Portrait de Jean-Baptiste Huynh (2006) par Irving Penn
Jean-Baptiste Huynh est né en France, en 1966, de mère française et de père vietnamien. Autodidacte, il apprend les techniques photographiques, d’éclairage et de tirage. L’écriture photographique épurée et intemporelle de Jean-Baptiste Huynh lui permet de décliner son œuvre à travers des sujets et thématiques variés : le portrait, le nu, l’univers minéral ou végétal, ou également les symboles spirituels et œuvres d’art emblématiques.
Les thèmes récurrents de son œuvre sont le regard, l’image de soi, la lumière, l’intemporalité et la relation à l’infini. De 2006 à 2012, il réalise une étude sur la lumière à travers cinq séries : Miroirs (2006), Crépuscules (2007), Feu (2008), Monochrome (2009), Louvre (2011) et Aveugles (2012), rassemblées dans l’ouvrage Lumière qui accompagne l’exposition personnelle que le musée du Louvre lui consacre.
Il conçoit une étude photographique du reflet, Miroirs (2006), Réflection (2014), Miroirs Liquides (2015-2016), troisième volet de cette étude s’attachant à la question d’altérité, d’apparition et d’infini à travers des miroirs au mercure. Son œuvre photographique prend corps dans ses expositions, ses scénographies et ses ouvrages considérés comme partie intégrante de ses projets, expression achevée de sa vision. Il est l’auteur de douze ouvrages personnels.
Lauréat de la Villa Médicis hors les murs, Jean-Baptiste Huynh expose dans différentes galeries et musées à travers le monde.
Bonjour TLM......contente de te lire, Preciosa malgré le grand décalage horaire. Ici il fait de + en + froid!! Normal en novembre. Mais les pluies manquent.
Ce matin je vais visiter l'ancienne école vétérinaire de Lyon qui est désormais un conservatoire de musique. On aura d'ailleurs droit à un petit spectacle de musique. Mon deuxième mari vétérinaire rural a fait ses études dans cette école créée bien avant celle de Paris. Premières césariennes sur les vaches qui a mis fin à la découpe terrible de veaux coincés dans le ventre de leur mère.
250ème anniversaire de l’Ecole vétérinaire de Lyon
Créée par un arrêt du Conseil d'État du Roi du 4 août 1761 à l'initiative de Claude Bourgelat et grâce au soutien de Louis XV, L'École royale vétérinaire de Lyon fut la première école vétérinaire du monde. Elle est considérée comme la grande sœur de l'École d'Alfort fondée en 1765 par Bourgelat et Henri Léonard Jean Baptiste Bertin.
De ces deux écoles, exemples et pionnières dans leur art, sont partis pendant toute la fin du xviiie siècle d'anciens élèves qui firent bâtir eux aussi des écoles et universités vétérinaire en Europe et au Canada.
Dès 1762, Claude Bourgelat envoie des élèves dans le Dauphiné, puis en Auvergne, pour soigner les animaux : ils doivent décrire très précisément les maladies observées. Les épidémies sont enrayées principalement en raison d’une accalmie de la peste bovine. Suite à ces succès, Louis XV, en 1764, attribue à l’Ecole le titre d’Ecole Royale Vétérinaire, ce qui va être une formidable publicité pour Claude Bourgelat ainsi que pour l’Ecole vétérinaire de Lyon.
Sa renommée dépasse alors les frontières. Mais malheureusement, une fois sortis de l’Ecole, les artistes-vétérinaires doivent s’opposer aux charlatans et à leurs méthodes empiriques. En tant qu’élèves, leurs consultations et soins sont gratuits et attirent ainsi les propriétaires d’animaux. Mais une fois à leur compte, le prix de leurs actes étant supérieur à celui des guérisseurs, de nombreux d’artistes-vétérinaires, mal considérés, sont découragés et quittent cette profession. flc
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Bonne fête
Elisabeth
Etymologie de Élisabeth
Élisabeth fait partie des prénoms d’origine hébraïque.
Le prénom hébreu Elisheva signifie « mon Dieu est ma subsistance ».
Les dérivés sont :
Beth, Babette, Bessie, Betsy, Bettina, Elise, Elsa, Else, Elsie, Héloïse, Isabelle, Leslie, Lisbeth, Lise, Sissie
Sainte Elisabeth de Thuringe
Elisabeth de Hongrie, duchesse (✝️ 1231)
Princesse de Hongrie, elle est fiancée à l'âge de quatre ans et mariée à quatorze au Landgrave de Thuringe. Ce sera une épouse aimante pour ce mari qu'elle n'a pas choisi, se parant pour lui faire honneur, alors qu'elle n'aime que la simplicité. Des franciscains venus d'Allemagne lui font connaître l'esprit de saint François et elle se met au service des pauvres et des familles éprouvées par la guerre.
En 1227, son époux tant aimé meurt au moment de s'embarquer pour la croisade. Élisabeth se retrouve veuve à 20 ans, enceinte d'un troisième enfant. Comme on veut la remarier, elle refuse et, pour cette raison, connaît l'injustice de sa famille qui la chasse avec ses trois enfants et l'héberge dans une porcherie. Son oncle l'évêque de Bamberg calme le jeu. Elle peut revêtir l'habit du Tiers-ordre franciscain. La famille ducale se charge des enfants. Elle ne garde pour elle qu'une pauvre demeure et met alors tous ses revenus au service des pauvres. Elle leur fait construire un hôpital.
Joyeuse de tout ce qu'elle devait endurer, elle disait: "Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-il pas me voir joyeuse puisque je l'aime et qu'il m'aime?" Elle meurt à 24 ans ayant voué sa vie et sa santé à rendre heureux les misérables.
Personnalité de Élisabeth
Élisabeth partage la joie comme les douleurs de ses proches. Elle a toujours une pensée pour ceux qui lui sont chers. Élisabeth affiche son plus beau sourire à la simple vue d’une personne l’ayant secouru dans un moment difficile. Si Élisabeth attache autant d’importance au soutien, c’est parce qu’elle se sent vulnérable par moments. Elle est appréciée pour sa générosité et se sent profondément blessée quand elle reçoit de l’ingratitude en retour. Quand elle est déçue par une personne en qui elle croyait, Élisabeth cherchera toujours une épaule pour se consoler.
Élisabeth apprécie l’intimité. Sentimentale, elle est de bon conseil. Derrière cette vulnérabilité se cache une grande douceur d’âme. Élisabeth apprécie plus que tout la sincérité. Elle ne tarde d’ailleurs pas à pardonner à une personne qui lui présente des excuses sincères. Pour autant, Élisabeth ne redonne sa confiance que quand elle sera sûre de ne pas subir de seconde trahison. L’Élisabeth sentimentale pardonne, mais reste lucide. Élisabeth ne supporte pas de voir ses proches malmenés. Face à ce genre de situation, elle ne se contenterait pas de fondre en larmes. Élisabeth prend souvent la défense des personnes vulnérables. Quelque part, Élisabeth se projette dans ces personnes.
Le dicton du 17 novembre :
[b]
À la sainte élizabeth, tout ce qui porte fourrure n'est point bête.
Sainte Elisabeth nous montre quel bonhomme l'hiver sera.
À la mi-novembre passée, il peut venter et neiger à souhait.
Quand il gèle en novembre, adieu l'herbe tendre
[b]Proverbe du jour:
L'or est très bon, mais si tu n'en as pas, que faire ?
Proverbe géorgien ; Les proverbes et adages géorgiens (1956)
Citation du jour:
L'avare n'a ni Dieu, ni femme, ni ami, l'or lui tient lieu de tout.
Citation de William Penn ; Les fruits de l'amour d'un père (1790)
Bon vendredi à tous.....
Laila