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Boycotts
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 16 juillet 2013 : 13:28

L'union europeenne enterine officiellement la decison de boycotter les produits israeliens.La formulation exigée aux entreprises commerciales est la copie conforme des mesures de la ligue arabe des années 70,et en fait ce boycott concerne tout Israel et pas seulement les "territoires".En effet chaque contrat doit porter l'engagement que ces produits ne sont pas originaires de "territoires situés au-delà des "frontières" de 1967 incluant Jerusalem est".Un tel engagement est en principe interdit par la CCI.
En 1973,il etait interdit de mentionner des reserves concernant Israel dans les contrats et ce fut Raymond Barre qui les autorisa.
Ainsi,l'UE prejuge des resultats d'une negociation eventuelle entre les parties concernées.Elle se trompe comme toujours et elle en paiera le prix,dans tous les domaines,politiques ,commerciaux et surtout celui de la morale et des valeurs democratiques.

Boycotts
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2013 : 10:42

Excellente reponse de Natanyahou au diktat de l'Union Europeenne :

« Je m'attendrais à ce que ceux qui veulent vraiment la paix et la stabilité dans la région discutent de cette question après avoir résolu des problèmes régionaux plus urgents comme la guerre civile en Syrie ou la course à l'armement nucléaire de l'Iran. En tant que Premier ministre d'Israël, je ne laisserai aucun mal arriver aux centaines de milliers d'Israéliens qui vivent en Judée et en Samarie, sur le plateau du Golan et à Jérusalem, notre capitale réunifiée. Nous n'accepterons aucune diktat venu de l'extérieur concernant nos frontières. Cette question sera décidée uniquement au cours de négociations directes entre les parties ».

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Ceci dit, voici ce qu'ecrit l'AJCI sur Dreuz.info : "certains Etats membres de l’UE sont particulièrement mal placés pour donner des leçons en la matière à Israël. La France n’a toujours pas décolonisé ses territoires d’outre-mer et se refuse à aborder le dossier corse. Le Royaume-Uni occupe encore et toujours les territoires de Gibraltar, des Malouines et le Nord de l’Irlande entre autre. L’Espagne occupe les territoires nord-africains de Ceuta et de Melilla notamment. Les Pays-Bas occupent le Surinam en Amérique du Sud. Le Danemark occupe entre autre le vaste territoire du Groenland."
[www.dreuz.info]

Quel acharnement et quel indecence dans ce parti-pris alors que les europeens ont bien d'autres chats a fouetter actuellement.




Boycotts
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2013 : 11:34

La seule erreur que les Islamo-chretiens continuent de faire dans leur rapport avec le peuple juif est de persister à le considerer comme s'il
etait encore en exil dans leurs pays,impuissant et vulnerable.En lui imposant depuis 2000 ans les lois iniques de l'inquisition et de la charia sans lui laisser de choix,sinon celui de se convertir,ils se sont habitués à le voir soumis.
Au point que la future ambassadrice US à l'ONU pensait qu'il etait necessaire et possible d'intervenir dans le conflit engendré par les Arabo-musulmans en 1948,en envahissant militairement Israel.
Cet acharnement qui les aveugle a une consequence paradoxale.Il les conduit à gerer leurs propres affaires en perpetrant les mêmes erreurs.ce qui les conduira inexorablememt à leur perte,




Boycotts
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2013 : 18:03

Passage à l'antisémitisme d'état

Léon Rozenbaum



Insensiblement, les contradictions entre l'Europe et Israël changent de signe et prennent un tour dramatique. Cela est surtout vrai des rapports entre la France et Israël mais l'Europe entière est concernée.

Le premier vrai changement s'est produit lors du chantage arabe au pétrole dans le cadre de l'agression du Jour de Kippour en 1973. Soudain, les Européens ont bien compris que les Arabes étaient largement capables de leur couper les principales sources d'énergie. Jusque là, ils n'y croyaient pas, et ironisaient même quelques jours auparavant, sur les prétentions de l'OPEP, l'Organisation des Pays Producteurs de Pétrole.


Les Historiens du futur devront étudier comment ce qui n'était d'abord qu'une complaisance, fruit d'une génuflexion devant un chantage sans précédent à l'échelle mondiale et le résultat de la peur panique devant ses effets très concrets, s'est transformé en conviction politique frelatée puis en idéologie nauséabonde qui menace d'engloutir un continent.

Israël, l'Etat souverain des Juifs, ne commet aucun crime d'exister. Tout au contraire, le rétablissement de la souveraineté juive dans son pays, dix-neuf siècles après l'écrasement par l'armée romaine, est le symbole même de l'espérance pour tous les peuples opprimés, exilés et méprisés que le salut collectif est possible et que l'amour de la patrie n'est pas un vain mot.

Il y a déjà une bonne vingtaine d'années, que les Etats de l'Europe occidentale ont démissionné face à l'importation massive de livres, brochures, enregistrements, films, vidéos, tout un matériel antisémite et sa diffusion à grande échelle, sur leur territoire, par l'intermédiaire des mosquées et des divers centres musulmans.

Pourtant, depuis la Shoa, le massacre sélectif de masse des Juifs d'Europe un peu avant le milieu du vingtième siècle, la haine institutionnelle des Juifs n'avait plus bonne presse. Toute une législation, surtout en France, était venue réglementer et sanctionner les atteintes à l'honneur et les agressions physiques contre les Juifs.

La prétendue distinction entre "antisionisme" qui serait le "droit de critiquer Israël" et l'antisémitisme, la haine des Juifs, ne fait plus illusion depuis longtemps. Si le Juif entre les Etats est traité comme il l'est, calomnié et vilipendé sans vergogne, c'est bien parce que l'héritage de l'enseignement du mépris de l'Occident se focalise d'abord, 65 ans après, sur les retrouvailles entre les Juifs, la liberté et la souveraineté. Chassez le naturel, il revient au galop!

Rien n'obligeait l'Occident à se vautrer de nouveau dans l'antisémitisme ni à accepter de se laisser dicter par l'Islam cette perversion si dommageable au monde musulman lui-même et qui, il y a moins d'un siècle, a entraîné la plus grave chute morale de l'humanité, en terre européenne. Les conséquences de cet abandon de soi par l'Occident sont d'abord dramatiques pour lui-même, et l'on voit bien que les valeurs qu'il a apportées au monde sont désormais en péril chez lui.

Mais désormais, une nouvelle étape a été franchie, celle d'un retour surprenant à l'antisémitisme d'Etat. Le prestigieux Musée du Jeu de Paume à Paris accueille en effet ces jours-ci, une exposition prétendument "artistique" qui prétend magnifier les terroristes islamikazes criminels qui se sont fait exploser au milieu de la foule en Israël, provoquant la mort et les blessures de centaines d'Israéliens qui vaquaient paisiblement à leur occupations. Comme par hasard, une manifestation légitime de la Communauté Juive à Paris pour dénoncer ce scandale a été interdite alors qu'une manifestation de soutien des islamistes a été permise et a bien eu lieu.

Ceci s'ajoute à un flot d'incidents, d'une gravité croissante, qui mettent en jeu l'Autorité Publique en France: des mairies font "citoyens d'honneur" des terroristes antijuifs avérés; l'Université de La Rochelle laisse représenter une pièce de théâtre grossièrement antisémite au nom de la "liberté d'expression"; des chaînes publiques de télévision françaises se livrent à une désinformation criminelle sur Israël que ce soit par la diffusion mondiale de la fausse légende du "petit Mohamed" (qui reçoit l'absolution de la Cour de Cassation!) ou par un "reportage" bidon d'un "œil sur la planète" bourré de mensonges; ou encore les déclarations du Consul Général de France à Jérusalem qui ose évoquer lors de la réception du 14 Juillet 2013 les "responsabilités de la France à Jérusalem" au mépris du respect de la souveraineté de l' Etat qui l'accueille dans sa capitale.

Le départ de l'Ambassadeur de France, M. Bigot, qui sera regretté sincèrement par les Israéliens parce que ce dernier a manifesté un réel intérêt pour notre pays et ses habitants, ne doit pas servir de rideau de fumée car tout se passe comme si s'était installé en France un climat d'hostilité foncière et durable à l'égard d'Israël et des Juifs. L'arsenal législatif français contre l'antisémitisme est devenu un vain mot et l'activisme, au départ seulement arabe et gauchiste, contre l'Etat juif souverain est désormais soutenu par les pouvoirs publics.

L'on ne peut se défaire de l'impression que cette évolution est aussi le résultat d'une erreur d'appréciation grossière des Européens des rapports réciproques avec Israël, dans l'espace, le temps, la stratégie et la morale.

Si l'Europe a longtemps été une superpuissance économique, elle l'est déjà beaucoup moins. Mais la "politique" de Catherine Ashton montre bien que l'Europe politique n'a jamais décollé. Depuis la trop fameuse "Déclaration de Venise", les Européens n'ont en effet pu s'entendre que sur un seul sujet: l'anti-israélisme. Le dynamisme économique et technologique de l'Etat d'Israël et la chance qu'il représente pour l'économie européenne devrait inciter les dirigeants de ces pays à plus de modération.

Le temps de l'Europe coloniale appartient au passé, mais tout se passe comme si certaines personnalités en visite au Proche-Orient n'ont pas vraiment intégré cette donnée et se conduisent en donneurs de leçons s'adressant à des "petits nègres". Or nos universités, nos centres de recherche, nos hôpitaux regorgent d'inventions bénéfiques pour la civilisation humaine dans son ensemble, en proportion bien au-delà du chiffre de notre population. Un peu plus de respect ne nuirait pas.

Personne n'ignore d'autre part que l'Etat d'Israël s'est trouvé contraint de bâtir une puissance stratégique non négligeable en termes régionaux et même au-delà. D'une façon générale les Israéliens n'en font pas étalage. Mais chacun devrait se souvenir que l'on ne devrait pas traiter par le mépris la simple concentration de moyens militaires importants, simplement parce qu'ils sont aux mains d'un pays démocratique et responsable.

Le chapitre de la morale n'est pas moins épineux: L'on a bien compris en Israël que les Européens cherchent consciemment ou non à se défausser sur Israël de leurs culpabilités coloniales bien réelles pendant des siècles en Afrique, en Asie et en Amérique, en taxant à tout propos et hors de propos le Israéliens de "colonialistes" et ceux qui sont établis en toute légalité en Judée et en Samarie de "colons" alors qu'en termes de Droit International Public authentique et vérifiable, depuis le Traité de San- Remo, les Juifs peuvent s'établir légalement sur ces territoires. Mais pire peut-être, ces mêmes peuples de l'Europe dont la majorité ont été complices actifs du massacre des Juifs européens entre 1939 et 1945, voudraient aussi se libérer de cette tâche en taxant les Israéliens de "génocidaires" contre les Arabes palestiniens. Or il n'est pas de mensonge plus grossier et plus ignoble.

Il n'est pas possible que l'Europe entière ignore que depuis 1948 et depuis 1967 Israël a tout fait pour parvenir à une stabilisation avec tous ses voisins. Si 20% des Israéliens sont Arabes et jouissent de tous les droits et avantages de citoyens d'un Etat démocratique et si leur niveau de vie est le meilleur de tous les Arabes du monde, si les Arabes palestiniens de Gaza jouissent d'une indépendance totale, si les Arabes de Judée-Samarie jouissent d'une très large autonomie et si les négociations sont bloquées du fait des dirigeants de l'Autorité Palestinienne, comment et pourquoi entend-on de semblables calomnies?

Israël s'est trouvé contraint d'établir une barrière de protection contra le terrorisme suicidaire insane, d'ailleurs efficace, et c'est Israël que l'on condamne! Est-ce qu'un continent entier est devenu fou ou sont-ce les démons si anciens et si prégnants de l'antisémitisme chrétien, et de l'antisémitisme des temps modernes qui ont refait surface?

Nous ignorons en Israël ce qu'il faudrait faire pour enrayer cette évolution néfaste. Cela n'entravera pas, quoiqu'il arrive, notre marche en avant. Nous ne pouvons qu'inviter ceux des Juifs qui vivent encore en Europe à rejoindre le vieux et jeune pays de leurs ancêtres au plus vite. Mais nous pouvons souhaiter aussi une véritable prise de conscience des Européens du caractère dangereux de cette orientation malheureuse.

Léon ROZENBAUM

[danilette.over-blog.com]

Boycotts
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 17 juillet 2013 : 22:12

Ce n'est pas l'influence de l'Islam qui entraine les pays chretiens à renouer avec leur attitude criminelle ancestrale envers les Juifs en general.C'est l'inverse qu'une analyse geopolitique prouve.Dès 1948,le royaume uni,les anglais pour preciser ont encuragé les arabes à refuser violemment l'immigration juive en Palestine.L'Onu,qui ne comportait pas encore une majorité musulmane,a pris le relais en encourageant le statut de refugié hereditaire,spolié de sa terre,habilité à la recuperer.De gaulle en 1967
en tentant de desarmer Israel par l'inique boycott fut celui qui fut le precurseur du boycott arabe de 1973.
Et donc depuis 1948,le soutien au soit disants refugiés devint la source de financement de tous les mouvemants terroristes sous couvert d'un humanitaire devoyé.
Sans ce soutien financier,materiel,moral et social inconditionnel,l'Islam n'aurait jamais pu poursuivre avec succès l'enseignement de la haine qui
devient l'ideologie dominante de l'Occident.

Boycotts
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 26 juillet 2013 : 09:50

La Commission Européenne, partiale, se méprend sur les srontières et viole les principes adoptés par les Nations Unies

Par Maître Bertrand Ramas-Mulhbach



Le 30 juin 2013, la Commission européenne a publié une notice d’information qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours. Il ne s’agit pas d’une directive (dont les effets juridiques seraient opposables), mais simplement d’un document qui pose un cadre d’organisation dans les relations commerciales entre l’Union Européenne et Israël intitulé : « les lignes directrices sur l’éligibilité des entités israéliennes et leurs activités dans les territoires occupés par Israël depuis 1967 ». Ce document vise à priver les entreprises israéliennes implantées en Cisjordanie, des avantages douaniers réservés aux importations en Europe de produits israéliens, dans le cadre des relations commerciales UE-Israël.

Plus précisément, le problème se pose du certificat d’origine des produits commercialisés sur le marché européen : les produits en provenance des implantations juives de Cisjordanie sont étiquetés comme provenant d’Israël, ce que conteste la Commission qui les considère comme importé de « Palestine » (sic). La commission Européenne qui sanctionne le procédé depuis de longues dates sans que cela ne soit suivi d’effet, a décidé de frapper un grand coup (avis aux importateurs du 8 novembre 1997, JO C 338, p. 13 ; Procès‑verbal de la deuxième session du Conseil d’association UE‑Israël du 20 novembre 2001, Avis aux importateurs – Importations effectuées d’Israël dans la Communauté, du 23 novembre 2001, JO C 328, p. 6 ; Avis n° 2005/C 20/02JOCE C 20/2, 25 janvier 2005). Dans l’arrêt Brita rendu le 25 février 2010 (C-386/08), la Cour de Justice européenne a même précisé que les produits en provenance de Cisjordanie ne relevaient pas du champ d’application territorial de l’accord UE-Israël.

La Commission a donc posé 5 premiers principes fondamentaux qui traduisent en réalité, une terrible méprise sur le concept de frontière de « 1967 », une partialité pour les palestiniens et une violation des principes adoptés par les Nations Unies.

Tout d’abord, la Commission pose un principe, concernant les conditions dans lesquelles elle mettra en œuvre les exigences pour l’attribution du soutien de l’UE aux entités israéliennes pour « assurer la conformité des échanges avec le Droit international concernant l’absence de reconnaissance, par l'UE, de la souveraineté d'Israël sur les territoires occupés par Israël depuis Juin 1967 ». La Commission insiste donc sur le fait que les entités israéliennes situées en Cisjordanie ne font pas partie du territoire israélien. Elle procède ainsi par voie d’affirmation, notamment en laissant entendre que la Cisjordanie serait un « territoire palestinien occupé » depuis 1967, ce qui est faux. En 1967, la Cisjordanie dépendait de la souveraineté jordanienne qui l’avait annexée en 1950. C’était donc la Jordanie qui était « occupée » en 1967 (non la Palestine) et qui était concernée par la résolution 242 du Conseil de sécurité (qui exigeait d’Israël un retrait des territoires occupés). Or, lorsque la Jordanie a officiellement renoncé à sa souveraineté sur la Cisjordanie le 31 juillet 1988, elle a cessé d’être occupée dans sa partie occidentale « West bank ». Or, en continuant d’affirmer que la Cisjordanie est occupée, la Commission construit des outils juridiques sur un abus de langage. Par ailleurs, en affirmant que les palestiniens étaient concernés par « l’occupation », la Commission construit son raisonnement sur des données historiquement fausses.


Le deuxième principe définit les territoires occupés par Israël depuis Juin 1967 en l’occurrence, « le plateau du Golan, la bande de Gaza Bande de Gaza et la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est ». La Commission a tellement besoin de se convaincre de la justesse du principe qu’elle le martèle à n’en plus finir. Ce faisant, elle entend rassurer la communauté palestinienne et plus généralement musulmane, mais la méthode Coué n’a jamais fait naître de Droit ni n’a jamais pu en ôter. En 1967 les palestiniens n’avaient aucune prérogative économique ou souveraine sur ces territoires qui dépendaient de la Jordanie (pour la Cisjordanie), de la Syrie (pour le Golan) et de l’Egypte (pour la bande de Gaza). La Commission travestit donc une réalité historique pour l’aménager au détriment d’Israël.

Dans son troisième point, la Commission qui ne sait plus comment convaincre du principe d’occupation israélien des territoires de Cisjordanie (qu’elle considère « palestiniens »), réaffirme : « L'UE ne reconnaît pas la souveraineté d'Israël sur l'un des territoires visés au point 2 et ne les considèrent comme une partie du territoire d'Israël ». Elle insiste alors : elle ne « reconnaîtra aucune modifications aux frontières d’avant 1967 ». Une fois encore, elle se méprend totalement : ne pas admettre les modifications depuis 1967 signifie que la Commission continue de considérer la Cisjordanie comme un territoire « jordanien » alors que la Jordanie, elle-même, y a renoncé. Si la Commission n’est pas informée des modifications intervenues il y a 25 ans concernant la souveraineté de ce territoire, (qui est devenu sans maître), elle ne saurait, par son ignorance, sanctionner Israël.


Le quatrième point mentionne que les lignes directrices ne concernent pas les accords entre l’UE et l’Organisation de Libération de la Palestine ou l’Autorité Palestinienne alors qu’en 1967, l’OLP et l’AP n’exerçaient aucune souveraineté sur la Cisjordanie (ce qui contredit le point précédent). La Commission décide donc de retenir les « frontières de 1967 » pour la seule partie israélienne, non pour les palestiniens alors qu’en 1967, l’OLP n’était alors qu’une organisation terroriste et l’AP n’existait pas. Le parti pris de la Commission est une nouvelle fois manifeste.

Enfin, le cinquième point traite des avantages financiers attribués à des « entités israéliennes ou à leurs activités dans les territoires occupés par Israël depuis Juin 1967 »…La Commission retient le critère des « frontières de 1967 » pour priver les entreprises israéliennes des avantages douaniers mais refuse de le retenir pour les palestiniens alors qu’ils n’existaient pas en tant qu’entité souveraine en 1967.

Il était bien normal que Benjamin Netannyahou se soit élevé contre ce « diktat de la pensée européenne » qui repose sur des principes historiquement faux, tendancieux pour la partie palestinienne, et contraire aux principes posés par les Nations Unies.

En effet, la Commission dispose certes, de prérogatives en matière douanière avec les accords conclus par l’UE, le 20 novembre 1995 avec Israël et celui signé avec l’OLP le 24 février 1997, qui se réfèrent aux frontières dites de « 1967 ». En réalité, non seulement la Commission prend une position partisane anti-israélienne mais en outre, elle oublie que le Hamas de la bande de Gaza ne se sent en rien lié par les engagements pris par l’Autorité Palestinienne, et enfin que la Palestine n’a été reconnue comme Etat (non membre de l’Onu) que le 29 novembre 2012, et ce, sans frontières particulière. La Commission tente ainsi de conférer à la Palestine, des frontières internationales que les Nations Unies ne lui ont pas données.

Les palestiniens jubilent déjà à l’idée de voir l’UE refuser les certificats d’origine des produits en provenances des implantations juives de Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est, et caressent même l’idée de gérer ces certificats. Toutefois, en cautionnant le « Boycott », en se méprenant sur les faits historiques, en faisant preuve de partialité et en violant les principes de l’institution, la Commission affiche son parti-pris idéologique avant le respect des règles de libre-échange.

[www.lessakele.com]

Boycotts
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 26 juillet 2013 : 10:28

Pour la première fois.Israel va prendre des mesures de retorsion intelligentes.Les aides substantielles de l'UE pour la realisation de projets sociaux et economiques des Arabes en Judée Samarie vont être suspendues.Decision dont les effets seront devastateurs pour les populations.Et probablement pour les financements de projets moins avouables de Abbas.



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