TEMPS MODERNES :  DARNNA.COM
Sujets divers, humour & actualites 
La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 24 mars 2010 : 17:51

Un article a lire car tres interessant ! Une seule et importante objection que je pourrais omettre, c'est que Tsipi Livni, accusee a tort par Caroline Glick du Jerusalem Post, (journal positionne a droite) d'appartenir a l'"extreme gauche", est loin de l'etre reellement car son parti est le parti "Kadima" de Ehud Barak et de tant d'autres qui n'ont rien a voir avec l'extreme gauche


La guerre d’Obama contre Israël

Par Caroline B. Glick |


Jerusalem Post - Adaptation française de Sentinelle 5770 ©



Obama déclare avoir lancé une guerre politique contre Israël dans l’intérêt de la paix. Mais cette déclaration aussi, ne résiste pas à l’examen. Pourquoi le président Obama a-t-il décidé de fomenter une crise dans les relations des USA avec Israël ? Certains commentateurs ont clamé que c’est la faute d’Israël. Comme ils le disent, la nouvelle qu’Israël n’a pas interdit la construction juive à Jérusalem – après avoir de façon répétée refusé d’interdire une telle construction – a conduit Obama à un accès de rage incontrôlée dont il doit encore se calmer.

Bien que populaire, cette déclaration n’a pas de sens. Obama n’est pas surnommé « Obama au sang froid » pour rien. Il n’est pas crédible d’arguer que la décision du bureau de planification local de Jérusalem d’approuver la construction de 1.600 unités de logements à Ramat Schlomo ait conduit l’Obama au sang-froid dans une crise de rage contre le Premier Ministre Benyamin Netanyahou.

Obama déclare lui-même qu’il a lancé une guerre politique contre Israël dans l’intérêt de la promotion de la paix. Mais cette déclaration aussi, ne résiste pas à l’examen.

Vendredi, Obama a donné l’ordre à la secrétaire d’Etat Hillary Clinton de présenter à Netanyahou un ultimatum en quatre parties.

■ D’abord, Israël doit annuler l’approbation des unités de logements à Ramat Schlomo.

■ Ensuite, Israël doit interdire toute construction pour les Juifs dans les quartiers de Jérusalem construits depuis 1967.

■ Troisièmement, Israël doit faire un geste envers les Palestiniens pour leur démontrer leur volonté de paix. Les USA suggèrent la libération de centaines de terroristes palestiniens des prisons israéliennes.

■ Quatrièmement, Israël doit donner son accord pour négocier toutes les questions essentielles, y compris la partition de Jérusalem (incluant les quartiers juifs construits depuis 1967 qui sont désormais le foyer de plus d’un demi million d’Israéliens) et l’immigration de millions d’Arabes étrangers hostiles en Israël sous la rubrique du soi-disant « droit au retour », dans le cadre des négociations indirectes avec les Palestiniens, médiées par le gouvernement Obama.
A ce jour, Israël a maintenu que des discussions essentielles ne peuvent être conduites que lors de négociations directes entre dirigeants israéliens et palestiniens.

Si Israël n’accepte pas toutes les quatre exigences américaines, alors le gouvernement Obama boycottera Netanyahou et ses ministres de haut rang. Dans ce cas, cela signifie que si Netanyahou vient à Washington la semaine prochaine à la conférence de l’AIPAC, aucun officiel de haut rang du gouvernement US ne le rencontrera.

L’ultimatum d’Obama montre clairement que la médiation de paix entre Israël et les Palestiniens n’est pas un objectif qu’il veut atteindre.
Les nouvelles exigences d’Obama suivent des mois de pression américaine qui ont finalement obligé Netanyahou à annoncer son soutien à un Etat palestinien et un gel de dix mois de la construction juive en Judée et en Samarie. Aucun gouvernement israélien ne s’était jamais auparavant vu contraint de faire cette dernière concession.

Netanyahou a été conduit à croire qu’en échange de ces concessions, Obama commencerait à se comporter comme ses prédécesseurs l’étaient : un médiateur crédible. Mais au lieu d’agir comme ses prédécesseurs, Obama a agi comme les Palestiniens. Plutôt que de récompenser Netanyahou pour avoir pris un risque pour la paix, Obama a, selon le modèle de Yasser Arafat et Mahmoud Abbas, empoché les concessions de Netanyahou et fait monter ses exigences. Ce n’est pas le comportement d’un médiateur. C’est le comportement d’un adversaire.
Alors que le président des USA traite Israël comme un ennemi, les Palestiniens n’ont aucune raison de donner leur accord pour s’asseoir et négocier. De fait, ils n’ont pas d’autre choix que de déclarer la guerre.

Ainsi, à la suite de l’agression d’Obama contre le droit d’Israël sur Jérusalem, l’incitation à la haine des Palestiniens contre Israël et les Juifs a monté à des niveaux jamais vus avant l’éruption de la dernière guerre terroriste en septembre 2000. Et exactement comme la nuit fait suite au jour, cette incitation a conduit à la violence. Les émeutes arabes de la semaine dernière, de Jérusalem à Jaffa, et l’offensive renouvelée de roquettes provenant de Gaza sont liées directement aux attaques malveillantes d’Obama contre Israël.

Mais si la campagne contre Israël n’était pas motivée par une crise de mauvaise humeur présidentielle, et n’a pas pour but de promouvoir la paix, qu’est-ce qui l’explique ? A quoi veut en venir Obama ?

Il y a cinq explications au comportement d’Obama. Et elles ne s’excluent pas mutuellement.

D’abord, l’attaque d’Obama contre Israël est certainement liée à l’échec de sa politique avec l’Iran. Au cours de la semaine passée, les officiels de haut rang de l’administration US, dont le Général David Petraeus, ont lancé des déclarations malveillantes et diffamatoires contre Israël, insinuant que la construction de foyers pour les Juifs à Jérusalem est une cause primordiale du mauvais comportement iranien et de ses vassaux en Irak, en Afghanistan, au Liban, en Syrie et à Gaza. Suivant ce mode de pensée, si Israël revenait simplement aux lignes indéfendables d’armistice de1949, les centrifugeuses iraniennes cesseraient de tourner, et la Syrie, al Qaïda, les Taliban, le Hezbollah, le Hamas et les Gardes de la Révolution d’Iran transformeraient tous leurs glaives en socs de charrues.

Ensuite, encore plus important que son utilité comme outil pour faire diversion à l’attention du public sur l’échec de sa politique envers l’Iran, l’attaque d’Obama contre Israël pourrait bien avoir pour but la poursuite de cette politique de défaite. En particulier, il pourrait attaquer Israël pour tenter d’obliger Netanyahou à accorder à Obama un droit de veto sur toute frappe israélienne contre les installations nucléaires de l’Iran. A savoir que la campagne anti-Israël peut être un moyen d’obliger Israël à attendre alors pendant qu’Obama autorise l’Iran à se construire un arsenal nucléaire.

Au cours de mois écoulés, une succession sans fin de dirigeants de haut rang de l’administration américaine est venue à Jérusalem dans l’objectif déclaré de convaincre Netanyahou d’abandonner le droit d’Israël à frapper indépendamment les installations nucléaires de l’Iran. Tous ces officiels sont revenus à Washington les mains vides. Peut-être Obama a-t-il décidé que puisqu’une simple pression avait échoué à apaiser Netanyahou, il etait temps de lancer une attaque frontale contre lui.

Cela nous amène à la troisième explication des motifs d’Obama de mener la guerre contre le gouvernement israélien démocratiquement élu. Les conseillers d’Obama ont déclaré aimablement à des journalistes qu’Obama veut faire tomber le gouvernement Netanyahou. Par des exigences que Netanyahou et ses partenaires de la coalition ne peuvent pas accepter, Obama espère soit faire tomber le gouvernement et remplacer Netanyahou et le Likoud par Tzipi Livni [désormais](!!!) d’extrême Gauche et son Parti ‘Kadima’, ou bien obliger les Partis ‘Israël Beteïnou’ et ‘Shas’ à lâcher la coalition et conduire Netanyahou à accepter Tzipi Livni comme Premier ministre adjoint. Livni, bien sûr, a gagné le cœur d’Obama quand en 2008, elle a opté pour une élection plutôt que d’accepter l’exigence du ‘Shas’ qu’elle assure la protection de Jérusalem unifiée.

La quatrième explication du comportement d’Obama est qu’il cherche à réaligner la politique étrangère des USA loin d’Israël. Les tentatives constantes d’Obama de cultiver des relations avec le président non élu de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad, le laquais arabe d’Ahmadinejad, le dictateur syrien Bashar Assad, et le Premier ministre islamiste turc Recep Tayip Erdogan, démontrent qu’il considère le développement des relations américaines avec ces régimes anti-américains comme un but prioritaire de sa politique étrangère.

Etant donné que tous ces dirigeants ont exigé qu’en échange de meilleures relations, Obama abandonne Israël comme allié des USA, et à la lumière des positions anti-Israël professées par plusieurs de ses conseillers de haut rang pour la politique étrangère, il est possible qu’Obama cherche à abaisser les relations américaines avec Israël. Sa critique sévère et constante d’Israël qui serait obstructionniste et arrogant a conduit à clamer dans certaines enquêtes qu’au cours de l’année passée, le soutien populaire d’Israël aux USA est tombé de 77 à 58 %.

Plus Obama remplit les titres des journaux d’allégations prétendant qu’Israël est responsable de tout, depuis les morts des combattants américains en Irak et en Afghanistan, jusqu’au programme nucléaire de l’Iran, moins on peut s’attendre à ce que ces nombres baissent. Et plus le soutien populaire américain pour Israël tombe, plus il sera facile pour Obama d’ourdir une brèche ouverte avec l’Etat juif.

L’explication finale du comportement d’Obama est qu’il instrumentalise cette crise fabriquée pour justifier l’adoption d’une position ouvertement anti-israélienne vis-à-vis des Palestiniens. Jeudi, le journal ‘The New York Times’ a rapporté que les officiels de l’administration prévoient qu’Obama présentera son propre “plan de paix”. Suivant le déni de l’administration du droit d’Israël sur Jérusalem, un “plan Obama” exigera sans aucun doute le retrait d’Israël aux lignes d’armistice indéfendables de1949, et l’expulsion de quelques 700.000 Juifs de leurs foyers.

De même, la crise fabriquée par Obama avec Israël pourrait lui ouvrir la voie vers la reconnaissance d’un Etat palestinien si les Palestiniens poursuivent leur menace de déclaration unilatérale d’un Etat l’an prochain, sans tenir compte du statut des négociations avec Israël. Une telle décision américaine pourrait à son tour conduire au déploiement de forces américaines en Judée et en Samarie pour « protéger » l’Etat palestinien déclaré unilatéralement sans Israël.

Aussi bien le comportement d’Obama que les objectifs politiques qu’il indique, démontrent clairement que la politique actuelle de Netanyahou tentant d’apaiser Obama par des concessions concrètes n’est plus justifiée. Obama n’est pas intéressé à être convaincu. La question qui se pose est : que devrait faire Netanyahou ?

L’un des fronts dans la guerre ouverte par Obama est intérieur. Netanyahou doit s’assurer qu’il maintient un soutien populaire intérieur pour son gouvernement pour faire échouer le plan d’Obama de renverser son gouvernement. Jusqu’à présent, en grande partie du fait de la méchanceté sans précédent d’Obama, le soutien intérieur à Netanyahou est resté stable. Un sondage réalisé pour le journal IMRA cette semaine par Maagar Mohot montre qu’un total de 75 % d’Israéliens pensent que le comportement d’Obama à l’égard d’Israël n’est pas justifié. De même pour Netanyahou, 71 % des Juifs israéliens pensent que son refus d’accepter l’exigence d’Obama d’interdire la construction juive à Jérusalem prouve que c’est un dirigeant fort. De même, un sondage de Shvakiml Panorama pour Radio Israël montre que le soutien public à ‘Kadima’ est tombé de plus de 30 % depuis la dernière élection l’an passé.

L’autre front de la guerre d’Obama est le public américain. En reprochant à Israël l’état du Moyen-Orient et en lançant des piques personnelles contre Netanyahou, Obama cherche à faire tomber le soutien populaire américain pour Israël. En construisant une stratégie pour contrer les décisions d’Obama, Netanyahou doit garder deux questions en tête.

D’abord, aucun dirigeant étranger ne peut gagner un concours de popularité contre un président des USA en fonction. De là, Netanyahou doit continuer d’éviter toute attaque personnelle contre Obama. Il doit limiter sa contre-offensive à la défense des intérêts d’Israël et à la politique de son gouvernement.

Ensuite, Netanyahou doit se souvenir que l’hostilité d’Obama envers Israël n’est pas partagée par la majorité des Américains. L’objectif de Netanyahou doit être de renforcer et d’augmenter la majorité des Américains qui soutiennent Israël. A cette fin, Netanyahou doit aller à Washington la semaine prochaine et parler à la conférence annuelle de l’AIPAC comme prévu, malgré la menace de boycott de l’administration.

A Washington, Netanyahou doit rencontrer tous les membres du Congrès et du Sénat qui souhaitent le voir ainsi que tous les membres de l’administration qui veulent le contacter. De plus, il doit donner le plus possible d’entretiens à des réseaux de télévision, de journaux, et de programmes de radio de grande diffusion de façon à faire passer directement son message au Peuple américain.

Obama a montré clairement qu’il n’est pas l’allié d’Israël. Et pour le reste de son mandat, il fera tout son possible pour dégrader les relations des USA avec Israël en maintenant ses génuflexions constantes à l’égard de l’Iran, de la Syrie, des Palestiniens, et de la Turquie.

Mais comme Israël, les USA sont un pays libre. Et aussi longtemps que le soutien populaire pour Israël se maintiendra, les options d’Obama seront limitées. La tâche de Netanyahou est de maintenir ce soutien face à l’hostilité du gouvernement US, tout en accomplissant la stratégie politique à l’égard de l’Iran ainsi que des Arabes nécessaires pour assurer la survie et la prospérité d’Israël à long terme.


[www.jpost.com]...




La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: CEREJIDO (IP enregistrè)
Date: 24 mars 2010 : 18:51

La libération de terroristes criminels palestiniens ? et puis quoi encore? et Guilad Shalit on le balaye d'un revers de la main?

La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 26 mars 2010 : 17:10

Un peu de courage, Mister Président

Non, il n est pas un ami d Israël,
Celui qui aujourd´ hui, siège à la tête des Etats-Unis d'Amérique.

Non, il ne sait pas agir avec courage,
Le jeune Président qui avait éveillé tant d´espoirs.

Non, il n écrira pas les pages glorieuses de l´histoire des hommes,
Celui qui a reçu un joli prix Nobel de Paix.

Chacun de ses choix rapproche le monde un peu plus prés de la guerre;
Chacune de ses déclarations enfonce les hommes libres un peu plus dans les ténèbres.

Que sait-il de mon petit pays,
Celui qui se permet d'imposer son regard étroit
Sur l'avenir qui est le nôtre?

Que sait-il de nos angoisses de vie
Celui qui exige sans laisser de choix,
Ignorant superbement les rêves génocidaires des loups avides de mort ?

Mon peuple a soif de paix
Mais le jeune Président nous fait avaler des couleuvres de guerre,
Nos enfants veulent grandir dans le rire
Mais lui, s'associe avec l'axe du Mal.

Comme il est courageux le jeune Président
Face à la petite démocratie juive de l'Orient !
Comme il sait faire montre de force
Sur un peuple qui donne et donne sans jamais recevoir.

Mais voici qu'il oublie, ce brillant homme
Que mon peuple porte en lui la Sagesse de nos pères!
Mais voici qu'il ignore, le jeune Président
Que notre destinée se dessine ailleurs que dans sa pauvre main!

Serions-nous sortis de l'Egypte
Pour tomber entre les mains du Big Brother ?
Aurions-nous traversé la mer des Joncs à pied sec
Pour être noyé dans ses intérêts de pacotille?

Allons, un peu de courage Mister President
Affrontez donc les dictateurs qui vous narguent,
Défendez la démocratie comme il se doit
Et cessez de vous coucher aux pieds des terroristes !

Comprenez, si vous le pouvez encore
Qu'au-delà d'Israël
Ce sont toutes les démocraties que vos amis islamistes veulent effacer !
Comprenez, si vous le pouvez encore
Que la vraie force est intérieure et s'affirme dans le courage
De se tenir debout au cœur de la tempête islamiste.

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G

La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 28 mars 2010 : 12:41

Un autre article de l'editorialiste du Washington post, Jackson Dielh, qui remet les pendules a l'heure en distribuant les torts avec un peu plus d'honnetete et moins de parti pris.

A familiar obstacle to Mideast peace: Mahmoud Abbas

Un obstacle familier a la paix du Moyen-Orient : Mahmoud Abbas.


Sur cet article, il est ecrit noir sur blanc ce que la totalite des medias et des gouvernements omettent de preciser c'est que au temps de Olmert, Israel avait toute la bonne volonte possible et imaginable pour arriver a un accord et finalement regler ce conflit. Malheureusement, Mahmoud Abbas, tout comme Arafat a, il n'y a pas bien longtemps, a refuse et repousse l'offre incroyable qui lui etait presentee par Olmert et Bush.

Citation:
Washington Post
The virtue of all this is that Rice got the Israelis and Palestinians talking not about settlements but what they really needed to be discussing -- the future Palestine. Olmert and Abbas went over everything: the border, the future of Jerusalem and its holy sites, security arrangements, how to handle the millions of Palestinian refugees still living in camps. Privately, they agreed on a lot. Eventually, Olmert presented Abbas with a detailed plan for a final settlement -- one that, in its concessions to Palestinian demands, went beyond anything either Israel or the United States had ever put forward. Among other things it mandated a Palestinian state with a capital in Jerusalem and would have allowed 10,000 refugees to return to Israel.
That's when Rice learned another lesson the new administration seems not to have picked up: This Palestinian leadership has trouble saying "yes." Confronted with a draft deal that would have been cheered by most of the world, Abbas balked. He refused to sign on; he refused to present a counteroffer. Rice and Bush implored him to join Olmert at the White House for a summit. Olmert would present his plan to Bush, and Abbas would say only that he found it worth discussing. The Palestinian president refused.

Je traduis...

L'interet de tout cela, c'est que C. Rice obtint des israeliens et des Palestiniens qu'on ne discuta pas seulement des implantations mais des problemes dont il etait reellement necessaire de discutter - la Palestine future.
Olmert et Abbas discuterent de tout : de la frontiere, de l'avenir de Jerusalem et ses lieux saints, des arrangements de securite, comment gerer les millions de refugies palestiniens vivant encore dans des camps. En prive, ils furent d'accord sur enormement de points !

Finalement, Olmert presenta a Abbas un plan detaille pour un reglement final - allant au dela de toutes les concessions faites jusque la, repondant aux exigences palestiniennes, et comme jamais ne sont alles ni les israeliens, ni les Palestiniens, ni les Americains. Entres autres, l'accord mandatait un Etat Palestinien avec le retour de 10.000 refugies palestiniens en Israel.

C'est alors que Mme Rice a appris une autre lecon que la nouvelle administration semble ne pas avoir considere : la direction palestinienne a du mal a dire "oui". Confronte a un projet d'accord qui aurait ete acclame par la plupart des pays du monde, Mahmoud Abbas ecarta le tout. Il refusa de signer et il refusa de presenter une contre offre. Rice et Bush le supplierent de rejoindre Olmert a la Maison Blanche pour un sommet. Olmert presentera le plan de Bush et M. Abbas dirait seulement qu'il y avait lieu a discussion. Le president palestinien refusa cette offre.

Le reste et connu...et aujourd'hui, le monde entier se precipite sur Israel en pointant un doigt accusateur...Rien de surprenant bien sur !

Conclusion : Les Palestiniens ne veulent pas d'accord. Ils ne veulent pas regler ce conflit. Ils veulent rester les eternelles victimes que le monde affectionne tant comme victimes puisqu'ils peuvent, par cette entremise, continuer a detester Israel et les Juifs.



Pour lire l'article extremement interessant, voici le lien

[www.washingtonpost.com]




La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: dina a. (IP enregistrè)
Date: 28 mars 2010 : 23:11

J'ai recu une video de ma soeur sur le vrai visage d'Obama que j'aurai bien aime placer;;.) sur ce fil,mais malheureusement je n'y arrive pas.
Mais d'autres aussi l'on recu en meme temps,alors s'il vous plait mettez la.

La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 02 avril 2010 : 17:11

USA – Israël : une erreur stratégique majeure, par Jacques Tarnero

02/04/10

Au nom d’une vision stratégique nouvelle correspondant à ce qu’ils estiment être leurs intérêts supérieurs, les USA, sous la nouvelle conduite du Président Obama ont décidé une réorientation radicale de leurs choix politiques. Israël n’est plus l’allié et l’ami privilégié, bien au contraire il serait devenu l’obstacle à une réconciliation des USA avec le monde arabo musulman. Par son alliance avec Israël, les USA se priveraient d’une relation favorable avec le monde arabe, si riche en potentialités énergétiques et économiques. Israël est donc devenu le gêneur pour une hypothétique harmonie planétaire.

L’obstination de cet Etat à affirmer son droit à vivre en tant qu’Etat souverain est aujourd’hui dénoncée par une offensive multiple visant à le délégitimer. C’est Israël qui est dénoncé comme faisant obstacle à la paix. C’est Israël qui est accusé de crimes contre l’humanité par un ubuesque conseil des droits de l’homme de l’ONU. C’est Israël qui est nazifié. En attribuant au seul Israël la responsabilité du présent blocage on feint d’ignorer la responsabilité à multiples tiroirs de la partie adverse.

Cette réorientation stratégique est fondée sur une analyse fausse de la réalité des rapports de force en cours au Proche Orient et dans le Monde.

Israël est prêt à la paix et prêt à faire des concessions majeures pour y parvenir. Israël a déjà fait la preuve dans le passé de sa capacité à échanger des territoires contre des traités de paix avec l’Egypte et avec la Jordanie mais Israël peux-t-il faire la paix avec celui qui à fait de son anéantissement l’objectif ultime de son combat ? Qui peut nier le lien historique, culturel, spirituel de la ville de Jérusalem avec le peuple juif ? Vouloir priver ce peuple de sa capitale consiste à nier ses fondements, à contester la légitimité du choix de son retour sur cette minuscule portion de terre au Proche Orient.

Jérusalem n’est pas une colonie. Elle est la capitale de l’Etat d’Israël. Elle est le lien symbolique de tout le peuple juif qui a inscrit depuis des siècles dans sa liturgie la prière de son retour. Contester au peuple juif ce droit consiste à contester les fondements de sa légitimité en tant que peuple et par là même en tant qu’Etat. Une imposture historique prétend inscrire Jérusalem dans le patrimoine fondamental de l’Islam dont la Palestine à venir serait le porte drapeau politique. Ce dispositif s’inscrit dans un grand projet de reconquête visant à faire du Proche Orient une terre exclusivement musulmane. Au Liban, au Soudan, en Irak, au Maghreb, les chrétiens sont depuis longtemps les victimes de cette offensive. A l’intérieur de l’Europe, en France, en Belgique, aux Pays Bas, en Allemagne, en Suisse, la même offensive est à l’œuvre. Elle grignote chaque jour, de mois en mois, d’année en année, ce qui constituait jusqu’à pas si longtemps encore un beau patrimoine de civilisation. Ce qui aujourd’hui menace l’identité européenne, menace en priorité Israël.

Estimer le contraire et penser que ce serait l’intransigeance israélienne qui menacerait des rapports pacifiés du monde occidental avec le monde arabo musulman relève de l’auto-illusion. Qui peut croire que l’enjeu de conflit se réduirait à l’exigence arabe de récupérer dix kilomètres carrés et que ce serait la décision de construire des logements à Jérusalem qui menacerait un processus de paix illusoire. Le jour même de cette annonce stupide, l’Autorité Palestinienne annonçait de son côté qu’elle honorait la mémoire d’un grand tueur, Al Mugrabi, responsable en 1978 de l’assassinat de 38 citoyens israéliens et d’un photographe américain dans une spectaculaire opération terroriste contre un autobus civil. A symboles comparés, on reste stupéfait devant les choix des héros arabes.

Israël est prêt à échanger une partie de la Cisjordanie pour qu’elle devienne la future Palestine. Israël est prêt à garantir, et le fait déjà, le libre accès des lieux saints pour tous ceux qui trouvent dans Jérusalem la source de leur spiritualité mais Israël ne négociera pas sa souveraineté sur cette ville, sauf à considérer qu’Israël tout entier est une « implantation ».

Obama est il prêt à rendre le Dakota aux Cheyennes, la Caroline aux Oglalas, le Minnesota aux Sioux ? Certains arabes réclament le retour de l’Andalousie dans l’Oumma et le partage de Cordoue. Faut il céder à cette demande ?

Le peuple palestinien a forgé son identité dans sa lutte contre Israël. Avant 1948, le peuple arabe de Palestine ne réclamait que faiblement ses droits nationaux à l’occupant ottoman, égyptien, ou anglais. Le peuple palestinien fut inventé pour la cause du nationalisme arabe dont les Etats arabes firent le rebut pendant plus de soixante ans. Aujourd’hui ce peuple se définit comme tel et il a ses droits, ce que personne ne conteste mais ces droits ne sauraient se fonder sur la négation des droits de l’autre. On pouvait estimer depuis 1993, avec les accords d’Oslo, qu’un bout de chemin avait été fait côté palestinien mais l’intifada déclenchée en 2000 avait aussitôt démenti ce faux espoir.

En Europe et aux Etats Unis on feint de croire que l’apaisement au Proche Orient réduirait la menace islamiste. C’est ne rien comprendre à la stratégie à l’œuvre dans le monde musulman depuis la révolution islamiste en Iran en 1979. Le Hamas et le Hezbollah ont inscrit l’anéantissement d’Israël au cœur de leur projet politique. Peut-on négocier la paix avec celui qui veut votre mort ?

Par une suite ininterrompue d’offensives multiples, de replis tactiques, d’attaques terroristes, d’offensives culturelles, de pénétration démographique l’islamisme s’affirme comme la grande menace du XXIème siècle. Il faut être aveugle pour ne pas se rendre compte qu’après les fascismes, après le communisme, l’islamisme est bien le grand projet totalitaire messianique qui menace les libertés dans le monde. On ne contraint un totalitarisme offensif par de bons sentiments. Déjà du temps de la guerre froide le Mouvement de la paix confondait l’agresseur et l’agressé et préférait le totalitarisme soviétique au système libéral américain. Faire de l’attitude rétive d’Israël le premier obstacle à la paix est une erreur d’appréciation considérable. Ne pas prendre en compte le double discours palestinien constitue l’autre erreur de jugement. Ne pas inscrire la tactique palestinienne dans la cadre plus large des stratégies arabes c’est faire preuve de courte vue. Ne pas inscrire ces stratégies dans la grande partie d’échecs qui se joue autour la bombe iranienne c’est faire preuve d’aveuglement. Ne pas voir qu’Israël, loin d’être un obstacle constitue le premier rempart contre cette agression, est le signe d’une disposition suicidaire de l’Occident. Le 11 septembre 2001, l’attaque contre les USA avait apporté la preuve du choix délibéré du choc des civilisations voulu par l’islam radical. Par couardise ou par courte vue certains estiment aujourd’hui que tendre la main à celui qui veut votre mort est une bonne attitude, un bon choix stratégique. Ce qui menace Israël nous menace, nous démocraties occidentales. Loin de menacer la paix, Israël nous protège.

[www.crif.org]




La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 07 avril 2010 : 16:39

Quand Israël a tenu tête à Washington

par Daniel Pipes
6 avril 2010

[fr.danielpipes.org]

A mesure que les tensions entre les Etats-Unis et Israël atteignent un degré d'intensité inconnu [jusqu'ici], elles rappellent une série de tensions qui se produisirent il y a près de trente ans, quand Menachem Begin et Ronald Reagan avaient la charge de leur pays. Contrairement aux excuses répétées de Benyamin Netanyahou, Begin adopta une approche très différente.

Le déroulement des évènements commença avec la déclaration du dictateur syrien Hafez El-Assad selon laquelle il ne voulait pas faire la paix avec Israël « même dans cent ans », déclaration à laquelle Bégin répondit en faisant des hauteurs du Golan une partie d'Israël, mettant fin à l'administration militaire qui avait gouverné ce territoire depuis que les forces israéliennes l'arrachèrent à la Syrie en 1967. La législation à cet effet fut facilement adoptée par le Parlement d'Israël le 14 décembre 1981.



Menachem Begin avec Samuel Lewis à une occasion plus amicale en mai 1977.

Cependant, cette mesure se produisit deux semaines seulement après la signature d'un accord stratégique de coopération américano-israélien, ce qui suscita de la part de Washington une intense irritation.

A l'initiative du Secrétaire d'Etat, Alexander Haig, le gouvernement américain suspendit cet accord tout juste signé. Un jour plus tard, le 20 décembre, Bégin convoque Samuel Lewis, l'ambassadeur américain à Tel Aviv, pour lui passer un savon.

Yehuda Avner , un ancien conseiller de Begin, décrit l'ambiance [qui régnait] et fait le commentaire de cet épisode : « Quand Washington bridait et Begin explosait ». Il le raconte en ces termes : « Le Premier ministre invita Lewis à prendre place; rigide, il se leva pour atteindre une pile de papiers sur la table à côté de lui, les mit sur ses genoux et [adopta] une expression figée sur son visage devenu comme de la pierre et une voix dure comme l'acier. »

Begin commença par « une énumération tonitruante des perfidies perpétrées par la Syrie au cours des décennies[précédentes] » Il termina par ce qu'il qualifia de « message très personnel et urgent » adressé au président Reagan (disponible sur le site du ministère israélien des Affaires étrangères.)

« Trois fois au cours des six derniers mois, le gouvernement américain a « puni Israël » commença Begin. Il énuméra ces trois occasions : la destruction du réacteur nucléaire irakien, le bombardement du siège de l'OLP à Beyrouth et maintenant la législation sur les hauteurs du Golan. Tout au long de cet exposé, selon Avner, Lewis tentait d'intervenir, mais sans succès « non pas vous punir, Monsieur le Premier ministre, simplement suspendre »…

« Excusez-moi, Monsieur le Premier Ministre, ce n'était pas.. » « Monsieur le Premier ministre, je dois vous corriger » et « Ce n'est pas une punition, Monsieur le Premier ministre, il s'agit seulement d'une suspension jusqu'à ce que…»

Donnant libre cours à sa colère, Béguin s'appuyait sur un siècle de sionisme.

Quel genre d'expression est-ce « punir Israël » ? Sommes-nous un Etat vassal du vôtre ? Sommes-nous une république bananière ? Sommes nous des jeunes de quatorze ans à qui, s'ils ne se comportent pas correctement , il faut taper sur les doigts ? Permettez-moi de vous dire de qui ce gouvernement est composé. Il est composé de personnes dont la vie a été vouée à la résistance dans la lutte et la souffrance. Vous ne nous effraierez pas avec des « châtiments ». Celui qui nous menace nous trouvera sourds à ses menaces. Nous sommes seulement disposés à écouter les arguments rationnels. Vous n'avez pas le droit de « punir » Israël –et je proteste contre l'utilisation même de ce terme.

Dans sa plus cinglante attaque contre les Etats-Unis Begin contestait le côté moralisateur américain à propos des victimes civiles lors de l'attaque israélienne sur Beyrouth.

Vous n'avez aucun droit moral de nous donner des leçons au sujet des victimes civiles. Nous avons lu l'histoire de la Seconde Guerre mondiale et nous savons ce qui s'est passé pour les civils lorsque vous avez pris des mesures contre l'ennemi. Nous avons lu aussi l'histoire de la guerre du Vietnam et votre expression « compter les cadavres »

Se référant à la décision américaine de suspendre l'accord récemment signé, Begin annonça que « [son] peuple avait vécu 3.700 années sans un protocole d'entente avec l'Amérique – et il continuera à vivre 3700 années. » Sur un plan plus terre à terre, il cita Haig déclarant au nom de Reagan que le gouvernement serait disposé à acquérir pour une valeur de 200 millions de dollars d'armement israélien et autres équipements.

« Maintenant vous dites qu'il n'en sera pas ainsi. Il s'agit donc d'une violation de la parole du président. Est-ce habituel ? Est-ce correct ?

Rappelant la lutte récente du Sénat américain à propos de la décision de vendre des avions AWACS à l'Arabie saoudite, Begin fit remarquer « Cela fut accompagné d'une laide campagne d'antisémitisme ». A titre d'illustration, il mentionna trois exemples : les slogans « Begin ou Reagan » et « Nous ne devrions pas laisser les Juifs déterminer la politique étrangère des Etats-Unis », plus les calomnies que des sénateurs comme Henry Jackson, Edward Kennedy, Robert Packwood et Rudy Boschwitz « ne sont pas des citoyens loyaux ».

Répondant aux demandes que la loi sur les hauteurs du Golan soit annulée, Begin remonta à l'origine du concept même d'annulation à « l'époque de l'Inquisition » et il rappela à Lewis que " Nos ancêtres allèrent au bûcher plutôt que d' « annuler » leur foi. Nous ne sommes pas en train d'aller au bûcher. Dieu merci. Nous avons assez de force pour défendre notre indépendance et pour défendre nos droits..S'il vous plaît, soyez aimable de bien vouloir en informer le Secrétaire d'Etat que la loi sur le plateau du Golan restera en vigueur. Il n'y a aucune force sur terre qui puisse entraîner sa résiliation."

La séance se termina sans que Lewis réponde. Comme Avner raconte :

« Face à ce barrage inflexible qui aux yeux de l'ambassadeur apparaissait quelque peu hyperbolique et, en partie, même paranoïaque, il ne voyait pas l'utilité de continuer, aussi prit-il congé. »

-------------------

Commentaires :

(1) La fin de 1981 a marqué le point le plus bas dans les relations israélo-américaines sous l'administration Reagan. En particulier, la coopération stratégique fit des progrès dans les années qui ont suivi.

(2) Le site web du ministère appelle l'explosion de Bégin « un geste sans précédent », ce à quoi j'ajouterai , non seulement sans précédent mais aussi jamais répété.

(3) Le sens qu'avait Begin du destin, combiné a une éloquence grandiose qui l'avait poussé à répondre aux divergences de la politique actuelle en invoquant 3700 années d'histoire juive, l'inquisition, la guerre du Vietnam et l'antisémitisme américain. Dans le procès, il changea les termes de la dispute.

(4) Malgré la vive altercation avec Begin, son attaque cinglante a accru la fierté et amélioré la position d'Israël

(5) Les hommes politiques dans d'autres pays attaquent très souvent les Etats-Unis. En effet, Hamid Karzaï, le président de l'Afghanistan l'a fait la semaine dernière. Mais son but est de convaincre ses compatriotes qu'il n'est pas, en fait, un politicien entretenu. Cela diffère fondamentalement de Begin affirmant la dignité d'Israël.

(6) Il est difficile d'imaginer un autre homme politique israélien, y compris Benyamin Netanyahou, qui oserait lancer une attaque verbale comme celle de Begin.

(7) Pourtant, cela pourrait être justement ce dont Israël a besoin.

Mise à jour du 6 avril 2010 . Un lecteur, Charles Gruenspan, fait remarquer que Ariel Sharon fait un écho lointain à la « république bananière » de Begin, dans ses propos du 4 septembre 2001, lorsqu'il a fait sa déclaration de la Tchécoslovaquie.

Aujourd'hui, Israël a subi une autre attaque terroriste palestinienne odieuse qui a fait beaucoup de victimes : trois morts et sept blessés. Tous les efforts pour parvenir à un cessez-le feu ont été torpillés par les Palestiniens. Le feu n'a pas cessé, même pas pendant une journée.

Le cabinet a donc donné instruction à nos forces de sécurité de prendre toutes les mesures nécessaires pour la complète sécurité des citoyens d'Israël. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes.

Nous sommes actuellement au milieu d'une campagne diplomatique complexe et difficile ; je demande aux démocraties occidentales , et en premier lieu au chef de file du monde libre – les Etats-Unis- : ne répétez pas l'erreur terrible

de 1938, quand les démocraties éclairées européennes ont décidé de sacrifier la Tchécoslovaquie pour « une solution temporaire pratique ». Ne tentez pas d'apaiser les Arabes à nos frais. C'est pour nous inadmissible.

Israël ne sera pas la Tchécoslovaquie. Israël luttera contre le terrorisme.


Version originale anglaise: When Israel Stood Up to Washington
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert




La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 22 avril 2010 : 17:01

No We Can't, President Obama


Non, nous ne pouvons pas , Président Obama !

Lettre de Ifergan Avi, Rehovot, Israël adressée au Président Obama



Monsieur le Président,

Pas plus tard que ce mois-ci, votre secrétaire d'Etat Hillary Clinton émit lors d'un échange de discussions avec des dirigeants juifs que"parfois, les amis doivent se dire des vérites mêmes pénibles" . Eh bien, M. le Président, permettez-moi, au nom de mon peuple, de vous retourner la politesse. Vous avez toujours été , d’une facon rhétorique , soucieux d'Israël, mais l'incongruence de vos actions pendant la première année de votre présidence nous a laissé israéliens et juifs du monde entier, perplexes d’incompréhension . Monsieur le Président, voici la dure vérité d'un père israélien de 3 fillettes, âgées de moins de 6 ans.

Non , nous ne pouvons pas prendre de risques quand il s'agit de la sécurité physique de notre pays, de notre peuple ou de mes filles. Nous n’avons pas le droit à l’erreur . La sécurité est notre priorité principale.

Vous voyez, nous apprenons de notre histoire, et elle nous a enseigné une vérité simple: Non , nous ne pouvons pas compter sur les promesses ou sur la protection des autres nations quand notre peuple se trouve face à une menace existentielle. Le monde a assisté, sans bouger , lorsque les nazis nous exterminaient ; A chaque décade depuis l’existence d’Israel nos voisins et aussi les Palestiniens nous ont fait la guerre, et le monde a regardé dans un silence relatif . Dans les années qui suivirent le soi-disant traité de paix d'Oslo, le monde est resté silencieux alors que les Israéliens étaient confrontes a des centaines d’attentats-suicides , qu'ils etaient poignardes , cribles de balles , et kidnappés . Le monde toutefois n'hésitait pas à nous critiquer ouvertement lorsque nous avons créé des postes de contrôle et construit une barrière de sécurité pour nous protéger.

Non nous ne pouvons pas comprendre pourquoi , en 2006, lorsque plus de 4.000 missiles du Hezbollah pleuvaient sur un tiers de la population israélienne, les dirigeants du monde ont jugé important de critiquer la réaction militaire d'Israël. Nous avons pu lire aussi leurs critiques qui nous salissaient , dans les gros titres des médias du monde entier lors de l'opération «Plomb durci» à Gaza en 2008. Durant les 6 années précédentes ils restèrent silencieux alors que les roquettes Kassam lancées depuis Gaza forçaient la population du sud d 'Israël à dormir dans des abris, et recommandaient même à Israel la retenue militaire. Bien sûr, cela a changé depuis que l'armée israélienne est entrée dans la bande de Gaza pour localiser et détruire les lanceurs de roquettes du Hamas.

Non , nous ne pouvons pas croire que vous attendriez à ce que vos gouvernements réagissent de façon différente, si vous et vos enfants étaient confrontés à de telles menaces .

Non , nous ne pouvons pas supporter un président iranien , finançant le Hezbollah et le Hamas dont la pensée est négationniste et qui dans un même souffle déclare ouvertement que ses intentions sont de parvenir à la capacité nucléaire de l'Iran , et à la destruction de l '«entité sioniste».

Non nous ne pouvons pas imaginer que vous allez faire quelque chose de plus sinon de proposer des sanctions plus sévères contre l’Iran - et comment vous appelez cela , du - «confinement»? C'est pour ainsi dire qu’il finira bien par obtenir l'arme nucléaire qu’il recherche , non?

Non nous ne pouvons pas accepter la division de Jérusalem. Jérusalem est la capitale éternelle d'Israël, et du peuple juif. Elle n'est pas «la troisième ville sainte», comme elle l’est pour les musulmans. Elle est la seule et unique ville sainte du peuple juif. Il en a été ainsi depuis plus de 2.000 ans. Depuis qu’elle est passée sous souveraineté israélienne toutes les confessions religieuses peuvent s’y rendre et être pratiquées ouvertement et librement . Oh - et vous devez savoir que le «Waqf», ces Palestiniens qui contrôlent le Mont du Temple à Jérusalem, ne permettent à aucune autre religion , Juive ou chrétienne , de venir prier la-bas . J'ai même entendu dire que le balancement ou le mouvement silencieux des lèvres est interdit .

Aussi , non , nous ne pouvons pas avoir des amis qui nous dictent, la où nous pouvons ou ne pouvons pas construire à Jérusalem - ou qui ont le sentiment d’avoir été insulté lorsque nous faisons ce qu’il nous plait dans notre propre pays.

Non , nous ne pouvons pas croire que donner au peuple palestinien une terre qui lui soit propre , relève d’une si haute priorité dans votre programme de politique étrangère. En considerant leurs droits civils et leur bilan terroriste, et l’influence grimpante du Hamas en tant que parti dominant . Monsieur le Président, savez-vous que lorsque l'Autorité palestinienne est arrivée au pouvoir en 1994, son premier texte de loi fut de requerir la peine de mort pour les palestiniens, qui vendraient des terres aux Juifs. Plus de 100 Palestiniens ont été condamnés , sans aucun jugement , à la peine de mort, pour de telles ventes au cours des 15 dernières années. Est-ce la «solution à deux Etats» que vous préconisez ?

Non , nous ne pouvons pas comprendre pourquoi vous avez passer la première année de votre présidence, à étreindre , à vous courber et à saluer ces brillants« champions » de la liberté et de la démocratie de Chavez au Venezuela , du roi Abdallah d'Arabie saoudite, ou de Moubarak d’ Egypte . Je vous sais avisé de la brutalité et du manque de liberté dans ces pays non démocratiques -de la décapitation, de l'interdiction d'une femme à témoigner devant les tribunaux , ou tout simplement de conduire , de l’intolérance quand il s'agit de gens qui sont différents - que ce soit dans la culture, la religion ou l'orientation sexuelle.

Et nous ne pouvons pas comprendre pourquoi, en Israël, le paradoxe est vérité , où les Arabes bénéficient plus de libertés que dans n'importe quel autre pays arabe dans le monde - libertés de parole et d'expression , liberté de presse, de religion , de tolérance à la communauté gaie et lesbienne, d'égalité des sexes, vous avez choisi de faire une grosse affaire au sujet des constructions juives dans leur ville la plus sainte - Jérusalem? Nous sommes une cible facile, nous le savons, mais s'il vous plaît, et si vous proposiez un sujet plus substantiel à soulever , un sujet sur une non-démocratie , par exemple ?

Non , nous ne pouvons pas comprendre pourquoi diable , nous Israeliens , n’avons rien obtenu de vous jusque là . Nous, Israéliens, par l’entremise de nos gouvernements , avons à maintes reprises démontré un engagement indéfectible à la paix, et la volonté de payer le prix fort pour cela. En 1947, nous avons accepté la Résolution de l'Assemblée générale de l'ONU proposant la partition de la Palestine en deux États , bien que nous n'aurions eu aucun contrôle sur Jérusalem ou les quartiers environnants . Les Arabes la rejetèrent, et à la place de cela 6 Nations arabes déclarèrent la guerre à notre jeune Etat. En 1979, nous abandonnèrent un morceau de territoire supérieur à la superficie de l'État d'Israël, le Sinaï, en échange de la paix avec les Egyptiens. En 1999, nous nous sommes retirés unilatéralement du Sud-Liban, ce qui permit au Hezbollah d’y installer ses bases à notre place. Un an plus tard, le ministre israélien Ehud Barak offrit aux Palestiniens le "contrat du siècle" - 97% de la Cisjordanie, 100% de la bande de Gaza, le démantèlement de 63 colonies de peuplement et en acceptant que les quartiers de Jérusalem-Est deviennent la capitale de leur nouvel état. Cela aussi, a été rejeté par les Palestiniens. En 2005, le Premier ministre d'Israël, Sharon , sans même négocier , ni exiger des concessions, lança son plan de désengagement unilateral qui mena au démantèlement de 21 colonies de la bande de Gaza et de 4 en Cisjordanie.

Non nous ne pouvons pas vous faire confiance .... pour le moment. La confiance se mérite . Vous voyez, Monsieur le Président, j’enseigne à mes filles à prêter peu d'attention aux mots et une attention particulière aux actes. Mon peuple a démontré par l’ acte que nous sommes prêts à payer un prix élevé pour la paix et la sécurité. Plus d'une fois vous avez dit que vous étiez engagé à la sécurité d’ Israël et que vous ne toléreriez pas une capacité nucléaire de l'Iran. Maintenant c'est à votre tour d’assortir vos paroles par des actes. Une solution à deux Etats avec le peuple palestinien relève de si peu d'intérêt si l'Iran atteint ses objectifs nucléaires.

Adaptation française : Galila sur sionisme.xooit.com

La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: Americomarocaine (IP enregistrè)
Date: 29 avril 2010 : 21:32

cette lettre n'est pas tres bien présentée, je ne trouve pas les options pour "police de caractère, taille du texte etc..



encore une lettre adressée à Obama

Lisez cette lettre, elle est juste et directe.

---------------------

Par Dan Calic

Le reel problem n’est pas la construction de logements mais bien la volonté des palestiniens de détruire Israël. Mr. President: Il semble que vous voyez en Israël l’obstacle principal à la poursuite du processus de « paix » avec la construction de logements à Jérusalem-Est.

Si vous me permettez, je voudrais respectueusement suggérer quelques sujets sur lesquels vous pourriez concentrer votre attention. Par exemple, lorsque le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a demandé qu’Israël soit accepté comme un Etat juif, le président palestinien Mahmoud Abbas a répondu en disant: «Je ne l’accepte pas. » Gardez à l’esprit, Monsieur le Président, que seulement 76% de la population d’Israël est juif.

20% de 7,5 millions d’habitants du pays sont les Arabes qui jouissent de tous les avantages de la citoyenneté. En revanche, il n’y a même pas 1% de citoyens juifs dans aucun pays arabe. Le Moyen-Orient arabe se compose de 22 pays couvrant cinq millions de miles carrés avec une population de plus de 325 millions d’habitants, plus de 90% d’entre eux sont musulmans. Israël a un peu plus de 5,5 millions de Juifs et est à peu près la taille de l’État du New Jersey (qui se classe 47e sur 50 États des États-Unis dans lataille.)

Israël est le seul pays sur terre où les Juifs sont en majorité, pourtant, s’il désire maintenir cela, il est étiqueté comme «raciste». M. Abbas a exigé le droit d’exiger le retour pour tous les « réfugiés »palestiniens, en disant « je ne vais pas renoncer à cette demande. » L’accomplissement de cette exigence permettrait d’éliminer la majorité juive en Israël, et ainsi transformer le seul pays où les Juifs de la Terre ont une maison en un état dominé par les Arabes.

Les Juifs seraient relégués au statut de minorité dans ce qui était leur propre pays. Avec une majorité arabe, les lois anti-juives seraient vraisemblablement passées. Les Juifs n’auraient plus leurs propres forces militaires, de sécurité ou de police pour les protéger contre une majorité arabe hostile. Ils se verraient refuser l’accès aux lieux saints comme le Mur des Lamentations. Leurs autres lieux saints seraient probablement profanés comme ils étaient avant qu’Israël ne gagne Jérusalem-Est dans la guerre des Six Jours.

Ils auraient à chercher refuge au-delà des frontières de ce qui doit être leur patrie, commençant ainsi la création d’une nouvelle tragique diaspora. M. Abbas a été défini par vous-même et beaucoup d’autres comme un «modéré» par rapport à la direction plus radicale du Hamas. Vous, comme beaucoup d’autres, semblent croire que les mesures à prendre pour résoudre le conflit soient la Terre pour la Paix sous la forme d’une «solution à deux Etats ».

Dans ce scénario, Israël devra faire des « sacrifices douloureux » en abandonnant son cœur biblique afin d’obtenir «la paix». Monsieur le Président, savez-vous que les deux précédents Premiers ministres israéliens avaient offert aux Arabes au moins 95% des terres qu’ils demandent, y compris les échanges de terres et la division de Jérusalem? À la lumière de l’offre du Premier Ministre Nétanyahou de 60% de la Judée / Samarie, celles des précédents dirigeants semblent assez incroyables. Pourtant, ces deux offres exceptionnelles ont été rejetées. Savez-vous pourquoi elles ont été rejetées?

La raison est consignée par écrit, il vous est possible à vous ou à toute personne intéressée de le lire, dans l’article 12 de la charte du Fatah, où les «modéré» comme Abbas font part de leur objectif de «libération totale de la Palestine, et l’éradication économique, politique, militaire et culturelle de l’existence sioniste. L’article 19 stipule: « …. cette lutte ne cessera pas tant que l’Etat sioniste ne sera pas démoli et la Palestine est complètement libérée. » En anglais clair, (ou en français) cela signifie qu’ils dénient le droit d’Israël à exister, point final, peu importe ce que les frontières seront.

Il convient de le remplacer par un Etat dominé par les Arabes de Palestine, éliminant ainsi tout à fait la seule patrie souveraine pour le peuple juif. Sont-ce là les objectifs d’un « modéré »? Récemment, le vice-président Biden a suggéré qu’Israël était « une atteinte à la confiance dont nous avons besoin en ce moment …. » Faisant référence à l’annonce de la construction de maisons à Jérusalem-Est tandis que Biden était là. Pourtant, avec Biden, vous restez silencieux lorsque Mahmoud Abbas assiste régulièrement des événements avec le drapeau palestinien couvrant non seulement la Judée et la Samarie, mais l’ensemble du pays d’Israël.

Et vous ne le condamnez pas pour nommer une rue à Ramallah du nom d’un terroriste qui a tué 37 civils israéliens en 1978. Un sondage vient de sortir, il indique qu’une majorité d’Américains désapprouve votre attitude envers Israël. En outre, 75% des membres du Congrès américain ont récemment pris la mesure sans précédent de la signature d’une lettre vous demandant de traiter Israël de manière plus équitable. Êcoutez -vous, Monsieur le Président?

Si c’est le cas avec tout le respect, où est votre sens de l’équité? En résumé, il semble que le respect des points susmentionnés, dont le nombre vise individuellement et collectivement la destruction d’Israël, constituent un obstacle bien plus grand à la paix que la construction de maisons à Jérusalem-Est. Si vous êtes intéressés à discuter de ces questions plus en détail, peut-être nous pourrions organiser un « sommet de la bière » si votre emploi du temps le permet.

Je me réjouis, par avance, de pouvoir vous entendre à votre convenance. S’il en est de même pour vous, je tiens à apporter une bouteille de vin Mogen David afin de la partager avec vous.
Sincèrement Dan Calic




La guerre d'Obama contre Israël
Posté par: yossi1 (IP enregistrè)
Date: 05 mai 2010 : 12:50

50 généraux américains soutiennent Israël
-L’avantage d’être général ou amiral à la retraite, à la réserve, c’est que l’on peut sortir du devoir de réserve. Et dire ce que l’on pense. A l’heure où la plus grande confusion règne à propos d’Israël, notamment parmi les Juifs en diaspora, soumis à un J Call que Guy Millière, Michel Gurfinkiel et Gilles William Goldnadel ont commenté sur ce blog, à l’heure où la plus grande confusion règne à propos d’Israël, écrivais-je, il n’est sans doute pas inutile de publier la lettre signée par une cinquantaine de généraux et d’amiraux américains à la retraite. Au-delà des appels confus de ces jours-ci, cette lettre nous met face à la réalité géopolitique.
50 généraux et amiraux américains à la retraite signent une lettre véhémente pour dénoncer les égarements anti-israéliens d'Obama

En réponse au traitement grotesque que vient de réserver l'administration Obama à Israël, un groupe d'environ 50 généraux et amiraux américains retraités a élaboré de conserve la lettre suivante. Cette lettre invite aussi bien le président que le Congrès et le public américain à mesurer à quel point les succès d’Israël et de l’Amérique sont intimement liés.

-Voici la lettre non publiée à ce jour, obtenue directement auprès d’officiers signataires :

-Israël est un capital de sécurité pour les États-Unis

-Nous, soussignés, avons voyagé en Israël ces dernières années avec l'Institut juif pour les Affaires de Sécurité nationale (JINSA). Nous représentions des décennies d'expérience militaire. Ayant eu accès sans restrictions aux dirigeants civils et militaires d'Israël, sommes parvenus à la conviction inébranlable que la sécurité de l'état d'Israël est une question de grande importance pour les États-Unis et pour leur politique au Moyen-Orient et en Méditerranée orientale. Un Israël fort et en sécurité est un capital sur lequel les stratèges militaires américains et les dirigeants politiques peuvent compter. Israël est une démocratie, un produit rare et précieux dans la Région, et Israël partage notre engagement pour la liberté en général, les libertés individuelles et la primauté du droit.

-Au cours de nos voyages et de nos entretiens, la détermination des Israéliens pour protéger leur pays et parvenir à une paix juste et réaliste avec leurs voisins a été clairement exprimée. Ainsi nous prenons acte des tensions actuelles entre les États-Unis et Israël avec consternation et nous éprouvons une profonde inquiétude en voyant certaines divergences politiques primer sur nos intérêts mutuels de première importance.

-En tant que professionnels américains de la défense, nous analysons les événements du Moyen-Orient au prisme des intérêts de sécurité américains.

-Au cours de la guerre froide, les États-Unis et Israël se sont engagés dans un processus de coopération en matière de sécurité ; aujourd'hui les deux pays font face à la menace identique d’un terrorisme alimenté par des gens qui redoutent tout ce qui relève de la liberté. La collaboration historiquement étroite des États-Unis avec Israël à tous les niveaux des forces armées israéliennes, la recherche-développement militaire, les renseignements partagés et les exercices militaires d’entraînement conjoints, a renforcé la sécurité des deux pays. La police et les responsables américains des affaires juridiques ont tiré avantage de leur collaboration étroite avec les professionnels israéliens dans le domaine du contre-terrorisme intérieur, et lors des premières réponses aux attentats terroristes.

-Israël et les États-Unis sont unis par des valeurs partagées et des menaces partagées contre notre mode de vie.

-La prolifération des technologies nucléaires et des armes correspondantes au Moyen-Orient et en Asie, et la maîtrise de la technologie des missiles balistiques désormais implantés dans des aires géographiques étendues, nécessitent des coopérations en matière de renseignement, et de politique technologique et de sécurité. Le terrorisme, qu’il s’agisse de l’origine de son financement, de l’entraînement ou de l’exécution des opérations terroristes, doit recevoir une réponse multilatérale quand c’est possible. La diffusion de la haine et le soutien au terrorisme d’extrémistes violents au nom de l'Islam, qu’ils proviennent acteurs étatiques ou non-étatiques, doivent être traités comme des menaces contre la paix mondiale.

-Au Moyen-Orient, dans une région instable si essentielle pour les intérêts des États-Unis, il serait pusillanime de s’écarter ou de dénigrer un allié de la trempe d’Israël.

-Ainsi, la prochaine fois que quelqu’un prétendra stupidement qu’Israël mérite parfois un peu « d’amour vache » pour « retrouver le droit chemin » ou qu’il faut traiter l’Etat juif comme un gosse turbulent qui doit aller piquet et que c’est bon pour tout le monde, qu’il aille donc le dire à ces 50 généraux et amiraux à la retraite.

-Signataires au 12 avril 2010 :

-Lieutenant General Mark Anderson, USAF (ret.)
Rear Admiral Charles Beers, USN (ret.)
General William Begert, USAF (ret.)
Rear Admiral Stanley W. Bryant, USN (ret.)
Lieutenant General Anthony Burshnick, USAF (ret.)
Lieutenant General Paul Cerjan, USA (ret.)
Admiral Leon Edney, USN (ret.)
Brigadier General William F. Engel, USA (ret.)
Major General Bobby Floyd, USAF (ret.)
General John Foss, USA (ret.)
Major General Paul Fratarangelo, USMC (ret.)
Major General David Grange, USA (ret.)
Lieutenant General Tom Griffin, USA (ret.)
Lieutenant General Earl Hailston, USMC (ret.)
Lieutenant General John Hall, USAF (ret.)
General Alfred Hansen, USAF (ret.)
Rear Admiral James Hinkle, USN (ret.)
General Hal Hornburg, USAF (ret.)
Major General James T. Jackson, USA (ret.)
Admiral Jerome Johnson, USN (ret.)
Rear Admiral Herb Kaler, USN (ret.)
Vice Admiral Bernard Kauderer, USN (ret.)
General William F. Kernan, USA (ret.)
Major General Homer Long, USA (ret.)
Major General Jarvis Lynch, USMC (ret.)
General Robert Magnus, USMC (ret.)
Lieutenant General Charles May, Jr., USAF (ret.)
Vice Admiral Martin Mayer, USN (ret.)
Major General James McCombs, USA (ret.)
Lieutenant General Fred McCorkle, USMC (ret.)
Rear Admiral W. F. Merlin, USCG (ret.)
Rear Admiral Mark Milliken, USN (ret.)
Rear Admiral Riley Mixson, USN (ret.)
Major General William Moore, USA (ret.)
Lieutenant General Carol Mutter, USMC (ret.)
Major General Larry T. Northington, USAF (ret.)
Lieutenant General Tad Oelstrom, USAF (ret.)
Major General James D. Parker, USA (ret.)
Vice Admiral J. T. Parker, USN (ret.)
Major General Robert Patterson, USAF (ret.)
Vice Admiral James Perkins, USN (ret.)
Rear Admiral Brian Peterman, USCG (ret.)
Lieutenant General Alan V. Rogers, USAF (ret.)
Rear Admiral Richard Rybacki, USCG (ret.)
General Crosbie Saint, USA (ret.)
Rear Admiral Norm Saunders, USCG (ret.)
General Lawrence Skantze, USAF (ret.)
Major General Sid Shachnow, USA (ret.)
Rear Admiral Jeremy Taylor, USN (ret.)
Major General Larry Taylor, USMCR (ret.)
Lieutenant General Lanny Trapp, USAF (ret.)
Vice Admiral Jerry O. Tuttle, USN (ret.)
General Louis Wagner, USA (ret.)
Rear Admiral Thomas Wilson, USN (ret.)
Lieutenant General Robert Winglass, USMC (ret.)
Rear Admiral Guy Zeller, USN (ret.)

"la diplomatie est l'art de repousser l'inévitable le plus longtemps possible".N.G



Dèsolè, seuls les utilisateurs enregistrès peuvent poster sur ce forum.
Veuillez cliquer sur S'identifier pour vous enregistrer

   Rechercher sur
 

  Web    
Darnna

� 2008 Darnna.com - All rights reserved.

'