La Communauté Israélite du Maroc a annoncé ce matin la distribution gratuite de 1100 fauteuils roulants aux personnes nécessiteuses à travers tout le Royaume. En partenariat avec l’Amicale des Handicapés du Maroc (AMH), ces dons visent à favoriser l’intégration et la réinsertion socioprofessionnelle des personnes handicapées.

La première distribution de fauteuils roulant a eu lieu aujourd’hui à la commune de Sidi Belyout à Casablanca par M. serge Berdugo, Secrétaire Général du conseil des communautés Israélites du Maroc, en présence de Mme Nezha Skalli, ministre du Développement social , de la Famille et de la Solidarité , M. Mohamed Kabbaj, Wali du Grand Casablanca, M. El Kadiri, président de l’AMH, Mme Amina Slaoui vice-présidente de l’AMH, M.Boris Toledano, président de la Communauté Israélite de Casablanca et M. David Toledano , Secrétaire Général de la Communauté Israélite de Rabat, Mme Adele Leberfeld présidente de l’AJDC pour l’Afrique et l’Asie, M. Fred Levine vice président de l’AJDC pour l’Afrique et l’Asie et son épouse Velva .

« Il est très important pour nous de participer à l’Initiative Nationale de Développement Humain (INDH) impulsé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en 2005. Nous espérons que ces dons contribueront au bien-être de ces personnes issues des couches les plus humbles de la population marocaine » a déclaré M.Serge Berdugo, Secrétaire Général du conseil des Communautés Israélites du Maroc, Ambassadeur itinérant de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

L e projet à été financé par le Joint Distribution Committee (AJDC). La Communauté Israélite du Maroc fera don de ces fauteuils aux personnes handicapées dans le besoin, dans les endroits les plus reculés du Royaume.

Les athlètes handicapés de haut niveau sont aussi concernés. Une trentaine de fauteuils spécialisés seront offerts. Ces fauteuils sont spécialement adaptés aux activités sportives telles que l’athlétisme, le tennis et le basket…

A l’issue de cette cérémonie , un chèque de 400.000 Dhs à été remis à M. El Kadiri, président de l’AMH pour la réalisation d’une unité mobile dédiée à la prise d’empreintes et la réalisation des prothèses pour les handicapés ne pouvant pas joindre l’atelier de prothèse de l’AMH.

Et dans le cadre de la lutte contre la pauvreté M. Fred Levine (un homme d’affaire Texan et vice président de l’AJDC pour l’Afrique et l’Asie) a procédé en compagnie de son épouse Velva à la pose de la première pierre pour la construction d’un immeuble de 32 appartements 16 studios et 16 appartements de deux pièces qui portera le nom de « Fred et Velva Levine », réservés aux personnes nécessiteuses appartenant à la communauté Israélite Marocaine qui est très présente et très dynamique dans les activités sociales, et économique du Maroc.

Source Menara

[et les cimetières..... SVP]
emilio

Bien juste Emilio, j'ai pense la meme chose ! Et les cimetieres ???
Lena

Oui Lena, j’espère que le branle-bas de combat pour la fameuse «Pétition» pour
les cimetières aboutira à quelque chose ?
emilio

Objet : Juif de pays arabe : Ces trois vidéos sont exceptionnelles



Ces trois vidéos sont exceptionnelles !

Elles montrent combien les juifs ont souffert dans les pays arabes qui les ont spoliés de tous leurs biens et les massacres qu'ils ont endurés

Faites diffuser ces documents au maximum autour de vous, y compris dans les milieux non juifs, car on parle toujours de réfugiés palestiniens, mais jamais d'un million de réfugiés juifs chassés des pays arabes !

[www.hsje.org]

Enrico et sarkozy.....(sacré enrico)

The Canadian Jewish News - 15 November, 2007

La destruction d’Israël par un État binational



La majorité des leaders du monde s’entendent pour la création de deux États : Israël et un État palestinien existant côte à côte en paix et en sécurité. Mais une autre «solution» au conflit Israélo-palestinien, dont la promotion insidieusement se fait avec un vocabulaire de paix, est la création d’un seul État, ou État «binational». Cette solution comprend le soi-disant «droit du retour» qui verrait Israël submergé par des Arabes palestiniens.



* À son niveau le plus fondamental, la solution d’un seul État nie au Peuple juif son droit à l’autodétermination dans sa patrie historique et remet en doute la légitimité même d’Israël en tant qu’État.



* Comme le taux de nanalité des Arabes palestiniens est beaucoup plus élevé que celui des Juifs, les Juifs deviendraient minoritaires dans un État binational. Les Arabes voteraient ensuite en faveur de la création d’un État musulman pour remplacer Israël.



* Cette solution d’un État unique est simplement une stratégie à peine voilée pour détruire l’État d’Israël et remettre en question son droit d’exister. Sol Stern et Fred siegel écrivent dans le New York Sun : «Un État binational est un euphémisme pour la destruction de l’État juif. C’est un terme utilisé par les éléments les plus extrêmes dans le mouvement palestinien et par leurs alliés en Syrie et en Iran. Les groupes terroristes comme le Hamas et l’Hezbollah veulent créer une république islamique à la place d’Israël.»



* L’avocat Alan Dershowitz ajoute : «Un État binational n’est rien moins qu’un stratagème visant à détruire l’État d’Israël et le remplacer par encore un autre État arabe islamique. Ceux qui proposent cette solution pour Israël ne le feraient jamais dans le cas de l’Inde, de l’ancienne Yougoslavie, ou de tous autres États qui ont déjà été unis mais qui sont aujourd’hui divisés selon des bases ethniques ou religieuses.»



* Pratiquement, un État binational ne marcherait tout simplement pas. Le chroniqueur palestinien Ray Hanania écrit : «La seule solution serait deux États parce que l’idée d’un seul État où Chrétiens, Musulmans et Juifs vivant côte à côte en toute équité est fondamentalement fausse. C’est une erreur et ça ne fonctionnera jamais… Ce n’est pas mis en pratique chez les Arabes ni dans le Monde islamique. Aujourd’hui, où dans le Monde islamique peut-on voir des Juifs et des Chrétiens vivant comme citoyens à part entière?»



Dans un monde où des États à ethnie mixte comme la Yougoslavie ont dégénéré en carnage, et où des États musulmans comme l’Arabie Saoudite se proclament exclusivement pour Musulmans, pourquoi est-ce que le seul État juif doit servir de cobaye dans une expérience utopique tirée par les cheveux? Pourquoi est-ce qu’un État juif serait illégitime?



Source : HonestReporting.com, 24 octobre 2007

15 SECONDES DANS LA VIE DES GENS DE S’DEROT,
Les habitants ont environ 15 secondes pour se mettre à l’abri

"On utilise un carte magnetique a la place d'une clef pour ouvrir les portes des chambres d' hotels. Lorsque vous quittez l'hotel, il ne faut surtout pas rendre cette carte au gars du Lobby mais il faut reprendre avec soi cette carte et la detruire comme on detruit une carte de credit. En effet, sur cette carte, se trouvent tous les renseignements personnels, nom, prenom, adresse, no. de carte de credit et date de son echeance. Le tout facilement lisible avec un appareil qui ne coute pas grand chose et qui transcrit cette information. Appareil qu'on trouve chez tous les marchands d'ordinateurs."
Signe : Benyamin Dahan - Chef du departement des cellulaires - Police d'Israel

Voila, c'est une bonne chose a savoir et a transmettre a un maximum de personnes.

Hervé Novelli, secrétaire d’Etat français chargé des Entreprises et du Commerce extérieur, à l’annonce d’un fond franco-israélien réservé aux « start-up »

« La France doit s’inspirer de l’exemple israélien, de ses méthodes en matière de brevets et de financement de l’innovation. Je suis venu ici pour comprendre le miracle israélien, le paradoxe qui fait que ce pays enregistre une croissance de plus de 5 pour cent, un chiffre qui est habituellement l’apanage des pays émergents et non des pays développés. Or cette croissance repose à 50 pour cent sur les entreprises high-tech. Cela confirme ma conviction que le point de croissance qui nous manque en France est à trouver dans les secteurs de l’innovation ».

Source : Le Parisien, 5 novembre 2007

OCDE : L’adhésion prochaine d’Israël profitera à tous
par Comité Québec-Israël
06/11/2007
Le Secrétaire général de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), Angel Gurría, a déclaré le 4 novembre dernier qu’Israël deviendrait un membre de plein droit dans moins de deux ans au grand bénéfice de l’OCDE, d’Israël et du monde.

L’OCDE, regroupe 30 pays membres « attachés aux principes de la démocratie pluraliste et de l’économie de marché » et a pour objectif de soutenir une croissance économique durable, développer l’emploi, élever le niveau de vie, maintenir la stabilité financière, aider les autres pays à développer leur économie et contribuer à la croissance du commerce mondial. Israël avait été invité formellement à se joindre à l’OCDE au mois de mai 2007.

Dans un discours prononcé le 1er novembre dernier, à Tel Aviv, à l’occasion de la Conférence du Premier ministre sur les exportations et la coopération internationale, le Secrétaire général de l’OCDE a affirmé qu’ Israël a beaucoup à contribuer au monde, non seulement à titre d’économie émergeante prospère dotée d’une vaste expérience en développement, mais aussi en tant que source de solutions avant-gardistes à des défis mondiaux clés comme la rareté de l’eau et l’optimisation de l’agriculture.

Selon M. Gurría, Israël profitera de l’expérience et des meilleures pratiques économiques des pays les plus développés du monde et sera par conséquent encore plus apprécié par les investisseurs internationaux. L’OCDE, a-t-il ajouté, se trouvera enrichie par l’expérience économique d’Israël et sa perspective culturelle distincte sur les grandes questions économiques et sociales du monde.

M. Gurría a souligné qu’Israël est désormais une locomotive dans le domaine de la technologie de l’information et des logiciels et qu’il a déjà fait d’importantes contributions au travail de l’OCDE dans les domaines technologique et scientifique. Le Secrétaire général a aussi affirmé qu’à titre de membre de plein droit de l’OCDE, Israël rehaussera le rôle de l’organisation au Moyen-Orient et ses efforts pour y encourager les investissements privés.

Enfin, M. Gurría a salué les récentes réalisations économiques israéliennes, notamment le développement d’un environnement favorable aux affaires et aux investissements étrangers soutenu par une dérégulation de tous les secteurs économiques du pays.

Les griefs arabes envers la République islamique d’Iran
par Tariq Alhomayed
02/11/2007
Les conflits qui sévissent au Moyen-Orient sont-ils le résultat d’une crise dans les relations entre Washington et Téhéran ou le produit des ambitions expansionnistes de l’Iran et de son interférence dans les affaires arabes depuis plus de vingt ans, demande Tariq Alhomayed, rédacteur en chef du quotidien Asharq al-Awsat(*).

Dans un éditorial publié le mois dernier dans l’influent quotidien pan-arabe imprimé à Londres, le journaliste saoudien offre en guise de réponse une liste de griefs arabes envers ’Iran - un rappel que la montée en puissance du régime chi’ite inquiète d’abord et avant tout ses voisins arabes immédiats.

L’Iran, soutient Alhomayed, « occupe les îles des Émirats arabes unis dans le Golfe arabe [sic], tandis que les collaborateurs iraniens déchirent Beyrouth en deux, tout en cherchant à y restaurer l’occupation syrienne sous tutelle iranienne ».

De plus, dénonçe-t-il, Téhéran occupe le cœur de l’Iraq et ses prériphéries et constitue « l’épine dorsale du Hamas, qui est responsable de la division des rangs palestiniens ». Pis encore, l’Iran parlerait désormais au nom de la cause palestinienne, laquelle l’ancien président iranien Hashemi Rasfanjani tentait encore tout récemment d’incorporer dans le lexique de la Révolution islamique afin de galvaniser l’opinion publique iranienne et de recruter des terroristes.

L’Iran, continue Alhomayed, s’ingère dans les élections d’États arabes, notamment au Bahreïn, qu’un conseiller du Guide suprême iranien a jugé inséparable de l’Iran plus tôt cette année.

Alhomayed accuse aussi l’Iran d’embrasser certains leaders d’Al-Qaïda, de perturber les relations entre le Pakistan et l’Afghanistan, ainsi que de de provoquer et d’orchestrer des conflits sectaires dans la région, la « noyant dans une mer de sang ».

Mais c’est le programme nucléaire iranien qui préoccupe le plus Alhomayed. L’Iran, qui s’apprête à « dévorer l’Iraq » avec le soutien de la Syrie, gagnera encore davantage de puissance de sa nucléarisation pour dominer la région et faire main basse sur le pétrole irakien, prévient-il.

Alhomayed conclut en soutenant que l’heure n’est plus aux négociations avec l’Iran, mais à la formation d’une coalition internationale pour contrer la course aux armes nucléaires de l’Iran. Négocier avec Téhéran, écrit-il, envoie un mauvais signal à Téhéran et annonce de nouvelles crises prolongées dans la région.

Déploiement en Israël du premier réseau de recharge de véhicules électriques
par Comité Québec-Israël
20/11/2007
Les délais d’attente pour la recharge des batteries constitue l’un des principaux défis au développement de l’automobile électrique comme alternative viable aux véhicules à carburant.

Ce défi, l’Israélien Shai Agassi, ancien directeur du géant européen des progiciels de gestion intégrée SAP, a entrepris de le relever en lançant en octobre dernier Project Better Place.

Cette société prévoit déployer à travers le monde des « infrastructures de points de recharge électrique automobile et de stations d’échange de batteries », rapporte le journal économique Les Échos dans son édition du 20 novembre.

La première infrastructure d’alimentation sera déployée l’an prochain en Israël avec la collaboration du gouvernement israélien et du constructeur automobile français Renault qui fournira ses modèles électriques Mégane et Kangoo. Project Better Place prévoit que ses infrastructures permettront le déploiement mensuel de 10 000 nouvelles voitures électriques à compter de 2010, signale le journal français.

Le service de recharge, qui sera disponible sur abonnement, reliera ses clients à un réseau national de points de recharge et de stations d’échange de batteries. Une fois stationnée, le véhicule se synchronisera automatiquement avec le réseau électrique de la société pour recharger la batterie. Lors de longs trajets, le client échangera sa batterie dans des points de service contre une batterie chargée à plein.

La société Project Better Place compte parmi ses investisseurs le holding Israel Corp., Morgan Stanley et Edgar Bronfman Sr. Le président israélien Shimon Peres est un des conseillers de la société.