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nucleaire iranien
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 09 avril 2012 : 16:23

Seule une attaque chirurgicale,style OSIRAK serait la meilleure car ce fou dictateur risque de nous faire la surprise et que fera le monde ? rien ! à part nous plaindre.

nucleaire iranien
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 09 avril 2012 : 19:15

Sans le Plutonium,,, pas de forces de frappe, Osirak était un site de production de Plutonium, et non d'Uranium !

Voir le site :


[fr.wikipedia.org]

[www.ccnr.org]

[fr.wikipedia.org]




nucleaire iranien
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 09 avril 2012 : 19:56

*%(

nucleaire iranien
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 09 avril 2012 : 21:48

parceque vous pensez depuis le temps qu'on parle d'attaque ils sont restés sans rien faire les bras croisés à attendre....
et sans la logistique américaine rien n'est possible
même les spécialistes israelien sont contre y compris le mossad sinon ça aurait été fait avant
le véritable ennemi des iraniens n'est pas israel mais l'arabie saoudite et ils savent très bien qu'israel a sanctuarisé son territoire avec près de "selon les estimations à 300 ogives nucléaires"

nucleaire iranien
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 13 avril 2012 : 11:35

L’Iran bientôt coupé d’Internet ?


L’information n’est pas confirmée, en tout cas elle n’étonne pas vraiment.

Dans une déclaration faite jeudi et révélée par le site de l’International Business Times, le ministère iranien de l’Information et des technologies de communication aurait affirmé que son pays allait se couper complètement d’Internet dans les cinq mois à venir.

L’annonce a été contredite depuis par les autorités iraniennes. Citées par l’AFP, elles dénoncent une « propagande occidentale ».

Pourtant, comme le souligne TheNextWeb, une information similaire avait déjà circulé en juillet dernier, si bien que les intentions du régime continuent d’inquiéter.

« Internet Halal »

Même si le gouvernement iranien n’avoue pas vouloir fermer entièrement les portes d’accès à Internet, il continue néanmoins d’afficher clairement ses intentions de contrôle sur le réseau.

Téhéran est en effet en train de mettre sur pied un « réseau national d’information », prévu pour mars 2013.

Une forme d’intranet comme pour une entreprise, mais étendu à l’échelle d’un pays et totalement hermétique.

Comme le note PC Inpact, on ne sait néanmoins pas s’il remplacera ou cohabitera avec le réseau tel qu’on le connaît aujourd’hui.

Selon le site Fast Company, cette infrastructure ressemblerait à la « Grande muraille pare-feu » mise en place par la Chine et faisait déjà parler d’elle en 2011.

L’objectif de cet « Internet Halal » : empêcher par tous les moyens aux Iraniens de communiquer avec le reste du monde.

Un Etat « ennemi d’Internet »

Rupture avec Internet ou pas, l’Iran est déjà passé maître dans l’art de la surveillance et de la censure sur le web, des cyber-cafés aux réseaux privés virtuels (VPN), en passant par les adresses en https.

Pendant trois jours, en février dernier, plus de 30 millions d’Iraniens se sont retrouvés dans l’impossibilité d’accéder à leur boîte email, rappelle le site Internet du Monde.

Des millions de pages sont également toujours censurées par la République islamiste, répertoriée par Reporters Sans Frontières parmi les pays « ennemis d’Internet ».

Premier pays musulman à avoir investi le web, l’Iran cherche aujourd’hui à se détacher d’une invention qui reste à ses yeux américaine, particulièrement depuis l’apparition du vers informatique Stuxnet visant les installations du pays.

Slate.fr

Iran Internet Censure Firewall Proxy VPN Surveillance CyberTerrorisme

Bassidji


nucleaire iranien
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 18 avril 2012 : 00:36


nucleaire iranien/L’accord nucléaire intérimaire américano-iranien à l’étude met Israël en danger.
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 22 mai 2012 : 11:02

L’accord nucléaire intérimaire américano-iranien à l’étude met Israël en danger.



Yukiya Amano, chef de l’Agence Internationale à l’Energie Atomique, s’est vu confier une mission décisive à Téhéran, ce dimanche 20 mai : obtenir un appui clair, de la part de l’Ayatollah Ali Khamenei, d’un accord intérimaire en 8 points que le Président Barack Obama et lui-même ont esquissé par la voie du dialogue secret. Debkafile a obtenu un accès exclusif au contenu de ces huit points – assortis d’un avertissement qu’il ne serait pas définitif. Les détails doivent encore être entérinés et qu’on démontre qu'ils sont réalisables. Mais, de la façon dont cet accord se présente aujourd’hui, il sera inacceptable pour Israël, parce qu’il donne à l’Iran une marge de manœuvre suffisante pour poursuivre son programme vers l’acquisition de la bombe nucléaire sans réelle limitation.

La Maison Blanche attend avec une grande appréhension un assentiment du bout des lèvres de la part de Khamenei pour mettre en application le lien qu'Obama a promis de faire, entre leurs pourparlers de coulisse et les négociations formelles des six puissances (P5+1) avec l’Iran, qui doivent se poursuivre à Bagdad, le 23 mai. Ce lien marquerait que l’accord américano-iranien bénéficie de l’imprimatur des puissances mondiales présentes à l’ONU et il justifierait la politique iranienne contestée du Président américain. A partir de ce moment-là, Israël serait confronté à une double difficulté pour mettre en œuvre son option militaire contre les sites nucléaires de l’Iran sans subir un isolement international et une opprobre plus généralisée encore qu'elle ne l'est actuellement.


Jusqu’à présent, l’Administration Obama trouvait utile la posture menaçante d’Israël, afin de faire plier l’Iran en vue d’un accommodement diplomatique concernant son projet nucléaire, tout en retenant, en même temps, Jérusalem, l’empêchant ainsi d’exécuter réellement sa menace.

C’est ce double-jeu qui a permis au dialogue américano-iranien de fonctionner.

Cela a aussi été adroitement utilisé par Khamenei pour accomplir un autre des buts stratégiques essentiels de la République Islamique : détruire l’amitié durable entre les Etats-Unis et l’Etat sioniste. Le principal argument du dirigeant iranien, à l’intention de ses collègues, quand il soutient ses accords secrets avec le Président américain, est que cela vaut la peine de subir les sanctions, si, au bout du chemin, un accord avec les Etats-Unis créé une brèche entre Washington et Jérusalem et ainsi, affaiblit substantiellement l’Etat Juif.

Debkafile a obtenu un accès exclusif au projet en huit points, assorti de l’avertissement qu’il ne devrait pas être définitif ; les détails attendent d’être entérinés et qu’il soit démontré qu’ils sont applicables :

1- Parce que les Etats-Unis et l’Iran sont d’accord sur le fait qu’on ne peut parvenir à un véritable accord global visant à stopper le programme nucléaire iranien, ils acceptent un accord intérimaire, dont chaque partie a la liberté d’interpréter la substance et sa future mise en œuvre, de la manière qui lui convient.


Debkafile : cette formulation permet à Obama d’assurer à l’électeur américain et au public occidental que Téhéran a capitulé sur ses ambitions nucléaires, alors qu’en même temps, Khamenei présente l’Amérique aux Iraniens et aux Musulmans comme ayant cédé aux exigences de l’Iran de reconnaître son droit à un programme nucléaire indépendant, d’enrichir l’uranium et de poursuivre sa quête de l’obtention de la bombe.

2- L’Iran suspendra son enrichissement d’uranium au seuil du taux de 20% nécessaire pour fabriquer une bombe, mais ne démantèlera pas ni n’arrêtera le travail du site nucléaire souterrain de Fordo, comme Israël l’exige.

3. L’Iran exportera son stock de 110 kilogrammes d’uranium enrichi à 20% qui peut être utilisé à fabriquer une bombe. Ce matériau sera raffiné et réutilisé comme plaques de combustibles, à partir duquel il est plus difficile, quoi que pas impossible de fabriquer une bombe.

4. Aucun plafond ne sera imposé à la production d’uranium faiblement enrichi jusqu’à un niveau de pureté de 3, 5 à 5%. Debkafile : Washington accorde tacitement cette concession en n’y ajoutant aucun commentaire.

5. L’Iran signera le protocole additionnel du traité de non-prolifération et permettra ainsi l’extension des inspections sur site de l’AIEA.

6. Les sites secrets nucléaires iraniens dont Washington n’a pas de connaissance explicite seront aussi oubliés et, par conséquent, tenus à l’écart du périmètre des inspections internationales.

Debkafile : le principe directeur gouvernant l’approche de l’Amérique dans cet acord intérimaire en huit points, repose, par conséquent sur : « Pas vu, pas pris ».


7. Les Etats-Unis et l’Union Européenne dilueront, étape par étape, les sanctions contre l’Iran. Debkafile : ici aussi, des tactiques à deux vitesses seront appliquées : l’embargo formel contre la Banque Centrale Iranienne et son exclusion du SWIFT, le système international de transfert d’argent ne sera pas formellement annulé. Cependant, on fermera les yeux sur le fait que de petites banques en Occident participent aux échanges commerciaux internationaux de l’Iran, tout comme sont tolérées les mesures de dérogation des sanctions employées par la Chine, la Russie, l’Inde et la Turquie, dans leur commerce avec l’Iran.

8. Les Etats-Unis et l’Europe révoqueront l’embargo pétrolier qui doit entrer en effet le 1er juillet 2012.

Debkafile : alors que l’Administration Obama a donné “ son accord de principe sur le projet intérimaire”, le dirigeant iranien ne l’a pas encore approuvé. D’où la mission Amano à Téhéran, dimanche. S’il revient avec un simple consentement de Téhéran, Obama aura réalisé deux objectifs : les pourparlers avec les puissances mondiales pourront reprendre au cours de sessions espacées de plusieurs semaines, jusqu’en novembre, date de l’élection présidentielle américaine, et on pourra contraindre Israël à ne pas attaquer l’Iran avant cette date.

La semaine dernière, Israël a répété ses exigences, non-négociables, que l’Iran cesse son enrichissement d’uranium à quelque stade que ce soit et qu’il démantèle son installation nucléaire de Fordo.

L’accord d’intérim préparé par Obama et Khamenei sera, par conséquent, inacceptable e tous points pour Israël, parce qu’il n’apporte rien et, au contraire, permet à l’Iran une marge de manœuvre suffisante pour développer son programme de fabrication de l’arme nucléaire sans plus rencontrer le moindre obstacle devant lui.

[www.debka.com]
Adaptation Marc Brzustowski.

nucleaire iranien
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 24 mai 2012 : 19:16

les negociations de Bagdad ont debouché sur un nouveau round, un de plus comme à la boxe jusqu'à ce que l'Iran tombe ko sous les coup des sanctions ou que les occidentaux tombent ko quand ils entendront l'essai de la premiére bombe iranienne.

nucleaire iranien
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 27 mai 2012 : 11:01

Israël réactive son option militaire, après le rejet par Obama de ses exigences minimales envers l’Iran.


Israël est revenu sur sa promesse faite au Président américain Barack Obama de ne pas frapper les sites nucléaires de l’Iran avant l’élection présidentielle de novembre, puisqu’il a rejeté ses exigences minimales dans les négociations avec l’Iran. C’est un rapport exclusif des sources de Debkafile à Washington.

En public, les ministres israéliens s’expriment encore de façon aussi ferme qu’ils pensent que cela puisse avoir un impact sur les pourparlers entre les six puissances mondiales et l’Iran, qui ont repris en claudiquant, pour le second jour à Bagdad, alors que les parties en présence sont encore à mille lieues l’une de l’autre. Mais le véto présidentiel a essentiellement contribué à maintenir Israël en dehors du cercle d’influence, quant aux résultats éventuels de la démarche diplomatique.

Lorsque le Ministre de la Défense Ehud Barak a rencontré le Secrétaire d’Etat à la Défense, Léon Panetta au Pentagone, le 17 mai, il s’est entendu dire qu’Obama rejetait les exigences même les plus pondérées d’Israël envers l’Iran, pour qu’au moins, il stoppe son enrichissement d’uranium à haute intensité, qu’il exporte ses stocks de matériel d’enrichissement, au-dessus d’un niveau de 3, 5% et qu’il arrête la production sur le site nucléaire de Fordo, près de Qom. Depuis 6 mois, l’Administration Obama tente d’adoucir la pilule de ses rejets pour la faire avaler en gonflant le pactole de l’aide sécuritaire. La dernière ma nifestation recouvre une nouvelle avance de 70 millions de $ pour la fabrication de plus d’intercepteurs de missiles de courte protée, le Dôme de Fer.

Après avoir parlé avec Panetta, Barack s’est tourney vers la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton et le Conseiller à la Sécurité Nationale Tom Donilon, dans l’espoir de gagner leur soutien, afin de modifier la position de Barack Obama. Clinton a répliqué qu’elle n’était pas impliquée dans les négociations avec l’Iran et Donilon, qu’une décision personnelle du Président n’était pas ouvert à des changements.

Une semaine de consultations a fait suite au retour en Israël du Ministre de la défense, au cours de laquelle il a été décidé de retirer la promesse faite par Israël de se réfréner d’attaquer l’Iran au cours de la campagne présidentielle américaine.

Mercredi 23 mai, le jour où ont commencé les discussions de Bagdad, Barack a notifié Washington à cet effet. Le Ministre de la défense a aussi transmis ce message, dans une petite interview radiophonique peu remarquée. Pour être sûr que ses paroles atteignent la bonne adresse sans mauvaises interprétations, le bureau du Ministre de la défense a diffusé un verbatim d’une traduction en anglais à partir de l’hébreu.

“Il n’y a aucun besoin de nous dire ce qu’il faut faire, nous n’avons aucune raison de paniquer, Israël est très très fort, mais nous savons pertinemment ce que les Iraniens sont des joueurs d’échec accomplis et qu’ils tenteront par tous les moyens de réaliser leurs capacités nucléaires. Notre position n’a pas changé. Le monde doit empêcher l’Iran de devenir nucléaire. Toutes les options restent sur la table”.

Alors que les pourparlers de Bagdad tournent en rond, on a mis fermement l’option militaire israélien sur la table et au milieu de l’échiquier américano-iranien.
[www.debka.com]

nucleaire iranien
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 27 mai 2012 : 17:25

Attention à l'effet de surprise ! Israel en a bien tiré des leçons depuis la guerre du kipour et n'est pas prêt à se faire piéger.
A SUIVRE...........

nucleaire iranien
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 27 mai 2012 : 17:45

Les grandes puissances "nous disent qu'elles acceptent que l'Iran enrichisse de l'uranium à 3,5% ou 5%, mais nous leurs répondons: qui êtes-vous pour accepter ou ne pas accepter"?, a demandé M. Abbassi Davani

ça se voit que les occidentaux n'ont pas fait les presentations, par des vrais sanctions qui font plier en 4

nucleaire iranien/"Une attaque contre Téhéran mènerait à la disparition d'Israël"
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 juin 2012 : 08:48

Une attaque contre Téhéran mènerait à la disparition d'Israël, selon un officiel

Une attaque militaire israélienne contre l'Iran mènerait à la disparition de l'Etat juif, a affirmé ce samedi le général Mostafa Izadi, chef d'état-major adjoint des forces armées iraniennes.

«Si le régime sioniste engage une action (militaire) contre l'Iran, il signera sa fin», a-t-il déclaré à l'agence de presse iranienne Fars. «S'ils (les Israéliens) veulent agir avec logique, il faut prendre leurs menaces comme de simples éléments d'une guerre psychologique. Mais s'ils veulent abandonner la logique, ce sont eux qui seront détruits», ajoute le général Izadi.

[www.20minutes.fr]

nucleaire iranien/"Une attaque contre Téhéran mènerait à la disparition d'Israël"
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 24 juin 2012 : 08:55

Ce sera une disparition d'abord de l'iran de ce ahmar nidjad, c'est un tigre de papier, un chien qui aboie mais ne mord pas.

nucleaire iranien
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 25 aot 2012 : 22:14

Voici un article intéressant sur l'éventuelle attaque israélienne
Qu'en pensez vous
[blogs.telegraph.co.uk]

nucleaire iranien
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 26 aot 2012 : 00:25

Article interessant Derka et l'argumentation est tres valable. Je pense aussi qu'il n'y aura pas de guerre et Israel finalement n'attaquera pas l'Iran.
Esperons un changement de leadership pour ce pays et une rhetorique plus conciliante alors.

nucleaire iranien
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 aot 2012 : 00:37

Darlet je comprends parfaitement le sentiments des israéliens quand ils entendent Ahmad Injad dire ce qu'il à dit, mais si on regarde l'histoire le véritable ennemi des perses ce ne sont pas les juifs mais les sunnites et dernièrement 8 millions de morts durant la guerre Iran Irak

nucleaire iranien
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 26 aot 2012 : 00:42

Je pense aussi que le combat sunnites-chiites est celui qui prime actuellement dans notre region et le rapport a Israel n'est qu'un moyen de rassemblement utilise par les uns et par les autres dans un but utilitaire.

nucleaire iranien
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 26 aot 2012 : 03:04

Israël frapper l’Iran, si celui ci fabrique du Plutonium Militaire et pas avant, car on ne fabrique plus les armes atomiques avec de l’Uranium.

Comme on ne fait pas la guerre sans carburant, la meilleure option consisterait à tirer depuis des sous marins, quelques missiles de croisière à charge classique, sur les raffineries, et dépôts de carburants, car sans carburants plus d'armée, ni de guerre.





nucleaire iranien
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2013 : 22:57

l'Iran vient d'avoir un nouveau president, un reformateur on dit.
Il est vrai que le peuple iranien vient de montrer qu'il veut un changement mais lequel et jusqu'ou veut il aller. Seul un specialiste qui a vecu en Iran et connait les vraies aspiration du peuple iranien peut y répondre.
Mais d'ore et deja, la crise economique due aux sanctions et la mauvaise gestion d'Ahmadinjad est en train d'étrangler le peuple iranien. C'est une lapalissade, les iraniens veulent ameliorer leur quotidien et venir à bout du chomage qui mine la sociéte et pousse la jeunesse au desepoir.
Pour y arriver il doivent dire bye bye au projet de l'arme nucleaire et faire des concessions sur l'enrichissement de l'uranium. Suffira t'il a lever les sanctions ou bien les USA exigerons un changement de langage radical envers Israel sous peine du veto contre la levée des sanctions.
Les veritables pouvoir pour un changement radical n'est pas aux mains du president élu mais entre celle du guide supreme qui lui est la depuis la mort de Khomeini.
Si Mr Rohani a été autorisé à se presenter aux elections c'est que la guide Khameney lui a donné sa benediction.
Entre la fidelité à cette benediction et l'interet primordial du peuple il faut attendre quelques mois pour voir vers ou le nouveau president va t'il aller, en tout cas affaire à suivre

nucleaire iranien
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 septembre 2013 : 11:19

Je reproduis en totalite cet article de Stephane Juffa qui explique tres bien les dernieres manoeuvres iraniennes en direction de la communaute internationale et des Americains.

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Une partie d’échecs avec le Diable (1ère de 2 parties)

Par Stéphane Juffa

Le recours à la diversion stratégique et militaire a, de tout temps, constitué un moyen largement utilisé pour prendre l’avantage sur son ennemi. Il s’agit, en résumé, de faire croire à l’adversaire que l’on va réaliser certaines actions – que l’on n’a aucunement l’intention d’entreprendre – afin de dissimuler ce que l’on veut réellement accomplir.

Pour qu’une diversion réussisse, il faut, entre autres conditions, se mettre "dans la peau" de l’ennemi pour fabriquer un subterfuge qu’il sera enclin à prendre pour la réalité. Pour y parvenir, on doit comprendre à la fois sa mentalité, ses dogmes, ses habitudes, ses certitudes, et analyser le psychisme de ses dirigeants – identifier ce qu’ils ont envie de croire – afin de prévoir la manière dont ils réagiront à la mystification qu’on leur prépare.

Ensuite, on va construire, en se basant sur de fausses transmissions de données, des mouvements de troupes et de matériel imaginaires, des déclarations aux media, voire des communications directes avec l’ennemi, l’illusion que l’on s’apprête à faire ce que l’on désire qu’il croie que l’on va faire.

Parmi les diversions les plus réussies de l’histoire récente, on retiendra le succès des alliés à persuader les généraux d’Hitler que le Débarquement aurait lieu dans la Manche alors qu’il fut lancé en Normandie (Opération Overlord). Les Anglo-américains avaient, pour duper les Allemands, mis sur pied l’opération Fortitude, entre autre constituée par un groupe d’armée US fictif, le FUSAG (First United States Army Group), qui avait massé d’énormes moyens en face de Calais, tandis que l’on dissimulait, plus au Sud, dans les forêts, les hommes et le matériel qui allaient participer, le Jour-J, le 6 juin 44, au Débarquement.

En fait, le FUSAG ne disposait que de chars et d’avions gonflables et en carton-pâte, que les alliés alignèrent en ordre de bataille le long de la côte. Pour confondre les nazis, on nomma le général Patton à la tête de ce corps d’armée fictif, alors que les stratèges du Reich étaient convaincus qu’il n’y avait que lui qui pourrait mener à bien l’invasion du continent.

On établit de nombreux stratagèmes, comme celui consistant à libérer des prisonniers allemands en prenant soin de les véhiculer au milieu de (vrais) chars et de soldats de la FUSAG, que l’on avait prélevés sur d’autres contingents pendant quelques heures.

Fortitude fonctionna si bien, que Berlin ne transféra vers la Normandie aucun de ses 200 000 militaires qui restèrent casernés en Norvège pour rien, et que ses terribles Panzer demeurèrent stationnés loin des plages d’Utah, d’Omaha, de Juno, de Gold et de Sword. Trop loin pour monter une contre-attaque qui aurait probablement rejeté les alliés à la mer durant les premières heures de l’intervention, alors que les têtes de pont manquaient encore d’effectifs et d’armes lourdes.

Cette diversion d’anthologie fonctionna si bien – il faut dire qu’elle avait été préparée durant plus de trois ans -, que même après le Jour-J, les généraux nazis continuèrent plusieurs jours à croire que c’était Overlord qui était une diversion et que l’attaque principale n’avait pas encore débuté et qu’elle se déroulerait dans la Manche.


Les services allemands avaient reconstitué tous les badges des unités de
la FUSAG qui n’existaient pas. Le renseignement avait bien travaillé


Autre diversion réussie, mais à mettre au crédit de l’autre camp cette fois-ci, les fausses négociations que l’ambassadeur du Japon à Washington, Kichisaburō Nomura, conduisit avec l’administration US dans le but d’ "éviter la guerre entre les deux pays". Dans le même temps, alors que l’Empire du soleil levant avait fait en sorte de persuader Franklin Roosevelt que la conclusion d’un accord négocié était imminente, le Japon lança son attaque surprise sur la flotte étasunienne du Pacifique, le 7 décembre 1941, tuant 2 500 Américains et coulant 19 bâtiments.

Le lendemain, le 8 décembre, Roosevelt adressa son fameux discours au Congrès, prononçant, au sujet des circonstances de cette agression, la fameuse phrase : "Hier, 7 décembre 1941, une date qui restera dans l'Histoire comme un jour d’infamie, les États-Unis ont été attaqués délibérément par les forces navales et aériennes de l'empire du Japon".


Un char gonflable de la FUSAG : plus vrai qu’un vrai


Je pense que ces deux exemples sont nécessaires pour comprendre ce à quoi le 1er ministre israélien, Binyamin Netanyahu, a fait allusion hier (jeudi) lorsqu’il a accusé l’Iran "de tenter une diversion contre la communauté internationale pendant qu’il avance dans son programme nucléaire". Netanyahu d’ajouter : "Ne vous laissez pas avoir par les affirmations fallacieuses du président iranien !".

Il ne fait aucun doute que le 1er ministre a raison, à tout le moins au sujet de la manœuvre de la théocratie perse ; tous les analystes moyen-orientaux de la Ména sont persuadés que le "guide suprême" Ali Khamenei est en train de se livrer à l’une des plus extraordinaires tentatives de diversion jamais imaginées.

Khamenei et les stratèges de Téhéran, voyant qu’ils ne pourraient plus échapper très longtemps à une frappe militaire occidentale contre leur régime à moins de renoncer à leur projet de bombe atomique, ont orchestré des élections présidentielles de manière à se débarrasser d’Ahmadinejad et à le remplacer par une autre marionnette en la personne d’Hassan Rohani. Je ne reviendrai pas sur l’organisation de cette consultation électorale, mais je peux vous assurer qu’elle n’avait rien de démocratique.

Le clergé chiite à la tête de la "République" Islamique avait un urgent besoin de deux éléments qui manquaient dans son jeu afin d’éviter d’avoir à subir une cuisante défaite militaire, qui risquait, dans son sillage, de le déboulonner du pouvoir : la possibilité d’affirmer de façon crédible que l’on était disposé à abandonner le programme nucléaire, et un peu plus de temps pour le mener à son terme.

Or, en Occident, personne n’aurait cru Ahmadinejad, ni l’arrogant et très pointu Saëd Jalili, ex-patron du projet nucléaire et négociateur en chef avec les 5+1, pas plus que Khamenei lui-même, s’ils avaient, de but en blanc, déclaré s’être trompés durant quinze ans, parjurant tout ce qu’ils avaient affirmé en annonçant – sans raison apparente, dans l’antithèse du raisonnement qu’ils avaient soutenu – qu’ils s’apprêtaient désormais à renoncer à la Bombe.

Il fallait, pour convaincre les Occidentaux qui ne demandaient pas mieux, un homme nouveau qui n’ait pas été préalablement lié à l’aventure nucléaire : Rohani. Que Khamenei a flanqué d’un nouveau directeur de l’Organisation Iranienne pour l’Energie Atomique, en remplacement de Jalili, le très avenant Ali Akhbar Salehi.

Et Rohani de jurer sur la chaîne NBC que "son administration ne développera jamais d’armes nucléaires", pendant que Salehi, à Vienne, à l’Agence Internationale pour l’Energie Atomique (AIEA), reprenait en écho : "Je suis venu ici livrer le message du nouveau président de notre pays pour renforcer et élargir la coopération actuelle avec l’AIEA afin de mettre un terme au dossier nucléaire iranien" ; on a presque envie d’ajouter "amen".

Et le "nouveau président" de se diriger vers Manhattan pour s’adresser mardi à l’Assemblée Générale de l’ONU et probablement rencontrer Barack Obama. On lui prête l’intention d’annoncer aux ambassadeurs onusiens et au président, qu’en guise de geste de bonne volonté, il va fermer l’usine souterraine d’enrichissement d’uranium de Fodow, dans l’espoir (ou à la condition ?) que la communauté internationale lève les plus dure des sanctions qui frappent l’Iran.

L’Iran qui vient par ailleurs de libérer douze prisonniers politiques, dont l’avocate des droits de l’homme Nasrin Sotoudeh, afin de faire montre de sa "nouvelle orientation".

L’Iran, qui n’est plus totalement sûr que la Shoah n’a jamais eu lieu, qui a abandonné la rhétorique haineuse d’Ahmadinejad pour la remplacer par un vocabulaire "d’interaction constructive". Dans les journaux de Téhéran, on n’hésite plus à critiquer vertement le précédent président, le qualifiant de "populiste" n’ayant pas protégé les "intérêts de l’Iran".

Rohani souhaite de bonnes fêtes de Rosh Hashana aux Israélites, échange des courriers amicaux avec le Président Obama et ne voit aucun obstacle à une rencontre avec lui lors de sa venue aux Etats-Unis.

Téhéran réunit vraiment les conditions d’une diversion les unes après les autres - comme s’il suivait un manuel d’école militaire - destinées à construire, en se basant sur des déclarations faites aux media, des promesses et des engagements publics, voire des communications directes avec l’ennemi, l’illusion qu’il s’apprête à faire ce que l’Occident espère qu’il va faire. La "République" Islamique a même ralenti fortement son rythme d’enrichissement de l’uranium, ce qui l’éloigne de quelques mois supplémentaires – mais absolument pas critiques - du point de non-retour.

[www.menapress.org]




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