Je voudrais partager avec vous, en quelques paragraphes, ce récit que j'avais vécu au Maroc dans les années soixante-dix. Il est extrait de mon journal intime.




Elle sortait de chez elle par effraction



Par manque de confiance, bon nombre de marocains enferment leurs femmes à clé avant de partir quelque part.
La réclusion dure parfois de longues journées.
Tout contact avec le monde extérieur n'est pas permis.
La femme passe tout son temps à faire à manger, faire la vaisselle, laver le linge et dormir.
Parfois le foyer n'est équipé ni de télé, ni de radio, ni de téléphone et la réclusion prend dès lors toutes ses dimensions tragiques.
J'avais à peine 15 ans, quand j’avais connu Khadija, notre voisine âgée alors de 19 ans, belle et ravissante, mariée à un vieillard de cinq décennies son cadet. Elle passait toutes ses journées enfermée, elle était en réclusion perpétuelle mis à part les quelques rares sorties qu’elle effectuait en compagnie de son mari et qui étaient destinées essentiellement aux visites familiales.
Un jour pendant que le vieux dormait, elle avait pris une empreinte de la clé de la maison grâce à un bout de pâte de pain qu'elle avait fait le midi. Une fois l'empreinte durcie, j'ai fait confectionner un double de la clé. Cette opération était rendue possible grâce à la collaboration de ma sœur à qui Khadija racontait ses malheurs.
Comme ca, dès que le vieux partait au travail, j'ouvrais la porte et passais d'agréables moments avec elle.
Un jour, alors qu’on étaient nus dans sont lit, on entendit la clé tourner dans la serrure de la porte de l’appartement.
Qui était ce ?
A suivre.......

Eh ben dis donc Ahmed, on en apprend des choses sur toi ! Tu t'amusais bien a 15 ans !

J'ai commencé très tôt. (lol)

Flash back :

Khadija avait pris la précaution de fermer la porte de l'intérieur quand j'étais en sa compagnie.
A cet instant, un dilemme s'est posé. Khadija qui s'était vite habillée, une robe longue, toute pâle de peur, elle tremblait, tout en m’ habillant elle me proposa de me cacher sous le lit, chose que j'ai refusée de faire car c'était trop classique, je lui disais, en chuchotant que le vieux aura le réflexe instantané de regarder sous le lit ou dans le placard.
Le vieux n'arrivant pas à ouvrir commença à frapper fort à la porte en appelant sa femme par son prénom.
La tension monte de plus en plus, une course contre la montre pour trouver une issue convenable à cette situation.
Tous les cas de figure passèrent par ma tête à une vitesse vertigineuse:
-Ouvrir, affronter le vieux en lui disant la vérité et le pourquoi, mais qu'elle serait sa réaction, telle une bête féroce blessée, il pourra s'avérer dangereux surtout s'il était armé de son couteau par exemple.
-Ne pas ouvrir et le laisser défoncer la porte, j'ai pensé un instant qu'il n'avait pas intérêt à faire trop de bruit pour préserver l'honneur, si honneur reste, auprès des voisins alertés par le bruit.
-Sauter par la fenêtre, c'était risqué sauter du 2ème étage, et ma conscience me refusait de laisser Khadija seule affronter la situation, j'aurais fait preuve d'une grande lâcheté et comme je ne suis pas lâche, il fallait plus que jamais rester solidaires.
Le vieux cessa de frapper à la porte, on a entendu ses pas en descendant les escaliers.
Où va t'il ? Qu’allait-il chercher ? Dois je sortir et me réfugier dans les étages supérieurs ? Et si le vieux avait seulement fait semblant de descendre et resté cacher à côté.
Il fallait prendre, vite fait, une décision.

Ahmed, je suis morte de rire !!!!!!!!!

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amities albert e

Le début de l'histoire :

Le vieux avait, avec ma famille, un lien familial très très lointain du côté de ma mère, de ce fait je l'appelais tonton. Notre maison était un grand immeuble et on avait des appartements à louer.
Un jour tonton est venu voir mon père pour un logement, c'est ainsi qu'ils, Khadija et lui, ont occupé un appartement dans notre maison, ils venaient manger chez nous de temps à autre et c'était comme ca qu'on s étaient connus. Elle me disait souvent que j'étais beau et elle me dévorait de ses yeux même en présence de tous. J’avais senti en elle le coup de foudre.
J'ai appris alors que son mari l'enfermait chaque fois qu'il sortait ou allait travailler. Quand il travaillait de nuit, ma sœur lui tenait compagnie et reste enfermée avec elle jusqu'au matin. C'est là qu'elle s'est confiée et a raconté toute la misère qu'elle subissait. J'apprendrais plus tard, d'elle-même, qu'il avait des mœurs sexuelles inspirées de Sodome et qu'elle n'avait pratiquement pas de rapports conventionnels avec lui. Son corps était un objet de plaisir pour lui.
J'étais un grand espoir pour elle, l'espoir de vivre une vraie relation d'amour qui ne sera pas basée exclusivement sur le sexe, elle était avide d’un éventuel apport sentimental que je lui apporterais. Elle me disait qu'elle avait un corps qu'elle mettait à la disposition de son "mari" pour qu'il puisse assouvir ses délires bestiaux, elle ne ressentait le moindre plaisir, aucun préliminaire, aucun geste de tendresse. Souvent, pour adoucir le calvaire qu’elle endurait pendant ces rapports, elle fermait les yeux et pensait à moi. Une fois le rapport fini, elle sombrait dans une crise de remords, d’une part car elle m’associait un instant à ce brut et d’autre part, en pensant à moi à cet instant, elle avait l’impression de légitimer en quelque sorte cet acte qualifié plutôt de viol.
Elle ne vivait que pour lui. Tout membre de son corps avait une fonction de service, lui faire à manger, lui laver son linge, faire sa vaisselle, nettoyer sa maison. Quand il travaillait le matin de bonne heure, elle se levait avant lui, au petit matin lui préparait son petit déjeuner, ses vêtements, lui chauffait l'eau pour sa toilette, et après elle le réveille. Après son départ, c'est déjà les préparations du repas du midi pour que monsieur trouve son repas prêt à son arrivée.

Première altercation :

Un soir, alors que le vieux travaillait de nuit, Khadija et ma sœur étaient enfermées. Khadija a proposé à ma sœur de m'écrire une lettre d'amour, elles ont écrit la lettre, l'ont mise sous enveloppe à mon nom et adresse. Ma sœur devait me la remettre le matin en allant au Lycée, elle l'a posée sur la télé. Vers 6h du matin, le vieux rentre et voit la lettre. Intrigué, la prend et repart, direction l'épicier d'en face à qui il a demandé la lecture. Il était analphabète. L'épicier lui expliqua que j'étais le destinataire, que c'était une histoire d'amour. Je me souviens toujours d'une phrase : "Je t'aime un amour profond".
Le vieux regagne son domicile et sur son chemin arracha une branche de l'arbre, ouvre la porte et surprend Khadija dans son sommeil avec des coups de fouets, il lui disait : " Quand on a un amour profond on n’a pas sommeil".
Ma sœur affolée à eu juste le temps de prendre ses affaires et se sauver direction le Lycée, et c'est elle qui m'avait rapporté la scène et la phrase sur l'amour profond. On en rigole encore quand on en parle.
Très tôt dans la matinée, et sans même fermer l’œil, il se présenta chez moi, expliqua à mon père l'affaire de la lettre, mettant en cause ma sœur pour l'avoir écrite et moi pour en être le destinataire.
Le système sécuritaire se renforça dès lors autour de Khadija, vouée à une haute solitude et une répression accrue. Elle perdra pour la même occasion tout contact avec le monde extérieur. La compagnie de ma sœur est à présent prohibée.
Une longue et ténébreuse rupture s'imposa.

A suivre......

Le déménagement :

Quelques mois après, le couple avait achevé la construction d'une maison dans un quartier avoisinant et a déménagé.
Nous avions continué à avoir la visite de tonton d'une façon régulière et de temps à autre il venait avec Khadija.
Il faut dire que je n'étais pas particulièrement dans sa ligne de mire car il pensait toujours que je n'étais pour rien et que toute la faute posait sur Khadija qui me cherchait. Il ignorait tout de notre relation. Cette idée me réconfortait car elle barrait totalement la route à une rupture totale et définitive. Un semblant de climat de confiance s'installa de nouveau et les visites du couple deviennent de plus en plus fréquentes. Ma sœur a eu de nouveau le droit de citer chez le couple.

A suivre......

Je suis sure qu'Albert attend avec impatience de voir lorsque le vieux assenera son coup de matraque sur la tete du pauvre Ahmed qui se porte toujours bien puisqu'il relate tranquillement l'histoire apres quelques decennies.

La toute première fois :

Une après midi, alors que tonton devait aller travailler, se présenta avec Khadija et demanda à ma mère d'accompagner sa femme à l'hôpital pour rendre visite à sa sœur opérée. Il était hors de question qu’elle aille seule. Ma mère ne pouvait qu’accepter.
En fin de compte, ma mère ne voulant pas aller à l'hôpital avait demandé à ma sœur d'aller à sa place et m'avait demandé si je pouvais les accompagner. Ca revient à demander à un loup s'il voulait garder la chèvre.
Le bus était comme à l'accoutumé bandé, et dans pareilles circonstances, une sorte d’activité sexuelle sévissait dans les bus de Casablanca, cette activité était connue sous le nom de : "Pointage". Ca consiste à se mettre derrière une fille ou une femme et sous prétexte de la bousculade se frotter à son postérieur et laisser la main se balader. Des témoignages rapportaient que certaines femmes ne voyaient pas ce phénomène d'un mauvais œil et manifestaient même une certaine collaboration avec le pointeur.
Une histoire circulait à ce propos : Une femme dans un bus avait découvert que son porte-monnaie était volé, elle s'adressa au chauffeur, celui ci lui demanda où il était ce porte-monnaie, la femme répondit : « Dans mon soutien gorge ». Le chauffeur lui dit alors : « Dans ton soutiens gorge et tu n'as rien senti ». Elle répondit : « Si j'avais senti une main mais je croyais qu'elle voulait juste me caresser ».
Khadija s'était mise derrière ma sœur pour la protéger et m'a demandé de rester derrière elle. Je me suis trouvé dans le rôle d'un pointeur malgré moi.
Le contact avec son postérieur me faisait de l'effet, elle se collait à moi et cela produit un effet naturel, l’érection, un effet invisible dans le bus mais dès qu'on descend on a du mal à cacher, et là chacun déploie ses propres mécanismes.
Le retour se passa dans des conditions similaires.
Sur la route, il m'a semblé voir se tisser une combine entre ma sœur et Khadija, des messes basses et regards significatifs pleins de complicité. J'ai tout de suite deviné et l'enjeu et la stratégie déployée.
A suivre.....

C'est une histoire romanesque mais a la base il y a ici aussi encore un des mariages arranges entre les familles et souvent la jeune fille, presqu'enfant etait livree telle une marchandise.

bonsoir Ahmed,

et comme disait Henrie Salvador :et alors ,et alors et alors.....

la suite

imaginez la soufrance de cette jeune fille.

ce qui est triste c est que cela se passe encore dans certains pays

Ben

Nous arrivâmes devant chez moi et ma sœur salua Khadija avant de rentrer à la maison.
Khadija me demanda alors de l'accompagner chez elle car elle n’avait jamais l’habitude de marcher seule, et ça lui évitera, pour la même occasion le désagrément de tous ces refoulés sexuel accoudés aux tables des cafés ou faisant tout simplement d’incessants va et vient dans la rue.
La maison était loin de la notre de quelque chose comme 250m, nous avons parcouru le trajet sans presque échanger le moindre mot, ma tête était ailleurs la sienne aussi je pense.
Les images de mon premier et seul rapport sexuel me reviennent, c’était quand j’avais à peine 14 ans lors de mon passage éclaire chez ma famille dans une ville renommée par la prostitution, c’était un quartier dont l’économie était basée essentiellement sur cette activité. En parcourant les ruelles, presque paniqué à l’idée que j’allais avoir mon premier acte, timide et craintif, je n’osais pas aborder moi-même toutes ces femmes en quête d’un potentiel client. C’est là qu’une dame, trois fois mon âge, me fait signe et me dit : « viens », j’ai dis, pour éviter toute surprise : «combien ? » « 5 Dirhams » me répondit-elle, l’équivalent de cinquante Cts d’Euro aujourd’hui.
J’étais pris en charge par celle à qui j’allais offrir ma virginité sans qu’elle le sache, j’allais me déshabiller, elle me dit que ce n’était pas nécessaire et il suffisait de baisser mon pantalon. Le rapport a duré à peine quelques minutes et pendant toute la durée elle n’a fait que me parler de la chaleur et d’autres choses insignifiantes pour moi. En partant j’avais senti un dégoût et voulais à tout prix me laver et vite, mais comment le faire alors que je n’étais pas chez moi. Ca risque d’éveiller le doute. J’ai prétexté vouloir faire la prière, moi qui ne me suis jamais prosterné pour un quelconque dieu, et qu’il me fallait de l’eau chaude pour mes ablutions.

Nous arrivâmes à la maison, mon cœur battait très fort. Elle prépara un thé à la menthe, partie dans la salle de bain et sortit quelque temps après dans une robe de nuit transparente. Elle se baissa sur moi, colla sa bouche sur la mienne et m’embrassa longuement, c’était mon premier baiser. Elle me fît un signe de la tête en me montrant la chambre à coucher.
Mon second rapport était d’une qualité largement meilleure et dans des conditions plus confortables.
Notre relation allait durer ainsi plus d’un an et demi, je lui rendais visite quasi quotidiennement en fonction des heures de travail de son mari.
Tout allait bien entre nous jusqu’au jour au son mari avais pris un jour de repos à son insu et avait fait semblant d’aller travailler avec les même préparatifs comme s’il allait travailler réellement.
A suivre....

PS: cette histoire date de plus de 30 ans.

ouille, tres interessant et ca promet de l'action!
c'est beau la vie a 16 ans! ....

De quelle action tu parles Gerard ? celle qui a precedee ou celle qui ne va pas manquer de suivre ?

Nous étions tous les deux, paniqués(sans jeu de mots), ne sachant quoi faire, Khadija a regardé à travers les volets et vit son mari en discussion avec l’épicier d’en face, on ignorait tout sur ses intentions. J’ai décidé de partir vite mais avant j’ai laissé une issue à Khadija : Soit elle prétend un malaise et attend que son mari défonce la porte et continuer à jouer la comédie, soit elle invente l’histoire de l’intrus qui avait essayé d’ouvrir la porte et prise de panique elle s’était cloîtrée dans la chambre sans savoir que c’était son mari.
Je descends les deux étages en un temps record, sautant les marches par trois. Arrivant à la porte, je vis tonton tourner le dos, accoudé au comptoir de l’épicerie, et suis parti en courant dans le sens inverse.
J’ai appris plus tard qu’il avait téléphoné à la police de chez l’épicier, que la fourgonnette était venue, les policiers avaient défoncé la porte, fouillé la maison partout alors que Khadija avait opté pour l’option malaise. Les policiers avaient conseillé à tonton d’appeler l’ambulance et d’emmener Khadija à l’hôpital. L’état de stress et de terreur de Khadija avait aidé à faire croire qu’elle était réellement prise de malaise.
Cet incident avait gelé nos relations pour quelques temps.
Quelques semaines après, j’ai repris mes visites à Khadija mais je ne me sentais plus à l’aise et ca avait des incidences négatives sur la qualité de nos rapports.
Sous prétexte de travail scolaire intensif qui,exige beaucoup de calme et de sérinité, mes parents m’avaient aménagé une sorte de garçonnière sur la terrasse de la maison, comme ca, j’ai remis la clé à Khadija, la clé de chez elle, et c’est elle qui me rend visite désormais. Je prenais les précautions nécessaires pour qu’elle ne rencontre personne dans les escaliers.
Malheureusement, un jour, en partant, elle croisa mon père devant la maison, celui ci surpris de la voire seule a demandé à ma mère ce qu’elle était venue faire, ma mère lui répondît qu’elle ne l’avait pas vue et commence à se poser des questions. De forts soupçons planèrent sur moi désormais.
On a décidé alors de reprendre les rencontres à nouveau chez elle.
A suivre.....

La maladresse :
Khadija avait, à maintes fois, émis le souhait de passer toute une nuit avec moi. Cela impliquerait que je devais rentrer chez moi à cinq heures du matin, une heure minimum avant l’arrivée du mari. Pour moi, ce n’était pas possible pour deux raisons : Primo je ne me voyais pas dans la rue à des heures pareilles, on ne sait pas ce qu’on peut croiser comme saoulards ou autres délinquants, et secondo, je ne disposais pas des clés de chez moi, et devais impérativement réveiller tout le monde pour rentrer et par la suite rendre des comptes à mon père notamment.
Néanmoins, nous avions tenté quelque chose : Un samedi soir, j’ai accompagné ma sœur au domicile de Khadija pour qu’elle passe la nuit chez elle. Nous étions arrivés un quart d’heures avant que le mari parte au travaille. J’avais prétexté une panne de télé chez moi et que j’étais venu pour suivre un match de foot que la RTM transmettait. J’avais pensé que la présence de ma sœur allait rassurer le vieux, mais c’était sans compter sur sa méfiance. Sans me dire clairement son refus, il commença à faire les cent pas, j’avais l’impression qu’il était en train de chercher un prétexte pour me renvoyer. Il part dans le couloir et d’un seul coup nous étions plongés dans le noir absolu. Il avait baissé le disjoncteur.
« Ah, ils ont encore coupé le courant » dit-il, une lampe de poche allumée à la main. Inutile d’insister, je me suis éclipsé.
Khadija et ma sœur ont passé la nuit dans le noir. Le vieux avait quand même cadenassé la porte.
J'avais l'impression qui j'ai éveillé le soupçon et que la moindre gaffe la fois prochaine me causerait de sérieux ennuis.

La fin d’une histoire :

Le temps est passé, les rencontres se déroulaient convenablement jusqu’au jour où, arrivé devant chez elle, avant d’introduire la clé, j’ai frappé comme à l’accoutumé. La porte s’ouvrit et me voilà accueilli cette fois ci par le mari en chair et en os.
J’étais pris de panique, et l’effet surprise m’a dépossédé de toute faculté d’improviser et de confectionner instantanément un argument qui puisse justifier cette visite insolite.
Il me fit entrer, nous étions tous les trois assis sur le sofa du salon à se regarder en chien de faïence. Un silence de cathédrale pesait lourd. Il fallait que je dise quelque chose, du moins pour justifier cette visite. Au moment où j’allais parler, j’ai regardé tonton, Khadija me fît un clin d’œil et me dit : « Tu n’as pas vu tonton, il était chez vous cette après midi.
Quelques secondes auparavant, j’avais failli dire une grosse connerie aux incalculables conséquences : « Ma mère m’a envoyé pour demander de vos nouvelles »
Ouf.
Juin 1976, je quitte définitivement Casablanca pour mes études universitaires à Paris. J’ai perdu tout contact avec Khadija. J’ai appris qu’un an plus tard, tonton était parti à la retraite. Il avait vendu sa maison et ils prirent une direction inconnue.

Fin.

Ahmed ton recit commence
"Nous étions tous les deux, paniqués(sans jeu de mots), "

si il n'y a pas de jeu de mots , il y a certainement les jeux de l'amour et du hasard.

mdrrrrr