et de plus ils paient à certains des occupants de ces terres une somme d’argent considérable qu.ils n'étaient pas légalement tenus de payer.
Le Roi Abdallah de Transjordanie écrivit dans ses mémoires :
« Il semble tout à fait clair à tous, à la fois d'après la carte tracée par la Commission Simpson et d.après une autre élaborée par la Commission Peel que les Arabes sont aussi enclins à vendre leurs terres qu’à geindre et pleurer inutilement »
Les Juifs achetaient à de riches propriétaires terriens, à des prix exorbitants, de petites étendues de terres arides. « En 1944, les Juifs payaient en Palestine, entre 2000 et 2200 dollars l’hectare, des terres le plus souvent arides ou semi-arides ; la même année, de riches terres noires se vendaient dans l’Iowa à 220 dollars l’hectare. »
En 1947, les possessions juives en Palestine se montaient à 926 000 hectares. Environ 90 000 de ces hectares furent achetés au gouvernement mandataire ; 60 000 furent achetés à différentes églises et 775 000 à des Arabes. L’analyse des achats de terrains de 1880 à 1948 montre que 73% des terrains juifs avaient été achetés à de gros propriétaires terriens et non à de pauvres fellahs.
aujourd'hui les palestiniens sous la coupe de l'iran refuse de reconaitre l'etat d'israel et ça c'est nouveau !!! ils veulent bien reconnaitre une entitee juive mais pas israelienne !!!