Le calvaire de Ron Arad,s'il est vivant,est la manifestation de la cruauté des dirigeants arabes.Il faut espérer que les nôtres ne finiront pas par abandonner nos trois absents,et que le peuple ne les laissera pas se contenter de compromis qui ne mettraient pas au premier plan leur libération.
Je voudrais rappeler le sort des soldats marocains,prisonniers du Polisario
pendant plus de 30 ans,preuve que cette inhumanité ne fait pas de différences.Un de ces officiers est le fils d'un condisciple qui en est mort.

LES SOLDATS ISRAELIENS DISPARUS

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Depuis la création de l'état d'Israël en 1948, plus de 400 soldats israéliens ont été déclarés disparus au combat. Seulement quatre de ces cas sont officiellement considérés "soldats disparus mais présumés vivants".

Trois de ces soldats, Zachary Baumel (un citoyen américain), Tzvi Feldman et Yehuda Katz ont été capturé en 1982. Le quatrième, Ron Arad a été capturé en 1986. Au fil des années, un constant débit d'information nous indiquait qu'au moins certains de ces soldats en captivité sont vivants et sont prisonniers des syriens et des iraniens. Malgré tous les efforts diplomatiques et militaires de six gouvernements israéliens successifs, peu de progrès ont été réalisés dans le but de déterminer le sort de ces soldats disparus. Récemment, deux noms ont été ajoutés à la liste des disparus et présumés vivants. Le 17 Août 1997, Guy Hever, a disparu de sa base militaire au Golan. Le 15 octobre 2000, le Hizbullah a annoncé qu'un autre citoyen israélien un officier réserviste agé de 54 ans, Elchanan Tannenbaum a également été capturé. Cette question est d'une grande importance en Israël où presque chaque famille a un des siens qui est de service dans l'armée. Même si les États-Unis d'Amérique et d'autres pays ont souffert et ont vécu leurs propres problèmes relatifs à leurs soldats disparus au combat, Les israéliens en raison de facteurs, religieux, historiques et culturels sont particulièrement sensibles à la question. Dans la tradition militaire israélienne, des risques substantiels ont été pris rien que pour le retour de corps de soldats morts au combat. Cette question donc, continue de faire couler beaucoup d'encre en Israël où même des élèves d'âge scolaire connaissent les noms et l'histoire personnelle de chacun des soldats disparus. L'organisation internationale pour les Soldats israéliens disparus au combat (ICMIS), a travaillé inlassablement en Israël et à l'étranger pour ces hommes et leurs familles. La coalition est une organisation non partisane sans but lucratif vouée à maintenir cette cause humanitaire à l'ordre du jour sur la scène internationale. Des sondages Gallup ont démontré que ICMIS représente le plus vaste consensus dans la société israélienne en demandant que la question des soldats disparus soit résolue d'entrée de jeu dans toute négociation de paix entre Israël et ses voisins arabes. Au cours des 7 dernières années, Israël a libéré des milliers de prisonniers palestiniens qui était détenus dans ses prisons. Il est grand temps que tous les fils d'Israël en captivité dans des pays arabes reviennent chez eux.

Jeudi matin, la télévision libanaise LBC a diffusé un autre extrait d’une vidéo montrant Ron Arad, le pilote israélien capturé au Liban il y a vingt ans. Dans l’extrait, on entend Ron Arad s’exprimer en anglais : « Je suis un soldat de l’armée israélienne. » Dans la vidéo, Arad donne des détails supplémentaires sur sa vie, qui n’ont pas encore été diffusés.

Au début de la semaine, LBC avait promis de diffuser la vidéo dans laquelle on voit et on entend le pilote kidnappé. Le clip promotionnel, diffusé lundi, montrait la bataille de 1986, l’hélicoptère de secours, et Ron Arad lui-même assis en train de parler. Le contenu des informations présentes dans le film n’est pas déterminé.

Dans un nouveau "clip promotionnel", diffusé avec les séquences de Ron Arad ce jeudi matin, la station de télévision a aussi diffusé les images d’un autre enlèvement de soldats israéliens, celui d’octobre 2000, au cours duquel les soldats Adi Avitan, Omer Soued et Binyamin Avraham avaient été kidnappés. Ils ont annoncé la diffusion d’une vidéo sur le rapt de ces trois soldats sur le mont Dov en l'an 2000.

La vidéo est une exclusivité de la LBC. La chaîne de télévision libanaise, qui est la propriété d’un Saoudien, est associée avec des factions chrétiennes du Liban. La vidéo aurait été transférée à la station de télévision par l’intermédiaire d’un parti chiite, proche à l’époque du Hezbollah. Il est cependant étonnant qu’un tel parti transfère une vidéo à une station affiliée à des chrétiens.

Des sources proches de la famille Arad ont confirmé l’authenticité des images, mais ne sont pas en mesure pour l’instant d’en tirer les conséquences. Chen Arad, le frère du pilote, et un représentant de la fondation « Né pour la liberté » ont déclaré que la famille n’avait reçu aucune information de la fondation sur cette nouvelle vidéo.

Source : Le CRIF 22/09/06

Une campagne mondiale pour la libération des soldats otages

Les semaines passent, les rumeurs courent, les démentis se succèdent et, face au mutisme des ravisseurs, l’horizon demeure complètement bouché quant au sort des soldats israéliens, Guilad Shalit, Oudi Goldwasser et Eldad Regev.
À l’initiative de Roger Pinto, président de Siona, le CRIF, le CJE et Siona ont décidé de lancer une campagne mondiale de sensibilisation.
Une réunion préparatoire s’est tenue le 21 septembre 2006 en présence de plusieurs représentants d’associations parmi lesquels Nicole Guedj, ancien ministre, représentant le Consistoire Central et le Consistoire de Paris.
Jean-Pierre Allali, membre du Bureau Exécutif, représentait le CRIF.
Roger Pinto, en relation constante avec les familles des trois otages a tenu à préciser qu’on ne disposait à l’heure actuelle d’aucune information sûre concernant les soldats et qu’un premier résultat, face à des ravisseurs inflexibles qui entretiennent un secret absolu, serait d’avoir des nouvelles fiables et vérifiables.
Trois mille affiches en couleur ont été imprimées. Elles serviront de support visuel à la campagne qui se prépare. Toutes les communautés seront sollicitées à travers le pays, des audiences ont été demandées auprès de responsables politiques européens et le soutien d’autorités morales sera requis. Un périple en bus avec des arrêts symboliques dans des lieux prestigieux de la capitale devrait conduire plusieurs centaines de personnes en direction du Parlement Européen.

Nous souhaitons tous que les prochaines fetes, ils les passeront avec leur famille. Amen
Amities cher Gilou

Léon