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Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 17 dcembre 2012 : 18:10

je suis content que malgré les appels au boycott de la part des imbeciles les echanges commerciaux entre le Maroc et Israel ont fortement progressé. Ca veut dire qu'il y a des marocains qui savent ce qu'ils veulent qui ont la tete sur les epaules et qui avancent tout droit
source guysen
Les échanges commerciaux Israël-Maroc en plein essor
Selon le site eMarrakech citant le Bureau centrale israélien de la statistique, les échanges commerciaux entre Israël et le Maroc ont fait un véritable bond en 2012. Sur les 10 premiers mois de l'année, les importations marocaines de produits israéliens ont augmenté de 216% alors que les exportations de produits marocains vers Israël ont augmenté de près de 150%. Le ministre marocain du Commerce et de l’Industrie, l’islamiste Abdelkader Amara a pour sa part nié que son gouvernement soit au courant de manière officielle de ses échanges, imputant ces chiffres ''à des tricheries et des falsifications de documents auxquels ont recours des commerçants marocains et israéliens pour dissimuler leurs échanges''. M. Amara a indiqué, selon le journal islamiste Attajdid, que le gouvernement de Abdelilah Benkirane, respecte à la lettre les recommandations de la Ligue arabe et de l’organisation de coopération islamique, qui interdisent tout commerce avec "l’entité sioniste".

Le nouveau Maroc
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 21 dcembre 2012 : 06:11

Un projet israélo-marocain remarquable

Article rédigé par Arrik Delouya



Mouna Izddine (photo), journaliste et rédactrice en chef à Casablanca revient bientôt en Israël pour sa 3° mission ; cette fois-ci, elle est guidée par sa motivation du Projet de Livre-Documentaire filmé sur des femmes juives d’origine marocaine dans le monde.

Elle est soutenue et accompagnée par le professeur Ephraïm Riveline coprésident d’honneur de l’APJM-Paris et de Zohar-Tel Aviv et le sociologue chercheur Dr Arrik Delouya, président et fondateur de ces 2 associations.

D’autres cautions morales sont attendues.

Suite à l’article de Bernard-Henri Lévy Face à la marée noire du nouvel antisémitisme, voici ce qu’elle écrit à Arrik Delouya :

« Je viens de parcourir l’appel de BHL : je me suis toujours demandé comme lui ce qu’attendent les Musulmans de France pour s’indigner contre cette montée de l’antisémitisme, de la même façon qu’ils le font contre l’islamophobie. Ils croient que ce n’est pas le même combat, ce sont des cons! Pire, je pense que se taire, c’est déjà être complice…

Ceux qui crient au loup islamophobe oublient que c’est justement la république laïque qui les protège et leur permet d’exercer librement leur culte, mais que cette même séparation du clergé et de l’État permet de critiquer les religions et n’emmène pas en prison pour « blasphème ».

Je pense aussi que les musulmans de France et d’Europe refusent de se remettre en cause, de comprendre qu’une réforme de l’islam est nécessaire. Ils refusent de voir aussi combien le fait de voir se construire l’identité de leurs enfants sur leur socle de l’arabo-islamité est dangereux pour eux et pour tous les non arabes et non musulmans qui les entourent.

... Son projet de livre-documentaire se déclinera sous la forme d’une série de 20 portraits, à raison de 4 femmes par pays : Maroc, France, Israël, Canada et États-Unis d’Amérique. C’est dans ces quatre États hors du Maroc en effet que se concentre la majorité des communautés juives d’origine marocaine... Un livre couplé à un documentaire filmé sur des femmes juives d’origine marocaine qui se sont distinguées par un parcours original dans un domaine de prédilection particulier : politique, social, économique, littéraire, artistique ou religieux. Il s’agit de savoir notamment comment leur marocanité, leur histoire familiale, a influé sur leur histoire personnelle, leur intégration dans leur pays d’accueil et l’éducation de leurs enfants…

… Marocaine de naissance, musulmane de culture, cosmopolite d’esprit et de cœur, cela fait plusieurs années que je caresse l’ambition de bâtir une trajectoire constructive avec une singulière nostalgie qui m’habite. J’ai grandi avec la cuisine de ma grand-mère amazighe, mâtinée des recettes apprises auprès de ses voisines israélites à Zoumi et avec les récits de mon père sur Sefrou, «la Petite Jérusalem» de son enfance. J’ai également noué de belles amitiés juives dans les écoles françaises où j’ai suivi ma scolarité.

…Mais dans ce Maroc où je vis, au fil des ans, je vois s’évaporer comme rosée au soleil les fragments fragiles d’une communauté juive deux fois millénaire. Chaque année, l’effectif des citoyens de confession juive résidant au Maroc s’amenuise avec le départ sans retour des jeunes pour leurs études supérieures à l’étranger, aggravé par l’adieu des anciens. Des 350 000 Marocains d’obédience israélite qu’il comptait au début du siècle dernier, le Maroc n’abrite plus aujourd’hui que 2 000. Une hémorragie démographique qui n’est pas sans conséquences sur mon pays. Car même si près de 50 000 Juifs d’origine marocaine viennent tous les ans en pèlerinage sur les tombeaux de leurs 650 saints à travers le royaume, chaque jour, se creuse davantage la fosse de l’oubli de cette cohabitation millénaire chez les jeunes générations de Marocains.


… Ces derniers n’ont pour la plupart jamais vu ni connu de Juifs marocains et ignorent tout de ce pan de leur histoire et de leur identité, totalement occulté des manuels d’histoire scolaires. Aussi, si l’on excepte ceux qui se sont imprégnés des récits oraux de leurs aînés sur la présence juive en terre marocaine, l’unique source d’information pour ces jeunes, majoritairement arabophones, est médiatique. Dans les médias panarabes omniprésents dans les foyers marocains, on n’évoque la judéité que sous l’angle du conflit israélo-palestinien, avec tout ce que cela comporte comme subjectivité et déformation idéologique d’une très complexe réalité. Dans la même optique, des générations entières de Marocains, à l’instar de leurs jeunes voisins algériens, tunisiens, libyens ou égyptiens, sont en train de se construire avec l’arabo-islamité comme unique socle identitaire, faisant malgré eux le lit des carcans communautaristes et obscurantistes.

…Or, aujourd’hui plus que jamais, avec l’éveil politique et culturel engendré par « le printemps arabe », puis la mention des composantes amazighe et hébraïque de l’identité marocaine dans la Nouvelle Constitution (plébiscitée au Maroc en juillet 2012), le moment est venu, je pense, de changer cet état de fait. Le changement passera par la réappropriation par les Marocains de leur « identité plurielle », en leur fournissant toutes les clés de connaissance de la judéité marocaine, dans ses versants sépharade et autochtone et dans les différentes phases de son histoire ancienne et contemporaine.

… Changer aussi le regard que portent les Marocains sur Israël, pays où vivent plus d’un million de citoyens aux racines marocaines et par conséquent, sur la question israélo-palestinienne, sera notre défi. Pour avoir été à deux reprises en Israël, je vois régulièrement des jeunes Marocains musulmans me confier leur soif de savoir sur les Juifs marocains, leur histoire, les raisons de leur départ, mais aussi leur envie de visiter Israël pour, disent-ils, « voir de leurs propres yeux si ce qu’il se raconte à la télé est vrai ». Certains ont même appris des mots d’hébreu, des proverbes juifs amazighs, d’autres disent être de grands fans de musique judéo-andalouse, du théâtre juif marocain ou de cinéma israélien.

… De la même façon que j’ai pu constater, auprès de jeunes Israéliens d’origine marocaine, ce besoin vital de renouer avec la terre de leurs aïeux. Ils sont ainsi nombreux à revendiquer haut et fort leurs racines nord-africaines, par l’écriture, le théâtre, la photographie, la musique ou le cinéma. Des démarches artistiques qui se posent comme autant d’appels et d’interrogations sur la marocanité qui est en eux. Cette même marocanité, pourtant très riche de son métissage et de ses apports a été pendant de longues décennies douloureusement et injustement dédaignée par un certain « establishment » ashkénaze en Israël. Aussi, la requête de ces jeunes, où qu’ils se trouvent, est, à mes yeux, émouvante et éloquente à la fois, car elle révèle combien l’ancestralité d’une culture peut s’avérer plus forte que les frontières du temps et de l’espace et comment les petites histoires de chacun survivent aux soubresauts de l’Histoire avec un grand H.



… En juillet 2010 et en mars 2012, l’opportunité m’a été donnée de voyager en Israël dans le cadre d’un reportage pour accompagner la Joint Américaine et ensuite dans le cadre d’une mission humanitaire au-delà de l’Histoire, au-delà des vestiges, des archives et des lieux de pèlerinage, il fallait que notre groupe de Marocains, pour certains Berbères, puisse rencontrer leurs anciens compatriotes, dans un autre pays qu’ils ont tant contribué à bâtir tout en ne reniant jamais leurs racines. Je suis revenue bouleversée de ces séjours. De par mes rencontres avec les Israéliens et les Israéliennes d’origine marocaine, j’ai compris tout ce que nous avions perdu. Mais aussi tout ce que nous avons gagné. Si l’exode de milliers de Juifs du Maroc au lendemain de la création de l’État d’Israël puis de la fin du protectorat français sur le royaume a été une réelle amputation pour le Maroc et les Marocains, cette diaspora, devenue élite intellectuelle, politique, économique et artistique aux quatre coins du monde, représente en effet aujourd’hui un modèle unique de coexistence interconfessionnelle. Mais aussi un formidable pont pour la Paix entre Israéliens et Palestiniens, ainsi qu’une digue inestimable contre les extrémismes en tous genres, qu’ils soient politique ou religieux.


…Dans cette diaspora, comme au sein de la communauté israélite vivant encore au Maroc, les femmes sont, pour ainsi dire, « les gardiennes du temple » de la judéité marocaine. Ce sont les mères qui transmettent aux générations futures les rites, les us et les traditions communautaires. Ce sont les jeunes femmes qui reproduisent, ou redéfinissent, les rapports au sein du couple, de la famille, de la communauté et avec le reste de la société. Le passé, le présent et l’avenir de la judéité marocaine sont entre les mains des femmes. Et en chaque femme juive marocaine sommeille une bâtisseuse de la paix au Proche-Orient.



… C’est donc auprès d’elles que j’ai décidé de travailler. Après mûre réflexion, j’ai également défini la forme que je souhaite donner à ce projet: un livre couplé à un documentaire filmé sur des femmes juives d’origine marocaine qui se sont distinguées par un parcours original dans un domaine de prédilection particulier : politique, social, économique, littéraire, artistique ou religieux. Il s’agit de savoir notamment comment leur marocanité, leur histoire familiale, a influé sur leur histoire personnelle, leur intégration dans leur pays d’accueil et l’éducation de leurs enfants.



… Mon projet de livre-documentaire se déclinera sous la forme d’une série de 20 portraits, à raison de 4 femmes par pays : Maroc, France, Israël, Canada et États-Unis d’Amérique. C’est dans ces quatre États hors du Maroc en effet que se concentre la majorité des communautés juives d’origine marocaine. Je crois par ailleurs posséder les atouts nécessaires pour mener à bien cette entreprise. Actuellement rédactrice en chef d’un magazine féminin, j’ai auparavant dirigé deux rédactions, un mensuel familial et un hebdomadaire généraliste, après une expérience de trois ans dans la première publication politique indépendante du Maroc. Je pense pouvoir achever mon projet en 18 mois. Enfin, je ferai en sorte que ce travail ait le plus large écho possible, auprès de la diaspora juive marocaine, mais aussi auprès des Marocains de toutes confessions et générations confondues, afin qu’ils se réapproprient leur Mémoire commune et jettent une nouvelle pierre dans l’édifice de la paix future. »



Ce livre-documentaire en langue française devrait être traduit en hébreu, en anglais, en arabe et en Amazigh.



Mouna Izddine est membre du Réseau marocain des Femmes Journalistes.



Source : [www.emarrakech.info]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 21 dcembre 2012 : 16:42

le 13 decembre dernier est mort à Rabat le gourou de la secte "justice et bienfaisance" qu'on appelle Cheikh Yassine, un extremiste fanatique opposé à la monarchie. Il ne merite pas que j'en parle ici mais si je le fais c'est que j'ai été étonné par la visite à son domicile pour presenter ses condoleances à sa famille par Sion Assidon, alors que ce Yassine et son organisation ultra extremiste n'ont jamais caché leur haine viscerale des juifs
[hespress.com]

sur l'image on le voit avec un membre de la secte et meme son nom est deformé 2éme et 3eme mot "sidon assidon"

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 dcembre 2012 : 00:19

Fabriquer l’avenir
Nadia SALAH
Alger et Paris ne sont pas très contents l’un de l’autre. Le voyage du président de la République française en Algérie a déçu.
Au Maroc, nul n’aurait  prêté attention à cette affaire si des médias algériens n’avaient pas cherché des responsables à cette déception et s’ils n’avaient pas désigné… le Maroc.
Voilà un bien grand costume pour le Royaume. Les Marocains ne se savaient certainement pas si forts!
Une fois goûté le plaisir d’être si puissant, il faut ramener les choses à des proportions  plus raisonnables. Le PIB algérien est une fois et demie plus gros que celui du Maroc. Les réserves de changes algériennes sont quinze fois plus élevées que celles du Maroc. Alger est un exportateur de capitaux et un gros importateur de biens et services. Tout l’inverse du Maroc, qui n’a pas d’hydrocarbures, ces ressources magiques qui font automatiquement de leur propriétaire un pays qui compte sur la scène internationale.
Alors pourquoi Rabat a-t-il réussi avec un Premier ministre français ce qu’Alger a (un peu) raté avec le chef de l’Etat, au point que nos voisins croient y voir des menées hostiles du Maroc?
La réponse est pourtant toute simple: les Marocains ont besoin de travailler quand les Algériens peuvent se reposer sur leur gaz. Avec de telles ressources, nul besoin d’efforts. On peut au contraire s’offrir le luxe de regarder uniquement vers le passé. On peut par exemple demander repentance de la colonisation,  à des gens qui n’étaient pas nés au moment des faits!
L’exigence de repentance n’est pas la première idée que le système politique marocain produit quand il pense à ses relations avec l’ancienne métropole. Ni le Palais ni les partis politiques n’en ont besoin pour être légitimes.
Quand le système marocain évoque le passé, c’est pour fabriquer de l’avenir bien concret: des usines, des échanges, des chantiers… Dommage qu’on ne puisse pas fabriquer de l’avenir avec le régime d’Alger!
[mobile.leconomiste.com]

Le Maroc veut faire des affaires
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 18 fvrier 2013 : 04:09

Le Maroc veut faire des affaires

Une énorme boîte de chocolats trône sur une table dans le coin du bureau d'Ahmed Fassi Fihri, à Rabat, capitale marocaine. Faite de bois ouvragé et de verre, cette boîte comporte divers compartiments regorgeant de truffes, rochers et autres délices chocolatés.

«Servez-vous, servez-vous», lance-t-il.

Le directeur des investissements de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) est en mode séduction. Mais ceux qu'il cherche à séduire, ce sont les entrepreneurs qui pourraient vouloir investir au Maroc. Il a plusieurs attraits à faire valoir, des attraits économiques, sociaux et politiques qu'il expose fièrement à La Presse Affaires.

«Les éléments fondamentaux macro-économiques sont solides, soutient-il. Au cours des 10 dernières années, la croissance économique a été de 4% à 5% en moyenne par année.»

M. Fassi Fihri note que le taux d'inflation est très bien maîtrisé, à moins de 2% par année. Le taux de chômage, qui était de 15% au début des années 2000, est descendu à 9%.

La dette ne représente que 50% du produit intérieur brut, ce qui permet au pays d'emprunter à des taux très compétitifs.

«Nous sommes un des rares pays de la région à avoir une note «investment grade» chez les grandes firmes de cotation comme Fitch et Standard&Poor's.»



Le système bancaire marocain est solide et constitue le deuxième plus gros réseau en Afrique, après celui de l'Afrique du Sud.

«Les banques marocaines sont présentes dans 20 pays africain, fait valoir le directeur des investissements de l'AMDI. C'est très important pour qui veut exporter en Afrique.»

M. Fassi Fihri ajoute que le Maroc a fait des efforts très importants dans la mise à niveau des infrastructures. Au début des années 2000, le pays comptait 100 kilomètres d'autoroutes. Il y en a maintenant 1500 kilomètres, et on vise 1800 kilomètres pour 2015.

Le Maroc compte 15 aéroports internationaux et plus de 20 ports, dont le port de Tanger, où transitent maintenant trois millions de conteneurs. Le port vise 8,5 millions de conteneurs en 2017, ce qui correspond à la capacité actuelle du port de Rotterdam, le premier port européen.

«Grâce à ce port, Renault s'est installée à Tanger et produira 400 000 voitures en 2015», soutient-t-il.

Le Maroc a également mis en place des stratégies sectorielles, avec des outils comme des zones franches, en plus d'avoir conclu des ententes de libre-échange avec de nombreux pays, dont les Etats-Unis, et d'avoir un statut d'associé auprès de l'Union européenne. «Le Maroc est un petit marché de 30 millions d'habitants, mais ces ententes permettent un accès à un milliard de consommateur», affirme M. Fassi Fihri.

Il souligne la position géographique du Maroc, à seulement 14 kilomètres de l'Europe via le détroit de Gibraltar.

«Nous sommes pratiquement en Europe, mais nous sommes aussi la porte du continent africain», fait-il valoir.

Et il y a la question des coûts salariaux, un attrait incontournable.

«Le salaire moyen est deux fois moins élevé qu'en Roumanie et huit fois moins élevé qu'en Europe occidentale.»

Source: lapresse.ca

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 20 mars 2013 : 18:28

De plus en plus de jeunes marocains de confession juive vont étudier en Israël


Une fois le baccalauréat en poche, de plus en plus de parents marocains de confession juive décident d'envoyer leurs enfants étudier, non pas en France ou aux USA, mais plutôt en Israël afin de suivre des études dans le domaine des hautes technologies et d'y recevoir un enseignement religieux.
Des étudiants à à l’Ecole Supérieure de Haute Technologie de Jerusalem (ph. JCT)
Aujourd’hui, la communauté juive marocaine vivant au royaume est estimée à environ 2000 à 3000 personnes. De plus en plus de parents de cette communauté décident d’envoyer leurs enfants, particulièrement leurs fils, étudier dans des universités israéliennes, et ce après leur baccalauréat, rapporte le site Ynetnews.com hier, dans un article datant du dimanche 17 mars.



Etudier la Torah et décrocher un diplôme


Depuis le début de cette année, 13 jeunes Marocains étudient à The Machon Lev Academic Institution à l’Ecole Supérieure de Haute Technologie de Jerusalem dont l’objectif est d’«approfondir les connaissances juives des étudiants et les aider à vivre une vie familiale et professionnelle empreinte de Torah (..) d’éduquer de jeunes professionnels afin qu'ils deviennent des leaders juifs en Israël et en diaspora. », précise le site internet de l’établissement. De plus, le site donne plus de précisions sur l'avenir de ces jeunes étudiants : "Le Ma'hon Lev est une institution vitale pour le pays, en particulier pour Tsahal. La majeure partie des étudiants de JCT sert dans l'armée, souvent avec des grades élevés et pas seulement dans la réserve (milouim). Leurs qualifications en font des officiers très recherchés par l'armée de l'air, la marine et toutes les autres composantes de l'armée (...) Ils n'y font pas seulement carrière, mais y voient un engagement personnel pour le bien de l'Etat d'Israel".
L’Ecole délivre ainsi aux étudiants des diplômes supérieurs (degrees et masters) en haute technologie pour devenir, par exemple, ingénieur électronique, ingénieur informatique, ingénieur en optique ou chimiste. En plus des cours théoriques et pratiques quotidiens, des cours sur le judaïsme leur sont également proposés pour approfondir leurs connaissances sur leur religion.
Pas de retour au Maroc
Alors que 72% des étudiants marocains partis étudier en France rêve un jour de rentrer dans leur pays d’origine pour contribuer au développement économique du pays, d’après une étude réalisée par Careers in Morocco, en partenariat avec le Club France Maroc et la fondation Académia, publiée en 2012, ces étudiants marocains de confession juive, eux, sont bien décidés à s’installer en Israël pour de bon et à mettre une croix sur le Maroc.
« Il n’y a pas d’avenir pour nous au Maroc ! », lance un étudiant en comptabilité prénommé Yitzhak. « Si je suis venu en Israël c’est parce que je vois mon avenir ici et je me vois fonder une famille ici », ajoute-t-il. Pourquoi le Maroc n’offre-t-il pas d’avenir pour ce jeune étudiant ? Que reprochent ces jeunes au Maroc ? Hélas, l’article ne le mentionne pas, préférant au contraire diaboliser le royaume en affirmant que ces jeunes doivent transiter par plusieurs pays étrangers avant d’arriver en Israël, afin que "les autorités marocaines ne connaissent pas leur destination finale".
De leur côté, la direction et le personnel de The Machon Lev Academic Institution se réjouissent de l’arrivée de ces étudiants. « Les étudiants qui viennent du Maroc s’intégrent très vite dans l’établissement. Ils ont réussi très vite à s’habituer à la langue et à la mentalité des autres étudiants », conclut Noah Dana Picard, le président de l’établissement.

From Yabiladi.com

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 20 mars 2013 : 18:55

Deux ministres originaires du Maroc dans le nouveau gouvernement Netanyahu


Le 33ème gouvernement israélien vient d’être annoncé après quarante jours de longues et âpres négociations. Dans la photo de famille figure deux ministres natifs du Maroc.

Deux ministres originaires du Maroc dans le nouveau gouvernement israélien, dirigé par Benjamin Netanyahu. Il s’agit d’Amir Peretz occupant le maroquin de l’Environnement et Meïr Cohen chargé du département des Affaires sociales. Le premier est natif de Bejaâd en 1952, parlant le dialecte marocain, il l'avait, d'ailleurs, démontré devant les micros des médias officiels à l’occasion de sa visite au Maroc, le 17 février 2006, au cours de laquelle il était reçu par le roi Mohammed VI. Le second est né, en 1955, à Essaouira.
Peretz et Cohen deux parcours politiques différents
Peretz et Cohen sont issus de deux horizons politiques différents. L’enfant de Bejaâd est un ancien syndicaliste. Son coup de génie, il le réalisa en 2005 lorsqu’il parvient à battre aux primaires du parti travailliste, Shimon Peres, l’actuel président d’Israël, devenant ainsi le premier juif séfarade à la tête de cette formation de gauche réputée pour être un bastion des ashkénazes, notamment les Polonais. Une prouesse suivie immédiatement, en 2006, par sa nomination à la tête du ministère de la Défense. Une première pour un juif d’origine marocaine. Seul David Levy, natif de Rabat, avait réussi un tel parcours en occupant le prestigieux ministère des Affaires étrangères à trois reprises.
Après la débâcle de l’armée israélienne au Liban contre les forces du Hezbollah, en août 2006, Peretz est contraint de quitter son poste. Il coupe, ensuite, les liens avec le PT et rejoint la nouvelle formation « Hatnuah » (le Mouvement), créée, il y a juste deux mois, par Tzipi Livni, ex-premier ministre.
Cohen est membre du parti Yesh Atid (Il y a un avenir), une toute jeune enseigne politique de centre qui fêtera le 30 avril prochain, son premier anniversaire. Elle est dirigée, depuis, par Yaïr Lapid, un ancien journaliste de la presse écrite et de la télévision. Meïr Cohen  est le maire de Dimouna, une ville très connue dans le monde entier pour son complexe nucléaire.
Un autre séfarade dans l’équipe Netanyahu
En plus de Peretz et Cohen, un autre séfarade figure dans la photo de famille du 33ème gouvernement israélien. Il s’agit de Sykvain Shalom, ministre de de l’Eau, de l’Energie, du Développement régional, chargé du Néguev et de la Galilée, né le 4 août 1958 à Gabès en Tunisie. Shalom, un fidèle du parti de droite Likoud avait occupé le poste de chef de la diplomatie israélienne. C’est à ce titre qu’il avait été reçu, à deux reprises, par le roi Mohammed VI : le 2 septembre 2003 au palais de Tétouan et trois semaines plus tard à New York.

source: Yabiladi.com

Le nouveau Maroc / Maroc, le partenaire discret d’Israël
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juin 2013 : 23:16

«On est pour le maximum d'échanges». Telle était la réponse du directeur commercial du port Tanger Med à la question du commerce avec Israël, dans les colonnes du Figaro, qui titrait en juillet 2008: «Le Maroc veut être un pays modèle pour l’UPM (Union pour la Méditerranée)». Un point de vue qui demeure tabou pour l'opinion publique, mais les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privé, que les routes commerciales avec Israël existent et se développent à grands pas.


et aussi:
Sous l’œil bienveillant de Washington.....
Des liens diplomatiques ininterrompus.....
Des circuits gigognes et discrets......
L’armement au cœur des affaires......
Transactions en hausse constant.....
Lire tout l'article sur [www.slateafrique.com]


Le nouveau Maroc / 3ème destination dans le monde où il fait bon de s’expatrier
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 21 juin 2013 : 15:33

Le magazine français Capital a révélé que le Maroc est la troisième meilleure destination où « il fait très bon de s’expatrier », en première position se place la Suisse suivie par le Mexique. Quant aux raisons qui expliquent ce classement elles sont multiples, il s’agit de la démocratie naissante du Royaume, de sa stabilité, de l’hospitalité de son peuple et des opportunités de croissance et du marché de l’emploi que l’économie marocaine offre.

Le nouveau Maroc / De la Fac des Lettres d’Oujda au SIEL, l’antisémitisme fleurit dans l’impunité !
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2013 : 22:48

De la Fac des Lettres d’Oujda au SIEL, l’antisémitisme fleurit dans l’impunité !

L’antisémitisme, le racisme, l’incitation à la haine, la xénophobie sont inacceptables, ici et ailleurs, et les Marocains, généralement, sont connus pour leur tolérance et le respect qu’ils marquent envers les autres peuples, cultures et religions.

Cela est amplement attesté par la coexistence qui a caractérisé, des siècles durant, la majorité de la population musulmane et la communauté juive locale, une situation tout à fait exemplaire et originale, saluée urbi et orbi.

Tout récemment encore, en février 2013, lors de l’inauguration de la réhabilitation de le synagogue Slat Al Fassiyine à Fès, datant du 17è siècle, M. Abdelilah Benkirane, chef du Gouvernement, lisait une lettre royale adressée à la communauté juive nationale.

Dans ce message, le Roi Mohammed VI, commandeur des Croyants, rappelait que la présence juive au Maroc avait plus de 2000 années d’existence, réaffirmait sa sollicitude envers ses sujets de confession juive, mais aussi son rôle de protecteur et de garant de la parfaite coexistence entre les diverses confessions qui s’expriment dans notre pays où l’Islam est religion d’Etat, pratiquée par l’écrasante majorité du peuple marocain.

Comment dans ces conditions accepter, tolérer ou laisser s’exprimer des opinions et des vues objectivement antisémites, racistes et haineuses, professées de surcroît dans une enceinte universitaire ou complaisamment exposées lors du récent Salon du Livre (SIEL) à Casablanca ?

Ainsi, à la Faculté des Lettres et des Sciences Sociales d’Oujda, un enseignant a posé, lors d’un récent examen écrit, deux questions à ses étudiants, lesquelles questions mériteraient, outre des sanctions disciplinaires des plus sévères, des poursuites en justice pour incitation à la haine et antisémitisme.



En voici l’intitulé exact et la traduction en français, opérée par nos soins :

Answer each one of the two questions given below using correct English :

Répondre aux deux questions suivantes en utilisant un Anglais correct :

1) «How does the history of Jews prove their hatred towards other people ?»

Comment l’histoire des Juifs démontre-t-elle leur haine envers les autres peuples ?

«How would you justify the fact that immorality and misconduct in Judaism are basically due to spiritual gap? Use historical facts to highlight your answer».
Comment justifieriez-vous le fait que l’immoralité et la mauvaise conduite dans le Judaïsme sont essentiellement dues à un vide spirituel ? Utilisez des faits historiques pour illustrer votre réponse.




Une telle démarche, sous couvert de l’Alma Mater, initiée par un professeur de l’enseignement supérieur est proprement scandaleuse et intolérable. Rien n’explique ou ne justifie que de tels sujets soient ainsi soumis à dissertation dans le cadre d’enceintes où le Droit, le respect des valeurs universelles et des principes exposés dans la Charte des Doits de l’Homme de l’ONU, ratifiée par le Royaume du Maroc, mais aussi la législation nationale qui interdit et sanctionne l’incitation à la haine et le racisme soient ainsi ouvertement et impunément bafoués, violés, sous couvert d’une démarche pseudo-pédagogique.

Cette sale affaire est à rapprocher du scandale né de la présence dans plusieurs stands au SIEL, en mars- avril dernier à Casablanca, d’ouvrages ouvertement négationnistes et antisémites, alors que ce salon se tenait sous l’égide et la responsabilité du Ministère de la Culture, que dirige un ministre PPS, M. Amine Sbihi.





La présence de cette odieuse littérature, introduite par des maisons d’édition principalement égyptiennes, moyen-orientales ou du Golfe, a suscité un certain émoi dans la presse étrangère comme l’exprime un article paru dans Le Monde du 5 juin 2013 dont voici quelques extraits :



« La culture des images et l’image de la culture » : c’était le thème du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) de Casablanca, qui a eu lieu du 29 mars au 7 avril. Autant le dire, elle a une drôle de tête, la culture, vue à travers les ouvrages présentés par des éditeurs venus des principaux pays du monde arabe. Cent-cinquante stands marocains, 30 libanais, 20 syriens, 10 égyptiens, 5 saoudiens, 2 palestiniens et 1 libyen ont proposé de saines et abondantes lectures, que l’on pourrait classer en trois catégories : livres défendant les thèses complotistes les plus débiles (tout est la faute du sionisme, de l’américano-sionisme, du complot judéo-maçonnique ou judéo-américano-maçonnique, etc.), ouvrages classiquement antisémites et négationnistes, « travaux » réhabilitant Adolf Hitler.
Personnellement, j’ai un faible pour La Malice des juifs, de Saïd Muhammad Sayd Al-Sanari et Les Règles des rabbins de Lucifer, de Majdi Kamel. Ça nous change un peu des éternels Protocoles des Sages de Sion et des titres du genre Le Grand Complot, d’Hasan Latsh, dont la couverture affiche une étoile de David sur une carte de l’Afghanistan. Sans parler des ouvrages savants comme Les Judéo-francs-maçons dans les révolutions et les constitutions, chez Madbuli Press, et L’Autre Visage de Hitler, tout cela côtoyant les classiques indispensables comme Mein Kampf.».

Cette dérive antisémite qui s’exprime à la fois dans une littérature complaisamment exposée au public national et dans un cadre universitaire marocain devra cesser au plus tôt, car elle nuit profondément à l’image du Maroc, à sa traditionnelle tolérance. Contraire à la réalité qui prévaut chez nous, elle s’inscrit ouvertement en totale opposition avec les positions et les engagements pris au plus haut niveau de l’Etat.

A tous ces titres donc, elle doit être bannie, et au plus vite !

Fahd YATA [edito.lnt.ma]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 02:15

c'est horrible et inacceptable, c'est une honte
cette chienne de prof a été suspendue.
Quant aux écrits de l'age de l'Allemagne nazie le Maroc n'est pas connu pour un pays ou on lit, 45% d'analphabetisme et le reste ne lit pas

[www.lnt.ma]

Le nouveau Maroc
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 08:49

Oui Derka, ton lien nous apprend que la prof antisémite de la Fac des lettres d’Oujda a été sanctionnée.

voici donc l'article entier


[www.lnt.ma]



L’article paru la semaine passée dans le numéro 845 de La Nouvelle Tribune, datée du 20 juin 2013 et publié également sur le portail www.lnt.ma, [edito.lnt.ma], dénonçant la présentation de sujets antisémites lors d’un examen écrit par une professseure universitaire du Département d’Anglais de la Faculté des lettres d’Oujda a suscité de vives et saines réactions.

C’est ainsi que la page Facebook de La Nouvelle Tribune a reçu des centaines de «like» de la part d’internautes marocains, très majoritairement jeunes, tandis que plusieurs personnalités de la société civile ont dénoncé publiquement cet acte odieux.

Le président du Conseil National des Droits de l’Homme, M. Driss El Yazami, a annoncé l’ouverture d’une enquête à ce sujet et plusieurs média, parfois sans citer la source et l’origine de la dénonciation de cette insulte à la tolérance proverbiale du peuple marocain et cette violation du préambule de la Constitution, c’est-à-dire l’article de La Nouvelle Tribune, se sont fait l’écho de ce scandale.

De même, Ahmed Gayet, président de l’association Marocains Pluriels, a publiquement dénoncé le comportement de l’enseignante universitaire d’Oujda, laquelle, selon nos informations, a été suspendue de cours et privée d’enseignement, en guise de mesure conservatoire.

Les suites positives de cette condamnation vigoureuse par notre hebdomadaire et notre portail prouvent qu’au Maroc, le racisme et l’antisémitisme ne sauraient être tolérés.

C’est le rôle de la presse nationale de servir de sentinelle et d’observateur intransigeant et réactif pour dénoncer et médiatiser toutes les atteintes et violations aux principes de respect des valeurs fondatrices de notre société marocaine, tolérante, ouverte et imprégnée des saines traditions de coexistence entre les communautés religieuses qui, depuis de siècles, ont servi de socle à l’identité nationale.

Fahd YATA

Le nouveau Maroc / la prof antisémite de la Fac des lettres d’Oujda sanctionnée
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 02 juillet 2013 : 21:12

Après l’article de La Nouvelle Tribune, la prof antisémite de la Fac des lettres d’Oujda sanctionnée
30/06/2013, Posted in  Articles/Chroniques, CFCA

L’article paru la semaine passée dans le numéro 845 de La Nouvelle Tribune, datée du 20 juin 2013 et publié également sur le portail www.lnt.ma, [edito.lnt.ma], dénonçant la présentation de sujets antisémites lors d’un examen écrit par une professseure universitaire du Département d’Anglais de la Faculté des lettres d’Oujda a suscité de vives et saines réactions.
C’est ainsi que la page Facebook de La Nouvelle Tribune a reçu des centaines de «like» de la part d’internautes marocains, très majoritairement jeunes, tandis que plusieurs personnalités de la société civile ont dénoncé publiquement cet acte odieux.
Le président du Conseil National des Droits de l’Homme, M. Driss El Yazami, a annoncé l’ouverture d’une enquête à ce sujet et plusieurs média, parfois sans citer la source et l’origine de la dénonciation de cette insulte à la tolérance proverbiale du peuple marocain et cette violation du préambule de la Constitution, c’est-à-dire l’article de La Nouvelle Tribune, se sont fait l’écho de ce scandale.
De même, Ahmed Gayet, président de l’association Marocains Pluriels, a publiquement dénoncé le comportement de l’enseignante universitaire d’Oujda, laquelle, selon nos informations, a été suspendue de cours et privée d’enseignement, en guise de mesure conservatoire.
Les suites positives de cette condamnation vigoureuse par notre hebdomadaire et notre portail prouvent qu’au Maroc, le racisme et l’antisémitisme ne sauraient être tolérés.
C’est le rôle de la presse nationale de servir de sentinelle et d’observateur intransigeant et réactif pour dénoncer et médiatiser toutes les atteintes et violations aux principes de respect des valeurs fondatrices de notre société marocaine, tolérante, ouverte et imprégnée des saines traditions de coexistence entre les communautés religieuses qui, depuis de siècles, ont servi de socle à l’identité nationale.

Le nouveau Maroc / Juifs de Fès: Une belle leçon de solidarité
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 10 juillet 2013 : 15:11

Fidèle à sa réputation de terre de paix, de tolérance et de brassage culturel, la ville de Fès vient, de nouveau, de donner au monde une belle leçon de ce que doit être la relation entre adeptes des religions monothéistes.

La capitale spirituelle du Royaume a ainsi vécu la semaine dernière un moment d'une intense émotion avec la distribution par des Marocains de confession juive de plusieurs chaises roulantes à leurs compatriotes musulmans.

L'événement est en effet rare en ces temps d'exacerbation de l'intolérance, de l'ostracisme, des fanatismes de tous bords et des conflits confessionnels.

Dans ce contexte, le Maroc a pu offrir ce vertueux et salvateur modèle de vivre ensemble, de dialogue civilisationnel et de coexistence entre les cultures et les religions.

Le lieu de l'événement a, lui aussi, valeur de symbole et en dit long sur la tradition de tolérance et de communion entre hommes des différentes cultures et religions dans la ville impériale de Fès.

Le centre Maimonide, lieu de rassemblement de la communauté juive à Fès, a été le théâtre de ce geste de solidarité avec les personnes aux besoins spécifiques. Ce centre a été bâti à la mémoire de ce grand théologien et philosophe juif, qui fut obligé de quitter l'Andalousie pour trouver refuge au Maroc.



Juifs et musulmans, main dans la main

Comme ils l'ont fait à plusieurs reprises et à travers toute l'histoire, les juifs de Fès ont montré, à cette occasion, combien ils sont sensibles aux souffrances de leurs congénères musulmans, surtout ceux qui ont des besoins spécifiques, qui sont malades ou qui n'ont pas les moyens de mener une vie normale.

L'année dernière, les juifs de Fès avaient distribué un important lot de matériel médical et paramédical aux services d'urgences, dispensaires et unités du Croissant rouge marocain.

Citation:
“Nous ne faisons que perpétuer cette solidarité entre musulmans et juifs dont Fès est la terre de prédilection par excellence. Ce geste de solidarité avec les personnes aux besoins spécifiques s'inscrit dans notre histoire.”
ARMAND GUIGI, PRÉSIDENT DE LA COMMUNAUTÉ JUIVE DE FÈS, SEFROU ET OUJDA.

En effet, il y a quelques mois déjà, la communauté internationale a partagé avec le Maroc un événement d'une grande portée humaine, lorsque des représentants des trois religions monothéistes ont assisté à l'inauguration de la synagogue Slate Al fassiyine. Le Roi Mohammed VI avait alors souligné que cette journée constituait la belle image de tolérance que le Maroc projette à la face du monde.

Source: [www.aufaitmaroc.com]

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 03 aot 2013 : 02:38

en tant que marocain c'est avec plaisir que je vous reporte ce poste:

Shlomo Amar, Grand Rabbin d’Israël officiellement décoré par le Roi du Maroc

L’ancien grand rabbin sépharade d’Israël, Shlomo Amar, (2003-2013) et Malcolm Hoenlein, vice-président exécutif de la conférence des grandes organisations juives américaines, la très puissante et influente AIPAC, ont eu droit à des distinctions royales à l’occasion de la Fête du trône.

Le site internet Yabiladi explique que

haut dignitaire religieux, natif du Maroc en 1948, a eu le Wissam el Alaouite de classe exceptionnelle. Le rabbin est un habitué du palais puisqu’il avait déjà rencontré le souverain, en août 2003, à Tanger. C’était juste quelques mois après son élection par ses paires sépharades au poste de grand rabbin.

Alors que l’Américain quant à lui, a reçu le Wissam el Alaouite de l’Ordre du grand officier. Son nom figure, d’ailleurs, sur une longue dépêche MAP, relayée par Le Matin.

Et d’ajouter que

Le soutien de l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) envers le Maroc sur la question du Sahara occidental est, sans aucun doute, à l’origine de la distinction de Malcom Hoenlein. L’organisation était parmi les groupes et les pays qui ont convaincu, en avril dernier, l’administration Obama de retirer son très controversé projet de résolution au Conseil de sécurité, proposant d’élargir le mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara

La décoration de Shlomo Amar n’a guère suscité de réactions hostiles de la part des gardiens du temple du panarabisme et de l’islamisme, opposés à toute normalisation avec Jérusalem.

Visiblement, Soufiani & Co savent parfaitement quand il faut faire de l’agitation et quand il faut faire profil bas.

Lors de la Fête du trône de 2008, le roi Mohammed VI avait décoré Yehuda Lancry, ancienn ambassadeur d’Israël en France de 1992 à 1995 puis député à la Knesset, de Grand officier du Wissam al-Arch ainsi que David Messas, le grand rabbin de Paris, de Grand Officier du Wissam el Alaouite.

Dans un entretien publié par le journal électronique marocain d’information générale «L’observateur.info», Shlomo Amar, a déclaré avoir ressenti «une immense joie et une vive émotion» à cette occasion. «Après avoir été reçu par S.M. le Roi, que Dieu lui prête longue vie, il y a dix ans à Tanger, je souhaitais vivement revenir au Maroc et avec la haute sollicitude royale je suis comblé, d’autant plus que je suis revenu à Casablanca, ma ville natale», s’est-il félicité.

«C’est un grand jour pour moi. C’est un grand jour pour le monde juif marocain, qui reste, comme moi, profondément attaché au Maroc», a ajouté le Grand Rabbin, se disant «heureux de voir Sa Majesté le Roi conduire son pays, avec sagesse, vers le meilleur». Il a, par ailleurs, estimé que le fait que cette distinction royale intervienne le même jour où Israël et les palestiniens empruntent à nouveau la voie du dialogue pour asseoir la paix, un processus auquel le Souverain, attaché aux valeurs de la paix et de la fraternité entre les peuples et entre les religions, n’a jamais cessé d’appeler, «représente pour moi une chose grandiose, porteuse de message, un message notamment pour la paix, chère à S.M. le Roi Mohammed VI». «Tout comme le Souverain, nous souhaitons de tout cœur que la paix règne non seulement entre Israéliens et Palestiniens, mais dans le monde entier», a-t-il conclu.

[jssnews.com]




Le nouveau Maroc / Deux ONG dénoncent l’arrivée d’Israéliens au royaume
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 06 septembre 2013 : 17:28

Deux enseignes marocaines opposées à la normalisation des relations avec Israël, dénoncent l’arrivée de citoyens israéliens, des étudiants et des universitaires, au royaume, les qualifiant de « sionistes soldats de réserve ».

La normalisation avec l’Etat hébreu est l’un des sujets phares de la rentrée politique. Une fois de plus, les panarabistes montent au créneau pour dénoncer l’arrivée, fin août, au Maroc de ressortissants israéliens, bien qu'ils soient d’origine marocaine.
Figure parmi eux des étudiants (dont le nombre s'élève à 18) et des universitaires. Un déplacement au cours duquel, ils ont visité Rabat, Marrakech, Fès, Casablanca et Tinghir. Ils se sont également entretenu avec des représentants d’associations amazighes et des membres de l’IRCAM (Institut royal de la culture amazigh du Maroc, officiel) ainsi que le réalisateur Kamal Hachkar. Le premier coup de salve a été tiré par la « Coordination nationale de l’initiative estudiantine ».




Dans un communiqué publié mercredi, elle se dit « consternée » par « le silence suspect » des autorités à la venue au royaume de « sionistes soldats de réserves dans notre cher pays ». En Israël, tous les citoyens de confession juive, à l’exception des religieux, une fois qu’ils passent leur service militaire obligatoire, sont considérés de facto comme des « soldats ou des officiers de réserves ». En vue de barrer la route à toute tentative de normalisation avec Israël, la Coordination a appelé le parlement à adopter, « dans les plus brefs délais », la loi incriminant ce genre d’initiative. Une proposition de loi a été, en ce sens, élaborée il y a quelques mois par l’ « Observatoire marocain contre la normalisation ».  

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 06 septembre 2013 : 20:47

Bonjour Aaron
Les juifs sionistes ont fait pour le Maroc ce que ces imbeciles qui aboient ne lui feront jamais ni eux ni leur descendance. C'est bien les juifs d'Amerique qui ont sauvé le Maroc d'une catastrophe dont il ne de relèvera pas celle de donner le pouvoir a la minurso d'intervenir au Sahara marocain en matiere des droits de l'homme, et quand on voit son impartialité la minurso va nous emmerder a plein.
Je dis au juifs le Maroc ne vous remerciera jamais assez quoi qu'il fasse. Dieu seul pourra vous rendre ce bien.
Puisse Dieu protéger Israel et écraser ses ennemis

Le nouveau Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 07 septembre 2013 : 10:08

Bonjour Derka,
Les juifs et les "sionistes" ont apporté appui, aide et technologie au Maroc. Il n'y a qu'à songer aux technologies d'irrigation.
Les juifs et "sionistes" américains ont empeché Obama de tomber dans le piége des "droits de l'homme" avec le polisario et les islamistes extremistes.
Les juifs et les "sionistes" fuient aujourd'hui la France car les musulmans francais d'origine maghrebine y compris marocaine les traquent.
Qui perd? D' abord et avant tout ces maghrebins eux memes car ces juifs francais garantissaient plus d'investiments, et de travail en France.
Le juif est garantie partout dans le monde de progrés et de réalisations.
Qui chasse ses juifs se retrouve dans les pommes. Aujourd'hui 500 ans aprés les avoir chassés et persécutés l'Espagne fait de tout pour les ramener mais c'est trop tard.
Bon week-end.

Le nouveau Maroc / Le sexe dans le top 10 des requêtes Google au Maroc
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 07 septembre 2013 : 15:41

Sexe : requête estivale favorite des Marocains sur internet

Quatre sites internet pornographiques figurent en tête des sites les plus visités par les Marocains au cours du mois d’août dernier, d’après Alexa, outil statistique de mesure d’audience.

Sur la liste des 100 sites internet les plus visités par les Marocains, ces sites érotiques arrivent en 14e, 22e, 34e et 70e position. Le moteur de recherche américain Google, Facebook et You Tube, sont en tête des sites favoris des internautes marocains.

En 2011, le Maroc figurait au top 10 des pays où les internautes s’intéressent le plus aux requêtes érotiques. Sur les requêtes "vidéo X" et "sexe" par exemple, le Royaume caracolait respectivement en 3e et 5e position mondiale, d’après Google Trends.

Si la recherche du mot "sexe" explose durant l’été chez les Marocains, elle baisse de façon drastique pendant le mois de Ramadan, au cours duquel l’on observe un regain de spiritualité chez les citoyens...

Le nouveau Maroc
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 16 septembre 2013 : 21:12

Bonjour
si on devait comptabiliser tout ce qui lie les juifs au Maroc il faudrait des livres pour les écrire, mais il y en a une que je ne connaissait pas c'est le citron jaune de souccot:

"Pour plusieurs spécialistes des plantes bibliques, l’étrog (au singulier) du Maroc est considéré comme « l’étrog original des temps bibliques. »

L’etrog est identifié par la tradition rabbinique au fruit que la Bible appelle pri etz hadar (hébreu : פרי עץ הדר « fruit du bel arbre » ou « de l’arbre hadar »)"

une importation officielle du Maroc vers Israel, sera je l'éspere le prelude à un elargissement officiel des échanges commerciaux entre les deux pays et à travers les marchandises échangées un tissage de lien d'amitié entre les personnes qui les échangent pour le bien d'Israel et celui de mon pays.

[jssnews.com]




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