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Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 17 décembre 2012 : 18:10

je suis content que malgré les appels au boycott de la part des imbeciles les echanges commerciaux entre le Maroc et Israel ont fortement progressé. Ca veut dire qu'il y a des marocains qui savent ce qu'ils veulent qui ont la tete sur les epaules et qui avancent tout droit
source guysen
Les échanges commerciaux Israël-Maroc en plein essor
Selon le site eMarrakech citant le Bureau centrale israĂ©lien de la statistique, les Ă©changes commerciaux entre IsraĂ«l et le Maroc ont fait un vĂ©ritable bond en 2012. Sur les 10 premiers mois de l'annĂ©e, les importations marocaines de produits israĂ©liens ont augmentĂ© de 216% alors que les exportations de produits marocains vers IsraĂ«l ont augmentĂ© de prĂšs de 150%. Le ministre marocain du Commerce et de l’Industrie, l’islamiste Abdelkader Amara a pour sa part niĂ© que son gouvernement soit au courant de maniĂšre officielle de ses Ă©changes, imputant ces chiffres ''Ă  des tricheries et des falsifications de documents auxquels ont recours des commerçants marocains et israĂ©liens pour dissimuler leurs Ă©changes''. M. Amara a indiquĂ©, selon le journal islamiste Attajdid, que le gouvernement de Abdelilah Benkirane, respecte Ă  la lettre les recommandations de la Ligue arabe et de l’organisation de coopĂ©ration islamique, qui interdisent tout commerce avec "l’entitĂ© sioniste".

Le nouveau Maroc
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 21 décembre 2012 : 06:11

Un projet israélo-marocain remarquable

Article rédigé par Arrik Delouya



Mouna Izddine (photo), journaliste et rĂ©dactrice en chef Ă  Casablanca revient bientĂŽt en IsraĂ«l pour sa 3° mission ; cette fois-ci, elle est guidĂ©e par sa motivation du Projet de Livre-Documentaire filmĂ© sur des femmes juives d’origine marocaine dans le monde.

Elle est soutenue et accompagnĂ©e par le professeur EphraĂŻm Riveline coprĂ©sident d’honneur de l’APJM-Paris et de Zohar-Tel Aviv et le sociologue chercheur Dr Arrik Delouya, prĂ©sident et fondateur de ces 2 associations.

D’autres cautions morales sont attendues.

Suite Ă  l’article de Bernard-Henri LĂ©vy Face Ă  la marĂ©e noire du nouvel antisĂ©mitisme, voici ce qu’elle Ă©crit Ă  Arrik Delouya :

« Je viens de parcourir l’appel de BHL : je me suis toujours demandĂ© comme lui ce qu’attendent les Musulmans de France pour s’indigner contre cette montĂ©e de l’antisĂ©mitisme, de la mĂȘme façon qu’ils le font contre l’islamophobie. Ils croient que ce n’est pas le mĂȘme combat, ce sont des cons! Pire, je pense que se taire, c’est dĂ©jĂ  ĂȘtre complice


Ceux qui crient au loup islamophobe oublient que c’est justement la rĂ©publique laĂŻque qui les protĂšge et leur permet d’exercer librement leur culte, mais que cette mĂȘme sĂ©paration du clergĂ© et de l’État permet de critiquer les religions et n’emmĂšne pas en prison pour « blasphĂšme ».

Je pense aussi que les musulmans de France et d’Europe refusent de se remettre en cause, de comprendre qu’une rĂ©forme de l’islam est nĂ©cessaire. Ils refusent de voir aussi combien le fait de voir se construire l’identitĂ© de leurs enfants sur leur socle de l’arabo-islamitĂ© est dangereux pour eux et pour tous les non arabes et non musulmans qui les entourent.

... Son projet de livre-documentaire se dĂ©clinera sous la forme d’une sĂ©rie de 20 portraits, Ă  raison de 4 femmes par pays : Maroc, France, IsraĂ«l, Canada et États-Unis d’AmĂ©rique. C’est dans ces quatre États hors du Maroc en effet que se concentre la majoritĂ© des communautĂ©s juives d’origine marocaine... Un livre couplĂ© Ă  un documentaire filmĂ© sur des femmes juives d’origine marocaine qui se sont distinguĂ©es par un parcours original dans un domaine de prĂ©dilection particulier : politique, social, Ă©conomique, littĂ©raire, artistique ou religieux. Il s’agit de savoir notamment comment leur marocanitĂ©, leur histoire familiale, a influĂ© sur leur histoire personnelle, leur intĂ©gration dans leur pays d’accueil et l’éducation de leurs enfants



 Marocaine de naissance, musulmane de culture, cosmopolite d’esprit et de cƓur, cela fait plusieurs annĂ©es que je caresse l’ambition de bĂątir une trajectoire constructive avec une singuliĂšre nostalgie qui m’habite. J’ai grandi avec la cuisine de ma grand-mĂšre amazighe, mĂątinĂ©e des recettes apprises auprĂšs de ses voisines israĂ©lites Ă  Zoumi et avec les rĂ©cits de mon pĂšre sur Sefrou, «la Petite JĂ©rusalem» de son enfance. J’ai Ă©galement nouĂ© de belles amitiĂ©s juives dans les Ă©coles françaises oĂč j’ai suivi ma scolaritĂ©.


Mais dans ce Maroc oĂč je vis, au fil des ans, je vois s’évaporer comme rosĂ©e au soleil les fragments fragiles d’une communautĂ© juive deux fois millĂ©naire. Chaque annĂ©e, l’effectif des citoyens de confession juive rĂ©sidant au Maroc s’amenuise avec le dĂ©part sans retour des jeunes pour leurs Ă©tudes supĂ©rieures Ă  l’étranger, aggravĂ© par l’adieu des anciens. Des 350 000 Marocains d’obĂ©dience israĂ©lite qu’il comptait au dĂ©but du siĂšcle dernier, le Maroc n’abrite plus aujourd’hui que 2 000. Une hĂ©morragie dĂ©mographique qui n’est pas sans consĂ©quences sur mon pays. Car mĂȘme si prĂšs de 50 000 Juifs d’origine marocaine viennent tous les ans en pĂšlerinage sur les tombeaux de leurs 650 saints Ă  travers le royaume, chaque jour, se creuse davantage la fosse de l’oubli de cette cohabitation millĂ©naire chez les jeunes gĂ©nĂ©rations de Marocains.



 Ces derniers n’ont pour la plupart jamais vu ni connu de Juifs marocains et ignorent tout de ce pan de leur histoire et de leur identitĂ©, totalement occultĂ© des manuels d’histoire scolaires. Aussi, si l’on excepte ceux qui se sont imprĂ©gnĂ©s des rĂ©cits oraux de leurs aĂźnĂ©s sur la prĂ©sence juive en terre marocaine, l’unique source d’information pour ces jeunes, majoritairement arabophones, est mĂ©diatique. Dans les mĂ©dias panarabes omniprĂ©sents dans les foyers marocains, on n’évoque la judĂ©itĂ© que sous l’angle du conflit israĂ©lo-palestinien, avec tout ce que cela comporte comme subjectivitĂ© et dĂ©formation idĂ©ologique d’une trĂšs complexe rĂ©alitĂ©. Dans la mĂȘme optique, des gĂ©nĂ©rations entiĂšres de Marocains, Ă  l’instar de leurs jeunes voisins algĂ©riens, tunisiens, libyens ou Ă©gyptiens, sont en train de se construire avec l’arabo-islamitĂ© comme unique socle identitaire, faisant malgrĂ© eux le lit des carcans communautaristes et obscurantistes.


Or, aujourd’hui plus que jamais, avec l’éveil politique et culturel engendrĂ© par « le printemps arabe », puis la mention des composantes amazighe et hĂ©braĂŻque de l’identitĂ© marocaine dans la Nouvelle Constitution (plĂ©biscitĂ©e au Maroc en juillet 2012), le moment est venu, je pense, de changer cet Ă©tat de fait. Le changement passera par la rĂ©appropriation par les Marocains de leur « identitĂ© plurielle », en leur fournissant toutes les clĂ©s de connaissance de la judĂ©itĂ© marocaine, dans ses versants sĂ©pharade et autochtone et dans les diffĂ©rentes phases de son histoire ancienne et contemporaine.


 Changer aussi le regard que portent les Marocains sur IsraĂ«l, pays oĂč vivent plus d’un million de citoyens aux racines marocaines et par consĂ©quent, sur la question israĂ©lo-palestinienne, sera notre dĂ©fi. Pour avoir Ă©tĂ© Ă  deux reprises en IsraĂ«l, je vois rĂ©guliĂšrement des jeunes Marocains musulmans me confier leur soif de savoir sur les Juifs marocains, leur histoire, les raisons de leur dĂ©part, mais aussi leur envie de visiter IsraĂ«l pour, disent-ils, « voir de leurs propres yeux si ce qu’il se raconte Ă  la tĂ©lĂ© est vrai ». Certains ont mĂȘme appris des mots d’hĂ©breu, des proverbes juifs amazighs, d’autres disent ĂȘtre de grands fans de musique judĂ©o-andalouse, du thĂ©Ăątre juif marocain ou de cinĂ©ma israĂ©lien.


 De la mĂȘme façon que j’ai pu constater, auprĂšs de jeunes IsraĂ©liens d’origine marocaine, ce besoin vital de renouer avec la terre de leurs aĂŻeux. Ils sont ainsi nombreux Ă  revendiquer haut et fort leurs racines nord-africaines, par l’écriture, le thĂ©Ăątre, la photographie, la musique ou le cinĂ©ma. Des dĂ©marches artistiques qui se posent comme autant d’appels et d’interrogations sur la marocanitĂ© qui est en eux. Cette mĂȘme marocanitĂ©, pourtant trĂšs riche de son mĂ©tissage et de ses apports a Ă©tĂ© pendant de longues dĂ©cennies douloureusement et injustement dĂ©daignĂ©e par un certain « establishment » ashkĂ©naze en IsraĂ«l. Aussi, la requĂȘte de ces jeunes, oĂč qu’ils se trouvent, est, Ă  mes yeux, Ă©mouvante et Ă©loquente Ă  la fois, car elle rĂ©vĂšle combien l’ancestralitĂ© d’une culture peut s’avĂ©rer plus forte que les frontiĂšres du temps et de l’espace et comment les petites histoires de chacun survivent aux soubresauts de l’Histoire avec un grand H.




 En juillet 2010 et en mars 2012, l’opportunitĂ© m’a Ă©tĂ© donnĂ©e de voyager en IsraĂ«l dans le cadre d’un reportage pour accompagner la Joint AmĂ©ricaine et ensuite dans le cadre d’une mission humanitaire au-delĂ  de l’Histoire, au-delĂ  des vestiges, des archives et des lieux de pĂšlerinage, il fallait que notre groupe de Marocains, pour certains BerbĂšres, puisse rencontrer leurs anciens compatriotes, dans un autre pays qu’ils ont tant contribuĂ© Ă  bĂątir tout en ne reniant jamais leurs racines. Je suis revenue bouleversĂ©e de ces sĂ©jours. De par mes rencontres avec les IsraĂ©liens et les IsraĂ©liennes d’origine marocaine, j’ai compris tout ce que nous avions perdu. Mais aussi tout ce que nous avons gagnĂ©. Si l’exode de milliers de Juifs du Maroc au lendemain de la crĂ©ation de l’État d’IsraĂ«l puis de la fin du protectorat français sur le royaume a Ă©tĂ© une rĂ©elle amputation pour le Maroc et les Marocains, cette diaspora, devenue Ă©lite intellectuelle, politique, Ă©conomique et artistique aux quatre coins du monde, reprĂ©sente en effet aujourd’hui un modĂšle unique de coexistence interconfessionnelle. Mais aussi un formidable pont pour la Paix entre IsraĂ©liens et Palestiniens, ainsi qu’une digue inestimable contre les extrĂ©mismes en tous genres, qu’ils soient politique ou religieux.



Dans cette diaspora, comme au sein de la communautĂ© israĂ©lite vivant encore au Maroc, les femmes sont, pour ainsi dire, « les gardiennes du temple » de la judĂ©itĂ© marocaine. Ce sont les mĂšres qui transmettent aux gĂ©nĂ©rations futures les rites, les us et les traditions communautaires. Ce sont les jeunes femmes qui reproduisent, ou redĂ©finissent, les rapports au sein du couple, de la famille, de la communautĂ© et avec le reste de la sociĂ©tĂ©. Le passĂ©, le prĂ©sent et l’avenir de la judĂ©itĂ© marocaine sont entre les mains des femmes. Et en chaque femme juive marocaine sommeille une bĂątisseuse de la paix au Proche-Orient.




 C’est donc auprĂšs d’elles que j’ai dĂ©cidĂ© de travailler. AprĂšs mĂ»re rĂ©flexion, j’ai Ă©galement dĂ©fini la forme que je souhaite donner Ă  ce projet: un livre couplĂ© Ă  un documentaire filmĂ© sur des femmes juives d’origine marocaine qui se sont distinguĂ©es par un parcours original dans un domaine de prĂ©dilection particulier : politique, social, Ă©conomique, littĂ©raire, artistique ou religieux. Il s’agit de savoir notamment comment leur marocanitĂ©, leur histoire familiale, a influĂ© sur leur histoire personnelle, leur intĂ©gration dans leur pays d’accueil et l’éducation de leurs enfants.




 Mon projet de livre-documentaire se dĂ©clinera sous la forme d’une sĂ©rie de 20 portraits, Ă  raison de 4 femmes par pays : Maroc, France, IsraĂ«l, Canada et États-Unis d’AmĂ©rique. C’est dans ces quatre États hors du Maroc en effet que se concentre la majoritĂ© des communautĂ©s juives d’origine marocaine. Je crois par ailleurs possĂ©der les atouts nĂ©cessaires pour mener Ă  bien cette entreprise. Actuellement rĂ©dactrice en chef d’un magazine fĂ©minin, j’ai auparavant dirigĂ© deux rĂ©dactions, un mensuel familial et un hebdomadaire gĂ©nĂ©raliste, aprĂšs une expĂ©rience de trois ans dans la premiĂšre publication politique indĂ©pendante du Maroc. Je pense pouvoir achever mon projet en 18 mois. Enfin, je ferai en sorte que ce travail ait le plus large Ă©cho possible, auprĂšs de la diaspora juive marocaine, mais aussi auprĂšs des Marocains de toutes confessions et gĂ©nĂ©rations confondues, afin qu’ils se rĂ©approprient leur MĂ©moire commune et jettent une nouvelle pierre dans l’édifice de la paix future. »



Ce livre-documentaire en langue française devrait ĂȘtre traduit en hĂ©breu, en anglais, en arabe et en Amazigh.



Mouna Izddine est membre du RĂ©seau marocain des Femmes Journalistes.



Source : [www.emarrakech.info]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 21 décembre 2012 : 16:42

le 13 decembre dernier est mort à Rabat le gourou de la secte "justice et bienfaisance" qu'on appelle Cheikh Yassine, un extremiste fanatique opposé à la monarchie. Il ne merite pas que j'en parle ici mais si je le fais c'est que j'ai été étonné par la visite à son domicile pour presenter ses condoleances à sa famille par Sion Assidon, alors que ce Yassine et son organisation ultra extremiste n'ont jamais caché leur haine viscerale des juifs
[hespress.com]

sur l'image on le voit avec un membre de la secte et meme son nom est deformé 2éme et 3eme mot "sidon assidon"

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 décembre 2012 : 00:19

Fabriquer l’avenir
Nadia SALAH
Alger et Paris ne sont pas trĂšs contents l’un de l’autre. Le voyage du prĂ©sident de la RĂ©publique française en AlgĂ©rie a déçu.
Au Maroc, nul n’aurait  prĂȘtĂ© attention Ă  cette affaire si des mĂ©dias algĂ©riens n’avaient pas cherchĂ© des responsables Ă  cette dĂ©ception et s’ils n’avaient pas dĂ©signé  le Maroc.
VoilĂ  un bien grand costume pour le Royaume. Les Marocains ne se savaient certainement pas si forts!
Une fois goĂ»tĂ© le plaisir d’ĂȘtre si puissant, il faut ramener les choses Ă  des proportions  plus raisonnables. Le PIB algĂ©rien est une fois et demie plus gros que celui du Maroc. Les rĂ©serves de changes algĂ©riennes sont quinze fois plus Ă©levĂ©es que celles du Maroc. Alger est un exportateur de capitaux et un gros importateur de biens et services. Tout l’inverse du Maroc, qui n’a pas d’hydrocarbures, ces ressources magiques qui font automatiquement de leur propriĂ©taire un pays qui compte sur la scĂšne internationale.
Alors pourquoi Rabat a-t-il rĂ©ussi avec un Premier ministre français ce qu’Alger a (un peu) ratĂ© avec le chef de l’Etat, au point que nos voisins croient y voir des menĂ©es hostiles du Maroc?
La rĂ©ponse est pourtant toute simple: les Marocains ont besoin de travailler quand les AlgĂ©riens peuvent se reposer sur leur gaz. Avec de telles ressources, nul besoin d’efforts. On peut au contraire s’offrir le luxe de regarder uniquement vers le passĂ©. On peut par exemple demander repentance de la colonisation,  Ă  des gens qui n’étaient pas nĂ©s au moment des faits!
L’exigence de repentance n’est pas la premiĂšre idĂ©e que le systĂšme politique marocain produit quand il pense Ă  ses relations avec l’ancienne mĂ©tropole. Ni le Palais ni les partis politiques n’en ont besoin pour ĂȘtre lĂ©gitimes.
Quand le systĂšme marocain Ă©voque le passĂ©, c’est pour fabriquer de l’avenir bien concret: des usines, des Ă©changes, des chantiers
 Dommage qu’on ne puisse pas fabriquer de l’avenir avec le rĂ©gime d’Alger!
[mobile.leconomiste.com]

Le Maroc veut faire des affaires
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 18 février 2013 : 04:09

Le Maroc veut faire des affaires

Une énorme boßte de chocolats trÎne sur une table dans le coin du bureau d'Ahmed Fassi Fihri, à Rabat, capitale marocaine. Faite de bois ouvragé et de verre, cette boßte comporte divers compartiments regorgeant de truffes, rochers et autres délices chocolatés.

«Servez-vous, servez-vous», lance-t-il.

Le directeur des investissements de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) est en mode séduction. Mais ceux qu'il cherche à séduire, ce sont les entrepreneurs qui pourraient vouloir investir au Maroc. Il a plusieurs attraits à faire valoir, des attraits économiques, sociaux et politiques qu'il expose fiÚrement à La Presse Affaires.

«Les éléments fondamentaux macro-économiques sont solides, soutient-il. Au cours des 10 derniÚres années, la croissance économique a été de 4% à 5% en moyenne par année.»

M. Fassi Fihri note que le taux d'inflation est trÚs bien maßtrisé, à moins de 2% par année. Le taux de chÎmage, qui était de 15% au début des années 2000, est descendu à 9%.

La dette ne représente que 50% du produit intérieur brut, ce qui permet au pays d'emprunter à des taux trÚs compétitifs.

«Nous sommes un des rares pays de la région à avoir une note «investment grade» chez les grandes firmes de cotation comme Fitch et Standard&Poor's.»



Le systÚme bancaire marocain est solide et constitue le deuxiÚme plus gros réseau en Afrique, aprÚs celui de l'Afrique du Sud.

«Les banques marocaines sont présentes dans 20 pays africain, fait valoir le directeur des investissements de l'AMDI. C'est trÚs important pour qui veut exporter en Afrique.»

M. Fassi Fihri ajoute que le Maroc a fait des efforts trÚs importants dans la mise à niveau des infrastructures. Au début des années 2000, le pays comptait 100 kilomÚtres d'autoroutes. Il y en a maintenant 1500 kilomÚtres, et on vise 1800 kilomÚtres pour 2015.

Le Maroc compte 15 aĂ©roports internationaux et plus de 20 ports, dont le port de Tanger, oĂč transitent maintenant trois millions de conteneurs. Le port vise 8,5 millions de conteneurs en 2017, ce qui correspond Ă  la capacitĂ© actuelle du port de Rotterdam, le premier port europĂ©en.

«Grùce à ce port, Renault s'est installée à Tanger et produira 400 000 voitures en 2015», soutient-t-il.

Le Maroc a également mis en place des stratégies sectorielles, avec des outils comme des zones franches, en plus d'avoir conclu des ententes de libre-échange avec de nombreux pays, dont les Etats-Unis, et d'avoir un statut d'associé auprÚs de l'Union européenne. «Le Maroc est un petit marché de 30 millions d'habitants, mais ces ententes permettent un accÚs à un milliard de consommateur», affirme M. Fassi Fihri.

Il souligne la position géographique du Maroc, à seulement 14 kilomÚtres de l'Europe via le détroit de Gibraltar.

«Nous sommes pratiquement en Europe, mais nous sommes aussi la porte du continent africain», fait-il valoir.

Et il y a la question des coûts salariaux, un attrait incontournable.

«Le salaire moyen est deux fois moins élevé qu'en Roumanie et huit fois moins élevé qu'en Europe occidentale.»

Source: lapresse.ca

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 20 mars 2013 : 18:28

De plus en plus de jeunes marocains de confession juive vont étudier en Israël


Une fois le baccalauréat en poche, de plus en plus de parents marocains de confession juive décident d'envoyer leurs enfants étudier, non pas en France ou aux USA, mais plutÎt en Israël afin de suivre des études dans le domaine des hautes technologies et d'y recevoir un enseignement religieux.
Des Ă©tudiants Ă  Ă  l’Ecole SupĂ©rieure de Haute Technologie de Jerusalem (ph. JCT)
Aujourd’hui, la communautĂ© juive marocaine vivant au royaume est estimĂ©e Ă  environ 2000 Ă  3000 personnes. De plus en plus de parents de cette communautĂ© dĂ©cident d’envoyer leurs enfants, particuliĂšrement leurs fils, Ă©tudier dans des universitĂ©s israĂ©liennes, et ce aprĂšs leur baccalaurĂ©at, rapporte le site Ynetnews.com hier, dans un article datant du dimanche 17 mars.



Etudier la Torah et décrocher un diplÎme


Depuis le dĂ©but de cette annĂ©e, 13 jeunes Marocains Ă©tudient Ă  The Machon Lev Academic Institution Ă  l’Ecole SupĂ©rieure de Haute Technologie de Jerusalem dont l’objectif est d’«approfondir les connaissances juives des Ă©tudiants et les aider Ă  vivre une vie familiale et professionnelle empreinte de Torah (..) d’éduquer de jeunes professionnels afin qu'ils deviennent des leaders juifs en IsraĂ«l et en diaspora. », prĂ©cise le site internet de l’établissement. De plus, le site donne plus de prĂ©cisions sur l'avenir de ces jeunes Ă©tudiants : "Le Ma'hon Lev est une institution vitale pour le pays, en particulier pour Tsahal. La majeure partie des Ă©tudiants de JCT sert dans l'armĂ©e, souvent avec des grades Ă©levĂ©s et pas seulement dans la rĂ©serve (milouim). Leurs qualifications en font des officiers trĂšs recherchĂ©s par l'armĂ©e de l'air, la marine et toutes les autres composantes de l'armĂ©e (...) Ils n'y font pas seulement carriĂšre, mais y voient un engagement personnel pour le bien de l'Etat d'Israel".
L’Ecole dĂ©livre ainsi aux Ă©tudiants des diplĂŽmes supĂ©rieurs (degrees et masters) en haute technologie pour devenir, par exemple, ingĂ©nieur Ă©lectronique, ingĂ©nieur informatique, ingĂ©nieur en optique ou chimiste. En plus des cours thĂ©oriques et pratiques quotidiens, des cours sur le judaĂŻsme leur sont Ă©galement proposĂ©s pour approfondir leurs connaissances sur leur religion.
Pas de retour au Maroc
Alors que 72% des Ă©tudiants marocains partis Ă©tudier en France rĂȘve un jour de rentrer dans leur pays d’origine pour contribuer au dĂ©veloppement Ă©conomique du pays, d’aprĂšs une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par Careers in Morocco, en partenariat avec le Club France Maroc et la fondation AcadĂ©mia, publiĂ©e en 2012, ces Ă©tudiants marocains de confession juive, eux, sont bien dĂ©cidĂ©s Ă  s’installer en IsraĂ«l pour de bon et Ă  mettre une croix sur le Maroc.
« Il n’y a pas d’avenir pour nous au Maroc ! », lance un Ă©tudiant en comptabilitĂ© prĂ©nommĂ© Yitzhak. « Si je suis venu en IsraĂ«l c’est parce que je vois mon avenir ici et je me vois fonder une famille ici », ajoute-t-il. Pourquoi le Maroc n’offre-t-il pas d’avenir pour ce jeune Ă©tudiant ? Que reprochent ces jeunes au Maroc ? HĂ©las, l’article ne le mentionne pas, prĂ©fĂ©rant au contraire diaboliser le royaume en affirmant que ces jeunes doivent transiter par plusieurs pays Ă©trangers avant d’arriver en IsraĂ«l, afin que "les autoritĂ©s marocaines ne connaissent pas leur destination finale".
De leur cĂŽtĂ©, la direction et le personnel de The Machon Lev Academic Institution se rĂ©jouissent de l’arrivĂ©e de ces Ă©tudiants. « Les Ă©tudiants qui viennent du Maroc s’intĂ©grent trĂšs vite dans l’établissement. Ils ont rĂ©ussi trĂšs vite Ă  s’habituer Ă  la langue et Ă  la mentalitĂ© des autres Ă©tudiants », conclut Noah Dana Picard, le prĂ©sident de l’établissement.

From Yabiladi.com

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 20 mars 2013 : 18:55

Deux ministres originaires du Maroc dans le nouveau gouvernement Netanyahu


Le 33Ăšme gouvernement israĂ©lien vient d’ĂȘtre annoncĂ© aprĂšs quarante jours de longues et Ăąpres nĂ©gociations. Dans la photo de famille figure deux ministres natifs du Maroc.

Deux ministres originaires du Maroc dans le nouveau gouvernement israĂ©lien, dirigĂ© par Benjamin Netanyahu. Il s’agit d’Amir Peretz occupant le maroquin de l’Environnement et MeĂŻr Cohen chargĂ© du dĂ©partement des Affaires sociales. Le premier est natif de BejaĂąd en 1952, parlant le dialecte marocain, il l'avait, d'ailleurs, dĂ©montrĂ© devant les micros des mĂ©dias officiels Ă  l’occasion de sa visite au Maroc, le 17 fĂ©vrier 2006, au cours de laquelle il Ă©tait reçu par le roi Mohammed VI. Le second est nĂ©, en 1955, Ă  Essaouira.
Peretz et Cohen deux parcours politiques différents
Peretz et Cohen sont issus de deux horizons politiques diffĂ©rents. L’enfant de BejaĂąd est un ancien syndicaliste. Son coup de gĂ©nie, il le rĂ©alisa en 2005 lorsqu’il parvient Ă  battre aux primaires du parti travailliste, Shimon Peres, l’actuel prĂ©sident d’IsraĂ«l, devenant ainsi le premier juif sĂ©farade Ă  la tĂȘte de cette formation de gauche rĂ©putĂ©e pour ĂȘtre un bastion des ashkĂ©nazes, notamment les Polonais. Une prouesse suivie immĂ©diatement, en 2006, par sa nomination Ă  la tĂȘte du ministĂšre de la DĂ©fense. Une premiĂšre pour un juif d’origine marocaine. Seul David Levy, natif de Rabat, avait rĂ©ussi un tel parcours en occupant le prestigieux ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres Ă  trois reprises.
AprĂšs la dĂ©bĂącle de l’armĂ©e israĂ©lienne au Liban contre les forces du Hezbollah, en aoĂ»t 2006, Peretz est contraint de quitter son poste. Il coupe, ensuite, les liens avec le PT et rejoint la nouvelle formation « Hatnuah » (le Mouvement), crĂ©Ă©e, il y a juste deux mois, par Tzipi Livni, ex-premier ministre.
Cohen est membre du parti Yesh Atid (Il y a un avenir), une toute jeune enseigne politique de centre qui fĂȘtera le 30 avril prochain, son premier anniversaire. Elle est dirigĂ©e, depuis, par YaĂŻr Lapid, un ancien journaliste de la presse Ă©crite et de la tĂ©lĂ©vision. MeĂŻr Cohen  est le maire de Dimouna, une ville trĂšs connue dans le monde entier pour son complexe nuclĂ©aire.
Un autre sĂ©farade dans l’équipe Netanyahu
En plus de Peretz et Cohen, un autre sĂ©farade figure dans la photo de famille du 33Ăšme gouvernement israĂ©lien. Il s’agit de Sykvain Shalom, ministre de de l’Eau, de l’Energie, du DĂ©veloppement rĂ©gional, chargĂ© du NĂ©guev et de la GalilĂ©e, nĂ© le 4 aoĂ»t 1958 Ă  GabĂšs en Tunisie. Shalom, un fidĂšle du parti de droite Likoud avait occupĂ© le poste de chef de la diplomatie israĂ©lienne. C’est Ă  ce titre qu’il avait Ă©tĂ© reçu, Ă  deux reprises, par le roi Mohammed VI : le 2 septembre 2003 au palais de TĂ©touan et trois semaines plus tard Ă  New York.

source: Yabiladi.com

Le nouveau Maroc / Maroc, le partenaire discret d’IsraĂ«l
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juin 2013 : 23:16

«On est pour le maximum d'Ă©changes». Telle Ă©tait la rĂ©ponse du directeur commercial du port Tanger Med Ă  la question du commerce avec IsraĂ«l, dans les colonnes du Figaro, qui titrait en juillet 2008: «Le Maroc veut ĂȘtre un pays modĂšle pour l’UPM (Union pour la MĂ©diterranĂ©e)». Un point de vue qui demeure tabou pour l'opinion publique, mais les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privĂ©, que les routes commerciales avec IsraĂ«l existent et se dĂ©veloppent Ă  grands pas.


et aussi:
Sous l’Ɠil bienveillant de Washington.....
Des liens diplomatiques ininterrompus.....
Des circuits gigognes et discrets......
L’armement au cƓur des affaires......
Transactions en hausse constant.....
Lire tout l'article sur [www.slateafrique.com]


Le nouveau Maroc / 3Ăšme destination dans le monde oĂč il fait bon de s’expatrier
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 21 juin 2013 : 15:33

Le magazine français Capital a rĂ©vĂ©lĂ© que le Maroc est la troisiĂšme meilleure destination oĂč « il fait trĂšs bon de s’expatrier », en premiĂšre position se place la Suisse suivie par le Mexique. Quant aux raisons qui expliquent ce classement elles sont multiples, il s’agit de la dĂ©mocratie naissante du Royaume, de sa stabilitĂ©, de l’hospitalitĂ© de son peuple et des opportunitĂ©s de croissance et du marchĂ© de l’emploi que l’économie marocaine offre.

Le nouveau Maroc / De la Fac des Lettres d’Oujda au SIEL, l’antisĂ©mitisme fleurit dans l’impunitĂ© !
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2013 : 22:48

De la Fac des Lettres d’Oujda au SIEL, l’antisĂ©mitisme fleurit dans l’impunitĂ© !

L’antisĂ©mitisme, le racisme, l’incitation Ă  la haine, la xĂ©nophobie sont inacceptables, ici et ailleurs, et les Marocains, gĂ©nĂ©ralement, sont connus pour leur tolĂ©rance et le respect qu’ils marquent envers les autres peuples, cultures et religions.

Cela est amplement attesté par la coexistence qui a caractérisé, des siÚcles durant, la majorité de la population musulmane et la communauté juive locale, une situation tout à fait exemplaire et originale, saluée urbi et orbi.

Tout rĂ©cemment encore, en fĂ©vrier 2013, lors de l’inauguration de la rĂ©habilitation de le synagogue Slat Al Fassiyine Ă  FĂšs, datant du 17Ăš siĂšcle, M. Abdelilah Benkirane, chef du Gouvernement, lisait une lettre royale adressĂ©e Ă  la communautĂ© juive nationale.

Dans ce message, le Roi Mohammed VI, commandeur des Croyants, rappelait que la prĂ©sence juive au Maroc avait plus de 2000 annĂ©es d’existence, rĂ©affirmait sa sollicitude envers ses sujets de confession juive, mais aussi son rĂŽle de protecteur et de garant de la parfaite coexistence entre les diverses confessions qui s’expriment dans notre pays oĂč l’Islam est religion d’Etat, pratiquĂ©e par l’écrasante majoritĂ© du peuple marocain.

Comment dans ces conditions accepter, tolĂ©rer ou laisser s’exprimer des opinions et des vues objectivement antisĂ©mites, racistes et haineuses, professĂ©es de surcroĂźt dans une enceinte universitaire ou complaisamment exposĂ©es lors du rĂ©cent Salon du Livre (SIEL) Ă  Casablanca ?

Ainsi, Ă  la FacultĂ© des Lettres et des Sciences Sociales d’Oujda, un enseignant a posĂ©, lors d’un rĂ©cent examen Ă©crit, deux questions Ă  ses Ă©tudiants, lesquelles questions mĂ©riteraient, outre des sanctions disciplinaires des plus sĂ©vĂšres, des poursuites en justice pour incitation Ă  la haine et antisĂ©mitisme.



En voici l’intitulĂ© exact et la traduction en français, opĂ©rĂ©e par nos soins :

Answer each one of the two questions given below using correct English :

RĂ©pondre aux deux questions suivantes en utilisant un Anglais correct :

1) «How does the history of Jews prove their hatred towards other people ?»

Comment l’histoire des Juifs dĂ©montre-t-elle leur haine envers les autres peuples ?

«How would you justify the fact that immorality and misconduct in Judaism are basically due to spiritual gap? Use historical facts to highlight your answer».
Comment justifieriez-vous le fait que l’immoralitĂ© et la mauvaise conduite dans le JudaĂŻsme sont essentiellement dues Ă  un vide spirituel ? Utilisez des faits historiques pour illustrer votre rĂ©ponse.




Une telle dĂ©marche, sous couvert de l’Alma Mater, initiĂ©e par un professeur de l’enseignement supĂ©rieur est proprement scandaleuse et intolĂ©rable. Rien n’explique ou ne justifie que de tels sujets soient ainsi soumis Ă  dissertation dans le cadre d’enceintes oĂč le Droit, le respect des valeurs universelles et des principes exposĂ©s dans la Charte des Doits de l’Homme de l’ONU, ratifiĂ©e par le Royaume du Maroc, mais aussi la lĂ©gislation nationale qui interdit et sanctionne l’incitation Ă  la haine et le racisme soient ainsi ouvertement et impunĂ©ment bafouĂ©s, violĂ©s, sous couvert d’une dĂ©marche pseudo-pĂ©dagogique.

Cette sale affaire est Ă  rapprocher du scandale nĂ© de la prĂ©sence dans plusieurs stands au SIEL, en mars- avril dernier Ă  Casablanca, d’ouvrages ouvertement nĂ©gationnistes et antisĂ©mites, alors que ce salon se tenait sous l’égide et la responsabilitĂ© du MinistĂšre de la Culture, que dirige un ministre PPS, M. Amine Sbihi.





La prĂ©sence de cette odieuse littĂ©rature, introduite par des maisons d’édition principalement Ă©gyptiennes, moyen-orientales ou du Golfe, a suscitĂ© un certain Ă©moi dans la presse Ă©trangĂšre comme l’exprime un article paru dans Le Monde du 5 juin 2013 dont voici quelques extraits :



« La culture des images et l’image de la culture » : c’était le thĂšme du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) de Casablanca, qui a eu lieu du 29 mars au 7 avril. Autant le dire, elle a une drĂŽle de tĂȘte, la culture, vue Ă  travers les ouvrages prĂ©sentĂ©s par des Ă©diteurs venus des principaux pays du monde arabe. Cent-cinquante stands marocains, 30 libanais, 20 syriens, 10 Ă©gyptiens, 5 saoudiens, 2 palestiniens et 1 libyen ont proposĂ© de saines et abondantes lectures, que l’on pourrait classer en trois catĂ©gories : livres dĂ©fendant les thĂšses complotistes les plus dĂ©biles (tout est la faute du sionisme, de l’amĂ©ricano-sionisme, du complot judĂ©o-maçonnique ou judĂ©o-amĂ©ricano-maçonnique, etc.), ouvrages classiquement antisĂ©mites et nĂ©gationnistes, « travaux » rĂ©habilitant Adolf Hitler.
Personnellement, j’ai un faible pour La Malice des juifs, de SaĂŻd Muhammad Sayd Al-Sanari et Les RĂšgles des rabbins de Lucifer, de Majdi Kamel. Ça nous change un peu des Ă©ternels Protocoles des Sages de Sion et des titres du genre Le Grand Complot, d’Hasan Latsh, dont la couverture affiche une Ă©toile de David sur une carte de l’Afghanistan. Sans parler des ouvrages savants comme Les JudĂ©o-francs-maçons dans les rĂ©volutions et les constitutions, chez Madbuli Press, et L’Autre Visage de Hitler, tout cela cĂŽtoyant les classiques indispensables comme Mein Kampf.».

Cette dĂ©rive antisĂ©mite qui s’exprime Ă  la fois dans une littĂ©rature complaisamment exposĂ©e au public national et dans un cadre universitaire marocain devra cesser au plus tĂŽt, car elle nuit profondĂ©ment Ă  l’image du Maroc, Ă  sa traditionnelle tolĂ©rance. Contraire Ă  la rĂ©alitĂ© qui prĂ©vaut chez nous, elle s’inscrit ouvertement en totale opposition avec les positions et les engagements pris au plus haut niveau de l’Etat.

A tous ces titres donc, elle doit ĂȘtre bannie, et au plus vite !

Fahd YATA [edito.lnt.ma]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 02:15

c'est horrible et inacceptable, c'est une honte
cette chienne de prof a été suspendue.
Quant aux Ă©crits de l'age de l'Allemagne nazie le Maroc n'est pas connu pour un pays ou on lit, 45% d'analphabetisme et le reste ne lit pas

[www.lnt.ma]

Le nouveau Maroc
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 08:49

Oui Derka, ton lien nous apprend que la prof antisĂ©mite de la Fac des lettres d’Oujda a Ă©tĂ© sanctionnĂ©e.

voici donc l'article entier


[www.lnt.ma]



L’article paru la semaine passĂ©e dans le numĂ©ro 845 de La Nouvelle Tribune, datĂ©e du 20 juin 2013 et publiĂ© Ă©galement sur le portail www.lnt.ma, [edito.lnt.ma], dĂ©nonçant la prĂ©sentation de sujets antisĂ©mites lors d’un examen Ă©crit par une professseure universitaire du DĂ©partement d’Anglais de la FacultĂ© des lettres d’Oujda a suscitĂ© de vives et saines rĂ©actions.

C’est ainsi que la page Facebook de La Nouvelle Tribune a reçu des centaines de «like» de la part d’internautes marocains, trĂšs majoritairement jeunes, tandis que plusieurs personnalitĂ©s de la sociĂ©tĂ© civile ont dĂ©noncĂ© publiquement cet acte odieux.

Le prĂ©sident du Conseil National des Droits de l’Homme, M. Driss El Yazami, a annoncĂ© l’ouverture d’une enquĂȘte Ă  ce sujet et plusieurs mĂ©dia, parfois sans citer la source et l’origine de la dĂ©nonciation de cette insulte Ă  la tolĂ©rance proverbiale du peuple marocain et cette violation du prĂ©ambule de la Constitution, c’est-Ă -dire l’article de La Nouvelle Tribune, se sont fait l’écho de ce scandale.

De mĂȘme, Ahmed Gayet, prĂ©sident de l’association Marocains Pluriels, a publiquement dĂ©noncĂ© le comportement de l’enseignante universitaire d’Oujda, laquelle, selon nos informations, a Ă©tĂ© suspendue de cours et privĂ©e d’enseignement, en guise de mesure conservatoire.

Les suites positives de cette condamnation vigoureuse par notre hebdomadaire et notre portail prouvent qu’au Maroc, le racisme et l’antisĂ©mitisme ne sauraient ĂȘtre tolĂ©rĂ©s.

C’est le rĂŽle de la presse nationale de servir de sentinelle et d’observateur intransigeant et rĂ©actif pour dĂ©noncer et mĂ©diatiser toutes les atteintes et violations aux principes de respect des valeurs fondatrices de notre sociĂ©tĂ© marocaine, tolĂ©rante, ouverte et imprĂ©gnĂ©e des saines traditions de coexistence entre les communautĂ©s religieuses qui, depuis de siĂšcles, ont servi de socle Ă  l’identitĂ© nationale.

Fahd YATA

Le nouveau Maroc / la prof antisĂ©mite de la Fac des lettres d’Oujda sanctionnĂ©e
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 21:12

AprĂšs l’article de La Nouvelle Tribune, la prof antisĂ©mite de la Fac des lettres d’Oujda sanctionnĂ©e
30/06/2013, Posted in  Articles/Chroniques, CFCA

L’article paru la semaine passĂ©e dans le numĂ©ro 845 de La Nouvelle Tribune, datĂ©e du 20 juin 2013 et publiĂ© Ă©galement sur le portail www.lnt.ma, [edito.lnt.ma], dĂ©nonçant la prĂ©sentation de sujets antisĂ©mites lors d’un examen Ă©crit par une professseure universitaire du DĂ©partement d’Anglais de la FacultĂ© des lettres d’Oujda a suscitĂ© de vives et saines rĂ©actions.
C’est ainsi que la page Facebook de La Nouvelle Tribune a reçu des centaines de «like» de la part d’internautes marocains, trĂšs majoritairement jeunes, tandis que plusieurs personnalitĂ©s de la sociĂ©tĂ© civile ont dĂ©noncĂ© publiquement cet acte odieux.
Le prĂ©sident du Conseil National des Droits de l’Homme, M. Driss El Yazami, a annoncĂ© l’ouverture d’une enquĂȘte Ă  ce sujet et plusieurs mĂ©dia, parfois sans citer la source et l’origine de la dĂ©nonciation de cette insulte Ă  la tolĂ©rance proverbiale du peuple marocain et cette violation du prĂ©ambule de la Constitution, c’est-Ă -dire l’article de La Nouvelle Tribune, se sont fait l’écho de ce scandale.
De mĂȘme, Ahmed Gayet, prĂ©sident de l’association Marocains Pluriels, a publiquement dĂ©noncĂ© le comportement de l’enseignante universitaire d’Oujda, laquelle, selon nos informations, a Ă©tĂ© suspendue de cours et privĂ©e d’enseignement, en guise de mesure conservatoire.
Les suites positives de cette condamnation vigoureuse par notre hebdomadaire et notre portail prouvent qu’au Maroc, le racisme et l’antisĂ©mitisme ne sauraient ĂȘtre tolĂ©rĂ©s.
C’est le rĂŽle de la presse nationale de servir de sentinelle et d’observateur intransigeant et rĂ©actif pour dĂ©noncer et mĂ©diatiser toutes les atteintes et violations aux principes de respect des valeurs fondatrices de notre sociĂ©tĂ© marocaine, tolĂ©rante, ouverte et imprĂ©gnĂ©e des saines traditions de coexistence entre les communautĂ©s religieuses qui, depuis de siĂšcles, ont servi de socle Ă  l’identitĂ© nationale.

Le nouveau Maroc / Juifs de FÚs: Une belle leçon de solidarité
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 15:11

FidĂšle Ă  sa rĂ©putation de terre de paix, de tolĂ©rance et de brassage culturel, la ville de FĂšs vient, de nouveau, de donner au monde une belle leçon de ce que doit ĂȘtre la relation entre adeptes des religions monothĂ©istes.

La capitale spirituelle du Royaume a ainsi vécu la semaine derniÚre un moment d'une intense émotion avec la distribution par des Marocains de confession juive de plusieurs chaises roulantes à leurs compatriotes musulmans.

L'événement est en effet rare en ces temps d'exacerbation de l'intolérance, de l'ostracisme, des fanatismes de tous bords et des conflits confessionnels.

Dans ce contexte, le Maroc a pu offrir ce vertueux et salvateur modĂšle de vivre ensemble, de dialogue civilisationnel et de coexistence entre les cultures et les religions.

Le lieu de l'événement a, lui aussi, valeur de symbole et en dit long sur la tradition de tolérance et de communion entre hommes des différentes cultures et religions dans la ville impériale de FÚs.

Le centre Maimonide, lieu de rassemblement de la communauté juive à FÚs, a été le théùtre de ce geste de solidarité avec les personnes aux besoins spécifiques. Ce centre a été bùti à la mémoire de ce grand théologien et philosophe juif, qui fut obligé de quitter l'Andalousie pour trouver refuge au Maroc.



Juifs et musulmans, main dans la main

Comme ils l'ont fait à plusieurs reprises et à travers toute l'histoire, les juifs de FÚs ont montré, à cette occasion, combien ils sont sensibles aux souffrances de leurs congénÚres musulmans, surtout ceux qui ont des besoins spécifiques, qui sont malades ou qui n'ont pas les moyens de mener une vie normale.

L'année derniÚre, les juifs de FÚs avaient distribué un important lot de matériel médical et paramédical aux services d'urgences, dispensaires et unités du Croissant rouge marocain.

Citation:
“Nous ne faisons que perpĂ©tuer cette solidaritĂ© entre musulmans et juifs dont FĂšs est la terre de prĂ©dilection par excellence. Ce geste de solidaritĂ© avec les personnes aux besoins spĂ©cifiques s'inscrit dans notre histoire.”
ARMAND GUIGI, PRÉSIDENT DE LA COMMUNAUTÉ JUIVE DE FÈS, SEFROU ET OUJDA.

En effet, il y a quelques mois déjà, la communauté internationale a partagé avec le Maroc un événement d'une grande portée humaine, lorsque des représentants des trois religions monothéistes ont assisté à l'inauguration de la synagogue Slate Al fassiyine. Le Roi Mohammed VI avait alors souligné que cette journée constituait la belle image de tolérance que le Maroc projette à la face du monde.

Source: [www.aufaitmaroc.com]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 03 août 2013 : 02:38

en tant que marocain c'est avec plaisir que je vous reporte ce poste:

Shlomo Amar, Grand Rabbin d’IsraĂ«l officiellement dĂ©corĂ© par le Roi du Maroc

L’ancien grand rabbin sĂ©pharade d’IsraĂ«l, Shlomo Amar, (2003-2013) et Malcolm Hoenlein, vice-prĂ©sident exĂ©cutif de la confĂ©rence des grandes organisations juives amĂ©ricaines, la trĂšs puissante et influente AIPAC, ont eu droit Ă  des distinctions royales Ă  l’occasion de la FĂȘte du trĂŽne.

Le site internet Yabiladi explique que

haut dignitaire religieux, natif du Maroc en 1948, a eu le Wissam el Alaouite de classe exceptionnelle. Le rabbin est un habituĂ© du palais puisqu’il avait dĂ©jĂ  rencontrĂ© le souverain, en aoĂ»t 2003, Ă  Tanger. C’était juste quelques mois aprĂšs son Ă©lection par ses paires sĂ©pharades au poste de grand rabbin.

Alors que l’AmĂ©ricain quant Ă  lui, a reçu le Wissam el Alaouite de l’Ordre du grand officier. Son nom figure, d’ailleurs, sur une longue dĂ©pĂȘche MAP, relayĂ©e par Le Matin.

Et d’ajouter que

Le soutien de l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) envers le Maroc sur la question du Sahara occidental est, sans aucun doute, Ă  l’origine de la distinction de Malcom Hoenlein. L’organisation Ă©tait parmi les groupes et les pays qui ont convaincu, en avril dernier, l’administration Obama de retirer son trĂšs controversĂ© projet de rĂ©solution au Conseil de sĂ©curitĂ©, proposant d’élargir le mandat de la Minurso Ă  la surveillance des droits de l’Homme au Sahara

La dĂ©coration de Shlomo Amar n’a guĂšre suscitĂ© de rĂ©actions hostiles de la part des gardiens du temple du panarabisme et de l’islamisme, opposĂ©s Ă  toute normalisation avec JĂ©rusalem.

Visiblement, Soufiani & Co savent parfaitement quand il faut faire de l’agitation et quand il faut faire profil bas.

Lors de la FĂȘte du trĂŽne de 2008, le roi Mohammed VI avait dĂ©corĂ© Yehuda Lancry, ancienn ambassadeur d’IsraĂ«l en France de 1992 Ă  1995 puis dĂ©putĂ© Ă  la Knesset, de Grand officier du Wissam al-Arch ainsi que David Messas, le grand rabbin de Paris, de Grand Officier du Wissam el Alaouite.

Dans un entretien publiĂ© par le journal Ă©lectronique marocain d’information gĂ©nĂ©rale «L’observateur.info», Shlomo Amar, a dĂ©clarĂ© avoir ressenti «une immense joie et une vive Ă©motion» Ă  cette occasion. «AprĂšs avoir Ă©tĂ© reçu par S.M. le Roi, que Dieu lui prĂȘte longue vie, il y a dix ans Ă  Tanger, je souhaitais vivement revenir au Maroc et avec la haute sollicitude royale je suis comblĂ©, d’autant plus que je suis revenu Ă  Casablanca, ma ville natale», s’est-il fĂ©licitĂ©.

«C’est un grand jour pour moi. C’est un grand jour pour le monde juif marocain, qui reste, comme moi, profondĂ©ment attachĂ© au Maroc», a ajoutĂ© le Grand Rabbin, se disant «heureux de voir Sa MajestĂ© le Roi conduire son pays, avec sagesse, vers le meilleur». Il a, par ailleurs, estimĂ© que le fait que cette distinction royale intervienne le mĂȘme jour oĂč IsraĂ«l et les palestiniens empruntent Ă  nouveau la voie du dialogue pour asseoir la paix, un processus auquel le Souverain, attachĂ© aux valeurs de la paix et de la fraternitĂ© entre les peuples et entre les religions, n’a jamais cessĂ© d’appeler, «reprĂ©sente pour moi une chose grandiose, porteuse de message, un message notamment pour la paix, chĂšre Ă  S.M. le Roi Mohammed VI». «Tout comme le Souverain, nous souhaitons de tout cƓur que la paix rĂšgne non seulement entre IsraĂ©liens et Palestiniens, mais dans le monde entier», a-t-il conclu.

[jssnews.com]




Le nouveau Maroc / Deux ONG dĂ©noncent l’arrivĂ©e d’IsraĂ©liens au royaume
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 06 septembre 2013 : 17:28

Deux enseignes marocaines opposĂ©es Ă  la normalisation des relations avec IsraĂ«l, dĂ©noncent l’arrivĂ©e de citoyens israĂ©liens, des Ă©tudiants et des universitaires, au royaume, les qualifiant de « sionistes soldats de rĂ©serve ».

La normalisation avec l’Etat hĂ©breu est l’un des sujets phares de la rentrĂ©e politique. Une fois de plus, les panarabistes montent au crĂ©neau pour dĂ©noncer l’arrivĂ©e, fin aoĂ»t, au Maroc de ressortissants israĂ©liens, bien qu'ils soient d’origine marocaine.
Figure parmi eux des Ă©tudiants (dont le nombre s'Ă©lĂšve Ă  18) et des universitaires. Un dĂ©placement au cours duquel, ils ont visitĂ© Rabat, Marrakech, FĂšs, Casablanca et Tinghir. Ils se sont Ă©galement entretenu avec des reprĂ©sentants d’associations amazighes et des membres de l’IRCAM (Institut royal de la culture amazigh du Maroc, officiel) ainsi que le rĂ©alisateur Kamal Hachkar. Le premier coup de salve a Ă©tĂ© tirĂ© par la « Coordination nationale de l’initiative estudiantine ».




Dans un communiquĂ© publiĂ© mercredi, elle se dit « consternĂ©e » par « le silence suspect » des autoritĂ©s Ă  la venue au royaume de « sionistes soldats de rĂ©serves dans notre cher pays ». En IsraĂ«l, tous les citoyens de confession juive, Ă  l’exception des religieux, une fois qu’ils passent leur service militaire obligatoire, sont considĂ©rĂ©s de facto comme des « soldats ou des officiers de rĂ©serves ». En vue de barrer la route Ă  toute tentative de normalisation avec IsraĂ«l, la Coordination a appelĂ© le parlement Ă  adopter, « dans les plus brefs dĂ©lais », la loi incriminant ce genre d’initiative. Une proposition de loi a Ă©tĂ©, en ce sens, Ă©laborĂ©e il y a quelques mois par l’ « Observatoire marocain contre la normalisation ».  

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 septembre 2013 : 20:47

Bonjour Aaron
Les juifs sionistes ont fait pour le Maroc ce que ces imbeciles qui aboient ne lui feront jamais ni eux ni leur descendance. C'est bien les juifs d'Amerique qui ont sauvé le Maroc d'une catastrophe dont il ne de relÚvera pas celle de donner le pouvoir a la minurso d'intervenir au Sahara marocain en matiere des droits de l'homme, et quand on voit son impartialité la minurso va nous emmerder a plein.
Je dis au juifs le Maroc ne vous remerciera jamais assez quoi qu'il fasse. Dieu seul pourra vous rendre ce bien.
Puisse Dieu protéger Israel et écraser ses ennemis

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 07 septembre 2013 : 10:08

Bonjour Derka,
Les juifs et les "sionistes" ont apporté appui, aide et technologie au Maroc. Il n'y a qu'à songer aux technologies d'irrigation.
Les juifs et "sionistes" américains ont empeché Obama de tomber dans le piége des "droits de l'homme" avec le polisario et les islamistes extremistes.
Les juifs et les "sionistes" fuient aujourd'hui la France car les musulmans francais d'origine maghrebine y compris marocaine les traquent.
Qui perd? D' abord et avant tout ces maghrebins eux memes car ces juifs francais garantissaient plus d'investiments, et de travail en France.
Le juif est garantie partout dans le monde de progrés et de réalisations.
Qui chasse ses juifs se retrouve dans les pommes. Aujourd'hui 500 ans aprés les avoir chassés et persécutés l'Espagne fait de tout pour les ramener mais c'est trop tard.
Bon week-end.

Le nouveau Maroc / Le sexe dans le top 10 des requĂȘtes Google au Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 07 septembre 2013 : 15:41

Sexe : requĂȘte estivale favorite des Marocains sur internet

Quatre sites internet pornographiques figurent en tĂȘte des sites les plus visitĂ©s par les Marocains au cours du mois d’aoĂ»t dernier, d’aprĂšs Alexa, outil statistique de mesure d’audience.

Sur la liste des 100 sites internet les plus visitĂ©s par les Marocains, ces sites Ă©rotiques arrivent en 14e, 22e, 34e et 70e position. Le moteur de recherche amĂ©ricain Google, Facebook et You Tube, sont en tĂȘte des sites favoris des internautes marocains.

En 2011, le Maroc figurait au top 10 des pays oĂč les internautes s’intĂ©ressent le plus aux requĂȘtes Ă©rotiques. Sur les requĂȘtes "vidĂ©o X" et "sexe" par exemple, le Royaume caracolait respectivement en 3e et 5e position mondiale, d’aprĂšs Google Trends.

Si la recherche du mot "sexe" explose durant l’étĂ© chez les Marocains, elle baisse de façon drastique pendant le mois de Ramadan, au cours duquel l’on observe un regain de spiritualitĂ© chez les citoyens...

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 16 septembre 2013 : 21:12

Bonjour
si on devait comptabiliser tout ce qui lie les juifs au Maroc il faudrait des livres pour les Ă©crire, mais il y en a une que je ne connaissait pas c'est le citron jaune de souccot:

"Pour plusieurs spĂ©cialistes des plantes bibliques, l’étrog (au singulier) du Maroc est considĂ©rĂ© comme « l’étrog original des temps bibliques. »

L’etrog est identifiĂ© par la tradition rabbinique au fruit que la Bible appelle pri etz hadar (hĂ©breu : פרי עץ הדר « fruit du bel arbre » ou « de l’arbre hadar »)"

une importation officielle du Maroc vers Israel, sera je l'éspere le prelude à un elargissement officiel des échanges commerciaux entre les deux pays et à travers les marchandises échangées un tissage de lien d'amitié entre les personnes qui les échangent pour le bien d'Israel et celui de mon pays.

[jssnews.com]




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