CULTURES ET TRADITIONS JUIVES :  DARNNA.COM
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..sur les Traces des Tsaddikim au Royaume du Marroc
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 01 mai 2012 : 19:22

..sur les Traces des Tsaddiikim
au Royaume du Marroc


Vous présentent un reportage extraordinaire
Sur les traces des Tsaddikim au Royaume du Maroc
(Documentaire audiovisuel)

Lieu de tournage : Maroc
Format de tournage : HD 1080p
Genre : Documentaire



Lettre d'intention du film :

Les communautés juives, installées au sud du Maroc depuis plus de 2000 ans, ont perduré.

Commerçant avec les tribus berbères, ces communautés ont prospéré et se sont considérablement développées avec les civilisations arabo-andalouse à partir du VI ème siècle.
Après le départ des Juifs du Maroc en Terre Sainte et dans le monde, les différentes communautés juives d'origine marocaine comptent désormais plus d'un million de membres à travers le monde.
Bien que séparé de la majorité de ses juifs marocains, le Royaume du Maroc reste un lieu de pèlerinage puisant les origines d'un passé lointain et de mythes très anciens.

Près de 650 Saints (dont une trentaine de femmes) reposent dans les villages berbères à travers le Maroc. La vénération de saints personnages, le pèlerinage à leur sanctuaire et le recours à leur protection reste l'une des caractéristiques culturelles la plus importante du Royaume du Maroc. C'est par le pèlerinage, pendant la Hilloula que le pèlerin exprime son attachement au saint de prédilection. Ces lieux sacrés sont autant vénérés par les Musulmans que par les Juifs et servent de ciment culturel entre les communautés.

Qui sont ces Saints ? Dans quelle région ont-ils vécu ? Pouvons nous trouver des témoignages du passé ? Y a t-il eu des miracles ? Quel lien y a t-il entre les berbères et les Juif du Maroc ? Comment le Maroc a t-il su préserver ces lieux cultes ?
Pendant prés de 2000 ans, Musulmans et Juifs ont cohabité ensemble. Ce comportement exemplaire suscite notre attention et nous entraine sur les traces des Tsaddikim au Royaume du Maroc.


Important :

Ce documentaire pourra être réalisé de deux façons.

- 1 film de 52 minutes regroupant plusieurs régions, saints, intervenants, lieux cultes et lieux de
pèlerinages. Avec l intervention de hautes personnalités. Il devra apporter une réponse globale aux téléspectateurs.
- Plusieurs films de 13 minutes reprenant une trame identique pour chaque film :
Une région, un Saint... Une histoire.

« Sur les traces des Tsadikim… »

SYNOPSIS
Ce film se devra d’être chaleureux, convivial avec une pointe de mysticisme. Nous profiterons également de l’occasion
pour faire découvrir les régions berbères dans lesquelles les Tsadikim (Saints) ont vécu.

Les Berbères vivent souvent dans des régions très reculées. Nous emprunterons tous les chemins et moyens de locomotion
possibles (dos d’âne, carrosse, chameaux, pied..) et feront partager cette façon de vivre qui ne sera pas sans rappeler
celle de nos ancêtres.

Nous tenterons de créer un climat d’hospitalité en nous faisant inviter chez l’habitant.

En buvant le thé ou en mangeant une spécialité locale autour d’un feu ou dans un lieu saint, nous créerons une atmosphère
pleine de nostalgie et d’émotion en écoutant les histoires et miracles transmis de père en fils.

Nous nous rendrons sur les lieux saints et tenterons de capturer à l’image des rituels et des moments sacrés dans les
lieux de pèlerinages telle que les Hillouloth qui apporteront une note énigmatique et spirituelle à notre film.

Toutefois, l’intervention de personnalités sera nécessaire pour apporter des réponses historiques et sociales à notre film
(histoire, journaliste, Rabbin, Ministre, Conseiller..)
Régions de tournage :
Haut Atlas, Moyen Atlas, région de Marrakech Tensif El Haouz, Fès, Essaouira


Liste des Saints :

Rabbi David Draa Halévy (Demnate – Haut Altas)
Rabbi David Ou Moche (Agouim)
Rabbi David Laskar
Moulay Ighi (Haut Atlas)
Rabbi Chlomo Bel Hench (Ourika)
Rabbi Daniel Hashomer (Route de Ouarzazate)
Rabbi Haïm Pinto (Essaouira)
Rabbi Yaacov Abuhatsira (Tafilalet)
Rabbi David Ben Baroukh (Taroudant)
Rabbi Amrane Ben Diwane (Ouezzane)
Rabbi Aharon Hacohen (Debdou)
Rabbi Abraham Moul Ness (Azemmour)
Sidi Moul El Berj (Ntifa – Bzou)
Lalla Solika (Fès)
Rabbi Mizrahi(village de Shems)
Rabbi Raphaël ha Cohen (village de Touama 32 km de Marrakech).


Hautes Personnalités :

- Ministre des Affaires Etrangères
- Ministre des Habous et des Affaires Islamiques
- Rabbi David Pinto
- M. Serge Berdugo, Secrétaire Général du Conseil des Communautés Israélites du Maroc
et Ambassadeur Itinérant du Roi
- M. André Azoulay (Conseiller du Roi)
- M. Armand Abecassis, écrivain et professeur émérite de Philosophie
- M. Majdi Hassan (Auteur d’une thèse de doctorat sur les Tsadikim du Maroc)
- Famille Berrada (famille musulmane vénérant les Saints Juifs).
Sur les Traces des Tsaddikim 1 série de 15 films de 13 minutes :
chaque film sera diffusé 2 fois par jour sur 2 semaines


Budget Parrainage

5/6 secondes ouverture et fermeture du film accompagnée d’une voix off 12.500 €

Budget Partenariat

mentionnera votre logo/site internet en final cut du film 4.000 €


In memoriam
Vous dédiez un Saint, une Région de votre choix à un membre de votre famille. Le nom est cité en voix off et écrit sur l’écran en début de film dans le générique. 20 Vidéos personnalisées du reportage vous seront offertes 3.500 €. Ces bugets comprennent la réalisation et la diffusion.




..sur les Traces des Tsaddikim au Royaume du Maroc / Au Maroc, des juifs venus d'Israël prient leurs saints en toute tranquilité
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 12 mai 2012 : 16:35

Au Maroc, des juifs venus d'Israël prient leurs saints en toute tranquilité



Ce titre du NouvelObs me fait sourire, car pour nous juifs originaires du Maroc ou musulmans marocains cela va de soi, 2000 ans de vie commune,
On connait le respect que tous ont pour les Saints, et l'attache reciproque que nous et encore plus nos parents, nos grands parents juifs, berberes, ou musulmans avaient les uns aux autres.
Mais pour les jeunes generations il est important de connaitre un mode de vie respectueux de l'Autre quel qu'il soit. Voici donc cet article du N.O.




Ils n'ont pas osé aller en pélerinage en Tunisie par crainte du printemps arabe. Mais au Maroc, où les islamistes sont pourtant aussi au pouvoir, des juifs d'Israël n'ont pas eu peur de venir cette semaine vénérer leurs saints en toute tranquilité.

Comme chaque année, quelque 5.000 juifs - la plupart d'origine marocaine -sont venus de tous les coins du monde, et notamment d'Israël, pour rendre hommage aux 1.200 saints enterrés dans cette terre d'islam qu'ils "aiment", priant à l'unisson pour la "paix et la cohabitation entre les deux religions" au Moyen-Orient.

Le plus important des sanctuaires juifs au Maroc est celui d'Amran Ben Diouane, un saint vénéré qui repose depuis 250 ans au dessus des montagnes de Ouazzane (200 km au nord de Rabat).

"Mille saints reposent au Maroc, l'un des lieux les plus importants au monde avec un pélerinage qui dépasse les cinq mille personnes", explique Jacob Tordjamn rabin de Tanger (nord).

Le sanctuaire Amrane Ben Diouane, planté dans un cimetière juif, se dresse au milieu de plusieurs hectares d'oliviers.

Sous surveillance policière, son accès est autorisé aux seuls Marocains dûmement munis d'une autorisation délivrée par la communauté juive du royaume.

Sous une chaleur de 42 degrès cette semaine, un juif venu d'Israél sursaute quand on lui demande s'il prie aussi Dieu pour réconcilier Israéliens et Palestiniens.

"Mon frère que tu sois juif, arabe ou musulman nous voulons tous la paix, laisse moi prier", répond-il devant la tombe supposée être celle du saint Amran.

Le pélerinage dans ce sanctuaire, commencé jeudi s'achève samedi soir après le Shabbat.

Durant ces cinq jours de prières, les pélerins fortunés dorment dans de petites villas, les autres couchent dans des maisonnettes au toit de zinc.

Sous un immense olivier, ils défilent chaque jour, jetant des cierges sur un énorme bûcher allumé à même la tombe d'Amran Ben Diouan. "Un homme pieux, intègre, bienfaiteur, bon" lit-on sur une plaque ornant la façade d'une synagoque.

Au premier soir, un fidèle a fait la ronde offrant du whisky à gogo à l'assistance: "buvez mes frères, je commémore aujourd'hui la mort de mon père en souhaitant la paix", crie-t-il à tue-tête.

Près de lui, un juif orthodoxe, Mahmane Bittgoun "venu de Jérusalem" lance un son puissant à travers une corne. "C'est pour amplifier les prières et la bénédiction", assure-t-il. Les femmes l'encouragent en poussant des youyous.

Il s'arrête un moment de jouer sur cet instrument qui remonte à la nuit des temps, et invite l'assemblée à écouter sa conversation téléphonique établie par gsm avec des pélerins du temple Mirone, un saint enterré près de Tel-Aviv.

"Ils sont maintenant 130.000 pélerins à Mirone, ils vous saluent, prient pour vous et vous demandent de prier pour eux à travers Amran Ben Diouan", lance-t-il le front en sueur.




Rabbi Abraham Aouriouer
Posté par: aaron (IP enregistrè)
Date: 01 mai 2013 : 14:44

La communauté juive marocaine célèbre le Moussem annuel de Rabbi Abraham Aouriouer



Les membres de la communauté juive marocaine, originaires de Settat et de Casablanca, ont afflué en grand nombre au site Moualine DAD près de Settat pour célébrer, comme chaque année, la fête de la Hiloula au Mausolée du Saint Rabbi Abraham Aouriouer, dans un climat de piété, de spiritualité et de recueillement.

Comme à l’accoutumée, cette célébration a connu une forte présence de juifs marocains, venus des quatre coins du monde pour prendre part à ce rendez-vous spirituel, qui traduit leur attachement à leur pays d’origine et à ses valeurs culturelles et civilisationnelles.
De nombreux Marocains de confession juive ont exprimé le fort attachement de la communauté juive marocaine à leur mère patrie, le Maroc, lors d’une cérémonie organisée dimanche sur le site Moualine DAD, en présence notamment du wali de la région Chaouia-Ouardigha, gouverneur de la province de Settat, M. Bouchaib El Moutawakil, du président du Conseil provincial, de responsables de la communauté juive de Casablanca, du président des lieux saints du site Moualine DAD, et de représentants des autorités locales,

Le pèlerinage de cette année a été marqué par une forte présence de jeunes. «Nous avons fait venir cette année plusieurs jeunes pour pérenniser les liens que tissent les juifs marocains du monde avec leur pays, a souligné à la MAP, Gabriel El Harare, responsable de la communauté juive à Casablanca. Et d’ajouter que les pèlerins juifs ont vécu, lors de cette manifestation, des moments forts de spiritualité et de recueillement, ponctués de prières.
Intervenant à cette occasion, le wali de la région de Chaouia-Ouardigha, gouverneur de la province de Settat, a souligné que la célébration par la communauté juive marocaine de la hilloula du Rabbi Abraham Aouriouer a fait de ce lieu un espace de tolérance, mettant l’accent sur l’attachement de cette communauté à sa mère patrie, le Maroc et son loyalisme à S.M. le Roi Mohammed VI.

hilloula rabbi Amram Ben Diwan
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 15 mai 2015 : 19:43

La Hiloula: Amram Ben Diwan, le saint de Ouazzane, reçoit ses fidèles


Très peu connue, Asjen est une commune de quelque 14.000 habitants à peine. Ici, à quelques kilomètres de Ouozzane, c’est l’agriculture d’abord qui prime. Mais un mausolée s’y dresse, attirant un grand nombre de touristes, une aubaine pour cette population agricole. Il s’agit de la tombe d’un des plus importants saints de la tradition juive ensevelis au Maroc, Rabbi Amram Ben Diwan, décédé il y a 233 ans. Sa tombe est installée au milieu d’une oliveraie de plusieurs hectares composée de milliers de plants. Seuls les juifs y ont accès et y célèbrent chaque année la Hiloula, fête dédiée dans la tradition juive aux saints ensevelis au Maroc. Chaque année, et pour fêter la date de l’anniversaire du décès de ce Rabbi, c’est un pèlerinage presque obligé vers la petite commune d’Asjen. Sa date varie au fil des ans selon le calendrier juif, mais cette année elle coïncide avec le soir du mercredi 6 mai. Des pèlerins venant des quatre coins du pays et d’ailleurs empruntent une route très peu fréquentée habituellement. Autour du mausolée un petit cimetière juif et quelques demeures qui servent de maisons d’hôtes à tous ces pèlerins juifs. Certains ont préféré carrément acheter leur propre maison qu’ils occupent à chaque commémoration du décès du Rabbi ou encore les mettre à la disposition des pèlerins qui la réservent à l’avance.

Pour ceux qui arrivent la première fois, le mausolée frappe par sa simplicité. La tombe est placée à l’air libre, elle est formée d’un monticule de pierres ombragées par un olivier millénaire. «Simplicité et humilité, tels sont les symboles que Rabbi Amram Ben Diwan voulait transmettre», explique Pinhas Abittal rabbin installé à Jérusalem et dont la famille, originaire de Casablanca était partie en Israël en 1963. «Chaque année, ma famille tient à rendre hommage à ce saint» explique-t-il. Malgré la distance, ils sont profondément attachés au Maroc, tel Moshe Kohen, juif né en Iran qui même s’il a obtenu la nationalité israélienne affirme ne pas arriver à quitter le royaume, trop attaché à ses racines. Pour Kohen, le pèlerinage vers la tombe de Rabbi Amram Ben Diwan est un moment de recueillement mais aussi de rencontre. Comme eux, ils sont nombreux à revenir d’Israël accomplir ce pèlerinage mais ils ne représentent qu’une partie du millier de pèlerins venant d’autres pays dont la France, le Canada ou même l’Espagne et Gibraltar, selon Alloun Sami, président du Saint Vénéré Rabbi Amram Ben Diwan, comité en charge du site.

Mais le gros du groupe demeure les juifs du Maroc, ceux de Casablanca en tête où une importante communauté israélite est installée. Ce lien avec les racines marocaines est indéniable et on le retrouve dans tous les discours et dans toutes les bouches des pèlerins visitant la tombe de Rabbi Amram Ben Diwan. Ce qu’ils apprécient aussi, outre l’hospitalité, c’est la sécurité et la stabilité qu’offre le pays ainsi que l’implication des autorités qui veillent au confort des pèlerins, indique Sami. Au fur et à mesure que la soirée du mercredi avance, le nombre de pèlerins augmente. Dès leur arrivée au site, ils s’approchent de la tombe et allument des bougies qu’ils posent sur les pierres qui la forment. Au milieu de la soirée, la lueur et les flammes issues de la cire fondue emplissent l’air. Certains pèlerins prennent des paquets entiers de bougies qu’ils jettent dans le feu dont les flammes atteignent rapidement les branches de l’Olivier qui l’ombrage, protégé par la «baraka» du saint. Visage en larmes, beaucoup d’entre eux psalmodient des vœux.

Rabbi Amram est réputé pour ses miracles, comme tous les hommes saints et les pèlerins espèrent que leur visite leur apportera santé et prospérité. Toutes les générations semblent représentées, enfants, adultes, vieux âgés en costume traditionnel et la tête couverte, mais aussi un bon nombre d’adolescents en baskets.
Une femme âgée originaire de Casablanca lance une ode pour le saint en dialecte marocain qui commence par ces mots évocateurs: «Sidna Rabbi Amram Moul Chejra, idawi Rajel wel Mra» qui traduits veulent dire «le saint à l’arbre, celui qui guérit hommes et femmes».

Mais les vœux et les prières ne se limitent pas aux cas individuels. Un rabbin explique qu’il prie pour la paix dans le monde et au Moyen-Orient en particulier. Entre temps les offrandes de bougies continuent. Certains en rapportent avec eux, mais le gros est acheté sur place. "C’est par dizaines que les bougies sont écoulées", explique Saïd en charge de leur vente au Mausolée. Au total plus de 30.000 bougies auront été brûlées en l’honneur de ce saint.
Un peu plus loin, on remarque une odeur de barbecue rappelant la fête du mouton. En s’approchant, des bras accueillants vous indiquent de vous asseoir et de vous joindre à eux, c’est le «barouk» du saint, un dîner offert en l’honneur du Rabbi aux pèlerins et aux passants.
Entre-temps, l’afflux continue. Des minibus et des autocars sont arrivés dès la tombée de la nuit. Il s’agit de pèlerins venus en avion et qui font le tour de différentes tombes des saints juifs du Maroc. Selon la tradition, le Maroc en compterait plus d’un millier.

Après l’office du soir, ou Arvith, qui a lieu dans la synagogue en face de la tombe, une grande soirée avec orchestre est organisée dans une salle attenante. Animation et dîner font partie du programme, mais aussi une vente aux enchères de différents objets portant la «baraka» du Saint comme le Menorah ou chandelier juif ou des habits pour nouveau-nés. Les enchères s’envolent et le chandelier trouve vite acquéreur pour 60.000 dirhams. Les recettes serviront pour assurer l’entretien du site, assurent les membres de l’équipe d’organisation.

Au pied de la tombe, les offrandes de bougies ne cessent pas et la musique au rythme des derboukas continue d’entrecouper les prières des pèlerins dans une ambiance très festive qui s’avance tard dans la nuit. Ce n’est qu'à l’approche du petit matin que l’ambiance se calme, suivie par l’appel du Muezzin qui rappelle que nous sommes en terre d’islam, terre d’accueil, de paix et de tolérance.

Qui est Amram Ben Diwan?

C’est au milieu du dix-huitième siècle que Rabbi Amram Ben Diwane est arrivé au Maroc. Il fut envoyé par les rabbins d’Hebron, (Al Khalil) pour collecter des dons de l’importante communauté juive installée au Maroc afin de financer les écoles juives, les Yechivot. Il s’installa à Ouazzane où il fonda une école, suivi par de nombreux disciples. La tradition lui attribue de nombreux miracles comme celui de guérir certaines maladies et même l’infertilité.

Tourisme religieux, une niche à exploiter

Cette année, les pèlerins juifs devaient être un peu plus nombreux au Maroc, même si le manque de chiffres officiels ne permet pas de le confirmer. En effet, selon Alloun Sami, les récents attentats au musée du Bardo ont affecté négativement le nombre de pèlerins en direction de l’île de Djerba et de la Synagogue de Ghriba, haut lieu de la tradition juive en Tunisie et l’un des plus importants au nord de l’Afrique.

Pour voir les photos appuyer sur: [www.leconomiste.com]



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