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Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: MESSAGE DEPLACE (IP enregistrè)
Date: 25 août 2009 : 15:49

Posté par: yossi1
Date: 25 août 2009 a 12:53

Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ? !!!!!
Par Ftouh Souhail

Alors que la Suède refuse de présenter ses excuses, Israël insiste pour demander la condamnation des déclarations d’un journal suédois qui présentait Israël, Tsahal et ses soldats comme des meurtriers et des trafiquants d’organes. Avigdor Libermann a déclaré quant à lui qu’une nation qui veut vraiment défendre les valeurs démocratiques se doit de condamnation des déclarations mensongères qui ont un parfum d’antisémitisme.

L’affaire du journal Aftonbladet (qui rappelle l’accusation de viols contre Tsahal, publiée il y a quelques années par le Nouvel Observateur, sous la plume de Sarah Daniel), montre que ces accusations donnent du grain à moudre aux pires ennemis d’Israël et du peuple juif. S’il ne faut accuser tous les suédois d’antisémitisme primaire, on est dans le devoir de s’interroger pourquoi dans cette triste affaire, le gouvernement suédois ne s’est pas empressé à prendre ses distances par rapport à ces accusations ?
Avec ce pamphlet viscéralement antisémite, encore utilisé par des forces occultes, la diabolisation et la criminalisation du peuple juif est de retour avec l’antisémitisme radical qui frappe ce pays complice de l’islamisme. Hésitant à assumer son histoire et capitulant devant les islamistes, les responsables suédois ne prennent pas des vessies pour des lanternes, ils sont déjà ENVAHIS, et contraints à « collaborer ». Cela n’excuse nullement leur laxisme, ni leur anti-sémitisme primaire qui est bien vite remonté à la surface, mais c’est la triste réalité à ce jour de ce pays qui se dit neutre !

Le cas de la neutralité de la Suède est déjà un cas révélateur. Les responsables de ce pays tendent la main à ceux qui prêchent ouvertement la destruction de l’Etat d’Israël. Plus grave encore, ce pays n’a jamais assumé sa responsabilité historique et le comportement « honteux » de ses dirigeants qui ont pactisés avec les responsables de la Shoah.

D’ailleurs ce qui est jusqu’ici un sujet tabou en Suède ce sont les transactions entre Stockholm et l’Allemagne nazie pendant la seconde guerre mondiale. La Suède, affirment deux chercheurs suédois (L’un, Sven Fredrik Hedin, est un ancien diplomate. L’autre, Göran Elgemyr, est journaliste), a vendue entre 1939 et 1944 quelque 35 millions de tonnes de minerai de fer à l’Allemagne, et ces exportations ont été payées, pour partie, avec de l’or volé par les nazis. Or, révèlent-ils, comme les autres pays neutres, « la Suède avait été avertie en janvier 1943 par les Alliés» de l’origine frauduleuse de cet or.

Cette mise en garde avait été transmise par le gouverneur de la banque centrale suédoise de l’époque, Ivar Rooth, aux autorités politiques. Lesquelles lui avaient répondu qu’il n’avait pas à en tenir compte. La conversation est rapportée dans un mémorandum rédigé par Ivar Rooth et retrouvé par Hedin et Elgemyr. Les autorités suédoises sont confrontées à ce dilemme depuis longtemps où déjà, elles acceptaient de recevoir l’or du régime nazi tout en sachant qu’il avait été volé à des juifs envoyés en camps de concentration.


La dernière transaction d’or entre l’Allemagne et la Suède intervient au tout début de 1944. Au printemps de cette même année, la banque centrale suédoise procède à un décompte interne, d’où il résulte qu’une vingtaine de tonnes d’or, sur les 34,5 en provenance d’Allemagne, est de l’or volé !

En 1949 et en 1955, 13 tonnes seront restituées à la Belgique et aux Pays-Bas. Les deux chercheurs suédois Hedin et Elgemyr ont cherché à savoir ce qu’il était advenu des 7 tonnes restantes. Ils n’y sont pas parvenus jusqu’à aujourd’hui, et pensent qu’elles ont sans doute été fondues avec l’ensemble des réserves de la banque centrale suédoise en 1980 – une opération destinée à rendre l’or plus pur.

La réponse pourrait venir de la banque centrale elle-même, dont l’actuel gouverneur n’a pas lancée une enquête sur le sujet, de même pour la question des avoirs juifs reste en suspens. Les autorités suédoises paraissent en effet décidées à ne faire toute la lumière sur le sort de l’or nazi et les avoirs juifs spoliés.

Durant la Deuxième Guerre mondiale, le passé de ce pays n’est pas seulement entaché par l’achat d’or nazi mais aussi des témoignages qui montrent l’attitude antisémite de ce pays envers les juifs. Mathias Rapps raconte l’histoire de ses parents, d’origine allemande, réfugiés en Suède en 1935. Sa mère était «aryenne», son père juif. Ils voulaient se marier. Mais les autorités suédoises s’y opposèrent et refusèrent même de reconnaître leur mariage, célébré plus tard au Royaume-Uni. Et ce, jusqu’à la capitulation de l’Allemagne nazie.

«Embarrassantes». A l’époque, la Suède arguait qu’elle s’était engagée à respecter le droit marital des pays tiers, en signant la convention internationale de La Haye, en 1902.

La Suède a, en quelque sorte, anticipée la législation allemande qui est arrivée plus tard. Depuis 1935, la loi «pour la protection du sang et de l’honneur allemand» interdisait les mariages entre juifs et citoyens «de sang allemand ou assimilé» en Allemagne.

L’histoire du couple Rapps est loin d’être unique en Suède. Mais elle était méconnue, jusqu’à ce qu’un chercheur du centre de théologie et d’étude des religions de l’université de Lund s’y intéresse. Ces dernières années, le professeur Anders Jarlert a analysé l’application des lois raciales en Suède de 1937 à 1947. Ses découvertes sont embarrassantes.

Le tableau dressé par un autre l’historien Klas Amark, professeur à l’université de Stockholm est sombre. Il a illustré «le dilemme moral engendré par la politique de neutralité». Il précise : «La majorité des Suédois, ainsi que le gouvernement, ne désiraient rien d’autre que la paix. Ils étaient donc prêts à céder aux exigences de l’Allemagne nazie, si cela pouvait permettre d’éviter la guerre.».

Durant la Seconde guerre mondiale la Suède refusait d’intervenir contre le génocide nazi. Les banquiers suisses, suédois (neutres donc), ont subventionné le nazisme dans ses oeuvres dans l’espoir d’y trouver un pécule. Il est vrai qu’il y aurait beaucoup à dire sur les liens unissant les grands industriels et financiers suédois à leurs homologues allemands durant la guerre .Et nous savons tous que sans aide financière extérieure, Hitler n’aurait jamais pu mener ses exactions au delà de 18 mois. A quand le tribunal bancaire international et les accusations de complicités de crime de guerre contre la Suède ?

Ftouh Souhail, Tunis

TU PEUX ENLEVER UN HOMME D'ISRAEL!MAIS TU NE PEUX PAS ENLEVER ISRAEL D'UN HOMME !!les rois !!




Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 25 août 2009 : 15:57

Decidement, l'argent n'a pas d'odeur !!!

Quelle honte pour la Suede et combien cette histoire concernant le comportement de la Suede face aux revelations sur la provenance de cet or recu par les nazis, ressemble aujourd'hui a la maniere dont le Ministre des Affaires Etrangeres a reagi a la scandaleuse accusation de ce petit et vil journaliste "antisemite" .

Israel devrait tout simplement poursuivre ce petit journaliste en l'accusant de diffamation afin de lui clouer le bec a jamais. Il est totalement inconcevable que les israeliens laissent cette manifestation aussi flagrante d'antisemitisme passer.

Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 26 août 2009 : 13:53

c'est le comble avec cet article israel demontre le contraire et va passe a l'offenssive !!!nous par contre nous avons des preuves !!!

Criminel de guerre jusque dans les tripes ? Le HAMAS accusé de trafic d’organes
Ils assassinent et enlèvent des israéliens pour extraire leurs organes et les revendre au marché noir. Telle est l’accusation que je porte officiellement à l’encontre des terroristes du Hamas. Un réquisitoire accablant qui ne déclenchera l'ire de personne... Ce que je ne comprend pas puisque le même texte, sans preuves aucune, et diffusé dans un journal Viking a fait réagir la planête entière. Y aurait-il un deux tons, deux mesures dans les nouvelles qui touchent aux israéliens ou aux palestiniens?


Mardi 25 août, le blog populaire JSS, publia un article retentissant du journaliste Jonathan-Simon Sellem. Intitulé « Nos enfants sont pillés de leurs organes », le papier relate les témoignages de familles israéliennes affirmant avoir récupéré, auprès du mouvement terroriste palestinien Hamas, les corps de leurs défunts, la poitrine recousue. Abattus par le Hamas, certains d’entre eux avaient été auparavant kidnappés par les islamistes. Les proches des victimes se disent prêts à faire exhumer les dépouilles afin de confirmer leurs accusations. Une photo jointe à l’article montre un jeune homme dont le torse est effectivement recousu sur toute la longueur. Un cas particulier est abordé dans le reportage : celui d’un résident de Naharya, Ehud Goldwasseur, tué en 2006 et rendu à sa famille, deux ans plus tard avec des traces de couture sur le corps. Dans ce cas précis, c'est le Hezbollah qui rejette ces accusations, confirmant tout au plus effectuer, comme le voudrait la procédure islamiste, des « autopsies de routine » sur le corps de juifs retournés à leurs proches.


Face au non-scandale provoqué par ces révélations, les autorités palestiniennes et libanaises ont exprimé avec véhémence leur indignation: Hassan Nasrallah crie à la manipulation sioniste et en appelle, via le réseau Internet Twitter, a l'ONU pour condamner le blog JSS et son article, « digne d'un cancer juif en phase terminal » selon la délicate formule du secrétaire général du Hezbollah. Ce fin connaisseur déclaré de la culture juive et sioniste a connu, ces dernières années, une gloire internationale, mais fugace, puisqu’il devint l'une des principales cible des libanais pro-occident qui en ont par dessus la tête des islamistes. Les chrétiens de Beyrouth l'on donc insulté d' « Assassins ! ».


Antisémitisme, version hardcore

[jss.over-blog.com]

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 26 août 2009 : 14:07

RIEN NE VA PLUS ENTRE LA SUEDE ET TEL AVIV !!!!!
et puis d'abord pourquoi tel aviv et pas jerusalem? encore une offence voulue!!

[www.courrierinternational.com]

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G




Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: andre (IP enregistrè)
Date: 26 août 2009 : 20:31

N´oublions pas tout de même que c´est en Suède que la majorité des juifs danois purent trouver refuge durant la seconde guerre mondiale evitant ainsi de figurer parmi les vicitimes du holocaust.

Le fameux diplomate Raoul Wallenberg à qui des milliers de juifs hongrois lui doivent leur vie était également Suédois et devint lui même par ironie du sort une victime, puisqu´il fût accusé d´espionage et capturé par les soviétiques. Il mourru en prison en URSS...

Malheureusement des néo-nazis il y en a toujours eu en Suède et ailleurs.

"A"




Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 27 août 2009 : 13:33

témoignage de la femme de l’ancien ambassadeur d’Israël

26/08/09
The Jerusalem Post, 23 août 2009
Texte original anglais : "Abusing freedom of speech".
Traduction française sur le site Le Post.fr, 24 août 2009


Après avoir vécu une révolution en Roumanie, suivie de cinq années passées en Egypte, j’ai apprécié quand mon mari a été nommé ambassadeur en Suède.
Vraiment, j’attendais impatiemment de voir ce que cela faisait d’être nommé à notre dernier poste dans un pays occidental ami. Cette fois, nous ne serions pas isolés, il y aurait de brillantes cérémonies officielles, des invitations pour les événements royaux, et nous nous prélasserions dans une ambiance amicale.
Eh bien, ça ne c’est pas exactement passé comme ça. C’était l’époque de la seconde Intifada et personne, personne ne nous aimait.
Ainsi, par exemple, quand une gigantesque manifestation fut organisée contre les Etats-Unis, après leur invasion de l’Irak, en 2003, les gens ont marché par dizaines de milliers sous notre fenêtre, en se dirigeants vers l’ambassade américaine. Parmi les nombreuses banderoles ostensiblement exposées, une était particulièrement saisissante, elle disait en lettres noires : « Bombardez Tel-Aviv, pas Bagdad ».
Quelques semaines plus tard, l’Union des étudiants de l’université de Stockholm décida d’organiser une « Journée de la Palestine », qui devait se terminer par un débat auquel l’ambassadeur d’Israël était convié.
Zvi [Mazel] fit un bon discours diplomatique sur la nécessité de compromis et de réconciliation, qui fut accueilli par un silence. Puis, le représentant palestinien prit la parole et se lança dans une violente diatribe contre les sauvages soldats israéliens :
« Quand ils remarquent une femme palestinienne enceinte, ces bêtes commencent à parier pour savoir si c’est un garçon ou une fille, et ensuite, ils EVENTRENT LA FEMME VIVANTE pour savoir qui a gagné. De plus, ajouta t-il, « aucune jeune femme palestinienne n’est à l’abri des soldats : si elle est jolie, ils la mettront nue et l’obligeront à marcher dans les rues de Jérusalem. »
Je peux encore me souvenir du choc que j’ai ressenti. Nous étions, après tout, dans l’auditorium d’une université d’un pays occidental moderne, pas à Ramallah ou à Téhéran.
Comme prévu, l’auditoire siffla et hua les Israéliens tant haïs. Et pourquoi pas ? Nous étions quotidiennement mis au pilori dans la presse. Mais ça alla de mal en pis. Assez rapidement, cette haine se retourna contre la communauté juive. En octobre 2003, un dénommé Jan Samuelsson, un soi-disant expert en religion et histoire religieuse, publia un article dans un des principaux quotidiens, Dagens Nyheter - un journal du matin avec un tirage équivalent à celui de Aftonbladet –, expliqua qu’il était légitime de haïr les juifs aussi longtemps qu’Israël occuperait les territoires arabes.
Voici quelques morceaux choisis de cet article :
« La haine musulmane des juifs est justifiée »
« La haine des juifs est essentiellement un phénomène moderne suscité par les crimes commis par l’Etat d’Israël contre les Arabes au Moyen-Orient ».
En conséquence, l’Ambassade Israélienne protesta, mais devinez quoi ? La sacro-sainte liberté d’expression prévalut et rien ne fut fait.
Les juifs suédois comprirent rapidement le message : « Hillelskolan », l’école juive, fut mise sous protection policière et l’on conseilla à ses élèves d’enlever leurs couvre-chefs et leurs étoiles de David quand ils quittaient les lieux. Leurs parents reçurent le même conseil. Jusqu’à aujourd’hui, les religieux qui viennent d’Israël se voient demander de porter un chapeau plutôt qu’une kippa.
ASSUREMENT, une partie de tout ça peut être attribué à l’importante communauté musulmane qui vit en Suède de nos jours – 500 000 personnes sur un total de 9 millions d’habitants. A Stockholm, les juifs âgés, la plus part d’entre eux survivants de l’Holocauste, étaient conviés chaque vendredi à un «Oneg Shabat» [litt. "délices du shabbat" dans l’immeuble de la communauté. J’y ai participé quelques fois et je m’y suis rendue au début de mars 2004 pour dire au revoir. Un très vieil homme, avec un très fort accent polonais, sortit un journal de sa poche.
« Il est écrit ici », me dit-il, « que dans la grande mosquée de Stockholm, ils ont distribué des dépliants et des cassettes appelant à supprimer les juifs, fils de cochons et de singes. Il est également dit qu’un porte-parole du gouvernement a déclaré qu’il n’y avait pas de motif pour intervenir. Qu’avez-vous à dire là-dessus ? »
Il n’y avait pas grand-chose à dire.
Une fois de plus, l’Ambassade d’Israël protesta ; une fois de plus la vénérée cape de la sacro-sainte liberté d’expression fut jetée sur ce qui ne pouvait être décrit que comme de l’antisémitisme flagrant.
Ce fut une autre femme âgée qui finit par mettre des mots sur la peur qu’ils ressentaient tous :
« Vous êtes sûrement trop jeune pour vous en souvenir, mais c’est ainsi que ça a commencé en Allemagne ».
Je m’empressai de faire remarquer que la situation était complètement différente, en ce sens que le gouvernement suédois protégerait ses citoyens et qu’il s’employait vraiment à combattre l’antisémitisme. Le Premier Ministre, Goran Persson, n’avait-il pas organisé, non pas un mais trois séminaires internationaux sur le thème de l’Holocauste ?
Je ne suis pas certaine qu’ils m’aient cru. A peine un mois auparavant, le même gouvernement suédois avait financé l’infâme exposition glorifiant la femme palestinienne qui s’était fait exploser au milieu de la foule d’un restaurant bondé de Haïfa en octobre 2003, tuant 21 personnes [*]. Ce « travail artistique » montrant une photo d’elle, maquillée, le visage souriant, flottant sur une mer d’eau rouge censée rappeler le sang, avait été choisi pour l’ouverture officielle d’un nouveau séminaire international dédié à une digne cause : « empêcher les génocides ».
Et quand l’ambassadeur Israélien, après avoir vainement protesté, prit lui-même l’affaire en main et balança à l’eau les projecteurs qui illuminaient cette horreur, les trois principaux journaux protestèrent devant cette intolérable attaque contre la liberté d’expression artistique.
Le jour suivant, l’exposition était rétablie dans toute sa gloire.
Quand, un an plus tard, les musulmans protestèrent contre une peinture, exposée dans un musée de Gothenburg, qu’ils jugeaient insultante, ils le firent avec beaucoup plus d’efficacité. Une lettre anonyme expliqua ce qui arriverait à la femme et aux enfants du conservateur si le tableau n’était pas enlevé sur le champ.
Ce qui fut fait immédiatement.

Michelle Mazel *
* L’auteur de l’article est l’épouse de l’ancien ambassadeur, Zvi Mazel. Elle est l’auteur de « La femme de l’Ambassadeur », un récit personnel des huit années qu’elle passa au Caire avec son mari.

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Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 27 août 2009 : 14:58

En 1948,un miracle attendu depuis 2000 ans ,la re-création du pays des hébreux, offrait aux Juifs discriminés et maltraités dans les pays où le sort les avait conduits,le refuge protecteur promis à leurs ancêtres.
Et contre toute attente,alors que dans chaque foyer pendant deux millénaires,était murmuré souvent dans la crainte,le voeu de revoir Jérusalem,il a fallu des menaces continuent à planer sur les familles pour qu'une partie de la diaspora choisisse de pariciper à la renaissance de la nation israelienne,une autre plus importante allant chercher fortune dans les pays occidentaux.
Et aujourd'hui, au lieu d'abandonner les lieux de souffrance et de haine,voici des juifs qui continuent à se plaindre en Suède ou ailleurs
espérant on ne sait quel revirement des sentiments de mépris et de haine
de leurs "hôtes",mais qui n'envisageront de rejoindre LEUR patrie que le couteau sous la gorge !!!Si les Juifs quittaient demain en masse un pays,ce ne seraient pas eux qui souffriraient mais le pays sans juifs aurait le même sort que l'Espagne frappée de misère et de guerres civiles après 1492,et comme les pays arabes aujourd'hui qui croupissent dans la mendicité et le sous-développement.
C'est ,hélas!! la malédiction prophétique qui nous met en garde contre une nouvelle catastrophe sanglante.

Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 27 août 2009 : 15:04

L’Egypte malade du trafic d’organes!!!!!!!
voyez vous meme liberation ne mentionne pa israel!!!!

[www.liberation.fr]

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Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 27 août 2009 : 20:55

Les Suédois brisent la loi du silence sur leur passé nazi, Anne-Françoise Hivert
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la Suède, malgré sa neutralité, est allée plus loin que d'autres pays dans l'application des lois raciales. ("Libération"). Suite au scandale déclenché par l’article antisémite d’un journaliste suédois [*], de nombreuses allusions (majoritairement sans référence ni contexte sont faites, ces jours-ci, dans divers médias – et surtout sur des sites et des blogues -, à l’application, par les autorités suédoises, durant la Seconde Guerre mondiale, de certaines mesures raciales nazies. Comme souvent, en ces matières polémiques et peu documentées, il se dit à peu près tout et n’importe quoi, c’est pourquoi je crois utile de mettre en ligne l’article qui suit, bien qu’il remonte à 2006. S’il peut contribuer au sérieux du débat, je serai amplement payé du temps considérable que j’ai passé à rechercher ce document important. (Menahem Macina).

La Suède n'en finit plus de fouiller son passé et le quotidien Dagens Nyheter de l'exposer. Après ses révélations sur l'achat d'or nazi, puis, sur la campagne de stérilisation forcée menée de 1935 à 1976 en Suède, le journal a publié, mardi, un témoignage relatant l'application des lois de Nuremberg par le royaume, durant la Deuxième Guerre mondiale. Agé aujourd'hui d'une soixantaine d'années, Mathias Rapps raconte l'histoire de ses parents, d'origine allemande, réfugiés en Suède en 1935. Sa mère était «aryenne», son père juif. Ils voulaient se marier. Mais les autorités suédoises s'y opposèrent et refusèrent même de reconnaître leur mariage, célébré plus tard au Royaume-Uni. Et ce, jusqu'à la capitulation de l'Allemagne nazie.


«Embarrassantes»
A l'époque, la Suède arguait qu'elle s'était engagée à respecter le droit marital des pays tiers, en signant la convention internationale de La Haye, en 1902. Or, la législation allemande était claire. Depuis 1935, la loi «pour la protection du sang et de l'honneur allemand» interdisait les mariages entre juifs et citoyens «de sang allemand ou assimilé». L'histoire du couple Rapps est loin d'être unique. Mais elle était méconnue, jusqu'à ce qu'un chercheur du centre de théologie et d'étude des religions, de l'Université de Lund, s'y intéresse. Ces cinq dernières années, Anders Jarlert a analysé l'application des lois raciales en Suède, de 1937 à 1947. Ses découvertes sont «surprenantes, embarrassantes et inquiétantes», selon le Conseil suédois de la recherche.
En 2001, le gouvernement a alloué 29 millions de couronnes (3,05 millions d'euros) à l'organisme pour qu'il finance divers projets d'étude, destinés à faire le point sur les relations de la Suède avec l'Allemagne nazie. Les premiers résultats de ces cinq années de recherche viennent d'être dévoilés. Le tableau dressé par l'historien Klas Amark, professeur à l'université de Stockholm et coordinateur du projet, est sombre. Selon lui, le travail réalisé par une dizaine de chercheurs illustre «le dilemme moral engendré par la politique de neutralité». Il précise : «La majorité des Suédois, ainsi que le gouvernement, ne désiraient rien d'autre que la paix. Ils étaient donc prêts à céder aux exigences de l'Allemagne nazie, si cela pouvait permettre d'éviter la guerre.»
La collaboration a pris diverses formes. Les travaux d'Anders Jarlert décrivent comment l'Eglise et le ministère des Affaires étrangères parvinrent à empêcher les «mariages mixtes», entre juifs et «aryens». Le chercheur constate que «la Suède est allée bien plus loin que d'autres pays dans l'application des lois raciales», en exigeant des citoyens suédois qui souhaitaient épouser un citoyen allemand, une déclaration sur l'honneur, stipulant qu'aucun de leurs grands parents n'était de «descendance juive».
Anders Jarlert a retrouvé 430 de ces déclarations. Or, «contrairement à ce qu'on pourrait croire, les Suédois ne semblent pas avoir protesté», observe-t-il. Et si plusieurs prêtres tentèrent de résister, le nombre des opposants «semble avoir été presque nul». Afin d'accommoder Berlin, la Suède a accepté, en outre, de renvoyer des déserteurs allemands qui avaient franchi ses frontières. Ils furent expulsés vers la Norvège, occupée alors par les troupes nazies, sur l'ordre du ministre des Affaires sociales et de son secrétaire d'Etat, tous deux sociaux-démocrates. Par ailleurs, les opposants au régime nazi réfugiés en Suède, étaient souvent réduits au silence, et parfois internés dans des camps. La presse refusait de publier certaines informations qui pouvaient fâcher Berlin. Et certains patrons acceptèrent même de licencier leurs employés de confession juive, à la demande de l'Allemagne.

Archives
Pendant longtemps, la Suède a refusé d'évoquer cette sombre page de son histoire. «Nous avions honte d'avoir cédé autant aux exigences de l'Allemagne», affirme Klas Amark. L'historien compare le comportement des Suédois à celui du hérisson «qui se referme sur lui-même, sort ses piquants et ferme les yeux sur ce qui se passe autour de lui». Après la guerre, «nous avons opté pour la loi du silence», remarque Anders Jarlert. En 2000, à l'occasion de la conférence internationale sur le génocide organisée à Stockholm, le Premier ministre, Göran Persson, a promis d'ouvrir les archives du royaume datant de cette époque. Il a d'ailleurs encouragé les pays occidentaux à faire de même. Pourtant, cinq ans plus tard, les historiens suédois attendent toujours.


Anne-Françoise Hivert

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Qui jugera la « complicité » suédoise avec les NAZIS ?
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 27 août 2009 : 20:57

MON POINT DE VUE !!!!
Il est connu que la Suede, bien que neutre a cette epoque, a activement soutenu le regime nazi. Cette aide lui a permis, il faut aussi le reconnaitre, d'exercer a la fin de la guerre des actions de sauvetage, notamment en Hongrie, mais aussi avant cela en accueillant des Juifs venus de Norvege et du Danemark.

Ce soutien au regime nazi a permis a certaines firmes suedoises de se developper de facon assez surprenante pour un pays ou la population est somme toute assez faible: Ericsson, SKF, Volvo, Scania, Brown-Boveri, Electrolux, devinrent des cette epoque des firmes industrielles prosperes et renommees.

Bref, les Suedois, tous comme les Suisses, surent tirer parti de leur soi-disante neutralite pour prosperer.

P.S.: la 5e Division SS "Viking" et la 11e Division SS "Nordland" ont ete composees, entre autres, par des volontaires

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