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Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: maha (IP enregistrè)
Date: 11 février 2010 : 17:51

je n'ai jamais deteste le pays des autres...
c'est quoi l'affaire de l'olp?

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: maha (IP enregistrè)
Date: 11 février 2010 : 17:51

mais si il y a histoire vulgaire, jene veux pas savoir.

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: Charly Chichportiche (IP enregistrè)
Date: 11 février 2010 : 18:36

MAHA j'espère pour toi que tu souffres plus de désinformation que de mauvaise foi ! : une opération militaire qui a pour but de mettre fin aux tirs de roquettes Katioucha et autres sur la population civile de nos villes du nord- en matière de droit international - c'est de la légitime défense !
la preuve : le hizbollah est calme...nous n'attaquons pas = l'équation est très simple !


Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 11 février 2010 : 23:11

UN MEURTRE A ETE COMMIS PAR UN POLICIER PALESTINIEN SUR LA PERSONNE DU SOUS OFFICIER DRUZE QUI EST DECEDE SUR LA ROUTE QUI LE MENE A L'HOPITAL
A la suite du crime terroriste qui a frappé à nouveau la communauté druze d’Israël, avec le meurtre, mercredi 10 février 2010, du sous-officier de carrière Ihab Chattib, nous reproduisons un article de Libération du 3 février 2009, qui évoque l’engagement des druzes en faveur de leur Etat, Israël :

«C’est moi, Yossi ! Le Druze qui sera bientôt officier dans les Golanis !»Youssef Muadi, 19 ans, avait passé la plus grande partie de la nuit du 2 au 3 janvier à faire le pitre et à chanter à tue-tête une chanson de son cru pour remonter le moral de ses camarades des troupes d’élite de l’armée israélienne. Nombre de jeunes conscrits de son unité, stationnés à la lisière de la bande de Gaza, n’en menaient pas large, quelques heures avant de pénétrer dans le territoire palestinien. C’est du moins le récit qu’ils en ont fait ensuite à Wafa, la mère de Youssef. Car le jeune homme a été tué deux jours plus tard dans la Bande.

Sur les dix soldats de Tsahal morts lors de l’opération «Plomb durci», deux sont des Druzes. Parlant l’arabe, professant une foi issue d’un islam très hétérodoxe, les Druzes sont environ 120 000 en Israël, un Etat dont ils sont citoyens à part entière (lire ci-contre). Contrairement aux Arabes israéliens, ils sont soumis, comme les Juifs, au service militaire obligatoire. Ils sont nombreux parmi les soldats de carrière et les forces de police. C’est souvent, pour eux, un moyen de promotion sociale.

Dans son modeste appartement de Haïfa, Wafa, la voix brisée, raconte : «C’était un rigolard, toujours enjoué, toujours à faire des blagues. Tout le monde l’aimait.» «Yossi aimait la vie, les filles, ses amis, le surf et la capoeira», ajoute son père, Samir. Une photo du jeune homme, look branché et yeux malicieux, a été accrochée sur le mur, au milieu du salon, avec la date de sa mort, le 5 janvier 2009. Youssef a été tué avec deux autres soldats de la brigade des Golanis, une unité d’infanterie réputée de Tsahal, lors d’un tir fratricide. Un char israélien a tiré sur une maison abandonnée dans le camp de réfugiés de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, ne sachant pas que des soldats se trouvaient à l’intérieur. «Au moment de l’explosion il s’est jeté sur son officier pour le protéger. Son officier l’adorait, il l’avait pris sous son aile. Il a été grièvement blessé dans l’explosion et m’a appelé de l’hôpital pour me dire que s’il avait un garçon, il l’appellerait Yossi», raconte Samir, utilisant le diminutif hébreu pour désigner son fils.

Un pacte scellé en 1929

Lorsqu’il a été envoyé à Gaza, le jeune homme avait entamé, depuis neuf mois, son service militaire obligatoire de trois ans. Il voulait absolument servir dans les Golanis, comme son père l’avait fait avant lui. «Depuis l’âge de 15 ans, c’était son rêve», raconte Wafa, qui est institutrice dans une petite ville druze voisine de Haïfa. Son père est d’ailleurs intervenu auprès d’une connaissance, un colonel druze. «Quand il revenait en permission à la maison, il faisait la tournée de ses copains jobnikim [le surnom donné aux jeunes effectuant leur service militaire dans des unités non combattantes, ndlr] et il se moquait d’eux. Dans le bus, en route pour Gaza, il m’a appelé et m’a dit : "Papa, si je ne fais pas le boulot, qui le fera ?"», se souvient Samir.

«Nous sommes Israéliens. Israël est notre pays. L’identité druze est une appartenance individuelle, mais notre identité collective, c’est d’être Israéliens. C’est une tradition chez les Druzes d’être fidèles au pays dans lequel ils vivent», explique son épouse. Le plus jeune fils Muadi, Amir, 14 ans, a ainsi remporté il y a deux ans un concours national testant les connaissances des jeunes sur l’histoire de Jérusalem, devançant des centaines de candidats juifs. Samir travaille pour le gouvernement israélien comme coordinateur agricole avec l’Autorité palestinienne. Bien qu’arabe, il a adopté la ligne officielle de la majorité juive sur la lutte contre le terrorisme. «Nous ne nous battons pas contre le peuple palestinien, pas même contre l’Autorité palestinienne, mais contre des organisations fondamentalistes qui ne veulent pas de nous ici», estime-t-il, en faisant référence au but déclaré du Hamas de détruire l’Etat d’Israël.

Youssef a été enterré à Yirka, dans le nord du pays, le foyer des Muadi - l’une des plus grandes familles druzes d’Israël. Construite il y a plus de trois siècles, la maison familiale y est toujours. «L’histoire de la famille est indissociable de celle d’Israël», explique Samir. L’arrière-grand-père de Youssef, Said Muadi, était ainsi l’un des leaders politiques de la communauté. En 1929, il signe un accord avec les responsables sionistes, marquant le début de l’alliance entre Druzes et Juifs contre la majorité arabo-musulmane de l’époque. Au moment de la création de l’Etat, en 1948, le Premier ministre David Ben Gourion a même rencontré les patriarches de la famille Muadi, raconte Samir avec fierté.

«Israéliens de sang»

A quelques kilomètres de Haïfa, dans le bourg druze de Daliat-al-Carmel, la vaste maison des Nasereldin bruisse des conversations chuchotées entre des membres de la famille et des amis venus présenter leurs condoléances suite à la mort de Lutfi. Officier de carrière âgé de 38 ans, il est le premier soldat israélien tué à Gaza, par un tir de mortier, au deuxième jour de l’offensive, le 29 décembre. Les doyennes de la famille, revêtues de la tenue traditionnelle de deuil, robes amples noires et foulards blancs, sont assises dans une pièce séparée, avec les enfants. Elles servent du thé à la menthe et du café turc aux visiteurs. Les hommes siègent dans de larges fauteuils alignés le long du mur d’un salon ovale. Le père de Lutfi, Wajiya, 64 ans, est assis à côté d’une photo de son fils, en uniforme, placée sur une table basse à côté d’un bouquet de fleurs séchées. L’imposant sexagénaire, qui parle d’une voix basse et retenue, est peu prolixe sur la personnalité de Lutfi. Il répète cependant à plusieurs reprises qu’il est très fier que son fils ait été tué en «défendant les localités israéliennes proches de la bande de Gaza qui ont souffert pendant huit ans des tirs palestiniens». «Nous sommes partie intégrante de l’Etat d’Israël, c’est notre pays, nous devons le défendre. Il n’y a pas de différence entre nous et les Juifs. D’ailleurs, ils ne cessent de venir nous voir pour nous présenter leurs condoléances», explique Wajiya, président du mémorial des soldats druzes tués au combat pour la région du Carmel et de la Galilée.

Quelques jours après la mort de Lutfi, le président israélien, Shimon Peres, s’est rendu au domicile des Nasereldin. «Israël est fier de ses Druzes. Vous êtes des gens de paix qui savent aussi être des combattants courageux en temps de guerre», a dit le Président au grand-père de Lutfi, Amal, qui fut député du Likoud (droite) à la Knesset entre 1977 et 1988. Lutfi portait le prénom d’un de ses oncles, lui aussi officier de carrière, tué dans une opération militaire en 1969. Le service dans l’armée ou dans la police est une tradition familiale chez les Nasereldin. Une photo en noir et blanc de Wajiya, longues moustaches et uniforme, est accrochée dans l’entrée, souvenir de ses quinze années de service comme officier dans la police. Un de ses deux fils encore vivants, Shadi, 36 ans, a lui aussi fait carrière dans l’armée, dans une fonction qu’il préfère tenir secrète.

«Même si notre langue maternelle est l’arabe, nous sommes exactement comme les Juifs, nous sommes Israéliens de sang, nous nous sentons très bien ici, en Israël. C’est notre pays», assure Hanan, la veuve de Lutfi, qui tient leur fille Asul, 5 ans, sur ses genoux. «Il y a deux ans, se souvient-elle, Lutfi avait été très fier de représenter l’unité des Golanis pendant la cérémonie du jour de l’indépendance [marquant chaque année l’anniversaire de la déclaration d’indépendance de l’Etat d’Israël le 14 mai 1948, ndlr], c’est lui qui tenait le drapeau de la brigade.»

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 12 février 2010 : 11:21

Citation:
maha
mais si il y a histoire vulgaire, jene veux pas savoir.

Ne fais pas l'autruche MAHA, car tu sais répondre quand ça t'arrange.
L'histoire de l'O.L.P. (organisation terroriste de libération de la Palestine) tu peux la visionner sur YOUTuBE et voir le ministre de Abou Mazzen les fesses à l'air frais dans le lit d'une femme,attendant qu'elle vienne assouvir ses désirs et manque de chance ce sont des policiers en civil.
Et tout l'argent détourné tu te voileras la face?

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: maha (IP enregistrè)
Date: 12 février 2010 : 20:50

tu n'as pas a preciser, lol, il a ce qu'il merite, je vous avait dit la premiere fois que vous avez parle de lui que c'etait un voleur.
pourquoi veux-tu que je me caches le visage?ces choses ne m'interessent pas, un point c tout.mais il merite ce qu'il a.voila!
en plus, tu retiens de ce que je dis ce qui te conviens et tu en oublies d'autres?cool...cette strategie.

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 12 mai 2010 : 15:20

Il est "indubitable" que "l'aviation israélienne a amélioré ses capacités de ravitaillement en vol et l'étendue de son champ d'action ainsi que la précision de ses renseignements et de sa puissance de frappe" a estimé le vice-Premier ministre Moshé Yaalon lundi 10 mai. Pour commenter ces propos et l’efficacité des services de renseignements, Guysen recevait hier le journaliste de Slate.fr Jacques Bennilouche.


"Une armée sans agents secrets est un homme sans yeux ni oreilles", disait le stratège chinois Sun Tzu, auteur de l’Art de la guerre publié au VIe siècle av. J.-C. Les espions sont le nerf de la guerre, surtout pour les petits pays comme Israël qui doivent compenser leur manque d’effectif militaire par des stratégies rusées et habiles.

La "Guerre des 6 jours" gagnée grâce aux services de renseignement

La "Guerre des 6 jours" de 1967 a été gagnée contre les rivaux égyptiens en particulier grâce à l’action méticuleuse des services de renseignements. Les Services secrets israéliens connaissaient l’horaire de la relève de la garde des aviateurs égyptiens. Cette information a permis de clouer au sol toute l’aviation égyptienne et de s’assurer d’un avantage stratégique indubitable dans le combat contre l’armée de Nasser.

Ainsi pour combattre la menace iranienne, Israël compte avant tout sur l'efficacité de ses services secrets. Des sources proches des services de renseignements américains affirmaient, en février 2009, qu'Israël avait décidé de s'attaquer au programme nucléaire iranien par des actes de sabotage et l'action d'agents doubles.

L’assassinat mystérieux du physicien nucléaire de Massoud Ali Mohammadi a pu contribuer à accroitre la suspicion contre l’action de l’Etat hébreu en terre d’Iran. Massoud Ali Mohammadi âgé de 50 ans, était spécialiste en physique des particules. Il avait travaillé avec le Corps de Gardiens de la Révolution (le fer de lance des forces armées iraniennes) durant la guerre Iran-Irak (1980-1988). Il a été assassiné mardi 12 janvier par l'explosion commandée à distance d'une moto piégée alors qu'il quittait son domicile.

L'arme de l'opposition iranienne

Les Israéliens utiliseraient également l’arme de l’opposition pour contenir les velléités nucléaires iraniennes : "Israël s’approche des opposants iraniens qui ont un intérêt à se faire aider parce qu’Israël leur donne des armes, des moyens de télécommunications. Israël les aide également dans leur opposition au régime » expliquait le journaliste Jacques Bennilouche sur Guysen TV lundi 10 mai, interrogé par Mathias Inbar.
L'opposition iranienne et non la communauté juive iranienne qu'Israël s'interdit d'utiliser pour des raisons de sécurité. Depuis l’exécution du leader de la communauté juive iranienne, Habib Elghanian en mai 1979 pour des motifs de "corruption", "contacts avec Israël et le Sionisme", " collusion avec des ennemis de Dieu" et "impérialisme économique", l’Etat hébreu ne veut pas prendre le risque de mettre encore plus en danger des Juifs iraniens, déjà enferrés dans une situation ambivalente.

Pour Jacques Bennilouche, en refusant de se servir de la communauté juive iranienne, l’Etat hébreu montre néanmoins "une lacune" dans son dispositif. Pour autant, les services secrets israéliens auraient récemment acquis des renseignements d'une haute importance qui expliquerait la récente déclaration de Moshé Yaalon sur la "capacité d' Israël à attaquer l'Iran".

"Les experts israéliens ont analysé le défilé militaire iranien du 18 avril. Les israéliens avaient des gens sur place (l'opposition iranienne). Ils ont filmé tout le défilé et sont tombés sur les fameux S-300. Mais comme ils ont filmé de très près les S-300, les Israéliens se sont aperçus qu'il s'agissait en réalité de fusées Hawk de 1972 beaucoup moins précises. Les Israéliens ont été rassurés. L'Iran n'est pas encore en mesure d'avoir une défense sérieuse contre l'aviation israélienne".

Une aubaine pour l'ancien chef d'Etat Major Moshé Yaalon qui aurait ainsi relancé l'idée d'une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes.

Annonce: Jacques Bennilouche donnera une conférence sur "L'état de la diplomatie israélienne et son évolution depuis la création de l'Etat" le dimanche 16 mai à l'auditorium de la Wiso, 38 David Hamelekh à Tel Aviv. Les inscriptions se font au 054 541 52 67.

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 24 mai 2010 : 16:21

Israël, l'Iran et le Hezbollah préparent la guerre

Tandis que le doute s'installe dans l'opinion publique israélienne sur l'opportunité et les risques d'une attaque des installations nucléaires iraniennes, des informations de source militaires montrent que non seulement Israël se prépare à un éventuel conflit armé, mais c'est aussi le cas de Téhéran et de ses affidés, en particulier le hezbollah libanais. Chacun accélère les préparatifs comme si la guerre devait éclater demain. Et l'histoire a prouvé qu'il est rare que les militaires fassent des préparatifs pour rien.

[www.slate.fr]

Jérusalem s'inquiète notamment du double jeu russe qui consiste d'une part, à se joindre mollement aux Etats-Unis pour le vote éventuel de sanctions contre l'Iran et son programme nucléaire dont personne ne croit qu'il est civil et d'autre part, à participer à la modernisation des armées iranienne et syrienne. Les services de renseignements israéliens affirment que des Gardiens de la Révolution islamique iraniens s'entraînent en secret dans des bases russes, depuis le début du mois de mai, au maniement du système de missiles antiaériens S300 pour être prêts lorsque ce matériel parviendra en Iran. Les russes n'ont pas l'intention de voter des sanctions contraignantes incluant l'interdiction de livraison de ce type de matériel. Ils ont déjà accepté de fournir des avions de combat Mig-29, des missiles de courte portée Pantsyr, des véhicules blindés et d'autres armes conventionnelles.

Mises en gardes américaines

Le président israélien Shimon Pérès, en déplacement à Moscou le 9 mai, a fait part de sa préoccupation au président Medvedev qui a estimé que la Russie était «seule qualifiée pour choisir ses clients». Le conseiller nucléaire de Barack Obama s'est montré menaçant le 11 mai en précisant: «Les Etats-Unis ont fait savoir à la Russie que la livraison d'un système avancé de défense aérienne à l'Iran aurait des conséquences graves sur les relations américano-russes». Le président Medvedev a aussitôt répondu «qu'il n'attendait pas de conseils en provenance de l'autre côté de l'océan». Les Israéliens analysent ces nouveaux faits avec gravité d'autant plus qu'il semble que les Chinois, de leur côté, ne sont pas résolus à accepter des sanctions interdisant le réarmement de l'Iran.

Ces évolutions militaires ont poussé Barack Obama à revoir soudain ses relations avec Israël, et avec Benjamin Netanyahou en particulier, qui étaient devenues conflictuelles. Après avoir pris conseil auprès de ses principaux experts, Dennis Ross, conseiller sur l'Iran, Dan Shapiro, chef du bureau Moyen-Orient au Conseil national de sécurité, et Rahm Emanuel son conseiller particulier, il les a envoyés faire une offensive de charme auprès des rabbins américains le 13 mai. La visite de ce dernier est par ailleurs planifiée en Israël pour la fin du mois de mai. Le président américain aurait d'autre part donné des ordres à George Mitchell de cesser de faire pression sur Israël pour obtenir des concessions dans le conflit avec les Palestiniens.

En Israël, on explique ce revirement d'abord par l'approche des élections américaines de la mi-mandat et la nécessité pour les démocrates de conserver le soutien des électeurs juifs. Par ailleurs, l'impasse diplomatique et l'incapacité des Etats-Unis à obtenir de la Russie et de la Chine un soutien suffisant à des sanctions significatives contre l'Iran et son programme nucléaire redonne du poids à Israël. Jérusalem apparaît à nouveau comme le seul allié stratégique fiable au Moyen-Orient de Washington. Pour autant, cela ne veut pas dire que Barack Obama s'est soudain pris de sympathie pour Benjamin Netanyahou et ne fera pas à nouveau pression sur Israël pour contraindre son gouvernement à négocier avec les Palestiniens. Mais ce n'est plus la priorité.

Renforcement des forces navales

Ce changement de politique américain s'accompagne du renforcement de la présence militaire des Etats-Unis notamment naval en Méditerranée et dans le Golfe Persique. Le porte-avions Harry S. Truman, à propulsion nucléaire, a quitté le 21 mai Norfolk en Virginie pour rejoindre le Dwight D. Eisenhower en mer d'Arabie. Jusqu'à 4 ou 5 porte-avions pourraient être visibles des côtes iraniennes d'ici le début du mois d'août.

Les experts israéliens interprètent ces manœuvres comme une volonté des américains d'empêcher toute intervention solitaire de Tsahal contre l'Iran. La doctrine dictée par l'ancien premier ministre israélien Menahem Begin reste de mise en Israël. Elle stipule «qu'Israël bloquera toute tentative de ses adversaires d'acquérir des armes nucléaires». Par deux fois, le principe a été déjà appliqué. Le 7 juin 1981, seize F-16 et huit F-15 ont rasé le site du réacteur nucléaire Osirak en Irak. En septembre 2007, une opération similaire a détruit un réacteur syrien sur les rives de l'Euphrate. Mais si les plans de la première attaque avaient été transmis à Ronald Reagan pour qu'il cautionne l'opération. La deuxième attaque, en revanche, qui n'a jamais été revendiquée par les Israéliens, n'a été annoncée aux américains que quelques heures seulement avant son lancement parce qu'ils voulaient se passer de leur feu vert.

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G




Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 25 juin 2010 : 20:20

confirmation en image du passage des navires de guerre americains et israeliens en direction des cotes iraniennes !

[www.dailymotion.com]

[www.israelnationalnews.com]

[www.almanar.com.lb]

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 25 juin 2010 : 21:03

Avec l'aide de Dieu ISRAEL & les ETATS UNIS attaqueront l'Iran et une fois ce pays mis à terre; le monde arabe comprendra qu'il n'y a pas d'autre alternative que de reconnaître ISRAEL.

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: dani (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2010 : 13:14

une partie de poker menteur s'engage dans la région on montre ses muscles,des manoeuvres iraniennes ont eu lieu en mai
l'article ci dessus est très interressant "l'us navy occupe le terrain pour empecher israel d'attaquer l'iran"

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 29 juin 2010 : 01:06

Il y a déjà une activité militaire israélienne sur l’aéroport de Tabuk en Arabie Saoudite. Des hélicoptères israéliens ont déchargé des équipements sur cet aéroport saoudien, équipements israéliens destinés à attaquer l’Iran.

-L’Arabie Saoudite a accepté d’ouvrir son espace aérien aux avions israéliens en vue de la préparation d’une attaque possible contre l’Iran.

-Il n’existe aucun Etat sur terre à désirer plus ardemment que l’Arabie Saoudite l’anéantissement des capacités nucléaires de l’Iran.

-Les Saoudiens n’éprouvent aucune sympathie particulière pour Israël, mais ils ont une très haute estime pour son habileté militaire.

-De plus, les Saoudiens sont parfaitement conscients de ce que les Israéliens sont des gens fiables, qu’ils n’ont aucune visée sur leurs richesses, qu’ils ne tenteront pas de déstabiliser leur monarchie, ni d’influer en aucune manière sur leur population. Tout ce qui intéresse les Israéliens, c’est la destruction du projet atomique iranien.

-Sans profondeur stratégique, Israël ne peut rien contre l’Iran. En cas d’attaque, l’armée de l’air israélienne ne décollera pas depuis Israël pour bombarder les objectifs iraniens. C’est trop loin, cela donnerait l’occasion aux Iraniens de se préparer, les bombardiers arriveraient sur leurs cibles pratiquement à sec de carburant, avec des quantités minimales de bombes, et seraient contraints d’avitailler au-dessus ou à proximité de territoires hostiles. De plus, les Israéliens seraient dans l’incapacité de porter secours aux équipages qui auraient dû s’éjecter et ils n’auraient pas de terrains où poser des appareils touchés.
le bon sens veut que les avions israéliens décollent, pour la très grande majorité d’entre eux, depuis des aéroports situés en Géorgie, en Arménie, en Azerbaïdjan, dans les Emirats et en Arabie Saoudite.

-Préparer la guerre pour mieux l’éviter ?

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 29 juin 2010 : 13:26

Est-ce la fin de ce dictateur que même les Iraniens souhaitent sa mort?




Pourquoi Israël n'a pas encore attaqué l'Iran - par Guy Millière
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 26 juillet 2010 : 17:16

Pourquoi Israël n'a pas encore attaqué l'Iran -
par Guy Millière




De tout côté, je lis des analyses parlant de frappes israéliennes imminentes contre l’Iran. Je ne pense pas que ces frappes vont avoir lieu dans l’immédiat, et je vois à cela plusieurs raisons.

La première est qu’une « fenêtre de tir » est passée : voici deux ans, quand George Bush n’avait pas quitté la Maison Blanche, des frappes ont, à ma connaissance, été envisagées. Le gouvernement Olmert a soupesé les avantages et les coûts et a considéré que les coûts, malgré un Président des Etats Unis très favorable à Israël encore en place, risquaient d’être supérieurs aux avantages. Je ne dispose pas de tous les éléments dont un gouvernement peut disposer avant de prendre ses décisions, j’ai souvent eu de vives réserves sur la gestion d’Ehoud Olmert, mais je peux comprendre qu’il se serait agi d’une opération à haut risque dont la pleine efficacité n’aurait pas été assurée. A l’époque, quand bien même les installations nucléaires iraniennes étaient déjà disséminées et souterraines en bonne partie, elles l’étaient moins qu’elles le sont aujourd’hui. Les paramètres présents sont différents, la « fenêtre de tir » n’est, pour l’heure, plus là et le gouvernement israélien le sait.


La seconde raison est qu’il faut, dès lors, attendre qu’une autre fenêtre de tir s’ouvre. Frapper désormais impliquerait non seulement de frapper des installations plus disséminées et plus souterraines, mais de le faire dans un contexte où les ennemis disséminés autour d’Israël se sont renforcés militairement, tandis que l’Iran lui-même se dotait de moyens de frapper Israël avec des missiles conventionnels.


Le contexte est aussi porteur de deux autres paramètres : d’une part, un isolement diplomatique d’Israël plus grand et l’idée que les sanctions prises contre le régime de Téhéran peuvent être efficaces, d’autre part, une attitude de l’administration Obama qui a été marquée essentiellement, depuis le départ, par une hostilité envers Israël, quand bien même Obama a récemment présenté, pour des raisons strictement électoralistes, un autre visage.


Avant d’envisager quoi que ce soit, Israël doit se donner des moyens de défense et de prévention : le bouclier anti-missile israélien devrait être opérationnel en novembre, et constitue, en ce sens, un moyen primordial qui amoindrira les capacités de nuisance du Hezbollah et du Hamas, ainsi que celles de l’Iran directement. Israël doit aussi se donner les moyens optimaux pour une pleine action de frappe, et des décisions restent à prendre en matière d’équipements et d’achats d’avions : elles sont en train d’être prises. Des entraînements en cours doivent se trouver poursuivis. Le droit à l’erreur est inexistant. Les conditions d’une efficacité optimale doivent, le cas échéant, être réunies. D’autant plus que l’Iran s’attend à être frappé, et que ses dirigeants le souhaitent presque.


Avant d’envisager quoi que ce soit, en outre, Israël doit atténuer, autant que faire se peut, les effets de l’isolement diplomatique actuel : ce qui implique de laisser aux sanctions le temps qu’il s’avère davantage encore qu’elles sont insuffisantes ou, ce à quoi je ne crois guère, le temps de prouver qu’elles ont un effet. Plus il sera possible que des pays occidentaux, les pays d’Europe en particulier, soient un minimum contraints de reconnaître que les sanctions sont inopérantes, plus Israël aura des arguments en sa faveur ou, pour le moins, des arguments qu’il sera difficile de tourner entièrement en sa défaveur. Tout indique, quoi qu’il se dise par ailleurs, au vu des données disponibles aujourd’hui, qu’il faudra encore de deux à trois ans avant que l’Iran dispose effectivement d’une arme nucléaire, ce qui diminue la dimension d’urgence absolue d’une action.


Les services israéliens savent, par ailleurs, que le mécontentement monte au sein de la population iranienne, que le bazar de Téhéran est en grève (ce dont les médias européens ne parlent pas du tout), et que, sans qu’elle soit de l’ordre du probable, une révolution intérieure renversant Ahmadinejad n’est pas inenvisageable. Je pense qu’Israël ne frappera, si Israël doit frapper, que lorsque toutes les autres options auront été écartées, strictement toutes, et que ce n’est pas encore le cas aujourd’hui.


Enfin, comme je l’ai noté plusieurs fois, Israël doit tenir compte de l’administration Obama, et c’est là l’essentiel. Celle-ci est la plus hostile à Israël de toute l’histoire des Etats-Unis. Mais elle n’a pas réussi, quelles que soient ses manœuvres ou celle de ses agents, tels J Street, à faire basculer l’opinion américaine dans l’anti-israélisme. Elle doit maintenant compter avec les élections de mi-mandat, qui s’annoncent désastreuses pour les démocrates. Obama pourrait utiliser des frappes israéliennes survenant avant les élections pour s’en prendre à nouveau à Israël : après le 2 novembre, le contexte américain sera sans doute différent, plus favorable à Israël. Dès lors qu’elle est possible, l’attente ne peut aussi, sur ce plan, qu’être judicieuse et pertinente.


Certains, aux Etats-Unis, murmurent même qu’Obama pourrait lui-même, dans une manoeuvre de dernière minute destinée à retourner une situation intérieure qui tourne en sa défaveur, choisir d’agir lui-même d’agir et décider que l’armée américaine mène elle-même des frappes. C’est une hypothèse qui me semble extrêmement improbable. Mais avec un homme tel qu’Obama, je n’exclus rien, même l’improbable. Un homme sans scrupule qui vient de sacrifier les côtes du golfe du Mexique pour espérer faire passer une loi de contrôle strict en matière d’environnement pourrait prendre une décision imprévisible n’importe où s’il pense que cela le servira électoralement.


On pourrait ajouter la situation intérieure israélienne. Binyamin Netanyahu ne peut agir, de fait, sans l’accord du ministre de la défense Ehud Barak, du président Shimon Peres, du chef des armées Gabi Ashkenazi, du chef du Mossad Meir Dagan. Cela a été noté par de nombreux commentateurs, dont Bret Stephens du Wall Street Journal. Gabi Ashkenazi et Meir Dagan seront remplacés dans quelques mois, et cela pourrait changer la donne.


Si toutes les autres options sont épuisées, et je crains qu’elles le soient assez bientôt, si une révolution intérieure ne survient pas en Iran et n’est pas aidée par des occidentaux comprenant que ce pourrait être la moins mauvaise solution, une frappe israélienne pourrait s’avérer inéluctable et nécessaire.


A l’heure actuelle, la « fenêtre de tir » n’existe pas, non. Mais elle pourrait bien exister dans un futur proche.


Le rôle des amis d’Israël, en attendant, est d’expliquer, et surtout de rappeler, ce qui n’est pas fait suffisamment : que le problème immense que constitue la quête de l’arme nucléaire par l’Iran est un problème qui concerne tous les hommes libres de la planète, pas seulement les Israéliens, et que les premières victimes du régime iranien, aujourd’hui, maintenant, ce sont les Iraniens eux-mêmes. Les victimes, ce sont aussi, bien sûr, les Irakiens soumis à des attentats financés par l’Iran, les Libanais soumis au Hezbollah, les gens de Gaza, otages au cerveau lavé par le Hamas qui gardent eux-mêmes le seul soldat israélien présent à Gaza, Guilad Shalit. Cela pourrait être très vite les Israéliens, et Israël ne laissera pas faire.


S’il y avait moins de lâcheté à l’échelle internationale, le régime iranien appartiendrait déjà au passé, et Israël ne se trouverait pas confronté à une décision très difficile à prendre. Israël, pour le moins, serait davantage soutenu que ce n’est le cas aujourd’hui où certains poussent hypocritement Israël à agir tout en s’apprêtant à fustiger Israël dès que, le cas échéant, Israël agirait.


Guy Millière


PS. Cela n’a rien à voir, bien sûr, mais l’Union Européenne, la Turquie, et la Syrie demandent simultanément la liberté pour le Hamas de se réarmer à sa guise : pardon, je voulais dire, la levée du « blocus de Gaza ». Un scoop : l’Iran est lui aussi pour la levée du « blocus de Gaza ». S’aimer, comme disait l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction. L’UE regarde-t-elle dans la même direction que Bachar al Assad, Recep Tayyip Erdogan et Mahmoud Ahmadinejad ? Il y a, en tout cas, d’étranges coïncidences. La suite bientôt…

[www.drzz.info]

Pourquoi Israël attaquera l'Iran
Posté par: Bravo (IP enregistrè)
Date: 27 juillet 2010 : 12:27

L’UE adopte des nouvelles sanctions contre l’Iran



L’Union Européenne, ce lundi, a formellement adopté un paquet de nouvelles sanctions contre l’Iran, visant le commerce extérieur du pays, ses secteurs bancaires, ainsi que ses secteurs énergétiques.

Ce geste, qui avait été convenu en principe en juin par les dirigeants de l’UE, est le dernier d’une série de mesures prises par la communauté internationale dans un effort pour stopper le programme nucléaire iranien.

Les ministres européens des affaires étrangers ont adopté « un paquet de mesures restrictives » dans les domaines du commerce, des services financiers, de l’énergie et des transports, » a déclaré un diplomate qui parlait sous couvert de l’anonymat en vertu du règlement.

Les nouvelles mesures entreront en vigueur dans les prochaines semaines, après leur publication dans la Gazette Officielle de l’Union, selon les autorités.

« Nous avons pris un ensemble complet de sanctions. C’est quelque chose où nous avons vu l’ensemble des 27 pays travailler ensemble, » a déclaré le chef de la politique étranger de l’UE, Catherine Ashton, avant la réunion.

Selon la décision prise en juin, les sanctions viseront des biens à double usage, qui pourraient êtres utilisés dans le cadre d’une programme nucléaire, ainsi que le pétrole et le gaz iranien, y compris l’interdiction de « nouveaux investissements, l’assistance technique et les transferts de technologies. »

Les ports de l’Iran et ses compagnies de fret aérien seront mis sur liste noire, et interdit d’exploitation dans les territoires de l’UE, et des interdictions de visa, ainsi que le gel des avoirs seront imposés au gardiens de la révolution. Les sanctions comprennent également l’assurance sur le commerce et les transactions financières.

Les nouvelles restrictions européennes suivent un quatrième train de sanctions imposées le mois dernier par le conseil de sécurité des Nations Unies pour limiter le programme nucléaire iranien. Le conseil avait approuvé ces sanctions après le rejet par l’Iran d’un plan visant à suspendre l’enrichissement d’uranium et un échange de stocks d’uranium faiblement enrichi contre des barres de combustible.

Les nouvelles restrictions sont similaires à celles adoptées par l’administration Obama, qui a imposé des sanctions supplémentaires contre les personnes et les institutions qui aident l’Iran à développer son programme nucléaire ainsi que son programme de missiles, et qui échappaient jusqu’ici aux sanctions internationales.




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