Barack OBAMA, président des Etats-Unis
Posté par:
anidavid (IP enregistrè)
Date: 14 octobre 2010 : 07:17
J.T. Kuhner du Washington Times : “Obama trahit les juifs, il est de culture musulmane”
OPINION
Jeffrey T. Kuhner anime aux Etats-unis une émission de radio et il est éditorialiste au Washington Times le Week-end. Il est également président du Edmund Burke Institute for American Renewal, un think tank dont le but est le ralliement des minorités au courant conservateur.
Nous avons traduit un extrait de son éditorial du 8 juillet 2010.
Article du Washington Times
Le président Obama trahit les Juifs. Il est issu de culture musulmane et ses sympathies vont au monde islamique dans sa lutte à mort contre Israël. A moins que les Juifs américains se réveillent et dénoncent la politique pro-arabe et anti-Israël de M. Obama, l’Etat juif devra faire face à une éventuelle guerre nucléaire - voir même à son anéantissement.
M. Obama a rencontré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu cette semaine. Le but de cette rencontre : réparer la fissure publique dans les relations entre Washington et Jérusalem.
“Le lien entre les États-Unis et Israël est incassable“, a déclaré M. Obama. “Il englobe nos intérêts de sécurité nationale, nos intérêts stratégiques, mais surtout le lien entre deux démocraties qui partagent un ensemble de valeurs communent et dont les peuples se sont rapprochés de plus en plus au fil du temps.”
Ne le croyez pas. Devant des journalistes, M. Obama peut louanger l’Etat juif. Mais dans les coulisses, il vend les Juifs pour [les mettre à] la rivière.
Selon un article récent dans le Wold Tribune qui est un site Internet d’information important sur le renseignement stratégique, des responsables de l’administration ont assuré à la famille royale saoudienne que M. Obama est déterminé à faire pression sur M. Netanyahou pour lui faire accepter un Etat palestinien indépendant englobant la Cisjordanie et Gaza avec Jérusalem-Est comme capital.
M. Obama - comme beaucoup dans le monde arabe - est d’avis que la clé de la paix au Moyen-Orient est la résolution du problème israélo-palestinien.
Il n’en est rien. Au contraire, un État Palestinien indépendant sera un atout islamique au cœur de l’Etat juif. Le retrait d’Israël jusqu’aux frontières d’avant 1967 rendra Jérusalem vulnérable à une attaque militaire tous azimuts. Les Arabes auront les moyens stratégiques de mettre en œuvre leur ambition première depuis la création d’Israël en 1948: anéantir les Juifs.
Le régime démocratiquement élu du Hamas qui dirige la bande de Gaza appelle ouvertement à la destruction des Juifs. L’Autorité palestinienne en Cisjordanie dirigée par le président Mahmoud Abbas endoctrine systématiquement les Palestiniens en diabolisant l’”Etat sioniste”. la télévision palestinienne, les écoles et les médias contrôlés par l’État, tous prêchent qu’Israël est intrinsèquement «illégitime» et doit être «éliminé». L’écrasante majorité des Palestiniens (et des Arabes) ne veulent pas la paix. Ce qu’ils souhaitent c’est la conquête.
La notion de deux Etats, dans lesquels Juifs et Palestiniens coexisteraient côte à côte dans une entente mutuelle, est une illusion. Si les Palestiniens abandonnaient leurs armes, il y aurait la paix, mais si les Israéliens déposaient les leurs, il y aurait un génocide.
La cause profonde de la violence au Moyen-Orient n’a rien à voir avec le conflit israélo-palestinien. Il s’agit d’une diversion, d’un prétexte bien commode, constamment utilisé par les tyrans arabes pour couvrir la véritable maladie dont souffre la région : l’islam radical.
Depuis sa création, la civilisation islamique a été en guerre avec ses voisins. La foi musulmane s’est propagée au travers des siècles par l’épée et le djihad violent. C’est pourquoi les chrétiens et les juifs ont été massacrés et expulsés des pays arabes au Moyen Age. C’est pourquoi les Ottomans ont envahi et conquis l’Espagne, le Portugal, les Balkans et des parties de France et d’Italie, atteignant même les portes de Vienne.
C’est pourquoi aujourd’hui, les Saoudiens continuent à dépenser des milliards de dollars pour le financement de madrassa extrémistes dans le monde entier. C’est pourquoi les islamofascistes, tels que les talibans et Al-Qaïda, espèrent établir un califat mondial basé sur la charia. C’est pourquoi les mollah chiites en Iran font la course pour la bombe nucléaire.
Depuis sa naissance, l’islam politique a été en guerre contre l’Occident - tout d’abord avec la chrétienté, et maintenant, avec la démocratie libérale laïque et moderne. Il n’y a pas d’issue pour Israël ou l’Amérique. Les Islamistes haïssent l’Etat juif, car il est le rempart stratégique de l’Occident au Moyen-Orient - un avant-poste démocratique dans une région marquée par le retard économique, l’autoritarisme et le fanatisme religieux. Les États-Unis est le bastion du monde libre, la dernière grande puissance de l’Occident.
Ainsi, pour les islamistes radicaux, ces deux nations doivent être brisées. Il s’agit d’une lutte totale - et cela veut dire qu’il ne peut y a qu’un seul camp qui s’en sortira victorieux.
Malgrè tous ses défauts (et il y en avait beaucoup), l’ancien président George W. Bush avait compris cette réalité de base. C’est pourquoi il a mené la guerre contre le terrorisme islamique. C’est aussi pourquoi il était le président le plus pro-israélien dans l’histoire des États-Unis. Il a compris une vérité simple: la lutte d’Israël est la lutte de l’Occident.
M. Obama est l’anti-Bush. Il est violemment anti-israélien et le champion de l’apaisement envers l’islam radical. Et l’explication de son attitude réside dans l’éducation de M. Obama et sa vision du monde - qui font de lui [le leader] le moins qualifié pour poursuivre la guerre contre le terrorisme.
[…]
L’explication de la sympathie de M. Obama pour la culture islamique ne réside pas uniquement dans sa jeunesse. Dans une interview avec le New York Times, M. Obama a décrit l’appel à la prière musulmane comme “l’un des plus beaux sons sur Terre au coucher du soleil.”
Le Times a également noté que M. Obama avait récité, “avec un accent [arabe] de première classe ” les premières phrase de l’appel à la prière musulmane.
Allah est grand !
Allah est grand ! Allah est grand !
Je témoigne qu’il n’y a de dieu qu’Allah
et Muhammad est son messager
M. Obama dit qu’il est un chrétien pratiquant. Pourtant, il ne peut nier que son héritage musulman et son éducation islamique imprègnent sa pensée et ses actes.
Culturellement, il est le premier président améracain musulman. Il refuse d’admettre qu’il y a une guerre contre le terrorisme islamiste.
Son conseiller en lutte contre le terrorisme, John Brennan, nie même que le djihad est le mobile qui anime les extrémistes musulmans.
Il excorie publiquement Israël pour la construction d’appartements “juifs” à Jérusalem-Est, mais appelle à un «engagement au dialogue» avec l’Iran. Il cherche un rapprochement avec la Syrie, en minimisant ses liens avec Téhéran et son soutien au Hezbollah.
Il retire prématurément des troupes américaines d’Irak. Il impose à l’armée des règles invalidantes qui rendent la victoire presque impossible en Afghanistan - de peur de tuer des civils et de “fâcher” les populations musulmanes. Il demande la fermeture de Guantanamo.
Il fait en sorte que les terroristes comme Khalid Sheikh Mohammed, le cerveau du 11 septembre soit jugés devant un tribunal civil. Il ordonne que mission première de la Nasa soit «le rapprochement» du monde islamique - au lieu de l’exploration de l’espace. Et il est catégoriquement en faveur d’un Etat palestinien, même si cela pose un risque mortel pour Israël.
En bref, M. Obama cherche à cajoler le monde islamique. Le résultat est que l’Iran est sur le point d’avoir la bombe. Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad - comme tous les fanatiques - est un homme à prendre au sérieux. Il jure de tuer les Juifs d’Israël une fois pour toute. M. Obama n’est pas un grand faiseur de paix. Au contraire, il est naïf, follement de gauche - aveuglé par ses œillères idéologiques et culturelles - et il fait directement le jeu des ennemis de l’Amérique aux mains sanglantes.
Source : Washington Times