France2 devra fournir la video Al Dura a la Cour d'appel.
Posté par:
darlett (IP enregistrè)
Date: 07 novembre 2007 : 10:49
Grave mensonge autour de la Mort de Mohammed al Dorra
Il faut rendre justice à Tsahal
Ftouh Souhail de Tunisie
Bonjour
Sept ans après la mort de Mohammed al-Doura, le gouvernement israélien met à l’épreuve la chaîne de TV française France 2 pour avoir manipuler sciemment des images, laissant à penser qu’Israël en était responsable. La chaîne française refuse jusqu’à ce moment de fournir à l'armée israélienne les bandes non coupées, afin de poursuivre l’enquête.
L’enfant palestinien de 12 ans avait été tué en septembre 2000 au cours d’échanges de feu entre Tsahal et des terroristes dans la Bande de Gaza. Le monde arabe et les pros palestiniens de tous poils s’étaient empressés alors d’accuser Israël, le jeune Mohammed devenant un martyr de cette seconde Intifada.
L’élément important qui a été indisponible pour le grand public jusqu’à ce jour est que, depuis la position d'où positionnaient les troupes israéliennes, les balles ne pouvaient pas toucher le père et l'enfant. Un autre détail, de taille : la vidéo ne montrait pas la mort du petit Mohammed, des images ayant été coupées au montage. Cette manipulation d’image avait constituer un acte d’une gravité exceptionnelle dans la mesure ou elle avait induit en erreur l’opinion publique et elle a aboutit à un vif mouvement condamnant à tort les soldats Israéliens.
L’absence de coopération de la part de la chaîne française, afin de fournir des éléments de réponse clairs au gouvernement israélien dans cette affaire, laisse à penser que France 2 n’est pas prête d’assumer sa responsabilité envers le publique… et peut être un jour devant la justice lorsqu’elle sera saisie de cette affaire, en considération du préjudice qu’a subit l’Etat d’Israël.
Je tiens à signaler aussi un fait récurant , certes moins grave, mais qui n’est pas innocent en tous cas ; Lorsqu’on regarde deux fois le journal de M.Pujadas, sur France 2 à 20 heures puis sur TV5 à 20h30 (TV5 étant un chaîne de vocation étrangère) sur France 2 s’il y a un reportage très dur sur la terreur que fait régner le Hamas à Gaza, ce reportage ne passe pas dans la rediffusion de ce journal sur TV5, à 20h30.A sa place, on le substitue à un reportage beaucoup plus anodin sur la vie quotidienne à Gaza. France 2 ferait tout simplement de l'autocensure quand il s'agit de diffuser son journal à l'international .Curieuse conception du métier de journaliste! Ainsi, la conception de la télé publique selon France 2, est celle de proposer à son public un abonnement à l’idéologie pro palestinienne dominante. Cette ligne rédactionnelle impose, politique arabe obligeant, de ne rien publier ou montrer qui puisse nuire à ’image victimaire de la « cause palestinienne » ou qui puisse justifier les mesures de prévention et de défense prises par l’Etat d’ Israël pour protéger la population contre la bestialité es «activistes» palestiniens. Mission servilement accomplie par les larbins de la plume, du micro ou de la caméra, parés du titre naguère respectable et prestigieux de journalistes.
Reste à considérer qu’avec cette révélation de la macabre mise en scène, habile montage et de vaste diffusion par la télé publique du fameux «reportage» de Charles Enderlin sur le prétendu meurtre du jeune Mohamed Al Dura «dans les bras de son père» par des soldats de Tsahal, la chaîne publique française a dépasser toutes les limites de l’éthique professionnelles et elle a discréditer l’image des soldats israéliens à travers le Monde entier et causant un grave préjudice à l’Etat d’Israël en alimentant la haine.
Il faut dire aussi que le métier de journaliste sortira perdant dans cette affaire grave, plus que la désinformation, des faits mensongères ont été collés à Tsahal dans le cadre d’une manipulation malhonnête de reportage qui a fait le tour du Monde pour devenir vedette des écrans, des radios et de la presse. Ceux qui ont manipulés ces images dans les studios de France 2 et tous ceux et celles qui s’étaient empressés , comme de coutume, d’accuser Israël , faisant du jeune Mohammed al Dorra un martyr de la seconde Intifada feraient mieux qu’ils notent aujourd’hui que depuis sept ans (C’est-à-dire depuis la mise en scène de cette affaire) les organisations terroristes palestiniennes avaient perpétré plus de 15000 attaques qui ont coûté la vie à 626 civils et soldats israéliens.
Quand à Tsahal, qui était gravement outragé dans l’affaire de Mohammed al Dorra , nous devons lui renouveler notre confiance, car malgré les difficultés du terrain, elle opère dans le respect le plus total des lois internationales. En revanche, les organisations terroristes palestiniennes violent ces lois, n'hésitant pas à s'attaquer des civils et l'usage cynique des enfants. Tsahal, dans son long parcours de lutte contre le terrorisme, a souvent adhérer aux règles de conduite en temps de guerre et ces points sont repris dans la culture militaire des soldats et dans les directives données par les officiers. Malencontreusement, des civils, dont des enfants,
ont été parfois blessés au cours d'altercations avec les organisations terroristes palestiniennes. Les terroristes palestiniens sont les seuls responsables des dommages, du malheur de la région, et entre autres, des dommages causés aux enfants palestiniens.
Depuis la première et la seconde Intifada, les organisations terroristes font un usage cynique des enfants dans le terrorisme aveugle, violant les lois internationales. Ces enfants qui avaient abandonnés l’école sont préparés à perpétrer des attentats au sein de la population israélienne, disposés sur la ligne de front afin de dissimuler les tireurs d'élite, préparés à poser des bombes dans des bus et des lieux publiques et à lancer des projectiles sur Sdérot . De plus, les organisations terroristes ont transformé les quartiers civils palestiniens en zone d'activité terroriste.
Il serait mieux pour la société palestinienne, les organisations internationales qu’elles dénoncent d’une façon non équivoque l'exploitation de ces enfants par les terroristes. Il est important de mentionner que les Palestiniens reconnaissent publiquement que les organisations terroristes envoient les enfants lancer des charges explosives sur les soldats israéliens contre une rémunération de 5 shekels (1$). Quarante de ces enfants ont été blessés puis amputés (d'après le journal Alray, 20 juin 2002).
Malheureusement, le triste Assemble Général des Nations Unies ne mentionne pas ces actes particulièrement immoraux de la part des Palestiniens. Ceux qui utilisent les enfants pour des attaques terroristes et se servent de demeures renfermant des enfants pour organiser et perpétrer des attentats restent directement responsables des blessures de ces enfants.
Au moment ou le gouvernement israélien cherche activement à rétablir la vérité sur la scène internationale sur l’un des incidents les plus graves qu’a affecté l’image de ses soldats ( l’affaire Mohammed al-Doura ), les medias pro palestiniens - très nombreux soient t-ils - seraient sûrement très déranger que la vérité soit révéler au publique sur le fond de manipulations d’images qui ont fait du ce jeune Mohammed un martyr d’exception de la seconde Intifada…..que je me permets de la qualifier Intifada de la honte et du mensonge !
Malgré que cet incident a été fabriqué de toute pièces (la vidéo ne montrait pas la mort du petit Mohammed, des images ayant été coupées au montage) des medias malsains, qui ont empruntés les méthodes de mensonges palestiniens, continuent désormais à soutenir faussement que Tsahal n'effectuait pas d'enquête sur les incidents au cours desquels des enfants palestiniens avaient été blessés, accusant d’office Tsahal d'exempter tout soldat impliqué dans ces incidents.
Malgré l’énormité du lynchage médiatique que Tsahal fait l’objet , soit en Orient ou en Occident, nous croyons que les opérations d’auto- défense qui sont toujours nécessaires pour la survie d’Israël, se déroulent selon les principes éthiques de Tsahal , visant à préserver la dignité humaine, et déplore les préjudices portés aux enfants innocents.
Nous devons insister sur le fait que l'usage cynique des enfants fait par les organisations terroristes est la seule cause de leurs blessures. Autant que nous condamnons les attaques terroristes palestiniennes, nous devons condamner, sur le même pied d’égalité, les attaques médiatiques monstrueuses et mensongères que Tsahal fait l’objet depuis plusieurs années et pour l’occasion, nous espérons qu’une condamnation judiciaire exemplaire contre la chaîne de TV française France 2 voit le jour pour avoir manipulé des images, dans une zone de conflit laissant, à penser qu’Israël en était responsable et causant un préjudice inestimable àl’image des soldats.
Il est primordial que la justice, en Israël et France, soit saisie de ce dossier car France 2 devait rendre des comptes et répondre sur tous les points noirs de ce reportage de Charles Enderlin sur le prétendu meurtre du jeune Mohamed Al Dura «dans les bras de son père» . Dés lors que la culpabilité de la chaîne sera établie, sur la base des faits que nous avons cités plus haut, Juridiquement Tsahal , et derrière elle l’Etat d’Israël, seront dans une position de droit pour réclamer dédommagement et réparation du préjudice subit. Ce sera un procès exemplaire en matière de médias qui fera jurisprudence en matière de désinformation.
Nous attendons une mobilisation massive des avocats, des intellectuels et des journalistes de bonne conscience pour exiger que la direction de France 2 débloque la situation et fournit à l'armée israélienne les bandes non coupées, afin de poursuivre l’enquête sur cette affaire sordide qui a fait la une de tous les médias en causant un préjudice inestimable à l’image de l’Etat juif et à la réputation de ses soldats. Le refus de France 2 de coopérer avec les autorités israéliennes devait nous alerter et nous iniquiter à la fois !
En tant que jeune avocat tunisien, je serais totalement disponible et préoccupé jusqu ‘à ce que Tsahal soit innocenté de cette affaire …tout juste pour prouver que le mensonge ne trouvera pas que des appuis dans le monde arabe et qu’Israël pourra compter sur un large mouvement de solidarité si la justice sera saisie de ce dossier.
FTOUH SOUHAIL, avocat stagiaire, Tunis