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Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 16 juillet 2012 : 11:12

La commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' débute à Drancy

Sur les 13 152 personnes arrêtées par la police française lors de ce qui fut la plus grande rafle de juifs en France sous l'Occupation, 8 160 furent enfermées au Vélodrome d'Hiver, dans le 15e arrondissement de Paris. Retenus dans des conditions inhumaines pendant quatre jours, 1 129 hommes, 2 916 femmes et 4 115 enfants furent entassés sur les gradins de ce stade voué aux courses cyclistes, avant d'être emmenés dans les camps de Beaune-la-Rolande et Pithiviers (Loiret). Là, quelque 3 000 enfants en bas âge furent brutalement séparés de leurs parents, et déportés les premiers vers Auschwitz via Drancy.





Sarah Montard, 84 ans, l'une des survivantes de la rafle du Vel d'Hiv, montre son tatouage d'identification au camp de Birkenau, le 5 juillet à Tremblay-sur-Mauldre, en région parisienne. | AFP/MEHDI FEDOUACH




Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2012 : 01:06


Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2012 : 10:00

..s.ET LA FRANCE PERDIT CE QUI LUI RESTAIT D'HONNEUR : A propos de la Rafle du Vel d'Hiv , ce qui peut surprendre le plus de nos jours , c'est la méconnaissance grandissante de l'évènement de la part du contemporain . Cette attitude fut voulue , et dès l'installation du Gouvernement Provisoire de la République en 1944 . A De Gaulle , pour sa grandeur propre , il fallait une France sans tâche et reconc...iliée : l'Allemagne et quelques responsables de Vichy seraient toujours là pour payer l'ardoise . Il me souvient de mon enfance avec quelle rapidité et quel flou les manuels de notre école primaire traitèrent la période...Il était vrai que comment glorifier Verdun si c'était pour dans la foulée flêtrir l'image de son vainqueur?...Fidèle à une bien mauvaise mentalité en voie de développement général , la République écrasa l'affaire sous un bloc de non-dits , ce fut tellement pratique pour tant de gens de tous bords . Le Vel d'Hiv ? Connais pas...il en sera de même un peu plus tard avec la rue d'Isly . On nous répètera que la France était sous la botte allemande , secondée par les traîtres de Vichy , et qu'elle ne put rien faire...Et les cinquantaine policiers et gendarmes qui se rebiffèrent et choisirent une grandeur bien souvent anonyme au déshonneur sur leurs personnes et leur Nation ? Ce que cinquante ont fait , des centaines , des milliers sinon des millions auraient pu mieux le faire encore...Ils n'ont pas pu , pas su...Non ! Ils n'ont surtout pas voulu...Prenant par la suite toutes ses responsabilités dans l'édification d'un scenario de l'horreur , l'Allemagne a su se grandir et mériter sa rédemption . La France n'a jamais bougé , se cachant des décades derrière le double paravent d'une déroute militaire et d'un vieux despote . La France du Vel d'Hiv nous fit perdre alors le peu d'Honneur qui était encore le notre...Et nous n'avons depuis jamais eu le courage ni l'humanité d'affronter le Tribunal de l'Histoire , pas plus que celui des hommes . Mais personne n'échappe à celui de Dieu : depuis le Vel d'Hiv , nous , les français , nous sommes maudits .

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2012 : 12:14

Admirables et poignantes paroles de Jean Ferrat et non moins admirables paroles que tu nous transmets ci-dessus, Dani.

Terrible realite qui sans une prise de conscience et enseignements educatifs condamnent les hommes a reproduire ces horreurs.

Tristes politiciens manipulateurs !!

La rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2012 : 13:21

Je connaissais Menahem Mecina pour l'avoir lu pendant longtemps lorsqu'il ecrivait pour l'UPJF (et a present sur [www.debriefing.org] ) mais je ne connaissais pas son histoire personnelle et ce temoignage emouvant.

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Juillet 1942 - Juillet 1972: Un Goy est mort à Yad Vashem, Menahem (ex-Robert) Macina

12/03/2009

C'est un incident récent qui m'a poussé à remettre en course ce texte très personnel. Je veux parler de l'annonce selon laquelle le pape Benoît XVI ne visitera pas les salles du Mémorial de Yad Vashem [*]. Motif: il est offusqué par le texte critique de l'attitude de Pie XII durant la Shoah, apposé sur la photo de ce pape, dans l'une des salles de Yad Vashem. J'ai mis en couleur lilas, ci-après, ce que le pape ne verra pas, et qu'il eût fallu qu'il voie pour comprendre un tant soit peu la sensibilité juive à tout ce qui lui paraît nier ou porter atteinte à la légitimité du regroupement sur la terre d'Israël d'un tiers de ses membres, dont la moindre action qui n'a pas le heur de plaire à ses ennemis fait les gorges chaudes des nations. (Menahem Macina)

[*] Voir: "Pas de visite de Benoît XVI à Yad Vashem, à cause d'une photo dont la légende accuse Pie XII".


Juillet 1942

Ce soir, j'ai du mal à m'endormir. Une scène me revient avec insistance. Elle remonte au sinistre coup de filet lancé, en juillet 1942, par le gouvernement collaborationniste de Vichy, et auquel la rumeur populaire a donné un nom infamant : la rafle du "Vel-d'Hiv'".




Par un petit matin de l'été 1942, des agents de police sont venus chercher les Rosenbaum, en leur qualité de Juifs polonais. Monsieur Rosenbaum, toujours malade, ne sortait presque jamais de l'appartement. Sa femme tenait, en bas de chez nous, une petite blanchisserie qui sentait bon le linge propre, et à laquelle le jacassement permanent des lingères conférait des allures de lavoir de campagne.

Et voilà que, ce matin-là, on était venu emmener "les Juifs" de mon immeuble. C'était sans doute pour sauvegarder la paix des autres Français qu'ils avaient l'ordre de rafler les Juifs, ces deux agents à pèlerine bleue et képi familier: "gardiens de la paix", comme on les appelait alors.

«Ordre de transfert» était-il écrit sur le papier officiel qu'ils avaient tendu à madame Rosenbaum, haletante et en chemise de nuit, sur le palier.




Moi, j'étais complètement réveillé. En tendant un peu l'oreille, je pouvais suivre toutes les phases du drame qui se jouait, en cet instant, juste au-dessus de ma tête. Il y avait eu des trots désordonnés, quelques bruits mous, deux ou trois phrases aiguës. Puis, monsieur Rosenbaum s'était à moitié étouffé dans une quinte de toux plus interminable que jamais. Enfin, un silence pesant s'était établi, bientôt rompu par la voix rassurante des agents :

– Ce n'est rien, ma bonne dame. Suivez-nous. Tout se passera bien, vous verrez. Il ne vous arrivera rien de fâcheux, au contraire. On vous emmène au Vélodrome d'Hiver. Vous y retrouverez de nombreux congénères qui attendent, comme vous, d'être transférés. Ayez confiance, vous reviendrez bientôt : c'est moi qui vous le dis!

Ma mère était déjà debout et se faisait un café. J'ouvris timidement la porte. Elle me fusilla du regard :

– Qu'est-ce que tu veux, toi, à cette heure-ci ?.

J'avais envie de savoir. Je ne me souviens plus très bien des détails du dialogue. C'était à peu près quelque chose comme cela :

– Pourquoi qu'on les emmène?

– Parce qu'ils sont Juifs.

– Ah !. Et qu'est-ce qu'ils ont fait de mal, les Juifs?

– Mais rien, voyons!

– Ben alors, pourquoi qu'on les emmène?

– Est-ce que je sais, moi ?. Allez, ça suffit comme ça, maintenant, va te coucher. Cela vaudra mieux que de poser des questions idiotes !...

* * *


Juillet 1972

Ces «questions idiotes», il m'en a pris longtemps pour y répondre, à ma manière.

............................

Par une journée accablante de l'été 1972, je suis au garde-à-vous dans l'ombre fraîche du Musée du Souvenir de Jérusalem, un lieu solennel et poignant qui a nom Yad Vashem, ce qui signifie à peu près «mémorial».

La «Salle du Souvenir» est un bloc architectural, strict et sans emphase. Les murs sont de pierres brutes : la pierre sans grâce de ce rude pays. Le plafond est une immense dalle rectiligne, toute d'un bloc. Une sorte de plate-forme, au sol nu et patiné, légèrement surélevée et délimitée par une lourde chaîne de métal noir, accueille les visiteurs. Elle surplombe le dallage sans fin de la Salle du Souvenir, où brûle une flamme perpétuelle.




Ici, pas d'ex-voto : la liste des disparus est par trop démesurée. Seuls figurent, cloués au pilori du sol juif, offerts pour toujours aux regards accusateurs des survivants et des visiteurs, les noms infâmes des lieux sanglants, couchés là, en lettres énormes, catalogue-témoin pétrifié du crime le plus exorbitant de l'histoire des hommes : Maïdanek, Auschwitz, Dachau, Mauthausen. Litanie blasphématoire!.

Je suis seul avec le feu qui se tord, là-bas, dans son âtre aux flammes de bronze fauve, figées pour l'éternité. Et je pleure, comme si tous les miens gisaient ici. Je pleure sans ostentation, sans désespoir non plus, mais pas machinalement, ni sous le coup d'une émotion d'emprunt. Je n'essaie même pas d'analyser ce qui se passe en moi : c'est par trop incompréhensible!.

De ce crève-cœur, je continue vers l'intérieur du musée de l'Holocauste, dont la devise est : «Pardonne, mais n'oublie pas ! »; et j'entame, derrière les morts, à près d'une génération de distance historique, le long chemin de croix documentaire.

On a reconstitué, pour le visiteur, les étroits boyaux des égouts du Ghetto de Varsovie. Atmosphère lugubre. Impression d'étouffement. J'ose à peine regarder dans les yeux les cadavres vivants des défenseurs, dont les photos murales retracent l'héroïque épopée.

Je débouche maintenant dans une salle qui me paraît immense, au sortir de ce souterrain. Je respire avec soulagement : enfin un répit....

Erreur : je retombe en enfer. Une débauche d'images dantesques assaillent ma conscience effarée : l'histoire de l'Holocauste, en clichés noir et blanc, agrandis aux dimensions de l'horreur :




Les Juifs meurent : dans les rues du ghetto, pendus aux gibets, éventrés dans leurs lits, brûlés dans leurs synagogues, affamés dans les camps d'extermination.

Les Juifs sont battus : dans les rues de Berlin, par une foule abjecte. Dans la cour d'un stalag, par des tortionnaires sadiques.

Les Juifs sont avilis : ils lavent une rue au savon, moqués par une populace hilare, sous la surveillance de ravissants adolescents ariens, aux yeux impitoyables d'anges de la mort.





Des nazis coupent, en riant, la barbe et les papillotes d'un Juif observant.






Une famille juive déshabillée, hébétée, se laisse photographier, avant de tomber sous les balles de ses sadiques assassins.







C'est horrible! Je ne devrais pas continuer à regarder cela. Je me fais l'effet d'être un sale voyeur. J'ai honte de moi. J'ai honte pour l'humanité...

Je n'ai pas terminé la visite. À la fin, j'ai flanché. Ce sont les charniers qui m'ont achevé, et surtout les deux squelettes à demi calcinés, trouvés par les premiers libérateurs dans la bouche du crématoire encore tiède.

Et c'est presque en courant que je me suis réfugié dans la salle attenante. Là, je me sens mieux, je respire un air qui me semble humain.

..........................................

Dans le corridor, non loin de la sortie, un homme est assis, devant une table encombrée de prospectus : c'est le préposé à la documentation des visiteurs. Il a lu le chagrin dans mes yeux rougis. Il me sourit avec chaleur et, en anglais, me demande d'où je suis. Je murmure, d'une voix que je m'étonne d'entendre étranglée : «France».

– N'ayez plus de peine, prononce-t-il, dans un français impeccable, il n'y aura plus d'Holocauste! Ceux-là nous ont frayé le chemin du retour. Nous sommes sur notre terre, à présent, et aucune force au monde ne pourra nous en arracher. Le temps des larmes est passé : il faut bâtir Israël!

L'homme s'est arrêté, un peu gêné de sa grandiloquence. Il me sourit à nouveau, et moi je n'en finis pas de regarder le numéro, là, sur son avant-bras gauche. Et je songe, en contemplant ses yeux bleus et son nez rectiligne de pur aryen, que, si j'avais croisé dans la rue ce sexagénaire placide, je n'aurais su distinguer ni le Juif, ni l'ancien déporté. Un homme comme les autres, somme toute, apparemment sans histoires, et pourtant.

Le préposé s'est repris. Il m'arrache à ma rêverie en me remettant quelques prospectus :
– C'est la première fois que vous venez en Israël?

– Oui, la première fois.
Il hésite :
– Touriste ?
Je rougis légèrement et fais un signe d'assentiment. L'homme me fixe intensément :
– Ce pays est le vôtre, il vous attend, il a besoin de vous. Soyez un homme : restez avec nous !...
Un instant, m'effleure le désir de le détromper, d'avouer que je ne suis pas Juif, hélas!. Mais je n'en ai pas le courage. Je lui serre la main, avec effusion, et m'engouffre dans l'escalier, en marmonant :
– J'y songerai!
Et je m'enfuis de là, tel un malfaiteur,
solidairement et comme génétiquement coupable
des horreurs que je venais de voir, et touché de plein fouet
par le boomerang de la honte et de la culpabilité collectives.

Et alors que je cherchais désespérément comment réparer,
à mon infime niveau personnel, l'énormité de ce crime,
et l'abîme du silence qui l'avait accompagné et se prolongeait encore,

j'ai compris que la Shoah était irréparable...


Ce jour-là, un Goy est mort à Yad Vashem



© Menahem [ex-Robert] Macina

[www.debriefing.org]




La rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 22 juillet 2012 : 21:22


Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 08:50

D'un Vél' d'Hiv' à l'autre




Pour une fois, François Hollande n'a pas inscrit ses pas dans ceux de François Mitterrand, mais dans ceux de Jacques Chirac. Rien à voir avec une complicité corrézienne, dont la rencontre samedi entre les deux présidents a souligné la persistance. Si François Hollande a salué hier « le grand mérite de Jacques Chirac », c'était pour mieux reprendre ses mots à propos de la rafle du Vél' d'Hiv' et de la responsabilité de la France vichyste dans la déportation des juifs. En l'occurrence, les filiations et les oppositions épousent moins les clivages politiques que les différences de générations.

En refusant, jusqu'à son dernier souffle, de reconnaître la responsabilité de la France dans les crimes de Vichy, François Mitterrand se plaçait dans la droite ligne de celui dont il fut pourtant le plus farouche adversaire : le général de Gaulle. De Gaulle pour qui la France et la République se trouvaient entre 1940 et 1944 avec lui à Londres ou à Alger, et non sur les bords de l'Allier ou dans la capitale occupée.

Il revenait à un président gaulliste, Jacques Chirac, de rompre avec ce dogme en reconnaissant la responsabilité de la France en tant que telle dans l'abomination vichyste. Ce fut, le 16 juillet 1995, le fameux discours du Vél' d'Hiv' qui marqua comme un acte fondateur le septennat chiraquien. Dix-sept ans plus tard, celui qui fut un temps l'un de ses plus cruels contempteurs (au temps de la cohabitation avec Jospin), François Hollande, dénonce à son tour « un crime commis en France par la France ». C'est que de Gaulle et Mitterrand avaient tous deux connu la guerre et la Résistance. Chirac était trop jeune et Hollande est né bien après. Le besoin de mythe a fait place au devoir de vérité. La légende qu'il fallait écrire pour rassembler les Français après les heures sombres de l'Occupation pouvait s'estomper au profit d'une analyse historique et politique plus lucide.

Entre ces deux discours du Vél' d'Hiv', l'actualité a suivi son cours, parfois tragique. L'antisémitisme s'est de nouveau manifesté, de manière parfois violente. L'assassinat d'Ilan Halimi il y a sept ans, les crimes de Mohamed Merah en mars dernier, mais aussi des profanations de sépultures et des attentats contre des synagogues sont venus nous rappeler que la bête immonde n'est jamais tout à fait morte. Car, s'il a changé de terreau pour prospérer sur celui du conflit israélo-arabe, l'antisémitisme garde toujours le même visage : celui de la bêtise et de la haine.

BRUNO DIVE

[www.sudouest.fr]

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 10:52

Les phrases enoncees avec la mine attristée ne servent qu'à pratiquer la pêche aux voix des futures elections.Cependant que les mêmes hypocrites
autorisant dans tous les festivals de l'été les productions de films et
de spectacles contre Israel et Tsahal,comme en Avignon,sous pretexte d'une liberté d'expression qui n'est que la promotion d'une propagande outrancière de la violence contre les Juifs.Les grandes declarations du ministre Valls n'ont aucune suite sur les decisions d'une justice largement infiltée par une gauche acquise à la cause arabe.
Hollande comme Chirac a la hantise de l'exode des Juifs de France qui en plus des mesures fiscales confiscatoire subissent au quotidien les agressions des excités arabes.
Et pour tenter de desamorcer ce risque ils promettent à Bruel-Benguigui des exemptions pour l'encourager à prouver son patriotisme fiscal pathetique ,quand on connait la source de ses revenus.

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: lionel (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 11:28

Tu es très négatif, Gilou. Je trouve cela dommage, ceci dit en toute estime pour toi.

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 11:43

Tu as raison ,negatif mais lucide,cher Lionel, Hollande aurait dû invoquer ce que le president du Crif a fait à sa place,les milliers de Français qui ont risqué leurs vies pour sauver des milliers de leurs compatriotes juifs
en ajoutant une phrase admirable "tout le peuple français peut être considéré comme Juste parmi les nations".Car un seul anonyme sauve l'humanité,et non le contraire.

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 13:36

Je te suggère Lionel d'écouter ce qu'a dit Guaino sur BFM,la France de Hollande ,celle qui a commis les abominations nombreuses ,pas seulememt contre les Juifs,n'est pas ma France,celle de DE Gaulle et des resistants,la seule et vraie France,est la seule qui restera dans l'histoire de l'honneur,et cette France ,Hollande a omis de la citer.

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 23 juillet 2012 : 14:26

Si je peux me permettre d'intervenir, et sans vouloir en incriminer Francois Hollande, ce qui serait absurde, son pere, Georges Gustave Hollande, a ete pendant un temps une figure d'une liste d'extreme droite et il était proche du nationaliste Jean-Louis Tixier-Vignancour et l’Organisation armée secrète (OAS)..
Ceci est revele par Alexandre Jardin dans son livre "Des gens tres bien". Je suppose que c'est une des raisons pour lesquelles Francois Hollande a choisi de s'exprimer ainsi.

Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 01 août 2012 : 10:51

Chirac est un maître en hypocrisie et son discours sur la responsabilité de la France est le contraire de ce qu'il pense comme beaucoup d'autres de ses affirmations contraires en realité à ses convictins intimes.
La veuve ( joyeuse !) du sinistre Arafat vient de declarer - je cite le Figaro:
"À l’époque, le président de la République, Jacques Chirac, m’appelait chaque jour sur mon portable pour avoir des nouvelles. Les trois premiers jours, je lui passais Arafat ; ensuite, il est tombé dans le coma, mais le président Chirac continuait de m’appeler. Il avait une relation particulière avec Yasser Arafat."
Sans commentaires




Commémoration des 70 ans de la rafle du Vel' d'Hiv' à Drancy
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 01 août 2012 : 14:43

Oui gilou, chirac était un faux-cul, un hypocrite, et sa relation avec la veuve joyeuse était à des fins de la sauter mais hélas pour lui le viagra ne faisant aucun effet a dû se rendre à l'évidence et arrêter tout contact avec cette veuve d'escroc.
J'ajouterai qu'aujourd'hui Chirac est devenu GAGA comme Lady Gaga*%(






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