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Ou va la France ?
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 25 juin 2015 : 08:03



Réflexions sur la discrimination qui vient

« Par François Heilbronn


Professeur des universités associé à Sciences Po Paris
Président des amis français de l’université de Tel-Aviv »


Le discriminé est celui à qui on refuse un droit pour ce qu’il est et non pour ce qu’il a fait.

Le discriminé reste à la porte après avoir frappé et regarde l’autre entrer.

Il y a un mois, le discriminé a eu le visage d’un ami : Sefy Hendler, Professeur d’Histoire de l’Art à l’université de Tel-Aviv.

Sefy est un spécialiste reconnu de la Renaissance. Sefy a tant de qualités : intelligent, cultivé, drôle, polyglotte, brillant Docteur de la Sorbonne, amoureux de la France, de l’Italie, de leurs patrimoines, de leurs messages et valeurs universelles. Oui, mais, il y a toujours un mais, Sefy est israélien.


Depuis deux ans, Sefy enseigne à ses étudiants la richesse exceptionnelle des musées français et parisiens. Il partage avec eux sa passion. Il leur montre des photos, des textes. Mais il a un rêve, il veut faire découvrir à ses meilleurs étudiants, la beauté extraordinaire de notre patrimoine. Il me convainc de l’aider avec les amis français de l’université de Tel-Aviv à financer ce voyage de découverte. Grâce à la générosité de nos amis, le voyage se prépare enfin, après deux ans de travail et d’effort.

Nous sommes le 11 mai 2015. Ce jour là, j’accompagne Anne Hidalgo et le Conseil de Paris dans leur visite du campus de l’université de Tel-Aviv. Ils s’émerveillent de cette université pluridisciplinaire, de la vitalité de cette jeunesse ouverte sur le monde et se réjouissent des coopérations nombreuses avec les universités parisiennes.

Au même moment, non loin de nous, Sefy dans son bureau de la faculté des Arts, envoie six demandes de réservation pour son groupe de 16 personnes auprès de musées et de monuments nationaux parisiens.

A des milliers de kilomètres de là, dans les méandres de systèmes informatiques obscurs ou de planogrammes tenus par des fonctionnaires mal intentionnés, le couperet tombe.

Le Louvre répond le jour même par un mail anonyme : « Nous ne pouvons donner suite à votre demande de réservation. Nous n’avons pas de disponibilité pour le créneau demandé ». Sefy aime la France, il y a vécu huit ans comme journaliste et étudiant. Mais il connaît aussi cette France où certains poisons mortifères gagnent depuis le début des années 2000.

Intrigué par cette réponse fermée qui ne laisse aucun autre choix et connaissant bien le Louvre, il décide alors de réaliser un « testing ». Le lendemain, il envoie une demande au nom d’un collège « imaginaire » le « Abhu Dabi Art History College », pour les mêmes jours mais à des heures différentes. Cette demande est immédiatement acceptée. Pour s’assurer de la différence de traitement, il réitère sa demande aux mêmes créneaux que Tel-Aviv au nom d’un faux « Instituto Storia del Arte » de Florence. Celle-ci est aussi immédiatement acceptée. Il refait alors une demande pour Tel-Aviv à d’autres créneaux qui elle sera acceptée, non pas immédiatement, mais 35 heures plus tard.

Le 15 mai, après 4 jours, il reçoit enfin la réponse de la Sainte-Chapelle. Cette réponse est négative « Désolé nous n’avons aucune disponibilité pour le jour demandé », celle-ci n’est pas anonyme, elle est signée d’un responsable des visites de groupe.

Blessé, le Docteur Hendler envoie un mail nominatif aux deux responsables des réservations pour leur demander la possibilité de visiter le lundi et non le dimanche, jour qui lui a été refusé. Ce mail restera sans réponse. Il essaie alors, pour le dimanche refusé un nouveau « testing » au nom de Marwan Al-Abdul du faux collège d’Abou Dabi. Cette demande est immédiatement acceptée et signée de la même personne qui avait dit non à l’université de Tel-Aviv. La voici :

Citation:
« CONFIRMATION DE RESERVATION ART HISTORY COLLEGE / ABU DHABI / EMIRATS ARABES UNIS
Madame, Monsieur,
Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à nos monuments. Vous trouverez ci-dessous le détail de votre visite dans l’un ou plusieurs de nos monuments. »

Au même moment à l’université de Tel-Aviv, nous venons avec les amis français de clôturer un colloque de littérature, sur « Ecrire la guerre » avec les grands écrivains français et italiens, Erri de Luca, Ariane Bois et Valérie Zenatti. Nous sommes encore dans « la beauté des choses ». Sefy m’alerte alors de ces incidents.

Le discriminé est celui qui reste à la porte. Mais c’est aussi celui qui regarde incrédule et blessé les autres entrer. J’ai vu dans le regard intelligent et pétillant de mon ami cette blessure. Militant antiraciste depuis près de 40 ans, je me suis toujours battu contre la haine et l’injustice. La discrimination associe violemment les deux.

J’écris alors aux Présidents de ces deux institutions, ainsi qu’à Fleur Pellerin, ministre de la Culture qui avait visité avec François Hollande l’université de Tel-Aviv. Je leur décris les faits douloureux et je leur fournis pour preuve tous les mails reçus par le Professeur Hendler.

Le Président du Louvre réagit immédiatement. Il est choqué et diligente une enquête. Après trois jours, il me fait part des résultats, qui semblent s’orienter vers un défaut des systèmes informatiques automatiques de réponse. Je le remercie pour sa réactivité, et accepte ses explications, à condition toutefois que toute intervention humaine soit impossible.

Du côté de la Sainte-Chapelle qui dépend des Monuments Nationaux, la discrimination est patente. C’est la même personne qui dit froidement non aux Israéliens, ne répond pas au mail poli de relance du Professeur Hendler et s’empresse de répondre positivement à la demande du faux Abou Dabi.

Le Président des Monuments Nationaux me contacte le jour de la réception de ma lettre et m’assure que la délégation du Professeur Hendler pourra visiter la Sainte-Chapelle en m’expliquant « qu’un créneau vient de se libérer pour le dimanche initialement demandé », ce à quoi je lui fais remarquer que « c’est évident puisque il s’agit du créneau du faux Abou Dabi ».

Je lui demande fermement de diligenter une enquête interne. Je recevrai le résultat de cette enquête, un mois plus tard le 15 juin, le jour de la parution de l’article de Libération qui révèle cette affaire au grand public.

Les résultats de son enquête ont conclu à une succession d’erreurs et le Président Bélaval a écrit : « Si le CMN (Centre des Monuments Nationaux) reconnaît l’existence d’un dysfonctionnement dans le traitement de demandes successives effectuées auprès du service de la Sainte Chapelle, rien ne confirme à ce stade qu’il y ait eu une intention de discrimination envers les étudiants de l’université de Tel-Aviv, qui, comme tous les visiteurs israéliens, sont naturellement les bienvenus à la Sainte-Chapelle ainsi que dans l’ensemble des monuments nationaux. »

Peu importe le résultat de ces enquêtes internes, Jean-François Carenco, le Préfet de la Région Ile-de-France après étude des différents éléments matériels a jugé les faits suffisamment graves pour saisir le Parquet. Car cette affaire relève de la Justice. La discrimination est un délit pénal:

Article 225-1 du Code Pénal : « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine…de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.

Article 225-2 du Code Pénal : « La discrimination définie à l’article 225-1 commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 € d’amende lorsqu’elle consiste :
1° A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service,
2° A entraver l’exercice normal d’une activité économique quelconque…

Lorsque le refus discriminatoire prévu au 1° est commis dans un lieu accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75.000 € d’amende ».

Nos principes légaux ont donc été probablement bafoués par des fonctionnaires peu scrupuleux. Si nos amis se sont vus refuser l’entrée de nos plus beaux musées et monuments nationaux au seul titre de leur nationalité israélienne, c’est pour tous les Français une blessure profonde à nos valeurs universelles.

Les Professeurs Hendler, Pinkus et leurs étudiants en histoire de l’Art de l’université de Tel-Aviv vont enfin découvrir dans les prochains jours, les vitraux restaurés de la Sainte-Chapelle et cette lumière d’un bleu si profond. Ils arpenteront cet immense et bouleversant Musée du Louvre. Les amis de l’université de Tel-Aviv les accueilleront avec toute l’amitié et l’affection que nous leur portons.

La France fut le premier pays au monde à ne plus discriminer les Juifs.

La France, la première les émancipa et leur donna la nationalité.

La France, la première aussi leur permis l’accès à tous les corps de métiers, à toutes les fonctions publiques.

La France fut la première en 1848, à avoir un ministre juif, Adolphe Crémieux, presque 100 ans avant les Etats-Unis.

La France fut le seul pays à compter dans ses rangs 7 généraux pendant la première guerre mondiale. Dans cet esprit de Lumières, ma Patrie, la France doit accueillir les Israéliens avec tout le respect que nous devons à TOUS les étrangers.

Et comme il est écrit dans le Lévitique, le 3ème livre de la Torah: « Si un étranger vient séjourner chez toi, dans ton pays, ne le moleste point. Il sera pour toi comme un de tes compatriotes, l’étranger qui séjourne avec vous, et tu l’aimeras comme toi-même, car vous avez été étrangers dans le Pays d’Egypte, je suis l’Eternel votre Dieu. »

Les pouvoirs publics, les responsables médiatiques et politiques doivent rappeler ou peut-être tout simplement apprendre à TOUS nos concitoyens que la discrimination, qu’elle soit ethnique, nationale, raciale ou religieuse est un délit et une offense à nos valeurs et nos principes les plus sacrés.

Je ne veux plus jamais rencontrer un Israélien au regard blessé me déclarant qu’il a trouvé porte close en France. Plus jamais.


[frblogs.timesofisrael.com]




Ou va la France ?
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2015 : 15:51

Et pendant ce temps 1 mort et plusieurs blessés dans une attaque terroriste islamiste dans une usine en Isére. L'islam est la pour rester a dit Walls

Ou va la France ?
Posté par: andre (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2015 : 17:51

Citation:
derka
Et pendant ce temps 1 mort et plusieurs blessés dans une attaque terroriste islamiste dans une usine en Isére. L'islam est la pour rester a dit Walls

et 27 morts (bilan provisoire) à Sousse, en Tunisie devant 2 hôtels...

Ou va la France ?
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2015 : 18:06

Vendredi noir André un autre attentat au Koweit un kamikaze se fait exploser dans une mosquée chiite 13 morts.
La personne décapitée en France est un chef d'entreprise

Ou va la France ?
Posté par: derka (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2015 : 18:09

Si l'humanité interesse l'onu il a de quoi s'occuper si son but est d'embeter Israel il va encourager ces attentats

Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 27 juin 2015 : 10:53



L’homme décapité lors de l’attentat qui a visé vendredi en France une usine de gaz industriels près de Lyon (centre-est), était l’employeur de Yassin Salhi, l’auteur présumé de l’attaque qui a été interpellé, selon une source proche du dossier.

La tête de la victime, patron d’une entreprise de la région, a été retrouvée accrochée au grillage du site, une usine du groupe américain Air Products à Saint-Quentin-Fallavier. Elle était entourée de deux drapeaux islamistes, signe d’une mise en scène.


Son corps a lui été retrouvé à l’intérieur de l’entreprise, selon la même source.

C’est la première fois qu’une personne est décapitée en France lors d’une attaque terroriste, une pratique fréquemment utilisée en Syrie et en Irak par le groupe Etat islamique (EI).

La victime, quadragénaire, dirigeait une entreprise de transport disposant d’une habilitation pour entrer sur le site d’Air Products et c’est à bord d’un de ses véhicules que Yassin Salhi a pu pénétrer à l’intérieur de l’enceinte.

Yassin Salhi, 35 ans, a été arrêté sur les lieux par un pompier, à la suite d’une explosion.

Selon le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, il avait été fiché en 2006 par les services de renseignements pour « radicalisation » et était « en lien avec la mouvance salafiste », mais cette fiche n’avait pas été renouvelée en 2008 et Salhi n’avait pas de casier judiciaire.

L’épouse de l’auteur présumé de l’attentat commis vendredi dans une usine du centre-est de la France, Yassin Salhi, a été interpellée près de Lyon, a-t-on appris de source judiciaire.

Il s’agit de la troisième interpellation, après celles de Yassin Salhi et d’un homme qui avait été repéré en train d’effectuer des allers-retours suspects aux abords de l’usine de gaz industriels, où une personne a été décapitée et deux autres ont été blessées.

La dépouille de la personne retrouvée décapitée vendredi sur les lieux de l’attentat jihadiste contre un site industriel sensible près de Lyon, dans le centre-est de la France, est celle d’un chef d’entreprise de la banlieue lyonnaise, a-t-on appris de sources proches du dossier.

Aucun autre détail sur l’identité de cette victime n’a été donné par ces sources. Deux personnes sont en garde à vue, dont un suspect interpellé sur les lieux de l’attentat, un homme de 35 ans connu des services antiterroristes. L’autre a été arrêtée à la mi-journée, a précisé une source judiciaire.

L’auteur présumé de l’attentat commis en France vendredi matin avait été fiché entre 2006 et 2008 par les services de renseignements pour « radicalisation » et il était « en lien avec la mouvance salafiste » mais n’avait pas de casier judiciaire, selon le ministre de l’Intérieur.

L’homme, interpellé peu après l’attaque qui a visé une usine de gaz industriels près de Lyon (centre-est), était originaire de la région, a précisé le ministre, Bernard Cazeneuve, qui l’a identifié comme étant Yassine Salhi (ndlr: orthographe non confirmé), âgé de 35 ans.

Le président français François Hollande a affirmé vendredi que l’attaque contre une usine dans l’Isère (centre-est) était « de nature terroriste dès lors qu’il a été retrouvé un cadavre décapité avec des inscriptions » sur les lieux.

De Bruxelles où il participait à un sommet européen, le président a confirmé qu’un suspect avait été arrêté et « identifié », et évoqué un possible deuxième auteur dans cet attentat qui a fait un mort et deux blessés légers. Un « conseil restreint » sera réuni à l’Elysée à 15H30, a-t-il précisé.

Le président français François Hollande va réunir vendredi à 13H00 un Conseil de défense après l’attentat, probablement djihadiste, qui a visé une usine de gaz industriels de la région de Lyon, a annoncé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

« Le président de la République réunit un Conseil de défense, je le rejoins », a laconiquement déclaré Le Drian, écourtant un déplacement dans le sud-ouest de la France. Le premier bilan de l’attaque, près de six mois après les attentats de Paris, fait état d’un mort, décapité, et d’au moins deux blessés, selon des sources proches du dossier.

Une personne est morte décapitée et plusieurs ont été blessées dans un attentat probablement djihadiste en France qui a visé vendredi matin une usine de gaz industriels près de Lyon (centre-est), une nouvelle attaque qui était redoutée depuis les attentats de janvier à Paris.

Un homme a été interpellé peu après l’attaque, survenue vers 10H00 locales, soupçonné d’en être l’auteur ou l’un des auteurs, selon des sources proches du dossier. Il a été signalé que le suspect âgé de 30 ans était connu des services de renseignements étrangers.

Cet attentat survient près de six mois après les sanglantes attaques commises au nom de l’islam radical qui ont fait 17 morts début janvier à Paris.

Un bilan provisoire faisait état en fin de matinée d’un mort, retrouvé décapité sur place, et de deux blessés légers. La tête décapitée a été retrouvée couverte d’inscriptions en arabe et accrochée à un grillage.

Selon une source proche de l’enquête, un homme est entré un drapeau islamiste à la main dans l’usine de gaz industriels, située à Saint-Quentin Fallavier, et il y a fait sauter plusieurs bonbonnes de gaz.

« Selon les premiers éléments de l’enquête, un ou plusieurs individus, à bord d’un véhicule, ont foncé sur l’usine. Une explosion s’est alors produite », a déclaré une autre source proche du dossier.

« Le corps décapité d’une personne a été retrouvé à proximité de l’usine mais on ne sait pas encore si le corps a été transporté sur place ou pas », a ajouté cette source, évoquant aussi « un drapeau avec des inscriptions en arabe retrouvé sur place ».

‘Vigilance renforcée’

Le Premier ministre Manuel Valls a ordonné une « vigilance renforcée » sur tous les sites sensibles de la région de Lyon, deuxième ville de France, qui abrite de nombreuses sites industriels.

Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, qui était en déplacement dans la région, était attendu sur les lieux à la mi-journée.

Présent à Bruxelles dans le cadre d’un sommet européen, le président français François Hollande a fait savoir qu’il serait de retour à Paris en début d’après-midi vendredi. Un Conseil de défense aura lieu dans la foulée au palais de l’Elysée.

Les magistrats spécialisés du parquet antiterroriste de Paris se sont saisis de l’enquête.

Cette attaque survient dans un contexte de craintes des autorités de nouveaux actes de terrorisme sur le sol français, en particulier après l’arrestation en avril d’un étudiant algérien, Sid Ahmed Ghlam, soupçonné d’un projet d’attaque contre une église à Villejuif, près de Paris, au nom de l’islam radical.

Depuis les attentats de janvier, le gouvernement a mis en place un drastique plan de vigilance antiterroriste dans les lieux publics et le ministre de l’Intérieur a maintes fois répété que la menace en France restait « très élevée ».

Bernard Cazeneuve indiquait début juin que 1 750 personnes étaient recensées à ce jour « pour leur implication à un titre ou à un autre dans des filières djihadistes ». Il précisait en outre que quelque 130 procédures judiciaires concernant 650 personnes étaient en cours en France pour des activités liées au terrorisme.

Du 7 au 9 janvier, trois djihadistes ont perpétré des attaques contre l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, une épicerie casher, et des policiers, provoquant une onde de choc en France et dans le monde entier. Une marche historique de solidarité avec les victimes et pour la liberté avait rassemblé le 13 janvier des millions de personnes dans tout le pays.

Dans ce contexte, la France s’est dotée cette semaine d’un nouvel arsenal controversé renforçant les capacités légales d’écoute de ses services de renseignement.


Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2015 : 13:04

INFO LE FIGARO - Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaros'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.


[www.lefigaro.fr]

Ou va la France ?
Posté par: alphonse (IP enregistrè)
Date: 04 juillet 2015 : 15:16

Citation:
Bravo
INFO LE FIGARO - Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaros'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.

[www.lefigaro.fr]

Bonjour

Terrible scénario que cela
Merci pour vos communications
Merci de lire vos messages privés

Bel été à vous

Al

Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 12 juillet 2015 : 11:27

Brice Couturier (France Culture) : « L’ensemble des médias français est brutalement ou discrètement hostile à Israël »


Chroniqueur éclairé aux « Matins » de France Culture, Brice Couturier s’élève contre les biais des médias français à l’égard d’Israël.

A.J.: Comment jugez-vous le traitement du conflit-israélo-palestinien par les médias français ?

Brice Couturier : Partial depuis longtemps et c’est ce qui m’inquiète. Chaque année qui passe, le point de vue sur Israël est un peu moins neutre et un peu plus engagé. La tonalité générale est de plus en plus ouvertement anti-israélienne, pas seulement en France mais dans la quasi-totalité de l’Europe occidentale. Pour prendre un exemple, il est impossible de mettre en parallèle les attentats terroristes islamistes qui ont frappé la France avec ceux que connaît Israël, quand bien même ils sont commis avec les mêmes méthodes. A Noël, plusieurs attentats ont eu lieu et n’ont pas été reconnus comme terroristes par la France, qui a préféré parler de « déséquilibrés ».

Mais enfin, des « déséquilibrés » qui foncent dans la foule en voiture, en criant Allah Akhbar, ça rappelle quelque chose, non ? C’est une technique qui avait été utilisée quelques semaines plus tôt en Israël, notamment sur des quais de tramway ! Que nous soyons victimes du même terrorisme, là-bas et ici, c’est une réalité qui n’a pas droit de cité…

Actualité Juive : Percevez-vous des différences notables dans le traitement du conflit israélo-palestinien entre les médias français et leurs homologues anglo-saxons ?

B. C. : De moins en moins. En France, il y a une espèce d’auto-aveuglement général. En Grande-Bretagne, cela ne vaut guère mieux. Aux Etats-Unis, le spectre idéologique est beaucoup plus large et certains médias sont plus favorables à Israël. En France, je n’en vois guère à part les médias juifs. L’ensemble des médias est brutalement ou discrètement hostile à Israël, presque sans exception. Tout cela interroge. Il faut se demander pourquoi, sous quelle influence, et dans quel but. Une explication banale, mais qui me convient bien, c’est celle-ci : pour l’extrême gauche, la figure du prolétaire, à laquelle elle ne croit plus, a été remplacée par celle du Palestinien. Celui-ci est devenu l’incarnation de toutes les souffrances, de toutes les humiliations. De même qu’on essaie de faire tenir à Israël le rôle autrefois tenu par l’Afrique du Sud : le « nouveau pays de l’apartheid »… C’est également scandaleux. Cela démontre une méconnaissance de la réalité israélienne où les Arabes israéliens sont, sous certains aspects, mieux traités que les Juifs. Notamment par le fait qu’ils peuvent aller à l’université sans avoir fait l’armée, ce qui n’est pas le cas des Juifs. Et il ne me semble pas que les Noirs sud-africains aient pu accéder à l’université dans leur pays…

« Pour être écouté des médias, il faut afficher “ La paix maintenant “ »

A.J.: Comment expliquez-vous cet intérêt des médias pour le conflit israélo-palestinien, et peut-être plus largement pour Israël ?

B. C. : D’intérêt pour Israël, je pense qu’il n’y en a aucun. Le vrai problème, c’est la méconnaissance d’Israël. Les médias sont systématiquement défavorables envers l’Etat hébreu. Quand ils vont sur place, c’est toujours pour montrer le mur de séparation, construit après des attentats qui ont tué des dizaines et des dizaines d’Israéliens, alors qu’on ne parle jamais du mur qui sépare l’Egypte de Gaza. Il y a également chez les médias français la volonté de complaire à nos concitoyens de confession musulmane ; de prendre fait et cause pour le Hamas – terroriste – parce qu’on a vu des jeunes de banlieue manifester pour cette organisation.

Or je ne comprends pas que mes copains algériens s’identifient à la cause palestinienne avec laquelle ils n’ont rien à voir. Cela joue un rôle prépondérant car les médias constatent que ce public est nombreux et remuant, alors que le public juif est faible numériquement et a moins d’influence sur le plan médiatique, contrairement à ce que l’on dit. A part Alain Finkielkraut, et dans une moindre mesure Bernard-Henri Lévy, je n’en vois plus guère, des « intellectuels juifs ». Aujourd’hui, la communauté juive ne s’intéresse guère à l’idée de répercuter sa culture, de proposer une vision juive du monde. Cela explique pourquoi Israël est devenu un angle aveugle. Pourtant, le sort d’Israël préfigure le nôtre dans bien des domaines, par exemple dans le domaine des start-up. On connaît la Silicon Valley, beaucoup moins son équivalent israélien.

Il y a une autre chose qui m’énerve, c’est de voir certains se croire obligés de dire « Je suis juif, mais je ne soutiens pas le gouvernement israélien ». On ne demande pas aux Algériens de dire « Je suis d’origine algérienne, mais je ne soutiens pas Bouteflika » ! Pour être audible sur le conflit israélo-palestinien, aujourd’hui, en France, quand on est juif, il faut commencer par afficher sa désapprobation d’Israël. En tout cas, de son gouvernement. Pour être écouté des médias, il faut afficher « La paix maintenant ».

A.J.: Dans une chronique prononcée sur France Culture quelques jours après les assassinats de Mohammed Merah en mars 2012, vous faisiez déjà le lien entre traitement de l’information et passage à l’acte en France…

B. C. : J’ai voulu aborder dans cette chronique l’idée du « pas d’amalgame ». Je relève que cette injonction, assez fondée, s’élève quand des hommes tuent des Juifs à Toulouse, à Bruxelles ou à Vincennes en criant « Allah Akhbar ». Je suis d’accord avec cela : les musulmans de mon pays ne sauraient être tenus pour co-responsables ; contrairement aux commanditaires de ces meurtres qui se cachent, dans quelque pays lointain… Mais on oublie toujours de renverser l’argument contre les djihadistes eux-mêmes. Ils tuent des Juifs français pour, prétendent-ils, « venger les enfants palestiniens ». Pas d’amalgame ? Quel rapport entre un Juif qui fait ses courses pour shabbat dans une épicerie un vendredi après-midi et un soldat de Tsahal ? Cette asymétrie m’exaspère.

Il y a toujours un méchant et un gentil dans l’affaire. Et le méchant c’est toujours le Juif.

[www.actuj.com]





Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 16 juillet 2015 : 10:32

Par Ben-Dror Yemini

Omar Barghouti, l’un des cofondateurs et leader du mouvement Boycott-Désinvestissement-Sanctions (BDS), donnait, dans son entretien paru dans Le Monde du 3 juillet, sa solution au conflit israélo-arabe. Sa demande principale réside dans le « droit au retour » de plusieurs millions de réfugiés palestiniens, insistant bien sûr sur le fait que ces derniers auront la possibilité de retourner dans ce qui est actuellement l’Etat d’Israël. Il reconnaît aussi, au passage, qu’après le retour massif de ces réfugiés, ce même Etat d’Israël n’existera plus, car devenu en majorité arabe. Cela ne constituerait en aucune façon un problème, estime-t-il. Après tout, les Juifs vivaient autrefois en terres d’islam sous domination arabe, avec le statut de minorité (dhimmi) où, selon lui, à la différence de l’Europe, « massacres et pogroms antijuifs n’existaient pas ». Les Juifs pourront donc tranquillement poursuivre leur existence, comme minorité, dans ce pays à majorité arabe que serait devenu Israël.

Parvenir à trouver un règlement au conflit israélo-palestinien constitue une tâche fondamentale. Mais BDS constitue un piège tendu à tous les simples d’esprit. Nous devons combattre ce mouvement car il est devenu l’ennemi de la paix. Il faut faire très attention. BDS ne se bat pas en faveur du droit des Palestiniens à leur autodétermination, ni en faveur d’un règlement basé sur le principe de deux Etats pour deux peuples. BDS prône une option entièrement différente, qui n’est pas dirigée vers les Palestiniens, mais contre l’existence même de l’Etat d’Israël.

DISLOCATION DU MOYEN-ORIENT
En quoi la solution prônée par Barghouti constitue-t-elle une tragédie, à commencer pour le peuple palestinien ? N’importe quelle personne raisonnable peut observer ce qui se déroule au Moyen-Orient depuis plusieurs années. Plusieurs pays, Syrie, Irak, ou Libye, se trouvent entièrement disloqués. Les lignes de confrontation deviennent désormais tribales et religieuses. Sunnites contre Chiites, Kurdes face à l’Islam politique, l’Islam politique, à travers les mouvements djihadistes, opposé aux musulmans non islamistes, musulmans contre alaouites, druzes et sunnites contre alaouites, et ainsi de suite. Des conflits de la même nature frappent la Libye, le Nigeria, la Somalie, le Yémen, le Pakistan et l’Afghanistan. Il y a dix ans, le Soudan était le théâtre d’un génocide au Darfour, commis par sa majorité arabe contre sa population noire africaine, elle aussi musulmane. Parfois, il ne s’agit pas d’un conflit sanglant, juste des discriminations, comme celles endurées par les chrétiens coptes en Egypte.

Cette situation perdure dans des pans entiers du monde arabe. Lorsque Omar Barghouti propose aux juifs de devenir une minorité en terre d’Israël, il les laisse choisir entre le destin des noirs africains au Darfour et celui des coptes en Egypte. La réponse de n’importe quelle communauté devant une telle offre a toujours été : « Non, merci ». 52 millions de personnes devinrent réfugiées au cours de la première moitié du XXe siècle. De nouvelles entités furent créées. Dans certains cas, la question du droit au retour fut soulevée, y compris par des pétitions adressées à la Cour européenne des droits de l’homme. Elles furent toutes rejetées, car cette demande ne fait pas partie des droits de l’homme. Bien au contraire. Ces demandes aboutissaient à remettre en cause et à déstabiliser le nouvel ordre créé après deux conflits mondiaux.

La communauté internationale avait trouvé la solution la plus juste, reprise plus tard pour résoudre bien d’autres conflits : deux Etats pour deux peuples. La solution à la question des réfugiés palestiniens ressemblera à celle mise en place pour résoudre le sort des dizaines de millions de réfugiés apparus au cours de la seconde moitié du XXe siècle : ils ont été intégrés dans des Etat-Nations dont ils rejoignirent la majorité. Les Allemands expulsés de Tchécoslovaquie et de Pologne furent intégrés à l’Allemagne. Les Hindous contraints de quitter le Pakistan s’établirent en Inde. Des centaines de milliers de juifs, contraints au départ, ou renvoyés, de différents pays arabes, furent ainsi prises en charge par Israël.

BDS ne cherche pas un règlement équitable. Il nourrit l’illusion du retour. Comme il n’y aura pas de retour – il n’y en a jamais eu au cours des différents échanges et transferts de population à travers l’Histoire – cette illusion éloigne toute solution et prolonge le conflit. Il existe de nombreux militants pour la paix, tant du côté israélien que palestinien. Ils soutiennent tous la solution à deux Etats. Le camp du BDS est leur ennemi.

BDS est parvenu à se présenter comme une organisation s’appuyant sur le langage du droit. C’est une autre illusion. Leur campagne vise à détruire un Etat reconnu par les autres nations. Nous devons nous battre pour une solution juste. Nous devons nous battre pour un règlement de paix fondé sur deux Etats pour deux peuples. Nous devons combattre les ennemis de la paix, qui soutiennent la solution d’un seul Etat – aussi bien ceux de la droite israélienne pour un « Grand Israël » que les Palestiniens, comme Barghouti, pour une « Grande Palestine ». Voilà pourquoi, la véritable nature de BDS, ennemi de la paix, doit être démasquée.

Ben-Dror Yemini, est essayiste, éditorialiste et journaliste au quotidien israélien Yediot Aharonot.

Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2015 : 14:18

LE DÉPARTEMENT DE MAYOTTE, BIENTÔT DOTÉ DE JUGES ISLAMIQUES

DECRYPTAGES - PAR JACQUES MARIE BOURGET - Publié le 08 Jui, 2015
A Mayotte, le vote de la "loi sur la modernisation du droit d'outre-mer" prévu le 15 juillet pourrait signer le retour en grâce des "cadis". Ces juges islamiques traditionnels écartés lors de la départementalisation de l'île espèrent l'adoption de ce texte qui prévoit de leur rendre un véritable statut juridique.

A Mayotte, département français donc partie intégrante de la République, une manœuvre se met en place pour que l’argent public finance la justice islamiste de l’île. Tout cela en contradiction totale avec la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’état. La manipulation devrait trouver son aboutissement le 15 juillet lors du vote à l’Assemblée de la loi sur « La modernisation du droit d’outre-mer ».

Magistrats

Ce tour de passe-passe vise à intégrer comme fonctionnaires, et ès qualité, les cadis, ces juges de paix islamiques qui existent à Mayotte depuis la nuit de temps. Lors de l’adhésion de Mayotte à la France, et plus encore lors de la départementalisation de cette terre si éloignée de la métropole, on avait glissé les cadis sous le tapis. Ces juges religieux avaient bénéficié du statut de « médiateurs sociaux », donc salariés de la collectivité territoriale. Cette fois le lobby musulman a fait monter les enchères en obtenant, le 2 juillet, un vote du Conseil général sur le nouveau statut des cadis, et demandé qu’ils soient reconnus comme des magistrats bénéficiant d’une Délégation de Service Public, « afin de mieux bénéficier de leurs compétences »…

Par magie, ce souhait va se retrouver dans le paquet proposé dans quelques jours au vote des députés réunis au Palais Bourbon. Ainsi, rejoignant ses amis du Qatar et de l’Arabie Saoudite, la France aura à son tour sa justice islamique.





Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 20 juillet 2015 : 12:16




MigrantsgrouillantsL’invasion de l’Europe par la Méditerranée : Que faire ?

Nous sommes en train d’être submergés. Le flux invasif des clandestins n’est plus une marée mais un tsunami. Jamais l’immigration clandestine n’avait atteint un tel rythme et une telle ampleur. Pourtant, ce qui semble préoccuper les autorités et les médias, ce ne sont pas les conséquences explosives pour l’Europe, ses peuples, son économie, sa sécurité, son identité de ce phénomène jamais vu dans l’histoire, qui rappelle la prophétie de Jean Raspail dans Le Camp des Saints (1973) ; non, ce qui semble les préoccuper, ce n’est pas d’arrêter la migration géante mais de s’apitoyer sur le sort des noyés et de venir en aide aux naufragés. Ce qui est parfaitement honorable mais ridiculement insuffisant. Sans prendre aucune mesure sérieuse de protection ; au risque que cette tragédie ne débouche sur une explosion.

La rupture des vannes

Les chiffres sont effrayants et dépassent tout ce qu’on peut imaginer. En 2014, 170.000 débarquements ont eu lieu en Italie (23.719 en 2002). Depuis le 1er janvier 2015 : 25.000 débarquements illégaux rien que dans la péninsule, sans parler de la Grèce et de l’Espagne. Les chiffres sont en augmentation de 42% par rapport à 2014. En 18 mois, 210.000 migrants ont débarqué dont 91% sont partis de Libye, venant de toute l’Afrique. En 2015, l’Italie s’attend à l’arrivée de 200.000 réfugiés ( !) Personne ne sera refoulé et ces masses africaines en majorité musulmane, se répandent ensuite dans toute l’Europe du Nord et de l’Ouest. Beaucoup vont faire un peu partout des demandes d’asile de réfugiés politiques (bidons). Les déboutés ne seront jamais expulsés et resteront ; et tout le monde touchera aides et subventions. Tout cela se sait dans toute l’Afrique et attire des foules de clandestins qui profitent de la mansuétude béate des Européens – enfin, des dirigeants, pas des peuples auxquels on ne demande pas leur avis pour se laisser envahir.

250 % : c’est le chiffre de l’augmentation de franchissements clandestins aux frontières de l’Union européenne de 2014 à 2015. Les retours contraints et les expulsions sont infimes en proportion. Déferlante sur l’Europe : en 2014, on a dénombré 280.000 arrivées de clandestins dont 80% par la mer, trois fois plus qu’en 2013. Tous en provenance d’Afrique, du Maghreb et du Moyen-Orient. Fabrice Leggeri, le patron de Frontex (l’Agence européenne de ”surveillance” des frontières) a affirmé que, rien qu’en Libye, un million de personnes sont « prêtes à embarquer pour l’Italie ».

Cette poussée migratoire brutale s’ajoute à tout ce que nous connaissons depuis trente ans en matière d’immigration légale ou clandestine. Aujourd’hui, la fuite d’eau qui provoque une lente inondation ne provient plus du goutte-à-goutte de joints poreux mais de tuyaux percés d’où jaillissent des geysers.

Une invasion islamique dissimulée.

Les forces djihadistes, solidaires de Daech, qui ont pris le contrôle d’une partie de la Libye, cherchent évidemment à organiser une immigration massive vers l’Europe. Dans leur esprit, il s’agit d’une invasion, qui entre dans le processus planifié déjà entamé d’islamisation massive de notre continent. De plus, ce trafic leur rapporte beaucoup d’argent, en complément des revenus du pillage du pétrole libyen. Les migrants payent entre 1.000 et 2.000 € par personne aux trafiquants, qui amassent des fortunes.

Les trafiquants et passeurs maghrébins, esclavagistes du XXIe siècle, font exprès avec cynisme de surcharger les bateaux afin qu’ils fassent naufrage. Et ainsi, émouvoir les Européens au cœur sensible, les inciter à venir au secours des naufragés ; et, par là, encourager les départs et les débarquements sur les côtes européennes. Cercle vicieux.

Le chantage de Daech a été ainsi formulé : lâcher sur des rafiots 700.000 boat-people. L’État islamique est derrière ces flottilles très organisées et cet exode est pensé par ses manipulateurs comme une invasion dissimulée. Pour déstabiliser l’Europe ingénue. 90% des clandestins qui entrent en masse sont musulmans. Le 16 avril, 12 chrétiens africains ont été jetés à la mer par des musulmans.

L’Italie est la véritable porte d’entrée de l’invasion. Le phénomène durait depuis assez longtemps, à petite dose, mais depuis que Kadhafi et l’ État libyen ont disparu, cédant la place au chaos des milices islamiques, par la faute stupide de l’opération militaire franco-britannique (Sarkozy sur les conseils du crétin BHL, et Cameron), la porte de l’invasion est grande ouverte.

La pompe aspirante : Frontex et les centres d’accueil

Au 21 avril, 70.821 immigrés étaient hébergés et nourris dans les 1.670 d’accueil italiens submergés. En 2014, l’accueil a coûté 800 millions d’euros à l’État italien, dont 45 payés par l’UE. En 2015, le chiffre va être multiplié au moins par 3. Les opérations de sauvetage ”Mare Nostrum” de la marine italienne, qui a secouru 180.000 immigrés en mer entre octobre 2013 et novembre 2014, coûtent 9 millions d’euros par mois, un chiffre en constante augmentation. En tout, les deux opérations Mare Nostrum et Triton de ”protection” navale des côtes de l’Europe du Sud – en réalité des opérations de recueil des boat people – coûtent 12,2 millions d’euros par mois.

Ces programmes Triton et Mare Nostrum (Agence Frontex) emploient à grand frais des flottes et des aéronefs européens – y compris islandais – non pas pour dissuader les départs des côtes libyennes ou autres, non pas pour défendre les côtes européennes, mais pour porter assistance en pleine mer aux multiples rafiots bondés de boat people qui affluent vers le sud de l’Europe. Ces opérations de secours, on peut le dire, sont une des principales pompes aspirantes des départs et des embarquements pour l’Europe sinon plus que le chaos qui règne en Libye et dans d’autres pays d’Afrique. L’Agence Frontex et, d’une manière générale, la politique européenne de ”protection” des frontières contribuent tout au contraire à augmenter les flux de l’immigration clandestine explosive. En donnant l’impression de sécuriser les trajets.

En plus des réfugiés, vrais ou faux, qui se déclarent comme tels, de nombreux clandestins refusent de donner leurs empreintes digitales dans les centres d’accueil italiens et fournissent de fausses identités. Ils quittent les centres d’accueil, préférant devenir des clandestins – inexpulsables, ils le savent. Ils savent aussi qu’ils vont être aidés et choyés. Leur but est ensuite de gagner les pays scandinaves, l’Allemagne, le Bénelux, l’Autriche ou la France. Ils vont rejoindre leurs communautés déjà installées sur place. Comme toujours, évidemment, partout où ils sont hébergés, les braves migrants posent des problèmes de sécurité et causent des dégâts. Peu importe…Beaucoup de ces clandestins prennent les Européens pour des poires, qui accueillent sans protester, sans se défendre.

Une oligarchie inconsciente

Désormais une majorité d’Européens de souche, surtout issus des classes populaires, n’est pas sensible à la ”détresse des migrants” ; ils en ont assez de ce processus d’invasion de clandestins – musulmans à 90% – dont ils perçoivent qu’il va se terminer en catastrophe. L’oligarchie politique et médiatique au pouvoir, alliée des associations humanitaires, du show-business, des Églises, etc. ne fait rien, bien au contraire, pour endiguer les flux. Elle se croit à l’abri. En Italie – pure folie – on vient d’abolir le délit d’immigration clandestine du Code pénal. Plus le mal s’amplifie, plus on l’aggrave.

La classe politico-médiatique entretient dans les opinions une atmosphère dramatique de pitié et de commisération, pour faire pleurer dans les chaumières sur ces migrants clandestins ”martyrs”. 1.700 noyés en Méditerranée rien que de janvier à avril 2015. Et 5.100 depuis octobre 2013. Les médias multiplient les reportages choc. Il s’agit de provoquer des réactions mêlées de pitié et de culpabilité. Ça marchera de moins en moins…

C’est l’Église catholique qui est en pointe dans ce domaine du mea culpa, à la suite des déclarations du Pape à Lampedusa qui, d’un côté, s’inquiète des persécutions des chrétiens d’Orient par l’islam et, de l’autre, avalise l’arrivée massive de migrants clandestins musulmans en Europe. Mgr Giancarlo Perrego, président de la fondation Migrantes à la Conférence épiscopale italienne, s’indigne au nom de la charité : « l’Europe n’accueille dans l’ensemble de ses 28 pays que 650.000 réfugiés quand le Liban, pays de trois millions d’habitants, en a un million sur son territoire ». Il trouve honteux que l’Europe n’ouvre pas totalement ses frontières à tous les migrants et réfugiés. Comme tous les autres immigrationnistes suicidaires et irresponsables, il accuse l’Europe d’être une forteresse alors que c’est une passoire sans protection où n’importe qui entre comme dans un moulin à vent.

Un triple programme : forteresse, refoulement, dissuasion

La situation est hors de contrôle parce qu’on le veut bien. Parce qu’on n’ose pas faire comme l’Australie qui, sans état d’âme et avec courage, bravant le politiquement correct mondial, a instauré son programme No Way (”on ne passe pas”) qui refoule tout clandestin, tout faux réfugié, tout boat people. Les Australiens ont compris que, dans l’immense majorité des cas, il ne s’agit pas de réfugiés persécutés et demandeurs d’asile (1) mais de candidats à une immigration économique et d’assistanat.

Ces migrations massives en Europe sont provoquées par des phénomènes structurels : le fanatisme islamique, les guerres endémiques, l’explosion démographique et la pauvreté de l’Afrique. Tout cela ne peut que s’amplifier de manière dramatique et aboutir à un chaos en Europe dans moins de dix ans. Les solutions ”en amont ”, avancées par l’oligarchie politique, sont totalement utopiques : développer l’Afrique, rétablir un État en Libye et la ”démocratie” dans ces immenses zones pour qui cette notion ne veut rien dire. Les solutions ” en aval” de recueil et de sauvetage des boat people sont autant inopérantes.

La seule solution serait la politique de la forteresse, du refoulement et de la dissuasion. Elle devrait reposer sur les axes suivants, sous l’égide du cas d’urgence :

1) Suspension des accords de Schengen et rétablissement sérieux des frontières intereuropéennes. Tout clandestin qui entre dans un pays ne peut pas passer dans un autre. Par exemple ceux qui transitent par l’Italie sont bloqués à la frontière française. On raconte dans les salons intellectuels qu’on ne peut ériger de barrières et de contrôles frontaliers efficaces. C’est faux, ça fonctionne partout dans le monde.

2) Aucun clandestin qui parvient à passer par les mailles du filet ne peut bénéficier de la moindre aide, ou hébergement et est immédiatement expulsable et expulsé. Comme en Australie et au Japon.

3) Les bases de départ des boat people en Libye, ainsi que les navires à quai qui les transportent sont neutralisés par une opération militaire.

4) Les navires transportant des boat people sont arraisonnés, puis : soit remorqués vers leur point de départ ; soit leurs passagers sont transférés à bord de navires européens et ramenés manu militari à leur port d’embarquement.

On me dira que ces mesures sont impossibles et inhumaines. C’est faux. Leur simple énoncé, leur simple application pendant quelques jours suffirait à tarir immédiatement tous les flux d’immigration clandestine. Il n’y aurait plus de boat people. La dissuasion est la meilleure des préventions. Ils n’auraient plus aucun intérêt à s’infiltrer en Europe.

D’ailleurs, s’est-on demandé pourquoi tous ces malheureux ne quémandent jamais l’aide de l’Arabie ou de leurs cyniques coreligionnaires des Émirats pourtant richissimes ? Parce qu’ils savent qu’ils n’y seraient pas reçus. L’Europe naïve, angélique et moralement désarmée, complexée par un humanitarisme pathologique, fait bien rire tous ceux qui ne rêvent que de la conquérir et de l‘envahir.


Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 24 juillet 2015 : 10:55


Fin du Ramadan : des dizaines de milliers de musulmans débarquent à Tel Aviv

En ce jour de fête, de fin de Ramadan précisément, la deuxième ville d’Israël a vu arriver un afflux colossal d’arabes musulmans de tout Israël et des territoires sous autorité palestinienne.

Que ce soit à Jaffa, au parc Charles Clore ou dans le centre ville de Tel-Aviv, des centaines de bus et de voitures plus ou moins luxueuses sont dans les parkings et des dizaines de milliers de musulmans font des barbecues !

Par endroit, la fumée est si épaisse que la police a demandé aux touristes de bien vouloir surveiller et faire plus attention à leurs charbons.

Sur les plages, il y a des jeunes arabes qui s’élancent vers la mer, jouent à plonger depuis les épaules de leurs camarades, nagent et s’éclaboussent! Ils ont presque tous un look de Benzema avec la barbe bien taillée. Les maîtres nageurs les interpellent en arabe : » Ya chabab, enta bel lakhmar… » .

Leur mère, leurs sœurs sont assises sous le parasol, tête et corps soigneusement couverts et regardent les baigneuses aux petits maillots.

Dans le centre ville de Tel-Aviv, ils sont moins nombreux qu’au bord de la plage, mais ils profitent de l’accueil chaleureux qui leur est réservé. Par groupe de 2 ou de 10, la plupart découvrent l’Etat juif et ses habitants.

Et ce n’est pas ici qu’ils se feraient agresser.

Et ce n’est pas ici qu’ils vont boycotter Israël…

Source Amos Lerah

[www.jerusalemplus.com]

Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 25 juillet 2015 : 12:19


Mesdames et Messieurs, j’ai du mal à vous dire chers amis.


Nous ne serons jamais amis, nous ne serons même pas des camarades.

Nos valeurs ne sont pas et ne seront jamais les mêmes, vous avez choisi l’antisémitisme systématique sous couvert d’antisionisme.

Si j’ai des sympathies pour les valeurs de Gauche, je n’en ai aucune pour vous et les idées que vous véhiculez.

Vous avez appelé à manifester pour Gaza, envers et contre toutes les règles de sécurité évidente et de risques de désordres publics.

Vous rejetez la faute des émeutes, de cette guérilla urbaine sur le Gouvernement, les associations Juives et le Gouvernement d’Israël.

Vous avez une vision étroite et erronée et déformée par votre idéologie obsolète.

Vous avez un cerveau purement binaire, qui vous empêche de mener la moindre réflexion.

Il y a le bon, le Palestinien, et le mauvais, l’Israélien.

Et cela devient pour vos militants : il y a le bon, le Musulman, et le mauvais, le Juif.

Pour vous, Israël est l’agresseur, le Hamas l’agressé. On est proche de la vision si pacifique de la République Islamique d’ Iran : le petit Satan Israël et le Grand Satan USA sont responsables des maux du monde entier.

L’agresseur est le détenteur du Capital, donc les Juifs. L’agressé est le prolétaire, le pauvre, donc le Palestinien de Gaza et Ramallah.



Les autres peuples, les autres guerres n’ont aucun intérêt pour vous : les massacres en Syrie, Iraq, pourquoi s’en occuper après tout ?

Peu vous importe que l’argent de l’UE et du QATAR, par exemple, coule à flots dans les caisses du Hamas et soit détourné des objectifs humanitaires pour acheter des armes à l’Iran et à la Chine.

Peu vous importe que l’on crie mort aux juifs dans les rues de Paris, qu’on appelle au Jihad contre Israël, qu’on chasse les Juifs à coup de batte de base-ball dans les commerces, les synagogues, les restaurants ou les rues.

Le Juif est dans votre esprit hermétique à toute remise en cause le symbole du Colon Israélien qui a volé et occupe les terres Palestiniennes.

Mais qui était colon avant 1967 quand l’Egypte était à Gaza et la Jordanie à Ramallah et Jérusalem-Est ?

Vous êtes-vous demandé pourquoi il n’y a pas eu alors de création d’un état Palestinien ? Pourquoi Arafat a créé l’OLP en 1964 avec une charte prévoyant de jeter tous les juifs à la Mer ?

Mettez de côté quelques minutes votre fanatisme à sens unique, et répondez à ces quelques questions :

– Pourquoi la lutte contre le Hamas est-elle approuvée par l’Egypte et le Fatah, parti du Président Palestinien Abbas ?

– Pourquoi le Hamas est-il un mouvement terroriste interdit par l’UE et les USA ? allié au Hezbollah, au Jihad Islamique et à l’Iran ?

– Pourquoi le Hamas a-t-il pris le pouvoir par un coup d’état en 2007 et a tué des dizaines de militants du Fatah ?

– Pourquoi le Fatah est-il interdit de séjour à Gaza ? Pourquoi le président de l’Autorité Palestinienne est-il menacé de mort s’il vient à Gaza malgré une « union nationale » ?

– Pourquoi la Charte du Hamas prévoit-elle de tuer les juifs jusqu’au dernier, de retourner pierres et végétation pour les tuer ?

Est-ce un parti progressiste, celui qui a imposé la Charia, la Police des Mœurs, l’interdiction des lieux publics mixtes à Gaza ?

Si la Fatah avait conservé le pouvoir après le retrait Israélien de Gaza de l’été 2005, Gaza aurait eu son aéroport, son port de plaisance, ses hôtels et ses plages comme les villes israéliennes à quelques kilomètres.

Or le Hamas n’a rien voulu de cela, il a réalisé un coup d’état, confisqué le pouvoir au Fatah dont il a tué quelques centaines de militants. Et surtout, il a lancé des roquettes et des attaques terroristes que vous refusez de voir.

Il est vrai que le progressisme, la récupération des richesses des classes hautes pour les classes populaires, et autres fadaises d’une extrême-gauche préhistorique, justifient les attaques à l’aveugle sur des civils israéliens.

Mais j’y pense, avez-vous déjà visité une base militaire du Hamas ?

Vous auriez bien de la peine à en trouver autrement que dans des écoles, des hôpitaux, dans ou sous d’ailleurs.

Vous n’avez pas réagi à ces tunnels arrivant dans une salle de restauration d’un kibboutz en Israël ? Vous savez c’est ce lieu de vie d’espérance socialiste que des Juifs ont réalisé et fait prospérer sur la terre de leurs ancêtres, sur des marais asséchés ou des déserts.

En effet, Israël s’est approprié des terres non cultivées, délaissées par des populations qui n’en avaient cure, et les a fait fleurir, a construit des villes, des industries et champs.

C’est peut-être cela que vous reprochez aux Israéliens, avoir bâti un état et réalisé l’idéal socialiste depuis 1948.

Les Israéliens souffrent et pleurent de voir des civils, des femmes et des enfants morts ou blessés.

Ils ne montrent pas car leur religion est celle de la Vie, celle du Hamas est la Mort.

Ils ne montrent pas de fausses images venues d’Iraq ou de Syrie pour faire pleurer dans les chaumières. Les Israéliens ont la dignité de se présenter à la guerre en uniforme, pas comme le Hamas qui fait comptabiliser les terroristes tués parmi les pertes civiles.

Ils n’ont jamais refusé la négociation, au péril de leur vie et de leur carrière politique. Ariel Sharon s’est retiré de Gaza en 2005, Ytshak Rabin a payé de sa vie son Prix Nobel de la Paix pour Oslo et les négociations. Même Bibi Netanyahou que vous détestez a signé des accords à Wye Plantation.

Que souhaiteriez-vous qu’Israël fasse ? Hara Kiri ? Se jeter à la Mer ou se suicider comme à Massada ? Au nom de quoi ? De la Paix que le Hamas refuse ? Pour un cessez-le-feu que le Hamas refuse et viole sans aucun remords ?

Avez-vous eu le moindre soupçon de reproche pour ce Hamas qui se cache derrière femmes et enfants, ambulances, hôpitaux et écoles pour tirer des roquettes sur la majeure partie d’Israël ?

Avez-vous discuté avec vos partis frères à Gaza et Ramallah ? Bien sûr que non, ils n’y sont pas autorisés.

Par contre, vous pouvez discuter avec des partis d’extrême-gauche en Israël, la seule démocratie du Moyen-Orient.

Demain, après-demain et les autres jours, vous continuerez à défiler pour votre vision partiale et uniforme de la Palestine.

Elle existerait déjà si la Hamas était inexistant, le Fatah serait capable de négocier s’il représentait toute la Palestine.

Ce Hamas que vous soutenez est le Cancer de la Palestine. Il se qualifie de progressiste et de révolutionnaire pour vous offrir des œillères et des boules Quies.

Ce Hamas qui vous utilise pour chasser le Juif dans les rues de Paris et de la Région Parisienne se moque de vous. Vous devez vous en douter, mais ne pas le soutenir serait vous couper de votre base électorale.

Je n’imagine même pas votre réaction si, comme de Gaza à Sderot, une roquette partait toutes les 10 mn de la CGT de Montreuil vers le PCF à Colonel Fabien.

Mesdames et Messieurs, vous êtes la honte de la Gauche, de cette Gauche dont le laxisme antisémite rejoint l’antisémitisme dissimulé de l’Extrême-Droite.

Je ne vous souhaite qu’une chose, qu’un jour vous puissiez ouvrir les yeux, les oreilles et redevenir humains, tout simplement.

[frblogs.timesofisrael.com]




Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 07 aot 2015 : 18:20



L'Armée Française :

[www.prechi-precha.fr]






Ou va la France ?
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 09 aot 2015 : 18:18

Jeudi 13 août, Paris-Plages prendra des faux airs de plage de Tel-Aviv.



Et c'est  l'enflammement sur la toile  ( #TelAvivsurSeine) des jaloux, des anti-semites, des islamiques, des islamistes, de la gauche bien-pensante et manipulatrice, de tout ceux qui preferent fermer les yeux sur les horreurs de cet étè en Syrie, en Mediterannée, des massacres des chretiens d'Orient, des pendaisons sur la place publique à Teheran, des bombardements turcs sur les Kurdes,  sur les naufragés quotidiens pres de Lampadusa.
Sur tous ces cas, et j'en passe , dans le meilleur des cas ce sont des larmes de crocodiles et la fuite sur Paris Plage . 


C'est dur de voir autant d'antisemitisme et de rage en France, c'est encore plus dur de voir l'exode des Juifs Francais en Israel.  


Tel Aviv ville symbole de la tolerance et de la paix, du bon vivre. 
Que faire en l'etat des choses ? Une chose est sure on sera toujours mieux et en securité à
#TelAvivsurTelAviv qu'à #TelAvivsurSeine




Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 10 aot 2015 : 01:09



The Times of Israël
LE MONDE JUIF
Pour les Juifs de France, Deauville est aussi un refuge
A Chavouot des milliers de Juifs fréquentent la ville, ses trois synagogues et une vingtaine de lieux de culte improvisés

By CNAAN LIPHSHIZ
août 8, 2015, 10:45 4

DEAUVILLE, France (JTA) – Cette station balnéaire située à 200 kilomètres à l’ouest de Paris possède des plages balayées par le vent, des marinas sur l’eau turquoise, un grand casino, un hippodrome et une piscine de taille olympique.

Deauville, d’une superficie de 3,5 kilomètres carrés, a également cinq restaurants casher, trois grandes synagogues principales et plus de 20 lieux de culte plus petits.

La pittoresque localité de Basse-Normandie a émergé il y a des décennies comme une destination de vacances préférée parmi les Juifs riches de Paris pour la beauté de son littoral, son infrastructure et la proximité de la capitale.

Les maisons de style colonial ou normand sont regroupées au sud de l’artère principale, qui dispose de petites places pavées. Il y a des immeubles d’appartements plus abordables au nord, près de la marina principale, où de nombreux yachts stationnent.

Avec un antisémitisme en hausse à Paris, Deauville est également devenue au cours des dernières années un refuge pour les Juifs français – un endroit où ils peuvent vaquer à leurs Shabbats et à leurs fêtes sans craindre, comme cela sera le cas de retour à Paris, d’être attaqués pour afficher leur identité.

« J’ai ici un sentiment de soulagement », confie Fabienne Bismuth, une Juive parisienne qui est née en Tunisie et qui possède deux résidences d’été à Deauville. « Je peux me balader comme je le faisais quand j’étais jeune, sans crainte. »

Deauville a également fourni un répit pour Shimon et Nadia Wilhelm. Quand ils ont entendu le 7 janvier que des terroristes islamistes avaient assassiné 12 personnes dans les bureaux du journal satirique français Charlie Hebdo, les Wilhelm – craignant que les Juifs pourraient être les prochaines victimes – se préparaient à quitter pour le week-end leur domicile de la région parisienne pour Deauville, où ils possèdent un appartement. Donc, deux jours plus tard, quand un complice des tueurs de Charlie Hebdo ont assassiné quatre juifs dans un supermarché casher et detenu 20 autres otages, la famille était en train de partir.

« Nous avons entendu les premiers reportages du supermarché, éteint la télévision, pris les enfants jusqu’à la voiture, mis les sacs dans le coffre et sommes partis », se souvient Nadia Wilhelm, une Juive orthodoxe et mère de trois enfants.

« Nous avons démarré au moment où la police a bouclé notre quartier et sommes arrivés trois heures plus tard dans un monde de calme à Deauville. C’était surréaliste. »

L’année dernière, l’observatoire de la communauté juive française sur l’antisémitisme a enregistré 851 incidents – le deuxieme chiffre le plus élevé, depuis qu’il a commencé à rassembler de telles données dans les années 1980. (Le plus élevé était en 2004, lorsque la seconde Intifada palestinienne a inspiré des attaques contre les Juifs français, principalement de la part de Musulmans et d’Arabes).

Sur les 508 incidents antisémites enregistrés de janvier à mai de cette année, 23 % comportaient des violences physiques. La plupart ont eu lieu à Paris, qui abrite environ 70 % de la communauté juive de France qui compte 500 000 âmes, la plus grande d’Europe.

La marée montante de l’antisémitisme est considérée comme un catalyseur important dans la hausse de l’immigration en Israël -ou alyah– des Juifs de France, qui l’an dernier a atteint un chiffre record de 6 668 – faisant de la France le plus grand fournisseur d’immigrants juifs en Israël pour la première fois. Dans la précédente décennie, l’alyah de France n’avait franchi qu’une seule fois le cap de 3 000, en 2013.

Les départs commencent à se faire sentir aussi à Deauville, selon Gérard Bouhnik, un homme d’affaires juif parisien d’origine tunisienne qui a ouvert au moins 10 magasins – depuis les vêtements de plage jusqu’aux salons de crème glacée – depuis qu’il a commencé à investir ici dans les années 1980.

Le petit marché immobilier de Deauville était en baisse de 10 % l’an dernier par rapport à l’année précédente, avec des projections pour 2015 encore plus sombres, selon Pascal Le Bellego, directeur de l’agence Century 21 Tirard & Gardie.

Bien que l’émigration juive peut avoir eu un effet cumulatif, la baisse est probablement liée à une économie stagnante et à la pression fiscale, qui incite les propriétaires dans tout le pays à se séparer de produits de luxe comme les résidences de vacances. (Même ainsi, Deauville n’est pas bon marché : Il faut compter plus de 350 000 euros pour un deux-pièces dans le centre-ville, et cinq fois ce montant pour une villa de sept chambres en bord de mer.)

« Il fut un temps où cet endroit était en plein essor, et ces temps sont révolus », déplore Bouhnik assis pour déjeuner vendredi midi avec sa fille, Emma, ​​au Motikouty – un café casher récemment ouvert dont la spécialité est les frites salées servies dans un cornet de papier et surmontées d’une sauce, comme cela est habituel dans le nord de la France et au Bénélux. (Les frites sont souvent consommées par les habitants locaux avec de la mayonnaise et des tranches d’oignon cru, alors que les Parisiens ont tendance à opter pour le ketchup.)

Mais Shmuel Levin, l’émissaire Loubavitch à Deauville, a dit qu’il ne voit pas de changement substantiel dans le nombre de Juifs qui fréquentent la ville.

« La vie juive à Deauville atteint un sommet lors de Chavouot, » dit-il en référence à la fête juive qui tombe souvent en juin et commémore le don de la Torah sur le mont Sinaï. « Personne ne sait pourquoi, mais c’est la plus importante fête religieuse de l’année ici, et c’est bondé comme jamais. »

A Chavouot, des milliers de Juifs français traversent Deauville, entrant et sortant des trois synagogues établies ainsi que de la vingtaine d’autres lieux de culte de taille plus modeste, ou shtieblachs, que les résidents ont installés dans leurs maisons pour les vacances. Les célébrations se prolongent jusqu’aux petites heures du matin.


« Chavouot est le Yom Kippour de Deauville », selon Gad Chetboun, un coach d’affaires de Paris et père de deux jeunes filles. « En fait, nous essayons de l’éviter parce que l’afflux juif signifie que cet endroit devient super bondé. »

Chetboun et sa femme, Deborah, comme d’autres parents qui travaillent, passent environ deux ou trois semaines par an à Deauville. Mais certains vacanciers plus âgés peuvent y passer des mois.

Parmi les retraités juifs, estime Levin, Deauville est un point de rencontre entre les Juifs sépharades – 60 % de la communauté de France, selon le Congrès juif européen – et ashkénazes qui constituaient la majorité avant la Shoah et l’arrivée d’environ 300 000 Juifs nord africains depuis les années 1950.

« Les jours ensoleillés, vous pouvez voir les vieux Juifs ashkénazes parler en yiddish, puis passer au français pour faire des blagues avec les vieux juifs tunisiens, qui répondent dans leur dialecte arabe épicé », explique Levine.

Comme son mouvement Chabad, qui s’est installé à Deauville la première fois dans les années 1990, « la municipalité, aussi, [a] réalisé le potentiel juif de cet endroit », a déclaré Levin. En 2013, la ville a ouvert la Grande Synagogue de Deauville avec un financement de la collectivité locale.

La violence antisémite est rare ici et les agents de police dans cette ville cossue découragent les éléments criminels avec leurs patrouilles à vélo qui parcourent les promenades.

Mais Bismuth se souvient avoir été une fois insultée dans la rue à Deauville par un passant qui s’est moqué de la façon dont elle conduisait en lui demandant si elle avait appris à conduire à Jérusalem. Bismuth, qui envisage de s’installer en Israël l’année prochaine, dit qu’elle se met toujours en colère quand elle pense à cet incident.

« Comme vous pouvez le voir, tout est beau et merveilleux ici », dit-elle avec plus qu’une pointe de sarcasme. « Je me demande si les Français se demandent pourquoi il y a tant de Juifs qui partent. »



Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 11 aot 2015 : 12:27



Roger Cukierman : « Je ne voterai jamais Front national »
Après la polémique de cet hiver, Roger Cukierman explique les propos qu’il a pu tenir

Lors d’une interview RTL par le chroniqueur Cyprien Cini, Roger Cukierman, président du CRIF qui a combattu l’antisémitisme durant une grande partie de sa vie, revient sur la polémique de cet hiver.

En février 2015, Roger Cukierman était l’invité de Jean-Pierre Elkabbach sur les ondes d’Europe 1.

Le président du CRIF avait alors déclaré : « Je crois que nous sommes tous conscients dans le monde juif que, derrière Marine Le Pen, qui est irréprochable personnellement, il y a tous les négationnistes, tous les vichystes, tous les pétainistes et donc pour nous, le Front national est un parti à éviter » créant la controverse.

Auprès de Cyprien, il s’explique : « j’ai dit ce que je pensais, mais dans la même phrase j’ai dit que je ne voterai jamais pour le Front national parce que c’était un parti xénophobe, populiste, on a retenu un mot qu’on a extrait du reste de la phrase ». Il ajoute « je trouve que c’est un mauvais procédé ».

Roger Cukierman analyse que malgré la cassure entre le Front national de Jean-Marie le Pen et celui de Marine le Pen, le parti reste raciste.

Quant aux juifs qui votent pour le Front national, il considère « qu’ils ont un peu la mémoire courte, mais d’un autre côté on peut comprendre que dans le climat dans lequel nous vivons ou les juifs sont soumis à des violences, (…), cela les poussent à se diriger vers les extrémistes ».

Se diriger vers les extrêmes représente une erreur selon ses propos.

Les extrêmes ont tous une tendance antisémite, l’alliance Vert Brun Rouge est toujours d’actualité pour Roger Cukierman.

L’extrême gauche et l’extrême droite ont des idées antisémites, ce qui est aujourd’hui moins vrai chez les Verts : « C’est une alliance dans la haine »



Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 21 aot 2015 : 11:30




Bernard Maro Directeur de recherche CNRS

INTERNATIONAL - La lutte "pacifique" contre l'occupation de la Palestine par Israël se focalise autour d'une campagne de boycott (BDS pour Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Or cette organisation et ses supports les plus virulents dérivent de plus en plus vers un antisémitisme qui se cache de moins en moins. Déjà l'année dernière, lors des manifestations contre l'opération « plomb durci », menée par Israel à la suite de l'envoi de centaines de roquettes de Gaza vers son territoire, on avait entendu des cris de "mort aux juifs", quatre synagogues avaient été menacées ou attaquées (Belleville, Tournelles, Roquette et Sarcelles), des commerces juifs attaqués à Paris et en banlieue.

Les événements qui ont suivi les attentats de janvier avaient mis en évidence une rupture au sein de la gauche, une partie de celle-ci ignorant l'antisémitisme des terroristes et ne voulant que dénoncer l'islamophobie possible à venir, en association avec des organisations islamistes. Cela avait même atteint des sommets lorsque le Parti des Indigènes de la République, une des organisations de cette mouvance, avait dénoncé le "philosémitisme d'État" qui favoriserait l'antisémitisme dans notre pays, afin de dédouaner et justifier ces dérives.

Six mois plus tard, la diabolisation d'Israël et des juifs n'a pas cessé.

Voici deux exemples tirés de l'actualité récente, concernant le boycott culturel d'Israel:

Des organisations pro-palestiniennes ont tenté de faire interdire l'événement "Tel Aviv sur Seine" que la mairie de Paris organisait en partenariat avec la mairie de Tel Aviv, municipalité de gauche, très ouverte et cosmopolite. N'y parvenant pas elles ont organisé "Gaza plage" pour "faire entendre la voix de la Palestine occupée, colonisée, emmurée, bombardée". Or si en Palestine il y a bien une occupation israélienne et des colons, ce n'est pas à Gaza. Les derniers colons ont été évacués en 2005 et l'armée israélienne s'est retirée de l'autre côté de la ligne verte (ligne de cessez-le-feu de 1949), frontière entre la Palestine (Cisjordanie et Gaza) et Israël. Reste le quatrième terme : bombardée. C'est le seul qui puisse s'appliquer à Gaza. Mais ces organisations oublient de dire que depuis qu'Israël s'est retiré en 2005, plus de 8 000 roquettes visant des zones civiles (2 par jour en moyenne sur 10 ans) ont été tirées depuis la bande de Gaza sur l'État hébreu.

Ces organisations ont donc choisi comme étendard de la Palestine un territoire qui n'est ni occupé, ni colonisé, mais qui est sous le contrôle du Hamas: une organisation islamiste totalitaire, sexiste, homophobe dont la charte prévoit la disparition d'Israel et un statut de citoyens de seconde zone pour les non-musulmans. Pourtant, il existe en Cisjordanie des villes qui subissent la colonisation et l'occupation israélienne, comme Hebron, ou une poignée de colons rend la vie impossible à des dizaines de millier de Palestiniens.

Pourquoi Gaza plutôt que Hebron: la réponse est simple, dans le cas d'Hebron on ne peut utiliser les termes de "génocide" (bien que la croissance démographique de Gaza soit extrêmement élevée) ou de "camp de concentration à ciel ouvert" (comme si les camps nazis étaient sous terre). Cette terminologie qu'elles aiment tant employer favorise l'amalgame "sionistes = nazis". L'autre terme de cet amalgame qui fonctionne bien dans cette mouvance, c'est "juif = sioniste": on a donc pu entendre sur les quais de la Seine scander "sionistes, sales juifs, c'est vous les terroristes".

Le second événement met encore plus en évidence ces dérives: le festival de musique espagnol "Rototom Sunsplashun" avait invité Matisyahu, un chanteur américain juif de reggae et de hip hop. Les pressions de BDS ont amené les organisateurs de ce festival à lui demander d'écrire une lettre ou de faire une vidéo donnant sa position sur le conflit israélo-palestinien. Devant son refus, le festival a déprogrammé Matisyahu.

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Israël lève la détention administrative d'un Palestinien en grève de la faim
"Le festival n'a cessé d'insister pour que je clarifie mes opinions personnelles... Ce que j'ai ressenti comme une façon de me pousser à prendre parti pour les options politiques de BDS. Franchement, il était malhonnête et offensant qu'étant le seul artiste juif américain programmé au festival, on veuille me faire faire des déclarations politiques. Était-ce requis des autres artistes programmés?".

Un pas de plus dans les dérives de BDS: si un artiste est israélien juif, il est boycotté, s'il n'est pas israélien mais juif, il doit faire allégeance à BDS pour pouvoir se produire.

Le mois dernier, Omar Barghouti, fondateur de BDS, dans une interview au Monde disait clairement que le but de BDS est la disparition d'Israel en tant qu'État pour les juifs (via le retour de tous les réfugiés palestiniens en Israel afin que les juifs deviennent minoritaires). Cette convergence de vue avec le Hamas n'est pas fortuite. Les partisans de la grande Palestine sont tout aussi nocifs pour la paix que les partisans du grand Israel. Il y a un an, lors de la dernière guerre de Gaza, Charlie Hebdo titrait "La Palestine à deux problèmes, ses ennemis là-bas, ses amis ici". Ceci est toujours.

Mais depuis ils ont présenté des excuses et le chanteur participera à ce festival.

BDS a été créé par un Barghouti depuis la Judee-Samarie.
Et repris par les idiots utiles .

En août 2002 des palestiniens appellent à un boycott économique culturel et académique d’Israël.

En octobre 2003, des universitaires et intellectuels palestiniens de l'intérieur et de la diaspora appellent à un boycott des institutions universitaires israéliennes.

En avril 2004, Omar Barghouti, avec un groupe d'universitaires[37] et d'intellectuels réunis à Ramallah lance la Palestinian Campaign for the Academic and Cultural Boycott of Israel (en) (« Campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d'Israël ») [38],[39]. Les objectifs de cette campagne, qui fait suite à un précédent appel émis en 2003 par des universitaires et des intellectuels de Palestine et de la Diaspora, seront précisés lors d'une déclaration en juillet[38]. Le 06 juillet est lancé l'appel pour le boycott universitaire et culturel d’Israël ("call for academic and cultural boycott of israel") ; Omar Barghouti tient à préciser que le PCACBI dans cet appel comme dans toutes ses autres déclarations, ne vise pas des individus mais vise seulement des institutions[40]. La PACBI a travaillé étroitement avec le Comité britannique pour les universités de la Palestine ((en) BRICUP (en)) qui fait pression sur l'Association des Enseignants en Université ((en) AUT (en)) pour adopter un boycott académique des universités israéliennes[41].

Formellement lancée par 171 organisations non gouvernementales palestiniennes[1],[2],[3],[Note 2] le 9 juillet 2005, un an jour pour jour après l'avis de la Cour internationale de justice sur la Barrière de séparation israélienne, la campagne BDS, qui se réfère explicitement aux campagnes de boycott ayant été conduites contre le régime d'apartheid d'Afrique du Sud, demande à exercer des pressions sur l’État d’Israël jusqu'à ce que celui-ci se conforme au droit international, et notamment aux résolutions de l'ONU.



Ou va la France ?
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 22 aot 2015 : 10:37



Est ce le début d'une guerre civile en Europe fomentée par l'EI ? Car si pour assurer la sécurité dans les trains, on doit installer dans chaque gare, un service de sécurité identique à celui d'un aéroport,,, ça sera la fin de tout ! Et en plus une montée du racisme à la clé, et comme conséquence ?

[mobile.lemonde.fr]


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