Nicolas Sarkozy est en train de composer son 1èr gouvernement. Il n'est plus secret pour personne qu'il sera orchestré par Filon.
Contrairement à ce qui a été dit sur le nouveau président, il nous montre le visage d'une nouvelle méthode de gouvernance. Il reçoit les partenaires sociaux avant même son investiture prévue demain, montre qu'il est un homme de compromis car rien ne passera en force sans consultation. Par ce geste, il a voulu éviter les pièges dont sont tombés ses prédécesseurs qui ont dû faire face à des soulèvements syndicaux qui les ont obligés à modifier leurs programmes pour éviter le KO des grèves perturbantes.
Il a su, avec beaucoup de machiavélisme, tirer profit de la compagne de ses adversaires. En prônant l'ouverture à gauche, on parle de Kouchner, Védrines et autre à des postes clés, il donne un coup de pied dans la fourmilière des clivages. C'est un geste très courageux car certains de ses amis proches administrables vont devoir rester à la lisière du pouvoir.
En outre, il a su garantir une majorité au parlement on sachant ramener vers lui la quasi-totalitéé des députés UDF, son allié naturel.
La méthode Sarkozy est inédite, non seulement le flambeau passe d'une génération à une autre mais c'est à une révolution auquelle on assiste. Une révolution qui sera bénéfique pour la France.

Alors deja pour contredire ceux qui voyaient en Sarkozy un sympathisant de la cause americano-israelienne, cette nomination de Hubert Vedrine va totalement a l'encontre de cette idee puisqu'en 2001, ce dernier avait, aux pires moments des violences palestiniennes qui ont commencees en septembre 2000, defendu l'idee de sanctions europeennes contre Israel.

Je precise que cette Antifada a ete declenche par "soi-disant" la presence de Sharon pres de la Grande Mosquee en vieille ville de Jerusalem, et suite aux spectaculaires propositions de paix faites par Barak a Arafat avec en renfort nos plus grandes colombes israeliennes, Yossi Beylin, Yossi Sarid, Schlomo Ben Ami, et d'autres... Tout cela refute par Arafat qui preparait aux arrieres les hostilites.

Il reçoit les partenaires sociaux avant même son investiture , certes mais cette politesse et echange n'engage en rien et permet a Sarkozy de mieux connaitre les marges de manoeuvres et de mettre ces "partenaires" devant le fait accompli le moment venu.

Quant a Kouchner, Védrines et autres à des postes clés, il s'agit plutot que de nommer un jeune ministre sans experience a un poste cle qui fera forcement des erreurs et embarassera Sarkozy de par le monde, il s'agit donc de mettre un "pillier" de la politique etrangere qui permettra la continuation et le changement lent et progressif.

Actuellement cela lui permet de donner la bonne image de la France a tous, ne pas inquieter les anciens amis et aussi a mieux controler le systeme.
Dans quelques mois lorsque Sarko sera un habitue de la politique etrangere il remballera ce veteran pour mettre son homme a lui.

Et pour finir cette caricature:

La nouveauté c'est que le gouvernement sarkozy sera incolore. Il veut un gouvernement d'union nationale non partisan et où toutes les compétences rament vers la même direction.
Les députés UDF qui ont rallié Sarkozy ont signé un pacte leur interdisant tout écart de la politique génerale et leur interdisant de voter toute motion de censure.
Finir avec les clivages, conjuger les efforts et les compétences pour faire avancer la France, tel est le mot d'ordre.
Le "little man" va certainement nous confirmer qu'il est vraiment "big" et tant mieux.
J'espère et j'en suis persuadé que la France va enfin jouer un rôle determinant dans le dénouement du conflit arabo-israélien.

Impossible Ahmed !

Dernierement il y avait des vas et vients americains dans notre region et on s'attendait a ce que les choses bougent dans le bon sens puisque Olmert etait totalement consentant et malheureusement, le Hamas s'est empresse a nouveau de chauffer les frontieres.

Il y a certains qui continuent d'oeuvrer dans le sens contraire d'un accord et qui ne tiennent nullement a s'encombrer d'une paix.

Le Hamas ne doit sa survie qu'au soutien des wahabites et autres états islamistes.
Le rôle que peut jouer la France réside dans le fait que les pays arabes lui font confiance et qu'Israel fera plus confiance au nouveau président qu'a son prédécesseur. Je pense que la France d'aujourd'hui à plus d'atout pour jouer un rôle prépondérant au moyen orient.

Déjà des menaces des obscurantistes:


LE CAIRE (AP) -- Un groupe islamiste affirmant représenter l'aile européenne d'Al-Qaïda a menacé mardi la France d'une «campagne djihadiste sanglante» après l'élection à la présidence de la République de Nicolas Sarkozy, qualifié de «croisé sioniste».

Dans un communiqué mis en ligne sur un site Internet hébergeant les messages d'Al-Qaïda et intitulé «Un message au peuple français», les Brigades Abou Hafs al-Masri, groupe obscur qui a notamment revendiqué les attentats de Madrid en 2004, promettent une «bataille féroce au coeur de la capitale de Sarkozy».

«Puisque que vous choisi comme dirigeant le croisé, le sioniste Sarkozy, assoiffé du sang des enfants, des femmes et des vieillards, impatient d'exécuter la mission de ses maîtres à la Hafs al-Masri vous prévenons que les prochains jours verront une campagne djihadiste sanglante contre quiconque osera suivre la affirme le groupe dans ce communiqué.

Rachida Dati, nommée au ministère de la Justice


PARIS (Reuters) - Issue de l'immigration, devenue magistrate et aujourd'hui ministre de la Justice, Rachida Dati est née il y a 41 ans dans une cité de Chalon-sur-Saône où elle a été élevée modestement avec ses onze frères et soeurs.

Révélation de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy, dont elle fut la porte-parole aux côtés de Xavier Bertrand, elle a conseillé le nouveau chef de l'Etat en matière d'immigration.

Cette jeune femme brune pleine d'énergie, qui revendique une sensibilité plutôt à gauche, a organisé la plupart des déplacements de Nicolas Sarkozy dans les quartiers sensibles.

Elle a notamment intercédé pour permettre au candidat de l'UMP, persona non grata dans de nombreuses cités depuis les affaires de la "racaille" et du "Kärcher", de débattre avec des jeunes dans une zone populaire de Meaux, le 13 mars.

Née le 27 novembre 1965 à Saint-Rémy (Saône-et-Loire) de parents maghrébins - père marocain, ouvrier, mère algérienne, femme au foyer -, Rachida Dati incarne un exemple d'ascension sociale.

Scolarisée dans un lycée privé catholique, elle effectue avec succès des études universitaires et est titulaire de deux maîtrises, en sciences économiques et en droit public.

Très jeune, Rachida Dati doit travailler. A 14 ans, elle fait du porte-à-porte pour vendre des produits cosmétiques. A 16, elle est aide-soignante de nuit dans une clinique privée.

Elle y dévore les magazines trouvés dans les salles d'attente et s'en inspire pour forger ses premières ambitions. La jeune "beurette" est fascinée par certaines personnalités croisées dans la presse, à qui elle écrit parfois.

A 20 ans, c'est le tournant. Lors d'une réception, elle aborde Albin Chalandon, alors ministre de la Justice, et lui présente ses projets professionnels. Séduit, le ministre décide de l'aider à lancer sa carrière.

Rachida Dati apprend vite et multiplie les rencontres, de Simone Veil à Jacques Attali, en passant par Jean-Luc Lagardère et Nicolas Sarkozy.

Tout en poursuivant un Deug de sciences économiques, elle travaille comme comptable chez Elf (1987-90). Après une rencontre avec Jean-Luc Lagardère, elle entre à la direction de l'audit de Matra communication (1990-93). Elle passe ensuite un an à Londres à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd). De 1994 à 1995, elle est contrôleur de gestion et secrétaire générale du bureau d'études sur le développement urbain à la Lyonnaise des eaux.

De 1994 à 1997, elle est conseiller technique à la direction juridique du ministère de l'Education nationale.

Sur les conseils de Simone Veil, elle s'oriente vers une carrière de droit et entre en 1997 à l'Ecole nationale de la magistrature. Devenue auditeur de justice au tribunal de grande instance de Bobigny, Rachida Dati occupe les postes de juge à la cour d'appel d'Amiens et de substitut du procureur au tribunal d'Evry.

En 2002, elle devient conseillère chargée de l'immigration de Nicolas Sarkozy, pour qui elle travaille sur le projet de loi sur la prévention de la délinquance. En décembre 2006, elle s'inscrit à l'UMP. Un mois plus tard, elle est nommée porte-parole de la campagne du futur président.

Sarkozy, un président qui tient ses promesses.
La "mauvaise nouvelle" est tombée ce matin, il n'y aura pas d'amnistie pour les Pv même ceux liés au stationnement (j'en ai 3 à 11 euros chacun lol). N. Sarkozy avait dit pendant la campagne électorale qu'il ne suivrait pas ses prédécesseurs en matière d'amnistie sur les PV.
En matière d'immigration clandestine, là aussi le fermeté est de rigeur, voir texte ci dessous:






France
Un Tunisien vivant depuis 17 ans en passe d'être expulsé





Abdelkader Zaghdoud, un Tunisien de 46 ans, qui vit en France depuis 17 ans, père d'un fils de 7 ans scolarisé à Paris, devait être expulsé vendredi vers la Tunisie depuis Lyon (centre-est) où il résidait, a-t-on appris auprès de sa famille.

M. Zaghdoud, arrivé en France en 1989 pour pourvoir aux besoins de ses frères et sœurs après la mort de ses parents, a été arrêté le 11 mai lors d'un banal contrôle d'identité et conduit dans la foulée au centre de rétention de l'aéroport Saint-Exupéry de Lyon.

Il devait être embarqué sur un vol décollant vendredi matin à destination de Tunis. La rétention a été confirmée par un juge dimanche. Depuis, la famille a essayé d'obtenir un délai auprès de la préfecture du Rhône, qui n'a rien voulu savoir.

"Je suis intervenue auprès du ministre (de l'Immigration et de l'Identité nationale) Brice Hortefeux, qui s'est renseigné sur le dossier mais m'a dit qu'il ne pouvait rien faire", a expliqué Me Chantal Bockel, une avocate proche de la famille.

La préfecture régionale conteste la valeur de certains documents du dossier de M. Zaghdoud, estimant qu'ils ne suffisent pas à prouver sa résidence en France depuis 1989. Elle ne prend en compte, comme début de son séjour que l'année 1999, celle de son mariage avec une Française résidant à Paris.

De ce mariage est né en 2000 un enfant, scolarisé à Paris, mais la préfecture estime que cela ne permet pas de justifier le séjour d'Abdelkader Zaghdoud sur le sol français, la mère ayant la garde de l'enfant depuis le divorce prononcé en 2002.

Le nouveau Président français Nicolas Sarkozy, ancien ministre de l'Intérieur, est à l'origine de lois durcissant les conditions d'entrée et de séjour en France et s'est félicité de l'augmentation de 140% entre 2002 et 2006 du nombre d'expulsions (82.000 dont 26.000 en 2006).




| AFP

Ahmed, l'amnistie sur les PV est une belle plaisanterie bien francaise.
Imagine toi que nous votions pour le candidat qui nous promettra d'annuler nos PV, nous irions en marche arrierre, on en ferait des PV en attendant avec impatience les prochaines elections.
A la fin on donnerait au candidat nos procès et non notre vote.
Toi tu aurais donc droit a 3 voix pour tes 3 proces.
Pour le moment c'est le style "relax" "decontracte" de Sarko qui seduit les francais [zoom-orient.info].

Gérard,
Il faut dire qu'à l'approche des présidentielles en France on assiste à une nette recrudescence de la violence routière car on savait que les PV allaient être amnistiés.
On savait que N. Sarkozy s'était prononcé contre cette tradition française mais on espérait au moins une amnistie sur les PV relatifs au stationnement.
C'est avec joie (lol) que je m'acquitterais des 33 euros pour dépassement de stationnement payé.

Le programme économique de Nicolas Sarkozy inquiète Bruxelles




BRUXELLES (Reuters) - La Commission européenne s'inquiète des risques de dérapage budgétaire inhérents aux engagements pris par Nicolas Sarkozy, tout en laissant pour l'instant le bénéfice du doute au nouveau gouvernement français.

"Le même président de la République ne peut à la fois appeler de ses voeux une meilleure gouvernance économique de la zone euro et prendre des dispositions qui risquent de faire déraper les comptes", estime un commissaire européen.

Sarkozy s'est engagé à réduire les déficits publics et l'endettement de la France pour parvenir à l'équilibre des finances à la fin de son quinquennat, en 2012.

Pour lui, cela passe par une politique volontariste afin d'accroître une croissance économique jugée trop faible.

"Je suis bien obligé de réfléchir à un véritable choc économique et fiscal pour que la France parte à la conquête de ce point de croissance qui lui manque", a-t-il déclaré le 23 mai à Bruxelles, après sa rencontre avec José Manuel Barroso.

Cette stratégie suscite quelques froncements de sourcils au siège de l'exécutif européen, où l'on fait ses comptes.

Sarkozy remet en effet en question l'engagement pris le 30 janvier dernier par la France devant le Conseil des ministres de l'Economie et des Finances de revenir à l'équilibre en 2010.

L'Ecofin avait accepté de clore la procédure pour déficit excessif dans lequel les finances françaises étaient plongées depuis 2002 en échange d'un "programme de stabilité" tiré du pacte du même nom qui prévoyait un déficit zéro et un endettement inférieur à 60% du PIB à la fin de la décennie.

LIGNES ROUGES

A l'époque, la Commission européenne avait jugé "plausible" le scénario français, tout en exhortant Paris à faire davantage d'efforts en 2007 pour tenir la dépense publique.

A 2,4% de déficit prévu cette année, la France est loin d'être dans une situation confortable, puisqu'elle est très proche de la barre fatidique des 3% du PIB.

Elle reste le plus mauvais élève de la classe avec le Portugal, le déficit moyen pour la zone euro étant de 1% du PIB en 2007 -- 0,6% à peine pour l'Allemagne.

A Berlin, en avril dernier, les ministres des Finances de la zone euro avaient d'ailleurs solennellement confirmé l'objectif 2010 que le nouveau président vient de remettre en cause.

Le pacte de stabilité de l'euro avait en outre été réformé en 2003 en laissant plus de temps aux Etats membres pour corriger leur déficit en période de vaches maigres mais avec l'obligation de faire des réserves en période de vaches grasses, comme c'est le cas actuellement avec une croissance forte.

"La France ne peut ignorer que le pacte a été réformé, mais avec des lignes rouges", a expliqué un commissaire.

Or, malgré les risques impliqués par la fragilité des comptes, le gouvernement entend engager très rapidement des dépenses importantes et se prépare à biffer nombre de recettes fiscales, alors que les fruits de la croissance auraient dû être consacrés à la réduction accélérée des déficits.

CONVIVIAL POUR L'INSTANT

Bouclier fiscal, suppression des droits de succession, réduction de l'impôt sur les sociétés, déduction des intérêts de l'emprunt immobilier du revenu imposable, augmentation des dépenses de recherche et développement et exonération de charges sociales: tout cela coûtera extrêmement cher.

Nicolas Sarkozy compte sur la croissance pour parvenir à son objectif sans creuser à nouveau les déficits.

"Mais c'est un pari économique", estime un responsable européen. "Il faut que la croissance redémarre vite, sinon cela deviendra un sujet de contentieux avec les partenaires."

La déduction fiscale des emprunts immobiliers suscite à Bruxelles un scepticisme tout particulier en raison de l'importance de la perte de recettes pour le Trésor public.

Lors du dîner qui a réuni le 23 mai Nicolas Sarkozy, le président de l'exécutif européen, José Manuel Barroso, le commissaire aux Transports, le Français Jacques Barrot, et le responsable des Affaires économiques et monétaires, Joaquin Almunia, le président français n'a pas été mis sous pression.

"C'était convivial. On ne peut pas jouer le gendarme qui siffle au carrefour", explique un participant. "Almunia lui a dit qu'il ne fallait pas s'éloigner de l'esprit du pacte, Sarkozy a répondu: 'laissez-moi un peu de temps'".

Mais l'épreuve de vérité viendra à la rentrée, lorsque le gouvernement aura précisé ses intentions et elles risquent de contredire la volonté de Sarkozy de créer un gouvernement économique chargé de dialoguer d'égal à égal avec la Banque centrale européenne (BCE) critiquée à cause de l'euro fort.

"Il faudra bien que la France choisisse entre deux options: un gouvernement économique efficace et la tentation d'engager de dépenses inconsidérés liées au pouvoir d'achat", a averti la même participant au dîner.

Sarkozy se base sur l'expérience économique de plusieurs pays et je pense qu'il sera prudent car il semble chercher des ressources financieres à chacune des dépenses qu'il prévoit.
Il se base aussi surtout sur la reprise économique et c'est cela qui favorisera un redémarrage.

J'espère qu'il atteindra ses objectifs.
Une seule chose me fait peur, c'est la détaxation des heures supp. Ca pourrait être un frein à l'embauche. Le programme compte sur la croissance pour créer de nouveaux emplois, esperons que la croissance sera au rdv.

La détaxe des heures supplémentaires pourraient aussi avoir un impact positif sur la motivation de tous et ceci est une bonne chose. Je crois qu'il faut mettre un cross sur l'Etat providence. Les réalités économiques et la globalisation vont à l'encontre de cette politique d'assistanat.

Une Franco-marocaine ministre dans le gouvernement Sarkozy attaquée par LePen pour ses origines.
Le frontiste lui demande de choisir entre la nationalité marocaine et la française.
Il faut juste rappeler à LePen que la nationalité marocaine est irrépudiable.

Elle est formidable cette ministre marocaine et le Pen est hors concours aujourd'hui. Qu'il aille aux oubliettes en silence ce c....d et qu'on entende plus ses discours racistes et minables !

A l'heure de la mondialisation, on ne peut qu'avoir multiples nationalites.
Choisir une nationalite en France voudrait dire que l'on quitte d'abord l'Union Europeenne, puisque l'on ne peut etre les 2 a la fois.
Tout cela n'est que provocation pure de le Pen pour detourner de son echec recent.

Brice Hortefeux mobilise les forces de l'ordre sur l'immigration


PARIS (Reuters) - Brice Hortefeux a annoncé lundi aux responsables des forces de l'ordre les objectifs à atteindre en 2007 en matière de lutte contre l'immigration clandestine, dont celui d'"éloigner" 25.000 sans-papiers, annonce son ministère dans un communiqué.

Le ministre de l'Immigration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a reçu à cette fin les directeurs généraux de la police et de la gendarmerie nationales, le préfet de police et le directeur général des douanes.

Outre "l'éloignement" de 25.000 clandestins, Brice Hortefeux a fixé trois objectifs nouveaux, à commencer par une hausse du nombre d'interpellations de sans-papiers.

"Le ministre a défini un objectif de 125.000 personnes mises en cause pour infractions à l'entrée et au séjour des étrangers", précise le communiqué.

Brice Hortefeux souhaite renforcer la lutte contre le travail illégal des étrangers via, notamment, "la fixation d'objectifs mensuels précis en matière de répression de l'emploi d'étrangers sans titre".

Le ministre prône, enfin, "une lutte plus efficace contre les fraudes à l'identité".

"Ces trois actions contribueront au démantèlement des filières qui exploitent la misère des immigrés clandestins", explique le ministère dans son communiqué.

Brice Hortefeux souhaite par ailleurs faire passer à 2.500 cette année le nombre de personnes bénéficiant d'une aide au retour volontaire, "soit une augmentation de 25% par rapport à 2006".

fraternité,reunion enfants israeliens et palestiniens au Trocadéro,aucun media n'en parle,à part Bolloré,ami de Sarkozy