UN PHENOMENE DE SOCIETE AU MAROC

L EXPLOITATION DES PETITES BONNES ENCORE DES ENFANTS
POUSSEES PAR LA MISERE ET PLACEES PAR LEURS PARENTS EN VILLE HEZ DES FAMILLES BOURGEOISES ?????POUR UN SALAIRE DE 30 EUROS MAXIMUM PAR MOIS EVIDEMMENT ENCAISSES PAR LE PERE
UN ESCLAVAGE DU 21 EME SIECLE 18 HEURES DE TRAVAIL PAR JOUR COUCHER A LA CUISINE MALTRAITEES HARCELEES SEXUELLEMENT par les adolescents de la maison sinon par le pere de famille
la princesse lalla meryeme la fille ainee DE HASSAN II a pris les choses en main
nombreuses sont les femmes arretees pour sevices envers ces pauvres fillettes

devant ce phenomene dramatique ma memoire fait un retour;

du temps ou les juifs etaient encore ici et par experience a force de les frequenter partager leures joies et leures peines il y avait autant de familles juives que de bonnes et toujours des femmes adultes veuves ou elevant leurs enfants
EN toute serenite

je peux temoigner aujourdhui en connaissance de cause n avoir jamais eu vent ou assiste a une scene ou une famille juive a maltraite une bonne qu on appellait affectivement DADA

BIEN PAYEE BIEN TRAITEE BIEN NOURRIE LES VETEMENTS PORTES DES FOIS UNE FOIS SEULEMENT POUR ELLE ET SES ENFANTS.
BENIS SOIENT NOS JUIFS QUI SANS EUX MOI PERSONNELLLEMENT JE ME SENS AMPUTE D UN DE MES MEMBRES


UNE PHOTO POUR ESSAYER D ENDIGUER CE DRAME
LA MAIRESSE DE MAISON AU MAQUILLAGE ET LA PETITE INNOCENTE A LA CORVEE jamais au grand jamais dans les familles juives marocaines de fillettes mineures sinon accompagnant leures mamans pour gouter aux gateaux EN MEME TEMPS QUE LES enfants de la famille SUR LA MEME TABLE DE LA SALLE A MANGER


AMIS PARLEZ NOUS DE VOS ANCIENNES BONNES FATMA AICHA OU DADA

HASSAN DE MARRAKECH

MAIS OU VA LE MONDE MES AMIS

Douloureux a lire ce genre de situation Hassan, et cela m'attriste de constater combien la misere humaine est exploitee par des personnes peu scrupuleuses qui ne sont nullement culpabilisees par l'age des recrutes. C'est triste vraiment !

Je me souviens moi-meme de ces petites bonnes qui arrivaient tous les jours a la maison et que nous allions parfois meme visiter chez elles lorsqu'elles etaient malades.
Il y en a eu quelques unes chez nous et j'ai du mal a me souvenir du prenom aujourd'hui.
Je sais une chose c'est qu'elles etaient totalement respectees et faisaient parties de notre quotidien.

Voici le lien sur darnna ou nous avons parle quelque peu du sujet.

[www.darnna.com]

au grand jamais, les petites bonnes ou grandes, adultes, toutes étaient considérées comme des soeurs ou des mères. Il y a même des enfants qui ont été très très attachés à leurs petites nounous. A mon époque, nous avions tous une "bonne" qui faisait partie de la maison, et qui avait sa chambre.Certaines faisaient des travaux ménagers, de la cuisine, de la broderie etc...Elles étaient payées et très gâtée en vêtements,nourriture pour leur famille. Elles économisaient leur argent pour acheter des bijoux.En règle générale, la "bonne" qui entrait dans une famille juive n'en sortait que très rarement. Nous avons été élevé par une seule à mazagan et une à casablanca.A mazagan elle était noire et s'appelait MYRIEM. Il faudrait que je retrouve des photos car elle était toujours avec nous, même en pélerinage. Aujourd'hui c'est pareil dans les familles juives qui sont encore à casablanca. La petite de ma cousine ne jure que par sa "bonne"; elle lui est très attachée. J'avoue que je n'aime pas trop le mot "bonne" et que je préfère "nounou"; mais à l'époque nous n'avions pas ce terme. J'en connais même qui sont venues à Paris car elles ne pouvaient pas se passer des enfants qu'elles ont vu naître.......
LOVE

Et certaines ont pleure a chaudes larmes lorsque les familles dans lesquelles elles travaillaient partaient car non seulement elles pleuraient parce qu'attachees a ces familles, mais aussi parce qu'elles perdaient leur travail puisque nous les laissions au chomage et sans autre metier que menagere !

Cher hassan,cette situation est regrettable. On commence, au Maroc, à prendre conscience de ce problème. Un jour, j'ai pu constaté le comportement inhumain d'une mère accompagnant ses deux propres petits enfants et une bonne du même âge, mal habillée et à l'écart. Dans la pâtisserie, la mère a acheté des viennoiseries pour ses efants sans en acheter une pour la fillette. Ce gateau ne dépasse pas 3,50 dirhams à casablanca.
Le coeur bon est une richesse infinie et secrète que seul Dieu peut donner à un être humain. Celui qui en est privé doit être bien malheureux au fond de lui même!...
J'espère vivement que des lois sévères voient le jour pour punir ceux qui font travailler et exploiter des petites filles innocentes.

mus laaziz
je comprends ta compassion tu es n homme ou une femme honete
comme toi j ai vecu une multitude de cas pareils
un jour 90 OU 92 J ETAIS COMME J AIME CHINER AU SOUK EL KHEMIS A MARRAKECH l equivalent du marche aux puces de paris les darnnois marrakchis connaissent
midi, un petit creux et je m attables dans une gargotte vraiment bas de gamme
je commandes des brochettes
le petit gard un petit bout de choux de 6 /7 ANS QUI ATTISAIT LE FEU DU MEJMAR BARBECUE AVAIT UN PONTALON DECHIRE ET LES PETITES FESSES EN L AIR EN PLEIN FROID DE FEVRIER A MARRAKECH

JE ME LEVES 1O METRES PLUS LOIN J ACHETE UN PETIT PONTALON UNE PAIRE D ESPADRILLES UN PULL EN FRIPERIE LE TOUT POUR 20 DH 2 EUROS
JE REVIENS J HABILLES MOI MEME LE PETIT GARCON QUI ETAIT AUX ANGES JE ME TOURNES VERS LE PATRON QUI L EMPLOIE ET LUI CRACHE A LA FIGURE

"hchouma aalik" honte a toi tu n as pas d enfants pour traiter ce pauvre innocent de la sorte TFOUUUUUUUU ALIK A LAHMAR b'crache au visage
TOUS LES CLIENTS dE LA GARGOTTE ONT APPLAUDIT
oui mais une goutte d eau dans la mer HELAS

HASSAN

Bravoooo Hassan !!! Pour une bonne lecon, s'en etait une que tu donnais a ce patron !
Mais je pense qu'il ne s'en rendait meme pas compte lui-meme de la pauvrete de son petit-enfant employe !
Le probleme c'est l'analphabetisme dans ces regions et le fait qu'au Maroc, il n'y a pas encore de lois interdisant aux enfants de travailler au lieu d'aller a l'ecole. Et meme si certaines reglementations existent, il est difficile de les appliquer faute de moyens et de financement.
C'est lamentable et triste !

JE NE SAIS COMMENT ETAIENT TRAITEE LES FEMMES DE MENAGE ARABES DANS LES AUTRES FAMILLES JUIVES DU MAROC !! MAIS CHEZ MES ONCLES A RABAT J'AI GRANDI EN COMPAGNIE DE TOUTE UNE FAMILLE DONT JE NE ME SOUVIENS PAS EXACTEMENT DU NOM DE FAMILLE , JE NE L'AI JAMAIS SU D'AILLEURS !!

BREF

MAHJOUB LE PERE , AVAIT TRAVAILLE AU MAGASIN DE MON ONCLE DEPUIS SA JEUNESSE , IL ETAIT AUSSI MOHASNI DU SULTAN ( MOHAMMED CINQ ) ,PENDANT LA GUERRE IL M'ACCOMPAGNAIT A L'ECOLE !

LA MERE HADIJA , TRAVAILLAIT A LA MAISON ( CHEZ MA TANTE) ELLE S'OCCUPAIT DE LA LESSIVE ET DU MENAGE ,ELLE AIDAIT MA TANTE A LA CUISINE ET AVAIT APPRIS A CUISINER" CACHER " , A PESSAH ELLE MANGEAIT AVEC NOUS DES GALETTES , LE JOUR DE KIPOUR ELLE ETAIT EN CONGE , ET PRENAIT SES VACANCES A L'EPOQUE DU RAMMADAN !!ET DE GHID EL KEBIR!!

ELLE AVAIT DEUX ENFANTS , UN GARCON ET UNE FILLE , QUE MES ONCLES AIDERENT A SE MARIER PAR LA SUITE.

MAHJOUB ET HADIJA HABITAIENT AU MECHOUAR ,UN QUARTIER RESERVE AUX GARDES ET MOHASNIS DU SULTAN .

ENSUITE ILS ETAIENT VENU HABITER DANS LA FERME QUE MON ONCLE AVAIT DANS LA REGION DE RABAT.

EN FAIT , JE LES AVAIS TOUJOURS CONSIDERES COMME DES GRANDS PARENTS , LEURS FAISANT DES CONFIDENCES BIEN PERSONELLES.

PUIS QUITTANT RABAT , NOUS AVONS ETE HABITER TANGER ,LA VILLE NATALE DE MES PARENTS.
ENTRETEMPS NOUS AVIONS APPRIS LE DECES DE MAHJOUB , ET SON EPOUSE ALLA HABITER CHEZ SA FILLE , DEJA BIEN MARIEE .

C'EST AINSI QUE NOUS AVIONS PERDU LE CONTACT AVEC CETTE FAMILLE.

A TANGER MES ONCLES AVAIENT CONTRACTE UNE JEUNE MUSULMANE, AICHA , QUI NE FAISAIT QUE LE MENAGE CHEZ MA TANTE , UNE TRES JOLIE JEUNE TANGEROISE TRES SYMPA !! DU MEME AGE QUE MOI !! MAIS C'ETAIT DU "TABOU" !!EVIDEMENT ..

JH.COHEN