Estrella Abecassis fille de Rabbi Messod Knafo

Reflexion sur l’évolution du monde séfarade

Lorsque les sionistes ont défini le projet nationaliste juif, c’est principalement en Europe chrétienne qu’ils ont puisé leur inspiration. Le sionisme est né dans l’esprit de juifs ashkénazes non religieux.

Il ne pouvait en être autrement pour trois raisons simples:

- Les religieux n’imaginaient la renaissance nationale juive qu’avec la venue du Messie.

- Les séfarades vivaient un judaïsme beaucoup moins conflictuel que les juifs vivant en terre chrétienne.

- Les séfarades vivaient au XIXème siècle dans des sociétés hors d'atteinte du modernisme.

Au début du sionisme, c’est souvent l’idéologie socialiste qui servait de modèle, et nombre des premiers pionniers voyaient dans la réalisation sioniste, non le renouveau national juif, mais l’accomplissement du rêve internationaliste.

L’idéologie socialiste n’est plus un idéal partagé par les israéliens, mais c’est toujours en grande partie à partir des schémas de l’Europe chrétienne que l’Etat d’Israël s’identifie (démocratie parlementaire, économie de marché, etc.)

61 ans après sa création, l’Etat d’Israël est reconnu comme un état occidental, démocratique et développé au sens entendu des valeurs occidentales.

Il est évident que l’idée Sioniste telle que définie n’aurait jamais pu naître dans l’esprit de juifs séfarades qui vivaient en Terre d’Islam un judaïsme relativement différent de ce que fut le judaïsme Ashkénaze, que ce soit en Iran, Irak, Yemen ou Ethiopie, ou même dans le Maghreb avant l’influence française et l’Alliance Israélite Universelle, ou après.

Les juifs séfarades, sont d’ailleurs devenus une réserve humaine pour le judaïsme orthodoxe ashkénaze lithuanien, si l’en en croit par l’arrivée au Maroc au début du XXème siècle du Rabbin Zeev Alperin, qui jouera un rôle important dans « l’ashkénazisation » des juifs orthodoxes marocains.


Parallèlement à la construction de l’Etat des juifs, (je dis l’Etat des juifs car pour moi, l’état juif est et sera toujours en construction) les religieux orthodoxes ashkénazes qui continuent pour beaucoup d’être antisionistes, ou au moins suspicieux vis-à-vis de l’Etat israélien, ont imposé leur vision du judaïsme, marqué par la rigueur des Yéshivot lithuaniennes.

Les rabbins séfarades avaient pourtant une longue tradition et réputation dans l’étude de la Thora et du Talmud, mais par la force des choses, quittant les pays arabes et débarquant en Israël, ils ont étudié dans les seules structures existant alors, celles dirigées par les orthodoxes du parti Agoudat Israël.

C’est donc logiquement qu’ils furent influencés par la tradition rigoriste du judaïsme orthodoxe européen, et particulièrement le courant lithuanien.

Le patrimoine des grands sages irakiens, marocains, algériens ou venant d’Espagne est pourtant gigantesque. Ce sont des rabbins séfarades qui ont écrit la Kabbale, ce trésor de la mystique juive, et de nombreuses communautés reconnues par la suite comme ashkénazes en Grande Bretagne, en Hollande en Tchéquie ou ailleurs furent à l’origine le fruit de l’exil de séfarades d’Espagne, du Portugal ou du Sud de l’Europe.

La différence essentielle entre ces deux judaïsmes vient des méthodes dans l’étude et du rigorisme.

Les grands rabbins séfarades sont à l’origine de très nombreuses décisions jurisprudentielles (Taquanoth, ou responsa halakhiques) rendues contre la Loi au sens formel (Halakha), mais en respectant l’esprit des Lois et les fondements de la civilisation juive. Ces décisions courageuses étaient prises avec l’objectif quasi obsessionnel de résoudre des problèmes humains apparus avec le temps.

Quelques exemples prouvent la sagesse, la tolérance, et l’ouverture d’esprit de ces maîtres séfarades qui brillaient dans tant de sciences profanes en dehors du judaïsme :

- A Meknès le Rabbin Raphaël Berdugo malgré l’interdiction halakhique, autorisa le remariage d’une femme avec son ancien mari (converti à l’islam) qui lui avait pourtant donné le « guet » ! Au motif qu’ainsi le Juif converti à l’Islam ne serait peut-être par perdu pour le judaïsme, et qu’en tout cas, c’était bien la seule chance pour le récupérer.

- Le Rabbin Ankaoua, autorisa la circoncision d’un enfant né d’une femme non juive, mais d’un mari juif au motif que c’est le premier pas vers la conversion.

Dans les pays séfarades, il n’y avait pas deux « cacherout ». Les rabbins mangeaient exactement les mêmes aliments que toute
la communauté. Lorsqu’un aliment était autorisé, le rabbin se faisait un honneur de le manger pour montrer l’exemple.

Parmi les juifs orthodoxes séfarades, les femmes ne se rasaient pas la tête.

Ainsi, depuis le dixième siècle et jusqu’en 1956, des centaines de décisions furent prises avec courage par les maîtres du judaïsme séfarade concernant les contrats de mariages, ou les lois sur les échanges commerciaux. Ces décisions allaient parfois à l’encontre de la Halakha définie par un rabbin séfarade, Rabbi Yossef Karo.

Aujourd’hui, trop souvent, les décisionnaires potentiels se réfugient derrière le postulat qu’on ne peut pas changer la Loi établie il y a 2000 ans parce que ceux qui ont promulgué ces Lois étaient de Grands Sages inspirés.

Il faudrait pour amender ces Lois, qu’un Grand Sanhédrin (Tribunal) soit réuni !

Mais compte tenu du nombre de courants différents c’est clairement impossible

Il faut bien reconnaître que c’est bien de la faiblesse que de se réfugier derrière cet argument car il est beaucoup plus facile de ne rien changer que de changer. C’est comme en politique, l’immobilisme est la stratégie facile puisque moins risquée. Mais comment ne rien changer quand tout change autour de vous ?

Personne n’ose intervenir pour rappeler que le judaïsme se caractérise par sa passion d’ouverture, de tolérance et par sa volonté de vivre avec son temps. Ni Israël, ni la diaspora juive ne doivent vivre en ostracisme !

C’est parce que des Grands comme Maïmonide étaient érudits en philosophie grecque qu’ils ont pu écrire contre l’avis des orthodoxes de leur époque le guide des égarés. Il en est de même pour la judaïsation du sionisme indispensable à la construction et la survie d’Israël en tant qu’Etat Juif.

Sans remettre en cause l’apport considérable du judaïsme orthodoxe ashkénaze, cette judaïsation serait bienvenue de s’inspirer de ce que fut la tradition séfarade d’un judaïsme ouvert.

Source: Bernard Darmon

Pelerinage a Marrakech sur la tombe du grand rabbin Abraham Abitbol
en 1966
de gauche a droite "ma mere Fiby Bouhadana,Raymonde Bouhadana femme de Marc, avec le chapeau mon pere Salomon Bouhadana, a coté Marc Bouhadana
de coté ma grand mere Zohra Bouhadana , et la derniere Kamra Bouhadana soeur de mon pere

Voici un audio que tu vas aimer Echkol (toi qui parle et comprends l'arabe marocain) et tous ceux qui frequentent cette rubrique que je visite regulierement.
Extrait d'une conference rendant hommage au rav Chalom Messas ainsi qu'à d'autres rabbins meknassis comme Its'haq Sebbagh, Yehoshuaa Berdugo, Rephael Berdugo...
Il s'agit d'une anecdote dont une partie est racontée en judeo-arabe avec l'accent de meknes.
Marrant comme expression idiomatique propre au rabbin.



Itshaq Sebbagh (maitre de Chalom Messas), photo de la part d'Akachmir

Quamefil
mecri pour cette video (que j'ai tres bien compris)
voila une annonce que j'ai trouver en france
Dans la ville de TROYES ou a vecu notre Maitre RACHI (en l'an 1040-1105)
le nom de cette commune est: BAZOCHES-sur-VESLE a 30klm de Reims et 160 klm de Troyes(fief de Rachi)

une photo tres cher a toutes les personnes qui on connu
SLAT ATIA
pendant les belles annees 1960

Biographie du grand rabbin du Maroc, Aaron Monsonégo (sur la photo a droite avec le roi Hassan II)

PARCOURS SANS FAUTE

Aaron Monsenego, fils du grand rabbin du Maroc Yédidia, est né le 9 février 1929 à Fés. Il accomplit ses études primaires à l'établissement"Em Habanim" à Fes, suivi de deux années à la Yechiva dans la même ville. Il entreprit ensuite, de 1945 à 1952 des études à l'école supérieure Talmudique et de Science à Aix les Bains sous la direction du Grand Rabbin Ernest Weill, auteur de plusieurs ouvrages et particulièrement du "Choulhan Aroukh" abrégé en langue française et Rav Chaykin, éminent professeur Talmudiste. De 1950 à 1952, il enseigne à l'école supérieure Talmudique à Aix les Bains.

Il obtint en 1951 des diplômes de Rav et Rabbin Juge par le Conseil des trois Grands Rabbins orthodoxes de Paris.

En1952, il est appelé par M. Itshak Chalom, président de l'oeuvre Ozar Hatorah International et par Ihya Zagury, président de la Communauté israélite de Casablanca, pour diriger l'école Talmud Torah à Casablanca (1500 élèves).

De 1954 à 1956, il se voit déjà professeur à l'Institut Rabbinique sous la Direction du Grand Rabbin du Maroc, Saül Abendanan.

Il est nommé en 1960 en tant que Délégué d'Ozar Hatorah Maroc qui s'est développé jusqu'à avoir un effectif de 10.000 élèves. Ces écoles dispensent un enseignement général et un enseignement religieux et talmudique conforme aux traditions et aux valeurs du Judaïsme Marocain.

En1966, il devient membre fondateur des écoles Ozar Hatorah en France avec un effectif actuel de 4.000 élèves. Durant dix ans, c'est à dire de 1966 à 1976, il évolue au sein du Comité de la Communauté israélite de Casablanca où il devient membre actif sous la Présidence de feu Dr. Benzaquen.

Il est parmi les fondateurs, en 1977, du Kollel à Casablanca, Institut pour la formation continue des enseignants en langue Hébraïque et celle des Rabbins.

En1978, il travaille aux côtés de feu son père, le Grand Rabbin Yédidia Monsonégo, dont les ancêtres de père en fils étaient des grands Rabbins au Maroc depuis 1492.

Aaron Monsenego s'est consacré, en outre, à l'édition des manuscrits et d'ouvrages des maîtres du Judaïsme marocain, dont une dizaine sont déjà imprimés afin que de par le monde, on puisse se rendre compte de l'envergure et de la grande dimension spirituelle et intellectuelle de nos éminents Rabbins du Maroc.

Ce parcours est couronné en février 1998 par la succession à son père au poste de Grand Rabbin du Maroc.

[www.maroc-hebdo.press.ma]

La photo de la tombe de Yedidio Monsonego enterre au Maroc



Photo : [www.mytzadik.com]

Pour avoir la liste des Rabbins du Maroc depuis le XVieme siecle, suivre le lien

[www.sephardicstudies.org]

Et pour lire sur Google un livre sur la veneration des Saints au Maroc intitule "les "Saints et heros du moyen-Orient" -


L'article ecrit par Issachar Ben-Ami est : "Saints Juifs marocains en Israel - Continuite et changements



texte tire du livre : (cliquer sur la photo pour arriver au debut de ce livre)

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le tombeau de rahel Imenou

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Dernier livre de Rabbi David Pinto

[www.youtube.com]

je suis ravie au plus haut point ! sur le lien
[www.modia.org]

j'ai retrouvé le nom du père de mon grandpère maternel,
Ribbi Avraham Sabbah Grand Rabin de Mogador !! mort en 1902.



Elisabeth

Elisabeth

super document avec date de Rabbi Abraham Sabbah, dont j'ai entendu parler (par les vieux de la ville)
je precise que je suis né ds cette ville
kol hakavod
david

Bonjour à tous,

Je me permets de vous demander un maximum d'infos sur le saint RABBI YIHIA LAKHDAR enterré proche de ben ahmed .... je vien tous juste de le pelerinner mais j'aimerais en savoir plus ... histoire, date de hilloula ....

Merci beaucoup

Salut Tanouch

je sais par les anciens que Rabbi yhia lackdar a été enterrer a coté d'un arbre, d'ou le nom
cet Arbre est tres vieux, mais toujours vert c'est une benediction du au saint
david

Aujourd'hui le Maroc : 11 - 05 - 2004
Les Marocains de confession juive se réunissent chaque année au Maroc pour célébrer la «hiloula». Ce nom évoque le pèlerinage juif qui se déroule le 33ème jour après la «Pessah», la Paque juive. Deux moussems sont principalement concernés par l'événement: celui de Sidi Yahya Lakhdar à Ben Ahmed, province de Settat et un deuxième plus célèbre, à Ouazzane.
A cette époque de l'année, les juifs marocains du monde entier rejoignent en masse le Maroc pour effectuer des pèlerinages. Ces pèlerinages sont réalisés pour rendre hommage aux saints enterrés au Maroc. C'est bien le cas, par exemple, de Rabbi Yahia Lakhdar à Ben Ahmed. Le sanctuaire de Rabbi Yahia Lakhdar abrite chaque mois de mai une cérémonie pleine d'émotions et de dévotion. Les juifs marocains restés au pays ou résidents à l'étranger et leurs concitoyens musulmans se réunissent devant le sanctuaire à l'occasion de la célébration de la «Hilloula». Le pèlerinage de la «Hilloula» est une des traditions les plus chères à la communauté juive. Il symbolise une des manifestations religieuses les plus originales du judaïsme marocain, avec le culte des saints qui trouve son origine séculaire dans l'influence arabo-musulmane.

Depuis plus de 15 ans, les Juifs marocains du monde entier marquent de manière plus forte chaque année leur attachement pour leur pays et y viennent en masse pour effectuer des pèlerinages aux sanctuaires et aux saints enterrés au Maroc. Cet évènement est marqué par des chants et des prières juives pour 7 jours de recueillement et de dévotion. C'est un cachet spécifique multiculturel de la coexistence fraternelle des fidèles des deux religions monothéistes ancrées dans la spiritualité du pays. La "Hiloula" constitue donc l'un des cultes et des traditions israélites au cours desquels les membres de cette communauté résidant au Maroc ou à l'étranger visitent les différents mausolées juifs où ils organisent notamment des prières et allument des cierges. Une occasion pour se recueillir aux côtés de leurs concitoyens musulmans.

En parallèle à Sidi Yahya, les juifs marocains célèbrent simultanément cette occasion dans une autre région du Maroc, Ouazzane. En effet, c'est dans cette ville qu'est enterrée une des grandes figures de la mystique juive, le rabbin Amram Ben Diwan, mort en 1781 et enterré à quelques kilomètres de Ouezane, à Asjen. Il s'agit de l'un des saints les plus populaires chez les juifs marocains. Ce moussem de Ouazzane et par là même, le plus important et le plus célèbre des pèlerinages juifs qui ont lieu au Maroc. Ces festivités de Ouazzane ont débuté samedi dernier au mausolée "Amrane Ben Diwane".

A cette occasion, des prières ont été élevées pour accorder santé et bonheur à SM le Roi Mohammed VI Amir Al Mouminine et à l'illustre famille royale, en présence de rabbins marocains et étrangers. Ces deniers ont exprimé "les liens profonds qui les unissent au Maroc". Dans une déclaration à la TVM, M. Guessous Gabriel, rabbin de Casablanca, a souligné "la nécessité de consolider les liens de fraternité entre les juifs et les musulmans à travers le monde entier". Dans une atmosphère méditative, ces pèlerinages sont une occasion pour les juifs marocains de se réunir tous ensemble pour se recueillir et pour célébrer sept jours de spiritualité et de méditation. Une manière de rendre hommage à leurs saints qui reposent sur les terres marocaines.

LA photo n°2 est celle de Rabbi Moshe (Mossi) Boussidan, rabbin de Meknes,descendant du saint Rabbi Daoud Boussidan.
La photo en couleur, en dessous de la liste des saints du Maroc, est celle du rabbi Yossef ben Moshe Boussidan, dayan de Meknes.

Stephane

Ce rabbin s'appelle RAbbi Yossef Boussidan de Meknes, fils de Rabbi Moise Boussidan et petit fils de Rabbi Daoud Boussidan

Oui ce rabbin est mon grand pere maternel et il s'appelle Rabbi Yossef Boussidan, d'ailleurs il y a sur le site la photo de son pere, Rabbi Mossi Boussidan, fils de Rabbi daoud Boussidan sur la tombe de qui il y a une hilloula; cohena

[quote ] chers darnneurs:
ya qlq'1 qui sais comment s'appel ce RABBIN?

david lbidaoui


[/quote]

Décès de David Obadiah, doyen des rabbins de la communauté marocaine
2 Mai 2010 - Guysen Israel News
Le rabbin David Obadiah, doyen des rabbins de la communauté marocaine, est décédé à l’âge de 99 ans. Originaire de Sefrou au Maroc, il en fut le rabbin, puis juge et président du Tribunal rabbinique, ensuite à Fès et Marrakech. Délégué juif au Parlement marocain après l’Indépendance, il fut inspecteur de l’enseignement hébraïque dans les écoles de l’Alliance. Vice-président du Conseil religieux de Jérusalem, il a publié de nombreux ouvrages. Le convoi funéraire partira à 16H de la synagogue du 29 de la rue Michlin, à Jérusalem.

Citation:

2eme photo

Il s'agit du rabbin Moïse BOUSSIDAN déscendant de Rabbi Daoud BOUSSIDAN (Meknes Maroc)

Citation:

Cohena
Oui ce rabbin est mon grand pere maternel et il s'appelle Rabbi Yossef Boussidan, d'ailleurs il y a sur le site la photo de son pere, Rabbi Mossi Boussidan, fils de Rabbi daoud Boussidan sur la tombe de qui il y a une hilloula; cohena

Citation:

chers darnneurs:
ya qlq'1 qui sait comment s'appel ce RABBIN?

david lbidaoui

Il s'agit du rabbin Yossef BOUSSIDAN déscendant de Rabbi Daoud BOUSSIDAN (Meknes Maroc)

Rabbi Yossef Knafo renover dernierement par la famille venue d'israel
que j'ai vu car c'est ma famille aussi

Knafo est aussi le nom de ma mere (zal)
photo de juin 2010

pour tous

ancien gardien de notre cimetiere (photo 1987)
le petit a la casquette a pris la releve

voici (le petit photo d'avant)nouveau gardien de nos morts
il a grandi au service du cimetiere
on peux voir la tombe de rabbi Haim pinto (le dome)

voici une tombe rechercher par de nombreuses personnes
de Rabbi David Ben Baroukh HACOHEN
elle se trouve ds l'ancien cimetiere en rentrant a droite
david

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shalom a tous

les verres avec le nom sont de" Safi"

le mausoler des 7 fils Ben zmiro il reste qq uns trop petits pour les mettres
car il ya un peu plus de 20 verres en memoire de nos saints
david

encore un grand de la ville

Unique de Rabbi Pinhas Abisror de mogador

Quelle merveille de voir ces grands rabins et surtout de Meknes la petite Jérusalem.

Cerejido

le maroc a eu tellement de rabbin, qu'il est difficile de les connaitres tous
le maroc etait un pays ou les rabbins avait de la valeur
dans des endroits tres reculer (montagne, ou autre) mais toujours la parole de torah
c'est vrais que meknes etait une place de torah
comme debdou, ou encore erfoud
c'est a nous de ne pas les oublier et transmettre aux generations futur
c'est ce que j'essai de faire avec ma modeste contribution
david

Merci à ECHKOL et à tous ceux qui honorent nos vénérés Saints.

Avez-vous connaissance de ce lien sur You Tube ?


[www.youtube.com]

Bien à vous tous, Plaisir5.

Plaisir 5

biensur car c'est nos saints a tout les marocains
je suis un amoureux de notre histoire (de saints) car je suis moi meme descendant d'un grand saint mon Arriere Grand pere
Zikhono le bakha

david

Plaisir 5

voila la preuve de mes dires

mon arriere grand pere , rabbi moshé Bouhadana

Et voici un ecris sur lui

Bonsoir,

me voici retardataire et, comme toutes les familles et descendances à qui vous portez secours, je suis à la recherche de toute sorte d'infos, anecdotes, voire documents et peut-être même photo de mon arrière grand-père Rabbi Raphaël ATTIAS. Selon mes recherches, sa synagogue était située impasse scouela dans la melah de rabat.

Il semble qu'il soit souvent confondu avec le Rabbi Raphaël Encaoua, son ami, qui lui vivait Sale, comme l'a confirmé son petit fils ici-meme.

Effectivement, tour à tour enregistré ATTIYA, ATTIAH, ATTIAS, j'ai beaucoup de difficulté à trouver des éléments. Aussi, je ne connais pas le prénom de sa femme mais leur fils, mon grand- père s'appelait Samuel et s'est marié avec Alberte Cohen que je n'ai pas connus.

D'avance merci pour votre précieuse aide et les réponses que vous apportez à tous.

Audrey

Citation:

echkol
[attachment 13454 2008_07300205.JPG]
Rabbi YAAKOV BIBAS le prof de Rabbi HAIM PINTO
c'est aussi ca MOGADOR

j'ai trouver une autre tombe avec le meme nom

D'apres ma decouverte il y a eu 2 rabbin du meme nom

je n'y comprends rien...........cette tombe est ds le nouveau cimetiere
et l'autre ds l'ancien...............chercher l'erreur
il est bien Graver Rabbi YAACOV BIBAS sur les 2 tombes

Ancien cimetiere de mogador

toujours ancien cimetiere (dit marin) le cimetiere de Rabbi Haim pinto
on peux voir la coupa

En face le nouveau cimetiere

Est-ce un souhait fou de demander à quelqu'un de rechercher la tombe de mon arrière grandpère, décédé en 1902 - Grand Rabbin de Mogador Rabbi Abraham Sabbah ? nommé grand rabbin de Mogador vers les année 1880 à son arrivé à Mogador de Tibériade.

Monsieur Echkol, merci d'avoir noté mon premier message.
est-ce trop tard pour récolter des témoignages ou meme des photos ? nous n'avons que l'attestation que j'ai posté.

Elisabeth

Elisabeth

le nom de Rabbi Abraham Sabbah je l'ai entendu de mes parents
il est bien dans le cimetiere (nouveau) de mogador
je vais chercher ds mes archives tout ce que je trouve te sera communiquer
david Bouhadana

tu peux voir environ tout le cimetiere (nouveau) les noms sont marquer

[www.mygenealogy.ch]

période du Lag ba’Omer (Dimanche 22 mai 2011).


Yehya lakhdar

David hadraa halevy

Yaacov Pinto

Rabbi yehya ben baroukh

Rabbi yehya Lakhdar

Dès leur descente d’avion à la « Maison Blanche », le groupe de pèlerins s’est mis en route vers l’est, à 85 km de Casablanca. Ils ont voyagé sur la route principale n° 13 de Casablanca - Kasba-Tadla, et se sont rendus dans un village pittoresque qui s’appelait autrefois El Mellah et dénommé aujourd’hui Sidi Dahbi. Cette localité est connue dans le monde entier, car elle abrite le tombeau du Tsadiq Rabbi Yahia LAKHDAR. Là, ils ont assisté à sa Hilloula (« moussem »). Après avoir également pèleriné le Saint Rabbi Chlomo LAHLOU, notre groupe s’est dirigé vers Ouarzazate. Sur le chemin, ils se sont rendus sur les tombeaux de Rabbi David OUMOCHE et Rabbi Abraham OUAZANA, et à Ouarzazate, ils ont fait halte sur la tombe de Rabbi Yahia BEN BAROUKH. Puis, en prenant la direction de Marrakech, ils se sont arrêté dans un endroit quasi isolé où ils ont découvert un tombeau de la famille PINTO. Enfin, leur périple se termina par la visite du tombeau et de la synagogue de Rabbi DRAA HALÉVY, celui-là même dont une plaque-dédicace est apposée sur la porte de notre « Collel », à droite en entrant dans la Synagogue.

Rabbi David ou moshé

tzadikim du maroc par DANIDOU1

Photo UNIQUE enterrement juif (ancien cimetiere de mogador)

Bonjour
L'amazighe est la langue la plus ancienne du Maghreb. L'arrivée des Amazighs au Maroc remonte au néolithique.
Pour les historiens, leur origine demeure sujet ¹ controverse.
On pense qu'ils seraient autochtones, ou issus de la rive nord de la Méditerranée, ou encore originaires du sud de la péninsule arabique.
Des documents archéologiques de l`Égypte ancienne attestent l`existence de l'écriture amazighe au moins 3000 ans av.J.-C. Aujourd`hui, on parle l`amazighe dans les régions rurales et dans les villes, notamment depuis l`exode rural des années 1970.
Exclusivement orale, la langue berbère se divise en trois dialectes: le tarifit, dans le Nord-Est; le tamazight, dans le Moyen Atlas, dans la partie septentrionale du Haut Atlas et dans la région du Sud-Est; et le tachelhit, dans la partie méridionale du Haut Atlas et la région du Sud-Ouest.

Visitez le site de l'Institut Royal de la Culture Amazighe.

Je suis entrain de chercher mon arbre de famille .. On me disait un petit peux ..
Le nom de ma mere est Simone Pinto ..( elle est morte ) .. je me rappelle elle me disait que ( je crois ) son pere ou son grand pere etait un grand Rabin a Mogador
Elle a grandit la bas .. elle avait plusieur freres est soeurs..J'ai connu une sooeur Sara( quand elle c'est marier son nom ete Tapiero ) et un frere Isaac ..qui viver a Paris .( il travailler dans une sinagogue ) le reste ils ont parti en Israel
Je suis la plus jeune des enfant de ma mere .. Je ne said pas pouquoi elle ne voulais pas trop parler de sa famille ...J'espere une personne poura m'aider
Merci d'avance..
Je m'excuse mes mon computer et tout en Anglais

Marie rose

je suis david (echkol) né a mogador
je connais l'histoire de Rabbi Haim pinto, de la famille et enfin David car il fait chaque annee une fete a mogador (semaine avant roch-hachana)
rabbi david a une yechiva a Ashdod (grandiose)
tu peux poser tes questions en anglais si c'est mieux pour toi
ou en hebreu aussi..................je comprend tres bien les 3 langues
david

voila un site de toute la famille Pinto de mogador

www.hevratpinto.org

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Inauguration de la yeshiva a ASHDOD

Rabbi David est le n°4 de droite vers le milieux

Evènement Rare et Exceptionnel, à ne pas manquer !



A la veille de Roch Hachana, venez solliciter le Tsadik Rabbi Haïm Pinto à Essaouira au Maroc, le jour exact de sa Hiloula Samedi soir 24 septembre 2011, afin qu'il implore Hashem, de nous exaucer, et de nous garantir une Bonne Année !


La Yechiva Pinto de Villeurbanne, organise du Jeudi 22 au Dimanche 25 Septembre 2011,

en vol direct Lyon (aller/retour) > Essaouira (Maroc) , la Hiloula du Saint et Vénéré Tsadik Rabbi Haïm Pinto (ZatsaL) ;

Citation:

echkol
[attachment 17087 DSCF0784.JPG]

Traduction de la citation sur le fronton: "Et chaque Juste vivra selon sa croyance" (Habakuk, 2,4) Cette phrase du "petit" prophète Habakuk, vieille de 2500 ans, peut etre considérée comme le slogan de tous les appels à la TOLERANCE.

Bonjour David,

J'ai lu tous les messages sur les grands Rabbins du Maroc car je cherche infatigablement... à rattacher mon grand-père David PINTO (PINHTO) à une famille de Rabbins du Maroc.
Il est né à Marrakech en 1834 (fils de Chelomo Pinto et de Allia Liberati), il a émigré dansles années 1860 en Algérie où il était Rabbin.
Je suppose que son père pourrait être le rabbin Salomon Pinto, cité dans "Les noms juifs du Maroc" de Abraham I. Laredo. Mon hypothèse est qu'il appartient à une famille traditionnelle de Rabbins de Marrakech. D'après ce livre, R. Salomon Pinto est fils de R.Abraham, fils de R.Jacob, fils de R.Reuben, tous Rabbins à Marrakech. R.Jacob a eu quatre fils : R.Abraham, R.Moshe, R.Joseph, R.Isaac.
R.Abraham a eu au moins deux fils: R.Salomon et R.Moshe; il faut peut-être que j'essaie de trouver des informations à ce niveau.
Je ne sais pas si dans le livre que vous citez "Le Maroc : 2000 ans d'Histoire : le livre des tsadikim du Maroc" je pourrais obtenir quelque indication.
Merci pour tout conseil.