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Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 09 novembre 2005 : 20:26



A Darlett ,

Où es-tu en ce moment , si tu es au Canada , peut être que tu vois en ce moment " l'été indien " ? De toute façon merci de tes gentils mots et de ton illustration bien en place !

Yossi Almera

Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 09 novembre 2005 : 20:29


Merci à toi Georgie , je ne manquerai pas de passer le bonjour à ma muse et j'espère qu'elle m'aidera à continuer à te rechauffer l'âme en hiver ! Rechauffe la mienne par tes gentilles remarques !

Yossi Almera

Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 10 novembre 2005 : 13:58


Jacotte ,

J'ai oublié de te dire que j'ai essayé d'écrire des paroes pour chansons mais je n'ai pas réussi et j'ai conclu que je n'étais pas bâti pour cela .


Almera Yossi

Re: POESIE
Posté par: Raphael (IP enregistrè)
Date: 16 novembre 2005 : 00:15

L'Amour.
D'abord toutes nos fellicitations pour ce beau et "nourissant"
Poeme.
Et d'ajouter:
Selon le Talmud:
"COLL HAHAVA CHE ENAH TELOUYA BEDAVAR
"SOFAH' LEH'ITLAYIEM

Traduction: "Tout Amour non subordonne a quoi que ce soit,
"son issue est de s'eterniser.

Autrement dit: l'Amour desinteresse.
Et c'est a celui la que fait allusion l'auteur de ce fameux Poeme.
C'est a dire celui que ressent un enfant dans la purete de son coeur.
BRAVO.
Raphael Versailles.

Re: POESIE
Posté par: nanouche (IP enregistrè)
Date: 16 novembre 2005 : 22:33

UN BEAU POEME POUR DARLETT ET KIRSTINE QUI AIMENT LEUR JARDIN


MON JARDIN



JE VOUS INVITE SOUVENT DANS MON JARDIN
IL N'EST PAS TRES GRAND; C'EST UN TOUT PETIT COIN
MAIS IL VOUS EST DESTINE
VOUS POUVEZ VOUS Y REPOSER,
Y CEUILLIR LES FLEURS
QUE J'Y AI MISES AVEC TOUT MON COEUR.

CRTAINES SONT TRES GAIES,
PARFUMEES ET TRES COLOREES.
D'AUTRES SONT PETITES, INSIGNIFIANTES
ET PEU ODORANTES

YL Y A AUSSI DES MAUVAISES HERBES QUI S'Y FAUFILENT
MAIS DANS UN JARDIN, TOUT EST UTILE.
CHACUN PEUT Y TROUVER
QUELQUE CHOSE QU'IL VIENT CHERCHER
UNE SOURCE DE RECONFORT,
DU NATUREL, UN AUTRE DECOR

POUR PRENDRE DU RECUL, REFLECHIR,
SECHER SES LARMES, SOURIRE.
CETTE TERRE, VOUS VOUS EN DOUTEZ,
C'EST D'AMOUR QUE JE L'AI ARROSEE
ET C'EST LE SOLEIL DE VOS VISITES
QUI FAIT POUSSER MES FLEURS SI VITE.

EVIDEMMENT, J'AI GARDE UN PETIT COIN BIEN A MOI
TOUT AU FOND, QUE PERSONNE NE VOIT.
VOUS SAVEZ, CE PETIT COIN IL EST
CE QU'ON APPELLE ..... LE JARDIN SECRET



Re: POESIE
Posté par: kirstine (IP enregistrè)
Date: 16 novembre 2005 : 22:53

nanouche a ecrit:
-------------------------------------------------------
> BOUH BOUH 2 FOIS!!!!!
>
>
> ALORS UN POUR DARLETT, ET UN POUR KIRSTINE

Merci gentille Nanouche d'avoir pensé à moi! Je suis très touchée et ton poème est très beau.

Bises, Laila

Re: POESIE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 19 novembre 2005 : 02:55

Meerciiiiiiiii chere Nanouche,

Je te remercie pour cette gentille pensee pour moi et mon jardin...secret !

J'ai tellement a faire avec le forum que parfois je n'arrive pas a tout lire et alors certaines choses m'echappent comment ton gentil poeme.

Merci beaucoup beaucoup chere Nanouche !

Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 27 novembre 2005 : 00:23

Voici un po?me qui soul?vera un pol?mique , mais ce ne sont que des id?es , mes pens?es qui n'obligent que moi :


Etre Laique

Etre laique, est-ce en Dieu ne pas croire ?
Est-ce ne pas lui attribuer nos deboires ?
Etre laique est-ce accepter un aveugle destin ?
Est-ce tout simplement vivre suivant son instinct ?
Etre laique est-ce renoncer a un monde futur ?
Est-ce denier les forces de la nature ?
Etre laique c'est avoir la pens?e libre,
Decider sans jamais perdre l'equilibre,
Etre laique c'est de ne pas s?attendre ? des miracles,
Comprendre que le monde n'est pas gouverne par des oracles.
Etre laique c'est uniquement sur toi-meme
Compter, non sur des forces mystiques supremes.
Etre laique c'est ne pas etre hautain,
Juger le prochain suivant sa croyance ou son teint.
Etre laique c'est ne pas partager le monde
En une partie religieuse et l?autre immonde.
Les religions ne sont pas plus que des croyances
Les unes aux autres pleines de haine et de mefiance.
Chaque croyance elle-meme en sectes subdivisees.
Chaque secte en soi en ses coutumes atomisee.
Etre Laique c'est voir le monde comme entite,
Juger par les m?mes regles toute l'humanite.
Renier Dieu c'est comme y croire aveuglement,
C'est defendre deux concepts contraires farouchement.
Plus aise sera finalement de comprendre
Que l'existence de Dieu n'est pas a laisser ou a prendre.
Dans son evolution la pensee humaine
A maintes fois change de concept dans ce domaine.
L'existence de l'Homme, mystere de la nature,
L'incapacite avec le besoin de voir le futur,
Les catastrophes inexpliquees et imprevues
Ont pousse l'homme a trouver des solutions a ces rebus.
Il etait donc urgent et d 'abord plus prudent
De trouver protection et abris de ces accidents.
C'est ainsi que d'un cite naquit l'idolatrie
Mais aussi la science sans autour trop de bruit.
L'?Homme etant etre pensant et la science aidant,
Changea plus d'une fois ses concepts, c'etait evident.
D'un grand saut de l'Histoire au monotheisme arrivons,
Des mystrres de notre existence la solution nous y trouvons :
Nous avons un createur pas toujours protecteur.
Pas besoin d'une forte loupe pour voir qu'on se leurre.
Les catastrophes continuent mais par acquis de conscience
On en accuse notre conduite et bien sur aussi la science.
Il faut alors rapidement rediger codes etiques
Pour mettre conduite et pensees sous des regles drastiques.
Eh bien tant pis pour les dissidents si la peine de mort
Sera la preuve evidente qu'ils avaient tort !
L?Histoire nous d?montre que vraiment rien n'a change
Et que Dieu le protecteur est de venu le protege.
Mais la science continue cette theorie a ronger,
Quitte a mettre des fois la libre pensee en danger.
Je voudrais humblement definir le laic
Sachant que cela soulevera de la polemique :
Ne pas denier une divine existence
Mais ne pas l'accepter comme ultime evidence.
Etre laique c'est ne pas repousser aucune idee,
D?abord l'etudier et ensuite decider.
Etre laique c'est ne pas repousser ces concepts
Qui ebranlent nos croyances mais qu?on accepte
Avec courage et honnetete de les verifier
Et seulement apr?s de les rejeter ou de les justifier.
Ainsi certaines catastrophes sont deja prevues,
Pertes et degats sont limites. J'ai deja vu
Ceux qui en remercient Dieu de sa misericorde.
Pour leur ame et notre paix qu'on la leur accorde !
L'antibiotique, le dechiffrage du code genetique,
L'atterrissage sur la lune eloignent la mystique.
Nous devoilons ainsi les mysteres de la nature
Mais les problemes souleves sont de plus grande envergure.
Ne nous pressons pas donc de d?mettre et de d?fier Dieu
Mais ne l'accusons plus de ces m?faits naturels odieux.
Nous reconnaissons aujourd?hui que nous sommes responsables
Pas moins de nos actes. Nous avons deja des rrponses valables
A notre sort. Acceptons donc une divine existence
Mais continuons sans peur les progres de la science.
Peut etre qu'un jour grace aux progres de la science
Nous retrouverons finalement la divine existence.
Mais n'anticipons pas , nous n'en sommes pas la,
Parce que, quand nous y arriverons , alors l????..


21 ?30/08/05



















Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 29 décembre 2005 : 01:06

Une Grande Famille

J’ai grandi avec six sœurs autour de moi,
J’étais au milieu, plus âgées que moi, trois.
Deux marmots dispersés entre les jeunes frangines,
Voilà une famille nombreuse, on se l’imagine.
Il régnait une atmosphère féminine plutôt
Qui m’ouvrit les yeux et les oreilles très tôt.
Je me sentais comme un intrus seul dans le couloir,
Le seul endroit où j’avais chu sans le vouloir.
Mes sœurs menaient leurs amies les soirs à la maison,
S’accaparaient de la seule table, ronde, au salon.
Les robes arrivaient encore ( ou déjà ) sous les genoux,
Des pantalons pour femmes, non, non pas chez nous !
Dès assises, nos jeunes filles décemment glissaient
Sur leurs jambes leurs robes cloches ou leurs jupes plissées.
Mais sous la table les jambes s’écartaient, les jupes remontaient
Et moi, de mon couloir je louchais vers toutes ces culottées !
Combien j’enviais franchement ce petit frangin-bébé
Qui, librement sous la table rampait. J’en étais bouche bée !
Les profs, les garçons étaient sujets de moqueries,
L’une jetait un nom et voilà toute la bande qui rit.
Les devoirs attendaient un moment de répit
Et s’il en restait encore eh bien, tant pis !
Mais plus tard, à souper, Maman feignait de les inviter,
Alors elles s’excusaient et rapidement s’esquivaient.
Longtemps encore, sous la table mes pensées restaient,
Je sentais en moi des sensations troubles se manifester.
Replonger dans les maths, tout juste pour oublier j’essayais.
La nuit, des rêves voluptueux, mouillé, me réveillaient,
Alors comment expliquer à ma naïve mère inquiète
Que j’étais sain. Demain je dormirai sur une serviette !
Tous les jours n’étaient pas aussi gais mais encore plus mystérieux
Quand l’une de mes sœurs se levaient, souffrante, les larmes pleins les yeux.
Maman cessait alors d’être naïve et inquiète,
Directement toutes les deux allaient s’enfermer aux toilettes.
Beaucoup de thé, autant de calmants, ma sœur gardait le lit
Pendant deux jours. Après, elle était guérie mais affaiblie.
Mes autres sœurs se levaient, à l’école se préparaient,
Evitant mes regards, j’étais désemparé.
Et mon père, où était-il ? C’était une ombre, qui, comme hier
S’occupait de ses affaires puis faisait sa prière.
Cet incident se répétait souvent chez mes grandes sœurs :
Alors, toutes étaient-elles malades, j’étais dans la terreur !
Et c’était un jour, en ouvrant l’encyclopédie, j’appris
Que les règles n’étaient pas seulement pour tirer des traits, pardi !
Je décidais de combler ce trou dans mon éducation,
Des brochures et des bouquins suppléèrent ma formation.
Des fois elles se chamaillaient entre elles pour un vêtement,
Il m’arrivait de ne pas trouver ma chemise préférée évidemment !
Des garçons à la maison ? seulement mes amis ou mes grands cousins,
Ceux-ci louchaient vers mes sœurs, ceux-là venaient à dessein.
Bientôt sœurs et cousins dans une chambre s’enfermaient,
Les jeunes mis dehors, moi, poliment, de mon exclusion informé.
Aussitôt n’arrivaient de la chambre que des chuchotements :
Ils analysaient une tirade de Racine certainement
Ou alors ils réfléchissaient sur un problème coriace,
Un trust de cerveaux est toujours plus efficace.
Et tout à coup le silence était brisé par de gros éclats de rire
Qui montaient et descendaient à ne pas en finir.
Le silence et les rires se répétaient régulièrement,
La seule qui pouvait y mettre fin c’était toujours Maman :
Elle tenait à ce qu’elle-même leur goûter apporte
Mais diplomatiquement elle oubliait de refermer la porte.
Alors je les voyais plein les lèvres tous souriants,
La gaîté régnait dans leurs yeux encore brillants.
Ni les maths ni Racine ne m’avaient jamais fait rire,
J’étais sûrement dépourvu d’humour, pour peu dire !
Plus tard je compris que des blagues ils se racontaient
Que nos jeunes oreilles ne pourraient ni comprendre ni écouter !
Les relations avec mes sœurs étaient superflues et limitées,
Dans leur cercle féminin je ne pouvais pas être accepté.
Je grandis donc dans une atmosphère de mystère
Où moi j’étais un intrus, d’importance secondaire.
Des fois je m’aventurai à toucher à leurs affaires,
Leurs cris étaient si forts que ma mère n’y pouvait rien faire.
Alors elle menaçait de tout raconter à notre père,
Cela suffisait à nous calmer et à nous faire taire.
Un jour je surpris ma grande sœur dans les bras d’un garçon
Nous fûmes tous les deux surpris mais chacun à sa façon.
Les prochains lendemains je la vis inquiète et très tendue,
Craignant une réaction, celle de mes parents, bien entendu !
Jamais je ne racontai cet incident à qui que ce soit,
Mes sœurs étaient des filles comme les autres, cela va de soi !
Je compris que pour toujours était finie notre enfance,
Que désormais nous commencions notre adolescence !

15 – 25/11/2005


















Re: POESIE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 03 janvier 2006 : 13:13

Les poetes ecrivent, ecrivent pour notre bonheur et ne trouvez-vous pas cela merveilleux ?

Merci cher Yossi pour cette ambiance familiale reconstituee en paroles ! Continues toujours de te charmer en nous charmant !

Re: POESIE
Posté par: nanouche (IP enregistrè)
Date: 24 janvier 2006 : 19:09

tres joli ton poeme charly (ou danny)

Re: POESIE
Posté par: charly (IP enregistrè)
Date: 27 janvier 2006 : 15:38

J'ai ecrit ton nom...
Sur un morceau de papier,
Mais...
Par accident j'ai Perdu le papier :

J'ai ecrit ton nom...
Dans ma main,
Mais...
Quand je me suis lavee les mains...
Il a Disparu :

J'ai ecrit ton nom...
Sur le sable,
Mais...
La vague l'a effacee :

J'ai ecrit ton nom...
Sur la neige,
Mais...
Le soleil l'a fait fondre :
J'ai ecrit ton nom...
Dans mon coeur,
Et...
Il y restera gravee pour toujours !!!
dany




Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 29 janvier 2006 : 22:05

Bravo Charly, j'ai aime tes poemes, celui de Dany et alors tu m'as fais faire un saut de plus de cinquante ans a l'epoque ou l'on etait jeune , beau et romantique et au temps ou l'on apprenait l'epoque romantique aavec Musset et Lamartine : " o temps , suspends ton vol "!

Bien a toi , Almera , Yossi




Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 29 janvier 2006 : 22:09

Voici encore un p?me sur mes souvenirs d'enfance

La Paire de gifles

Comme d’habitude, la cour était pleine d’élèves, petits et grands.
Aux coups de cloche, chaque classe se mettra en rangs.
Docilement, traînant des pieds, en tête l’instituteur,
Les élèves retourneront sous le regard sévère du Directeur,
En classe, en silence. ces petits anges en tabliers,
Attendaient l’ordre de s’asseoir sans jamais oublier
Leurs aventures de la récréation.
L’une d’elles a certainement aidé à ma formation.
Deux élèves des grandes classes un jour,
Feignaient de se poursuivre, c’était un jeu, à la cour.
Mais quand le poursuivi près d’un marmot arrivait,
Brusquement, brutalement, le marmot il soulevait,
Se retournait, le lançait aux bras du poursuiveur.
La plupart des fois le marmot tombait, éclatait en pleurs,
Les deux voyous riaient, cherchaient déjà leur proie.
Ce jour là, la proie c’était moi. Mais voilà, deux fois
Ils me firent tomber. Je me relevais sans pleurer.
Si petit que j’étais, j’avais décidé de ne pas les laisser se leurrer
Qu’ils m’auraient aussi au troisième tour, quoiqu’il arrive
Et dès que l’un d’eux arriva, alors je m’esquive
En lui faisant un croc en jambe ; la fusée perdit l’équilibre,
Alla s’écraser en mouvement rapide et libre
Aux pieds du Directeur qui, précisément par là passait.
Il ne vit que la moitié du drame et c’était assez
Pour tirer la mauvaise conclusion. Bien sûr, le coupable
C’était moi. « Venez ici voyou, comment êtes-vous capable
De faire une chose pareille » ! Sans autre forme de procès
Il me flanqua deux gifles qui me firent voir en foncé
Le firmament et ses étoiles. Aujourd’hui encore
Je ressens leur chaleur sur tout mon corps !
Les oreilles m’en vibrent comme un diapason
Sur un ton majeur. Le temps m’apprit que j’avais raison.
Je reçus ces retentissantes gifles avec amour
Car, depuis, la leçon que j’en tirai me resta pour toujours.
On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid
Mais une immédiate décision il faut prendre des fois.
Une réplique dite courageusement, bien placée,
T’évitera plus tard bien des débats et des procès.
Cette aventure mal terminée m’a cependant appris
Qu’il faut prendre ses responsabilités à tout prix.
Oui, mon caractère c’est d’avoir des réponses limpides,
Mes réactions ont toujours été claires et rapides.
Je n’ai jamais renié ma responsabilité,
Cela m’a valu de l’estime pour mon intégrité.

10/01 – 20/01/2006






Re: POESIE
Posté par: charly (IP enregistrè)
Date: 29 janvier 2006 : 23:59

heureuse de te retrouver
pour nous conter
des histoires poetiques
dany

Re: POESIE
Posté par: charly (IP enregistrè)
Date: 30 janvier 2006 : 09:52




pour arreter le temps



je prose pour arreter le temps
immortaliser ton sourire
dans cent ans je pourrais te dire
c'est pour cela que je t'attends

dans les mille etoiles du ciel
dans l'eau vive des rivieres
j'attends de revoir tes yeux de braises
voici le temps des amants
je prose pour arreter le temps.

dany

Re: POESIE
Posté par: rosette (IP enregistrè)
Date: 02 février 2006 : 18:17

bien dit nanouche,c'est ca l AMITIE,tu m'as bien accepte malgre mon obesite!!!(mdr)




Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 02 février 2006 : 22:53


Nanouche, je veux bien croire que c'est de la rigolade, mais attention :" Jeux de mains , jeux de vilains , jeux de mots , jeux de ...." . Nanouche, n'es-tu pas la soeur de Georgie ?

Almera

Re: POESIE
Posté par: nanouche (IP enregistrè)
Date: 03 février 2006 : 00:02

oui almera je suis bien la soeur de georgie

et que se passe-t-il ces derniers temps

tu nous n'ecrit plus tes merveilleux poemes!!!!




Re: POESIE
Posté par: Almera (IP enregistrè)
Date: 03 février 2006 : 00:16

Nanouche , tout d'abord je suis content que je ne me sois pas trompe et tu passeras un grand bonjour a Georgie pour laquelle j'ai une estime exceptionnelle et elle le sait !

En dehors de cela si tu vas ici meme a la page 30 tu y trouveras un poeme " La paire de gifles " que j'ai publie tres recemment . Et si cela ne suffit pas alors tu trouveras mon coin de poesies en hebreu sur " Bric a Brac " et je serai heureux de lire tes remarques !

A bientot , Almera




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