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Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 00:17

Bravo Anidavid ! Kenza ! Soly !!!!!

Mais d'ou sortez-vous des collections pareilles ?????

Ah la dentition de chameau de notre Fernandel !!!! Son sourire etait plus amusant meme que ce qu'il avait a dire.

Magnifique !

Darlett

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 01:26

TA RIEN VU !








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 02:06

Jean Gabin et Simone Simon
dans la Bete Humaine de Jean Renoir







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:15

Films de notre jeunesse.

Le salaire de la Peur de Henri-George Glouzot. 1952

Avec Yves Montand et Charles Vanel. Un grand Film







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:34

voila encore
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:36

.
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:36

,.
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:37

/.,
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:50

1,.
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:51

2,.
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 03:52

3/.
soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 04:04

BONSOIR SOLY
NOUS SOMMES EN VEILLEUSE







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: Mihal (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 10:11

pLACE DE FRANCE, JE CONSTATE QUE TU ES UN VERITABLE TRESOR POUR LA RECONSTITUTION DE NOS SOUVENIRS.

INCROYABLE LA COLLECTION DE PHOTOS SOUVENIRS QUE TU DETIENS. TOUTES MES FELICITATIONS.

Et regarde comme tu es suivie par Hassan et Kenza. Vraiment chapeau a vous tous !

Et surtout UN GRAND MERCI


Votre admiratrice

Mihal

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 11:45

Les Vikings.

Kirk Douglas. Un grand film







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 11:56

Le Kid

L'Inoubliable Charlie Chaplin. Film muet.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 12:01

La Divine, L'Inoubliable,L'Unique

GRETA GARBO









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 16:21

Errol Flynn

Yahasra







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 16:32

Raimu.

dans Fanny de Marcel Pagnol







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 16:49

quelles merveilles ces films ils ont berces nos reve d'enfants,puis d'ado,YAHASRA ,lorsqu'on avait un petit copain on allait voir un film,avec lui,c'etait la grande sortie.

soly







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:06

Ma chere Place de France,

merci pour ces si beaux souvenirs,

Sissi et Sissi imperatrice sont les premiers film qui m'ont marque dans mon enfance, m'ont fait revasser d'amour, de belles femmes et m'ont fait passe a l'age teenager (pas encore adulte).

je te suis reconnaissant d'eveiller en moi ces emotions particulieres.

Amicalement

Gerard



Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:08

Les Enfants du Paradis.
de Marcel Carne.
Avec, Arletty, Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur, et Maria Casares.
Un chef d'oeuvre francais. 1943-44
En 1828, à Paris, sur le Boulevard du Crime. Deux jeunes artistes, Baptiste Debureau et Frédérick Lemaître, font leur début au Théâtre des Funambules et se lient d'amitié. Une jeune femme mystérieuse et séduisante, au nom de fleur, Garance, intervient dans leur vie. Alors que Baptiste, timide, n'ose lui déclarer son amour, Frédérick, plus déluré, en fait sa maîtresse. Mais Garance, impliquée malgré elle dans les crimes d'un certain Lacenaire, obtient la protection d'un noble, l'épouse et disparaît. Sept ans plus tard, Baptiste, devenu un mime célèbre, a épousé la fille du directeur du théâtre. Le retour de Garance provoque des incidents dramatiques.

Réalisée trois ans après les célèbres Visiteurs du Soir, cette fresque colossale de près de 3 heures constitue l'apogée du fameux réalisme poétique postérieur aux années 30 et dont le tandem Jacques Prévert - Marcel Carné est devenu l'archétype.
Ce film fut la production la plus prestigieuse entreprise en France sous l'Occupation (1943) et ne fut d'ailleurs achevée qu'après la Libération. Évocation d'époque remarquable de vie et de vraisemblance dans un grouillement de figurants et de décors habilement utilisés. La reconstitution du Boulevard du Crime est admirable. Les dialogues de Jacques Prévert sont parfaits et comportent de nombreuses répliques mémorables d'une saveur acide. Le jeu des acteurs, légendaires et passionnés, est exceptionnel et Barrault réussit de savoureux numéros de mime.
Incontestablement, Arletty est l'irradiante pierre de touche du récit : c'est autour d'elle que gravitent, en un ballet amoureux un peu désordonné, des hommes fascinés. Elle est devenue la "femme mythique" du cinéma français.
Et toujours, les Enfants du paradis s'impose, de sondage en sondage, comme "le" chef-d'oeuvre du cinéma français. Ce film culte est devenu "sacré" et "intouchable" comme peu d'autres œuvres du patrimoine cinématographique français.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:15

Wowowwww Superbe Anidavid,

Ca c'est la merveille des merveilles !!!!!!!!!

Un titre inoubliable !!!!!!

Cette reconstitution de tous ces tresors fera fureur sur Darnna !

Merci Place de France, Hassan, Anidavid et Kenza.

Bravo a Pichourin pour cette image que je reprends volontiers en l'occasion !







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:36

et voila pour gerard,qui adore sissi l'imperatrice,
dites moi des titres et je vous met le film.J'EN AI PLUS DE 1.000

bisous a toi gerard.









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:40

ENCORE









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:43

0
SOLY







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:46

.O
SOLY







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:53

Dr. Jekyl et Mr. Hyde

Avec Spencer Tracey, Ingrid Bergman et Lana Turner.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 17:55

King Kong.
Qui ne se souvient pas du King Kong de notre jeunesse?







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 22:09

Un Tramway nomme Desir.

________________________________________
Histoire d'une adaptation
Un Tramway nommé désir est l'adaptation sur grand écran de la pièce écrite par le dramaturge Tennessee Williams. Enorme succès populaire de l'année 1947 sur les planches de Broadway, elle révèle le comédien Marlon Brando qui reprend, à l'instar de la majeure partie de la troupe, son rôle sur grand écran cinq ans plus tard. Tennessee Williams, qui a activement travaillé au scénario du film, retravaillera avec Elia Kazan en 1956, officiant en tant que scénariste sur La Poupée de chair.


Vivien Leigh, qui souffrait de troubles de la personnalité, allait plus tard rencontrer de grandes difficultés pour distinguer sa vie de celle de Blanche Dubois.

La collaboration Kazan/Brando
Un Tramway nommé désir marque la première collaboration d'Elia Kazan avec l'acteur Marlon Brando.



Quatre Oscars au compteur
Un Tramway nommé désir a remporté quatre Oscars en 1952 : l'Oscar de la Meilleure actrice pour Vivien Leigh, celui du Meilleur acteur dans un second rôle pour Karl Malden, de la Meilleure actrice dans un second rôle pour Kim Hunter (également honorée du Golden Globe de la même catégorie) et des Meilleurs décors pour Richard Day et George James Hopkins.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 22:43

Les records des oscars

C'est louis B. Meyer, alors patron de la Metro Goldwyn Meyer (MGM), qui dans les années 20, pense à créer une association de l'élite créatrice d'Hollywood. De 36 membres en 1927, l'association grandit pour accueillir aujourd'hui plus de 5000 professionnels.

La première cérémonie des oscars (Academy awards) eu lieu le 16 mai 1929 à l'Hollywwod roosevelt Hotel. Les films qui concouraient étaient sortis entre le 1 août 1927 et le 31 juillet 1928.
Wings fut le premier film à gagner l'oscar du meilleur film.

Plutôt confidentiel au début, les oscars déchaînent vite la passion des médias. Dès 1931, la radio retransmet les moments forts de la soirée. Mais, il faudra attendre le 15 mars 1945 pour qu'ABC diffuse la cérémonie dans son intégralité. En mars 1953, la télévision (NBC) prend le relais. En 1967, la cérémonie des Oscars est retransmise pour la première fois en couleur.

Le film le plus récompensé est Ben Hur (sur 12 nominations - 1959) et Titanic (sur 14 nominations - 1997) à égalité avec 11 oscars.
Les suivants sont :
- Le dernier Empereur (1987) 9 oscars
- Gigi (1958) 9 oscars
- Le patients anglais (1996) 9 oscars
- Amadeus (1984) 8 oscars
- Autant en emporte le vent (sur 13 nominations- 1939) 8 oscars
- Cabaret (1971) 8 oscars
- Gandhi (1983) 8 oscars
- Tant qu'il y aura des hommes (1953)
- My flair lady (1964) 8 oscars
- Sur les quais (1954) 8 oscars

Cabaret est le seul film de cette liste a ne pas avoir reçu l'oscar du meilleur film.

Sans oublier bien sur West Side Story avec 10 Oscars ( 1961)
(Merci mille fois a Kenza de nous avoir rafraichi la memoire)





Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 12 juin 2005 : 23:38

mon cher ANIDAVID
TU AS OUBLIE WEST SIDE STORY
TU DOIS SAVOIR LE NOMBRE D'OSCARS
JE L'AI VU AU CINEMA MEDINA A BAB MARRAKECH (ANNEE 60)

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 13 juin 2005 : 01:11

Kenza,
Tu as tout a fait raison au sujet de West Side Story.
10 Oscars

Grands Mercis

Anidavid

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 13 juin 2005 : 01:38

West Side Story

Tiré d'un spectacle à succès
Ce film est la transposition fidèle d'un spectacle de Broadway qui porte le même titre. Créé le 26 septembre 1957, West side story triomphe pendant trois ans au Wintergarden de New York. Les producteurs de la Mirisch Company en rachètent alors les droits en imposant Robert Wise comme réalisateur et en refusant de reprendre les artistes du spectacle.

Un Roméo et Juliette moderne
L'histoire de West side story est inspiré de Roméo et Juliette de Shakespeare. Jerome Robbins réfléchit à sa transposition dès 1949. Au départ, il veut opposer des Juifs et des Irlandais catholiques, puis il abandonne l'argument religieux pour celui de l'immigration en choisissant de mettre en scène un gang de Portoricains affrontant une bande d'Américains. Il colle ainsi à l'actualité, New York commençant dans ces années-là à connaître des affrontements ethniques. La scène chantée qui comporte le titre "Tonight" et réunit Tony et Maria est inspirée de la scène du balcon de Roméo et Juliette.

Un tournant dans la comédie musicale
Au début des années soixante, la comédie musicale hollywoodienne est en plein déclin à Hollywood. West side story va connaître un succès énorme en rompant complètement avec les codes du genre. La joie de vivre fait place dans ce film au drame, le mythe de l'American way of life est démonté en présentant les difficultés des immigrés portoricains à s'intégrer, et les séquences dansées représentent pour la plupart la violence avec laquelle deux gangs rivaux s'opposent.

La collaboration Bernstein/Robbins
Le chorégraphe Jerome Robbins et le compositeur Leonard Bernstein ont derrière eux une longue collaboration avant le tournage de West side story. Ils ont travaillé ensemble sur des films comme Un jour à New York en 1944 et sur des spectacles créés à Broadway tels que Fancy free (1944), Le Roi et moi (1951), Peter Pan (1954) et West Side story (1957).

Deux réalisateurs
Si Jerome Robbins est crédité en tant que réalisateur au même titre que Robert Wise, c'est qu'il a réglé les séquences dansées et chantées du prologue, de "America", "Cool" et "I Feel pretty". Les deux hommes ont travaillé en étroite collaboration même si Jerome Robbins n'a assisté qu'à une toute petite partie du tournage.

Les décors
L'équipe du film s'est installée pendant cinq semaines dans le West side de Manhattan (68e et 110e rues), notamment pour tourner la séquence dansée d'ouverture. Le reste a été réalisé dans les Studios Goldwyn à Hollywood.

Une production ambitieuse
Doté d'un budget de 6 millions de dollars, le tournage a commencé le 10 août 1960 et a duré six mois. Une production ambitieuse pour une comédie musicale.

Natalie Wood est Maria
Contrairement à son partenaire masculin Richard Beymer, Natalie Wood est une star internationale au moment où elle doit jouer dans ce film. Son rôle de Maria dans West Side story sera l'un des plus gros succès de sa carrière.

Un inconnu du nom de George Chakiris
Le comédien et danseur George Chakiris qui a interprété le personnage de Riff dans le spectacle de Brodway donné à Londres, est inconnu du public quand il décroche le rôle de Benardo dans ce film. Sa prestation lui vaut un Oscar du Meilleur second rôle masculin.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: ETTEDGUI ALBERT (IP enregistrè)
Date: 13 juin 2005 : 12:27

WEST SIDE STORY A ETE PROJETE A CASA AU CINEMA LYNX EN 70 M/M TOD-AO . SA PROJECTION A DUREE 4 SEMAINES A CASA. AUJOURD HUI IL EST DISPONIBLE EN DVD EN SON DOLBY DIGITAL 5.1 EN VERSION ANGLAISE ET FRANCAISE POUR LA ZONE EUROPE ( 2).
AMITIES ALBERT E
TOUS A MARRAKECH

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 13 juin 2005 : 14:51

Pour qui sonne le glas.

Gary Cooper & Ingrid Bergman. 1943.

Un grand film, americain,

Robert est venu combattre pour la Republique espagnole. Il est charge de faire sauter un pont que gardent les fascistes. Il est conduit dans les montagnes a un petit groupe de republicains qui l'aidera. Le chef Pablo est peu combatif et c'est sa femme Pilar qui prend le commandement. Robert rencontre une jeune fille recueillie par Pilar, Maria. Entre Maria et Robert vont se derouler de breves et lumineuses amours. "Une fidele transposition du livre que nous croyons sans exemple dans les annales du cinema."







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: Jacotte (IP enregistrè)
Date: 14 juin 2005 : 13:32

Soly
Il est impossible que je ne te connaisse pas, nous avons exactement les memes references sur Casa. Avais-tu vu au Rialto MIRAGE DE LA VIE avec Lana Turner ? Mon tout premier film en couleurs au Lux boulevard de Marseille : NOEL BLANC.

Je suis toujours impressionnée par ton savoir enclyclopédique et tes connaissances en informatique, en cuisine, en fleurs, en tout a vrai dire.

Tu as remue plein de choses en moi, je t'en remercie.
Jacotte

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 14 juin 2005 : 21:51

alors ma chere jacotte
voici mon pseudo sur skype et on sera en contact jusqu'a 2050 si D. veut.

voici un film qui m'a terriblement marque

orfeo negro,A la veille du carnaval de Rio, Eurydice arrive à la campagne pour y retrouver sa cousine Sérafina, afin d'échapper à un homme qui veut la tuer. Elle fait la connaissance d'Orphée, conducteur de tramway, et artiste adulé par le peuple pour ses qualités de danseur et de guitariste. Mais Eurydice, électrocutée par un câble de tramway, meurt en tentant d'échapper à son destin. Orphée la cherche partout mais ne tarde pas à la suivre, assassiné par Mira, sa fiancée folle de jalousie.

vous vous rappelez ce film????????

soly








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 14 juin 2005 : 22:11

Oh Soly, moi aussiiiiii,

Ce film c'est un des seuls qui me soient restes en memoire avec surtout la musique.
Innoubliable !!!!!!!!!!!
Et encore aujourd'hui a chaque fois que je l'entends, je suis emue.
Je revois encore la derniere scene tragique ou l'un des deux meurt.

C'est triste mais le cinema d'aujourd'hui n'a plus cette force. Finalement la culture de la star etait important pour faire du film une oeuvre spectaculaire et puissante.
Aujourd'hui avec des acteurs presque anonymes (mis a part certains), le cinema n'a plus la meme portee.
C'est bien dommage !

On gardait precieusement les photos de nos stars, on les collectionnait et toutes les petites bribes d'informations etaient conservees soigneusement avec photos a l'appui. Et surtout, on les suivait dans leur vie et aventures avec passion. On etait triste lorsqu'ils avaient des problemes. Bref, une autre epoque.

Je ne vois pas mes filles avoir des loisirs correspondant aux miens lorsque j'avais leur age.

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 01:21

A l'Ouest rien de nouveau.(All quiet on the Western Front) 1930

Eric Maria Remarque, l'auteur du livre sur lequel le film fut base choisit d'aborder la guerre en nous faisant vivre les pensées et le quotidien d'un simple soldat allemand que rien n'avait préparé à cette boucherie.


Avec lui, nous vivrons tout de cette atrocité : l'entraînement inutilement rigoureux, les brimades des officiers, l'agonie d'un camarade, la convalescence à l'hôpital, la fausse joie des permissions, les plaisirs simples... et bien sûr l'horreur des combats décrits avec une froideur et un réalisme effarant. Ce fut une sale guerre où on creva salement, saignant comme un porc dans la boue après avoir récolté un shrapnel ou vomissant ses poumons après avoir ingéré du gaz. Ce fut une sale guerre où on envoya des recrues à peine enrôlées directement à l'abattoir qui deviennent folles rien qu'en entendant les canons incessants.


Notre soldat ne comprend pas cette guerre absurde mais nous lisons ses réflexions et celles de ses camarades. Qui y gagne dans ce massacre ? Qui l'a voulu ? Ceux d'en face ne sont pas des ennemis mais des obstacles à la vie qui veulent tout autant s'en sortir. Les seuls ennemis sont les généraux aveugles qui daignent se montrer de temps en temps sur le terrain. Face à tout cela, les soldats d'une même compagnie sont plus que des amis, plus que des frères. Et pourtant il faudra aussi les voir mourir. La mort rôde sur tous ceux qui s'approchent des batailles. Même si on lui échappe, elle a quand même gagné car on ne peut revenir à la vie après cela. Nous, les lecteurs, n'en ressortons pas indemnes surtout après ce que nous inflige l'auteur dans les derniers chapitres. Sa lecture suffit à rabattre les instincts guerriers et à rendre pacifistes les plus militaires d'entre nous.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 01:35

Eve.

( All about Eve) 1951

Tout commence par la cérémonie de remise du prix théâtral Sarah-Sibbons. Le prix de l'année est décerné à une jeune comédienne : Eve Harrington. Soudain, l'image se fige. Karen Richard ( femme de l'écrivain Lloyd Richard) nous raconte comment 8 mois auparavant, elle a fait la connaissance de Eve Harrington. Ce n'était alors qu'une spectatrice assidue, grande admiratrice de l'actrice Margo Channing (Bette Davis). Peu à peu Eve va réussir à gagner la confiance de Margo . Elle va se rendre indispensable. Pourtant personne ne voit encore très clair dans le jeu de cette jeune ambitieuse prête à tout pour obtenir la consécration. Il suffira que Margo soit absente à une représentation pour que Eve la remplace et remporte un franc succès auprès de la critique et du public. Par la suite elle fera tout pour obtenir le rôle de Cora dans la pièce de Lloyd Richard. Elle parviendra à ses fins et connaîtra la gloire qu'elle a toujours souhaité. Le film s'achève sur l'intervention de pheobe, jeune femme du même acabit qu'Eve et dont les ambitions semble elles aussi démesurées. Elle réussit à s'introduire chez Eve et on devine aisément la suite.


Récompensé par cinq Oscars en 1950 : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur second rôle masculin, meilleur son et meilleur scénario.

Titre original All about Eve
réalisateur Joseph L. Mankiewicz
producteur Darryl F. Zanuck

Liste des acteurs principaux Bette Davis (Margo Channing), Anne Baxter (Eve Harrington), George Sanders (Addison DeWitt), Gary Merrill (Bill Sampson), Celeste Holm (Karen Richards), Hugh Marlowe (Lloyd Richards), Thelma Ritter (Birdie Coonan), Gregory Ratoff (Max fabian), Marilyn Monroe (Miss Caswell)
date de sortie
(France) 00 / 00 / 1951







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 02:02

Les raisins de la colere. 1940 avec Henry Fonda.
de John Ford,Adapte du roman de John Steinbeck,Prix Pulitzer 1940.

The Grapes of wrath, 2 Oscars

Certains diront que le lyrisme qui coule de ces Raisins de la colère n’est pas l’œuvre de Ford : au fond, le roman de Steinbeck contenait déjà toutes ces thématiques. Dans une lettre adressée à Lindsay Anderson (2), Nunnally Johnson (scénariste du film) écrivait : "La contribution de réalisateur est, à mon avis, celle dont on peut tirer le moins de fierté. Il ne contribue pas à l’écriture de l’intrigue, ne fournit pas un seul personnage, ne crée pas une seule ligne de dialogue, tous ces éléments étant ce que j’appellerai les parties prépondérantes […] La marge de manœuvre permettant à un réalisateur d’exercer ses capacités d’invention et de création me semblent trop étroite pour justifier le mérite qu’on lui accorde". Les propos de Johnson incitent évidemment à la réflexion. Il est sûr que John Ford n’invente pas de personnages, mais Johnson oublie que le cinéaste les met en scène. Derrière un texte, il y a une phase de création qui semble totalement échapper au scénariste. On pourrait reprendre l’exemple de la séquence d’introduction du film décrite précédemment (Tom Joad marchant vers un carrefour), mais il faut également évoquer ces plans rapprochés sur les visages des protagonistes qui permettent à Ford de montrer toute la détresse humaine. Détresse qu’il oppose à l’opulence des citadins en utilisant la profondeur de champ : ainsi cette scène dans la station essence qui voit Pa Joad demander une miche de pain tandis qu’en arrière plan les badauds l’observent avec incrédulité ! Il faut aussi mentionner ces plans larges qui montrent l’espace dans lequel se déplace la famille Joad mettant ainsi en exergue la difficulté de leur tâche. Des plans dessinant l’immensité et l’âpreté de l’Ouest américain, des plans à la beauté infinie et sublimée par la superbe photographie de Gregg Toland (qui signera un an plus tard celle de Citizen Kane). Citons enfin ces quelques travellings dans les camps de réfugiés et en particulier celui qui place la caméra en regard subjectif sur le camion des Joad. L’objectif à large focale avance avec lenteur au cœur d’une marée humaine et nous permet d’en saisir chaque détail. Ici, Ford a une approche quasi-documentariste qui nous plonge sans la moindre emphase au cœur de la misère. Après ce plan, le regard des Joad se pose sur celui des enfants du camp et, à travers quelques portraits, Ford dresse un tableau sensible et bouleversant de cette Amérique délaissée par le système. Chez John Ford, il faut lutter pour vivre. L’American dream n’existe pas.

Au-delà de cette mise en image qui manifestement échappe à Nunnally Johnson, John Ford déploie son art en s’entourant d’une troupe d’acteurs qui lui est chère. Il faut évidemment citer Henry Fonda qui signe ici une de ses plus belles prestations. D’abord en quête de rédemption, son personnage se transforme lentement au contact des événements. Fonda joue en intériorité, il est habité d’une force tranquille qui sied parfaitement au personnage de Tom Joad. Sa douceur, son sourire innocent, ses regards d’une pureté absolue en font un héros inoubliable. A ses côtés, on trouve de nombreux comédiens qui, comme lui, ont déjà officié chez Ford. John Carradine interprète le personnage de Casy auquel il insuffle une folie permanente et à qui il donne une dimension spirituelle fascinante. N’oublions pas non plus les fidèles seconds couteaux de Ford tel Charley Grapewin (Grand Pa), O.Z. Whitehead (Al) ou Dorris Bowdon (Rosasharn), chacun interprétant leur rôle avec le plus grand professionnalisme. Enfin, la famille Joad et par extension la famille fordienne ne serait pas au complet sans Jane Darwell qui incarne une inoubliable Ma Joad. Sa performance saluée par la critique et récompensée d’un Oscar est empreinte, elle aussi, d’une force intérieure. A l’instar d’Henry Fonda, on sent la lave couler dans ses veines, il s’en dégage une puissance contenue qui ne s’exprime que dans les yeux. Des yeux fixés sur la route, chargés d’une volonté indestructible.

Pendant le tournage, le clan Joad évolue sous le regard bienveillant de John Ford. Aucun geste, aucune parole ne dépasse, chaque mouvement n’est qu’harmonie avec la caméra du cinéaste. L’équilibre est parfait et concourt à la réussite de l’œuvre.

Avec Les raisins de la colère, John Ford reprend évidemment le travail de John Steinbeck et de Nunnally Johnson mais il y apporte sa vision. Une vision humaniste, semblable à celle de Jean Renoir, Marcel Carné ou encore Kaneto Shindo (L’île nue). Aujourd’hui, le travail de Ford inspire de nombreux artistes issus de domaines différents. Il n’est pas étonnant de retrouver parmi eux une autre légende américaine qui avoue s’être inspiré du film pour écrire un album mélancoliquement intitulé The ghost of Tom Joad : Bruce Springsteen. Ce sera donc sur ces quelques vers du poète du New Jersey, sortis du fantôme de Tom Joad, que nous conclurons cette critique :

"Now Tom said : Wherever there’s a cop beatin’ a guy
wherever a hungry newborn baby cries
Where there’s a fight ‘gainst the blood and hatred in the air
Look for me Mom I’ll be there
Wherever there’s somebody fightin’ for a place to stand
Or decent job or a helpin’ hand
Wherever somebody’s strugglin’ to be free
Look in their eyes Mom you’ll see me." (3)

(1) "Les raisins de la colère est l’ancêtre le plus sublime des road movies du cinéma américain. Il contient en tout cas l’une des plus poignantes et plus violentes dénonciations de la misère qu’on ait vues dans un film. Un monde disparaît : celui de la famille unie et des traditions séculaires. Un autre monde, peut-être, va naître, enfanté dans le désarroi, le doute, la souffrance." Jacques Lourcelles







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 06:02

Un Americain a Paris ( 1951)

Production :
Arthur Freed

Mise en scène : Vincente Minnelli

Scénario :
Alan Jay Lerner

Chorégraphie : Gene Kelly
Musique : George Gershwin
Direction musicale : John Green, Saul Chaplin
Direction artistique : Cedric Gibbons et Preston Ames
Montage : Adrienne Fazan




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Avec :

Gene KELLY : Jerry Mulligan
Martha BAMATTRE : Mathilde Matthieu
Leslie CARON : Lise Bouvier Mary JONES : la vieille danseuse
Oscar LEVANT : Adam Cook Ann CODEE : Thérèse
Georges GUETARY : Henri Baurel George DAVIS : François
Nina FOCH : Milo Roberts Hayden RORKE : Tommy Baldwin
Eugène BORDEN : Georges Matthieu
Paul MAXEY : John McDowd




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Jerry Mulligan (Gene Kelly), un américain venu étudier la peinture à Paris, loge dans une mansarde d'un petit hôtel de Montmartre. Grâce à un ami pianiste, il sympathise avec Henri Baurel (Georges Guétary), une grande vedette de music-hall, fiancé depuis peu. Plus tard, à Montmartre. Jerry est courtisé par une belle milliardaire, Milo Roberts (Nina Foch)...



L'une des plus célèbres comédies musicales hollywoodiennes passée à la postérité en grande partie grâce à son prodigieux ballet final de 17 minutes.




Oscar du meilleur film.

Oscar de la meilleure direction musicale, scénario, décors, photographie, costumes.

Oscar spécial à Gene KELLY pour sa contribution à la comédie musicale et ses talents de danseur-chorégraphe.






Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 06:53

Les Hauts de Hurlevent.
Wuthering Heights


Film américain (1939). Drame. Durée : 1h 43mn.
Avec Merle Oberon, Sir Laurence Olivier, David Niven, Flora Robson, Donald Crisp

Réalisé par William Wyler

Laurence Olivier est superbe, d`autant que le role d`Heathcliff est litteralement fait pour lui... Merle Oberon elle aussi tres bonne en Cathy, et un David Neven tout jeune dans le role de Linton, il n`en fallait pas moins pour faire de ce film l`un des meilleurs des annees 50... Tres acclame a l`epoque, ce film n`est pourtant pas l`adaptation fidele de l`oeuvre d`Emily Bronte, le film etant beaucoup plus centre sur Heathcliff et Cathy, et s`arretant a la mort de celle ci tandis que le livre nous decrit les 20 annees suivantes et la vengeance d`Heathcliff sur la famille Linton... Certaines scenes du livre ont ete totalement inversees (dans le livre, par exemple, c`est Heathcliff qui reclame le cheval d`Hindley en le faisant "chanter", et non pas l`inverse) mais l`ambiance du livre et bien la, et on retrouve toujours Heathcliff avec autant de plaisir que dans le livre (et la je me repete: aucun autre acteur que Laurence Olivier n`etait autant fait pour le role d`Heathcliff.

Producteur Samuel Goldwyn
Production Samuel Goldwyn Company, U.S.A.

Acteur(s)


Merle Oberon Cathy
Laurence Olivier Heathcliff
David Niven Edgar Linton
Flora Robson Ellen
Donald Crisp Dr. Kenneth
Geraldine Fitzgerald Isabella Linton
Hugh Williams Hindley
Leo G. Carroll Joseph
Miles Mander Lockwood
Cecil Kellaway Earnshaw
Cecil Humphreys Judge Linton
Rex Downing.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 08:28

gerard et darlett vous avez ici les meilleurs films universels.

quelle merveille,aujourd'hui le cinema est a la maison,et il y a moins de charme a voir un bon film

soly

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 14:21

Citoyen Kane. 1941

Un des plus grands films jamais realises et certains disent meme que c'est le plus grand film de tous les temps.


Ce film est classé au sommet des plus grands palmarès et long métrage considéré, par plusieurs, comme le meilleur de tous les temps. Inspiré de la vie du magnat de la presse, William Randolph Hearst, Citizen Kane dépeint la réalité journalistique, telle qu'elle est encore aujourd'hui, avec un scénario bien ficelé qui raconte la vie d'un homme, époque après époque, une pièce du puzzle après l'autre. Tout ça sur un fond musical chevaleresque, une bobine noir et blanc (1941), comme une grande épopée. En somme, l'histoire d'un homme, de sa détermination, de ses convictions, de ses femmes, de sa richesse... vus sous l'oeil d'un journaliste, sur les traces de Rosebud, la pièce manquante au puzzle Kane.



- Le fait de voir défiler la vie d'un grand homme devant nos yeux, à travers la recherche d'un journaliste qui se promène de sources en sources. Ce concept trace un parallèle très étroit entre la vie d'un journaliste, et la pratique du métier proprement dite, tout ça en évitant la linéarité d'une biographie conventionnelle.

- L'élaboration très soutenue d'un personnage très caractéristique. Charles Foster Kane est un homme de principes, avec des valeurs bien ancrées et une autorité indéniable. J'ai adoré la façon dont étaient rendues toutes les forces et les faiblesses du protagoniste en question. Il y a une phrase qui m'a particulièrement marqué, et qui démontre toute la couleur du personnage, malgré le fait que le film soit en noir et blanc : «Je n'ai pas le temps de faire de promesses, je suis trop occupé à les réaliser» dit-il alors qu'il se présente aux élections pour devenir gouverneur.

Que dire de plus, sinon... Orson Welles, quel grand homme!








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: ETTEDGUI ALBERT (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 14:53

TOUS MES COMPLIMENTS ANIDAVID POUR TES ARTICLES SUR LES VIEUX FILMS.
AMITIES ALBERT E

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 16:30

Albert.

Merci mon ami pour tes compliments.

Shalom du Canada

David

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 16:53

Le Train sifflera trois fois.

High Noon avec Gary cooper et Grace Kelly

Un des plus grands Western Classiques si ce n'est le plus grand.



Titre Original High Noon
Genre Western
Pays USA (1952)
Date de sortie 06/05/2004
Durée 81 Min
Réalisateur Fred Zinnemann
Avec Gary Cooper, Grace Kelly, Thomas Mitchell, Lee Van Cleef, Lloyd Bridges, Lon Chaney Jr
Producteurs Republic - Stanley Kramer
Scénaristes Carl Foreman
Compositeur Dimitri Tiomkin







L'histoire

: Alors qu'il s'apprête à abandonner ses fonctions de shérif de Hadleyville pour se marier à Amy (Grace Kelly), une quaker, Will Kane (Gary Cooper) apprend qu'un dangereux bandit, qu'il a autrefois condamné, arrive en ville par le train de midi pour se venger. Ses trois acolytes sont déjà sur le quai de la gare prêts à le seconder. Will renonce alors à son voyage de noces et tente de réunir quelques hommes pour braver Frank Miller (Ian Mac Donald) et sa bande mais, peu à peu, tous l'abandonnent.


La critique : La réputation de "Le train sifflera trois fois" parle pour lui, il n'est donc pas utile de répéter qu'il s'agit là d'un très grand classique mais peut-être faut-il préciser qu'à l'origine il n'était qu'une petite production d'un jeune producteur, Stanley Kramer, inspirée de l'histoire "The thin star" de J. W. Cunningham. Néanmoins, la parfaite direction du réalisateur Fred Zinneman nous place au coeur de cette crise de conscience. Ainsi, par son choix d'user de sobriété, de recourir aux raccourcis rapides de l'intrigue par l'image, il contribue à accentuer sa tension dramatique. C'est d'ailleurs cette maîtrise technique qui a valu au film de recevoir l'oscar du Meilleur Montage. Mais la musique, elle aussi, participe à la densité de l'atmosphère. Il était donc justifié que deux autre prix s'additionnent au premier avec les oscars de La Meilleure Musique Originale et de La Meilleure Chanson Originale qui sont revenus à Dimitri Tiomkin pour sa romance "Si toi aussi tu m'abandonnes" ("Do not forsake me, Oh my Darling") dont les bribes viennent se glisser à bon escient dans l'action pour accentuer l'isolement grandissant du héros aux prises avec une dure réalité et à Tex Ritter, son interprète. Quant au rôle principal, sur lequel tout le film repose, il se devait d'être interprété avec brio. Et c'est à Gary Cooper, dont le jeu exprime avec une belle intensité la bravoure et la farouche détermination de ce héros digne des plus grandes tragédies grecques, qu'il a été justement confié. Placé face à un dilemme, Will Kane doit choisir: soit il honore la promesse faite à sa jeune femme et abandonne les habitants de la ville soit il obéit à son sens du devoir et, très probablement, il mourra. Cette fois encore, le réalisateur a joué la bonne carte, la brillante interprétation a permis à Gary Cooper de remporter son deuxième oscar du Meilleur Acteur.

Construit comme un huis clos à l'intérieur de la petite ville de l'Ouest, Hadleyville, ce western mythique propose une intrigue en temps réel. Or, régi par cette temporalité réduite à une heure trente, tout concourt à l'intensité de l'expression du refus de la fatalité, du désir d'affronter son destin, de l'accomplissement d'une responsabilité dans la solitude. Dès les premières minutes du film, notre attention se pose sur une pendule qui indique dix heures et demie et nous sommes tenus en haleine jusqu'à ce fameux midi, heure cruciale à laquelle "le train sifflera trois fois si un passager descend".
C'est donc grâce au dépouillement que Zinneman touche à l'essentiel et confère à son oeuvre la parfaite intensité dramatique qui conduit à ce combat, à ce duel final réglé, lui aussi, en quelques minutes. Mais, loin d'être bâclée, cette séquence signe l'apogée de l'accomplissement d'un homme et la réussite d'une technicité cinématographique.



Paroles de la chanson qui accompagne le film.


Si toi aussi tu m'abandonnes






Si toi aussi tu m'abandonnes
Ô mon unique amour, toi !
Nul ne pourra plus jamais rien, non, rien pour moi !
Si tu me quittes plus personne
Ne comprendra mon désarroi...
Et je garderai ma souffrance
Dans un silence
Sans espérance
Puisque ton cœur ne sera plus là !

C'est la cruelle incertitude
Qui vient hanter ma solitude !
Que deviendrai-je dans la vie
Si tu me fuis... ?
J'ai tant besoin de ta présence
Tu restes ma dernière chance...
Si tu t'en vas, j'aurai trop peur...
Peur... de ne plus vivre une heure !

Si toi aussi tu m'abandonnes
Il ne me restera plus rien
Plus rien au monde et plus personne
Qui me comprenne
Qui me soutienne
Ou qui me donne simplement la main !
Attends ! Attends ! Attends ! Demain.










Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 15 juin 2005 : 17:30

Soly, Anidavid, Hassan et aussi Kenza ont fait un travail excellent.

Nous avons la une retrospective de tous les films a succes des annees 50 et 60 !

C'est tellement nostalgique ! Presque tous les titres sont emouvants !

Vraiment, merci a vous quatre
Darlett




Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 00:20

NOSTALGIQUEMENT VOTRE







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 02:14

Le Pont de la riviere Kwai

L'histoire est tiré de l'ouvrage de Pierre Boulle, édité en 1956 sous le même titre.

Un bref résumé, des prisonniers anglais vont devoir bâtir pour le compte de leur geôliers, un pont dans un lieux luxuriant en vacances mais qui s'avère mortel dans le cadre de la détention.
La jungle birmane le pont doit enjamber la rivière Kwai, un pont ferroviaire destiné à acheminer renforts et matériels, c'est une nécessité pour les nippons.

Le début est une catastrophe, sous les ordres d'architectes made in japan, la chose est mal engagée.

Dans les rangs britanniques, le Colonel NICHOLSON, architecte de profession propose sa contribution, un challenge pour lui, la construction du pont deviendra pour lui aussi vitale que pour le Colonel SAITO.

Un contexte difficile, cette coopération irrite Shear ( Willliam Holden) il décide de s'évader pour saboter l?édifice.

Avec beaucoup de chance il échappe aux poursuites survit à la jungle et arrive à convaincre ses sauveurs de la réalité des faits, un pont va permettre en cette année 1943 aux japonais de reprendre l'offensive.

Un commando est mis sur pieds, shears est du voyage.

Le sabotage est prêt et la cerise sur le gâteau, ils décident de faire sauter le premier train, comble de la malchance le niveau de la rivière baisse et le fil reliant les explosifs est découvert par NICOLSON qui dans un ultime sursaut choisit son camp.

Mon dieu, mais qu'ai-je fait ?

un film classique avec un trio d?acteurs sublimes, l'action n'est pas omniprésente mais il pose beaucoup de questions.









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 02:26

Sueurs froides.

Vertigo 1958,un Film d'Alfred Hitchcock


Le Film comporte deux parties. La première partie va jusqu'à la mort de Madeleine, sa chute simulée depuis le haut du clocher. Et la seconde commence lorsque le Scottie croit voir Madeleine en chaque femme qu'il rencontre. Ce sera le cas pour Judy qu'il croise dans la rue.

La première partie combine des ingrédients du film policier (filature), du film fantastique (l'appel d'une morte) et du film d'amour (la constitution d'un couple). L'expressionnisme de la couleur, la musique et la figure de la spirale donnent une grande unité formelle à cette première partie.

Les trois couleurs primaires lumière : le rouge, le vert et le bleu sont utilisées de manière expressionniste et marquent le spectateur qui reste imprégné de cette expérience comme le sont les deux personnages principaux par leur histoire. Le filtre rouge est utilisé dès le générique, il réapparaît lors du cauchemar de la fin de la première partie, il est la couleur dominante du bar dans lequel Scottie rencontre Madeleine pour la première fois, c'est aussi la couleur du pont de San Francisco sous lequel tente de se noyer Madeleine c'est enfin la couleur du bijou fatal. Le vert est la couleur de la robe portée par Madeleine lors de cette première rencontre, la couleur de sa voiture. C'est la couleur des morts qui sera utilisée comme telle dans les fameuses séquences de la seconde partie éclairées par l'enseigne au néon de l'Hôtel Empire, c'est aussi la couleur du gazon du cimetière et de celui de l'église espagnole où auront lieu les deux chutes. Le bleu, couleur plus bénéfique du ciel et de l'eau, présente des occurrences moins nombreuses.

La musique de Bernard Hermann contribue fortement à créer ce sentiment d'amour impossible. Soulignant le romanesque de certaines scènes, elle se fait dissonante quand Scottie prend conscience qu'il aime une morte.

La figure de la spirale, utilisée comme telle dans le générique, revient comme un leitmotiv. C'est le chignon de Carlotta Valdes et de Madeleine, c'est l'escalier en spirale, c'est le parcours de la voiture de Madeleine se rendant chez Scottie en tournant autour d'une tour repère. C'est le tronc du séquoia où Madeleine situe sa propre mort. La spirale évoque le cheminement de la vie. Elle tourne autour de la vérité, du centre, s'en approche, puis s'en éloigne, selon le sens dans lequel elle se déroule. Elle provoque le vertige.

Mais ne plus souffrir du vertige de la spirale, c'est être mort, ou du moins ne plus aimer. Durant toute cette première partie, Scottie est loin d'en être là. Fasciné par le passé que porte Madeleine, il n'approche pas de la vérité mais se prend d'un amour véritable et puissant pour la jeune femme. Le vertige qu'il ressent pour Madeleine est aussi physique : il en tombe amoureux au premier regard et il l'a vu nue en lui retirant ses vêtements mouillés. Cette dimension mythique de l'amour est accrue par l'utilisation de filtres de brouillard. Ces filtres sont certes justifiés par la dimension fantastique de Madeleine aux prises avec les forces d'une morte. Mais plus simplement, ils isolent les amants au sein d'un monde hors du réel. A contrario, les discussions avec son amie Midge, la caricature de celle-ci en Carlotta Valdes apparaissent totalement dénués de romanesque.

Dans la seconde partie, Scottie obsédée par l'image de Madeleine qu'il voit partout, s'abandonne à la nécrophilie. Il assume l'idée de faire l'amour avec une morte. Scottie essaie de faire de Judy l'image vivante de Madeleine qu'il a tant aimée. C'est la réincarnation de celle-ci qu'il souhaite avoir sous les yeux lorsqu'il persuade Judy de s'habiller et de se coiffer comme elle, afin de faire l'amour avec l'une en pensant à l'autre.

Dans la scène au cours de laquelle Judy, par son maquillage devient tout à fait telle que le souhaite Scottie, Hitchcock la fait apparaître, au sortir de la salle de bains, nimbée de l'étrange lueur verte diffusée par l'enseigne au néon de l'hôtel où elle habite. Cette couleur façonne d'elle une image transparente et spectrale semblable à celle offerte par Madeleine lorsque Scottie l'avait vu pour la première fois. Pour cette scène avait été construit spécialement un décor qui, lorsque la caméra opère son travelling de 360° autour des amants, nous permet de voir ce que Scottie imagine à ce moment, à savoir l'intérieur de la mission du haut de laquelle Madeleine s'était jetée. Il n'y a ni fondu, ni surimpression, aucune astuce photographique qui vienne surcharger l'image, rien que le mouvement souple de la caméra décrivant une courbe harmonieuse.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 04:35

Le Dictateur.1940

Dans le ghetto juif vit un petit barbier qui ressemble comme un frère au dictateur de Tomania, Adenoïde Hynkel. Celui-ci a décidé l'extermination de la race juive. Au cours d'une rafle, le barbier est arrêté en compagnie de Schultz, un farouche adversaire d'Hynkel. Par contre, Hannah, la jeune protégée du barbier et Jaeckel peuvent se réfugier dans un pays voisin, l'Austerlich.

Schultz et le barbier parviennent à s'évader. Pendant leur internement, Hynkel a reçu en grandes pompes Napaloni, le dictateur de Bactérie qui s'apprête à envahir l'Austerlich. Hynkel sera plus rapide que son allié, et Schultz et le barbier arrivent en Austerlich en même temps que les troupes de Tomania. Alors qu'Hynkel, pris pour le barbier, est arrêté, le barbier, pris pour Hynkel, est prié de prononcer un discours célébrant la victoire tomanienne. À la stupéfaction générale, le petit juif lance un vibrant appel à la paix et à la fraternité mondiale.

Dictator. Charlie Chaplin







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 08:41

quelle merveille aussi ces films muets
de charlot
abot et castelo
laurel et hardy......................

apres eux les freres max

soly


Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: Adeline (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 11:11

Fantastique cette reconstitution.

Moi j'aurais propose a Darlett et Gerard de trouver un moyen de placer ces affiches les unes apres les autres et de permettre de les feuilleter.

Qu'en dis-tu Gerard, Webmaster ?

Amicalement
Adeline

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: lilas (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 12:17

un film que j'ai vu au cinéma l'Empire à Fes avec mes parents, c'est mon premier film au cinéma je pense







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: lilas (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 12:26

au cinéma l'Astor à Fes, je rêvais devant les affiches de Charlie Chaplin sur la route de l'école, j'ai encore le souvenir des mes incessantes questions "mais que veut dire les feux de la rampe?", "y-a-t-il du feu sous la rampe?" etc..







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: lilas (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 12:30

mon premier film toute seule avec une copine au cinéma le BIJOU à Fes, le prof était malade nous sommes allées nous faire peur au ciné







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 12:32

New York Miami.

Titre original: It Happened One Night,de Frank Capra 1934.
A remporte plusieurs Oscars
avec Clark Gable et Claudette Colbert.

Ellie Andrews, jeune fille gâtée dont le père milliardaire refuse qu’elle épouse l’homme de ses rêves, échappe à son emprise en se sauvant du yacht dans lequel il l’avait séquestrée, pour aller rejoindre le play-boy aviateur avec qui elle s’est secrètement fiancée. Peter Warne (Clark Gable), journaliste insolent, est congédié du journal qui l’emploie. Ces deux personnes que tout sépare se rencontrent dans un autocar reliant Miami à New York. D’abord attiré par le scoop et éventuellement la récompense qu’il pourrait obtenir (le père de la jeune fille ayant lancé des détectives à ses trousses), Peter Warne ne quitte plus d’une semelle sa nouvelle compagne de voyage qui vient en plus de se faire voler tout l’argent qu’elle transportait sur elle. Après maintes péripéties au cours desquelles ils doivent se faire passer pour un couple légitime et ainsi dormir dans la même chambre, seulement séparés par une couverture ("le mur de Jéricho"), ils finissent par s’éprendre l’un de l’autre. Alors qu’Ellie est endormie, Peter lui fausse compagnie pour aller vendre son histoire au journal et ainsi tenter d’arracher de l’argent à son rédacteur en chef qui lui permettrait d’épouser Ellie. Dépitée, se croyant trahie, cette dernière ‘se rend’ à son père qui accepte enfin qu’elle se marie avec son aviateur…Vous ne croyez quand même pas qu’une comédie puisse voir son héros, joué par Clark Gable qui plus est, laissé sur le carreau !!! Il suffira d’un coup de trompette faisant tomber, comme l’avait fait Josué, "les murailles de Jéricho" pour que le happy end tant attendu se concrétise.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: lilas (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 12:33

je pense que l'affiche était plutôt celle-là







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 15:03

Certains l'aiment chaud. de Billy Wilder. 1959

Titre original. Some like it Hot.
Marilyn Monroe,Tony Curtis,Jack Lemmon

Chicago, hiver 1929. Froid et neige. Deux musiciens d'orchestre, un saxophoniste, Joe et un contrebassiste, Jerry, ont perdu leur emploi après une rafle dans un "speakeasy" dissimulé derrière une boutique de pompes funèbres.

Plus tard, ils ont le malheur d'assister dans un garage au massacre de la saint-Valentin ordonné par le gangster Spats Colombo.

Se sachant traqués par Spats et ses tueurs qui veulent éliminer deux témoins gênants, Joe et Jerry n'hésitent pas à accepter un travail dans un orchestre féminin qui se rend en tournée en Floride. Déguisés en femmes, ils font le voyage en train de nuit avec les membres de l'orchestre. Pour Jerry, le spectacle de toutes ces femmes est un véritable supplice de Tantale. Une "orgie" alcoolique s'organise malgré lui dans sa couchette

On s'installe à l'hôtel. Joe et Jerry sont tous les deux tombés amoureux de la blonde Sugar, la chanteuse de l'orchestre. Elle a subi dans le passé de nombreux déboires sentimentaux dans des orchestres masculins et ne travaille plus désormais qu'avec des collègues de son sexe. Elle paraît bien décide à trouver en Floride un millionnaire.

En fait de millionnaire, Jerry a attiré l'attention et la convoitise du richissime Osgood Fielding III qui ne cesse de l'importuner. En bon camarde, Jerry s'efface devant Joe et va favoriser ses entreprises auprès de Sugar. Il sort avec Osgood pour que Joe, qui s'est fait passer pour un millionnaire auprès de Sugar, puisse emmener celle-ci sur le yatch dudit Osgood. Durant cette soirée mémorable, Joe explique à Sugar, pour mieux la séduire, que depuis une expérience sentimentale qui s'est terminée tragiquement. Il ne ressent plus rien devant les femmes. Sugar s 'emploiera à faire disparaître cette insensibilité.

Par un hasard malheureux, Spats vient séjourner dans le même hôtel que l'orchestre. Poursuivis par lui et ses tueurs, Joe et Jerry sont amenés à se réfugier sous la table d'un banquet donné en l'honneur de Spats par son ami Little Bonaparte. Le clou de la soirée c'est le mitraillage en règle de Spats et de ses hommes. A nouveau, les deux amis sont les témoins involontaires d'une tuerie. Repérés par Little Bonaparte, ils s'élancent en une fuite éperdue vers le yatch d'Osgood. Joe révèle à Sugar sa double et même triple identité. Ils se marieront à la première occasion. Jerry doit avouer à Osgood qu'il n'est pas une femme. Osgood lui lance alors sa légendaire réplique : "Personne n'est parfait".












Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 16 juin 2005 : 23:43

Le Faucon Maltais.

Titre original: The Maltese Falcon 1941.
avec Hunphrey Bogart & Mary Astor.

Le premier Film de John Huston.


San Francisco. Une femme arrive dans le bureau des détectives Samuel Spade et Miles Archer. Elle souhaite qu'on retrouve sa sœur qui, soi-disant, aurait fugué avec un certain Floyd Thursby. Archer est assassiné dès le début de son enquête ainsi que Thursby. Les soupçons se portent dans un premier temps sur Sam Spade qui a une liaison avec la femme de son collègue défunt. En fait, tous ces meurtres tournent autour d'une mystérieuse statuette d'un faucon qu'une bande d'aventuriers sans scrupules cherche à s'approprier par tous les moyens...






Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 17 juin 2005 : 07:22

Sur les Quais,
On the Watefront. 1954 by Elia Kazan
Avec Marlon Brando

Terry Malloy, boxeur raté, est devenu docker. Son frère, Charley est l'avocat du chef du syndicat local des dockers, Johnny Friendly.


Terry est mêlé involontairement au meurtre d'un homme qui refuse de se plier aux exigences du syndicat. Edie, la sœur de la victime, demande à Terry de l'aider à faire juger les coupables. Le père Barry, l'aumônier des dockers, l'encourage à lutter contre le syndicat. Quand son frère Charley est exécuté pour avoir refusé de tuer Terry, devenu gênant, le père Barry convainc celui-ci de témoigner devant une commission d'enquête qui met fin aux activités de Johnny Friendly. Mais cela lui vaut la réprobation de ses camarades. Terry décide alors de régler directement ses comptes avec Friendly. Impressionnés par son courage, les dockers lui emboîtent le pas et reprennent le travail. La puissance du syndicat est brisée.



Terry Malloy est un docker taciturne et secret qui élève des pigeons sur le toit de son immeuble à ses moments perdus. Il a des problèmes avec le syndicat des dockers qui n'est pas vraiment un syndicat mais un gang. Son frère en est l'avocat. Terry a bien compris que les travailleurs sont rançonnés, il sait aussi que les hommes qui contrôlent l'activité des docks ne reculent pas devant le crime. Conseillé par un prêtre et par une jeune fille qui l'aime, il finira par accepter de dénoncer les manœuvres du syndicat et de partir en guerre.


C'est une histoire attachante et très bien racontée, c'est à dire avec un bon dosage d'action, de sentiments, de discours, de pauses contemplatives avec aussi des comédiens bien trempés et une superstar Marlon Brando. Mais on en peut oublier que els années 50 aux Etats-Unis sont celles du maccarthysme. Du coup, sournoisement, le film se présente comme une sorte de défense "dans certaines conditions" de la délation et de la trahison. Bref ce film de Kazan et Schulberg crée un malaise



Oscar du meilleur film 1954. Avec : Marlon Brando (Terry malloy) Eva Marie saint (Edie Doyle), Karl Malden (Le père Narry, Lee J. Cobb (Johny Friendly). 1h46.




Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 20 juin 2005 : 01:01

Hantise

Gaslight
Le Film noir par excellence

Avec Charles Boyer et Ingrid Bergman

Premi?re sortie mondiale : 1944
R?sum?.


Gregory Anton, pianiste, gagne le coeur de Paula Alquist, qui passe des vacances en Italie. Ils se marient. Bient?t Gregory propose ? Paula d'aller ? Londres habiter la maison qu'a l?gu?e ? Paula sa tante, myst?rieusement assassin?e quelque temps auparavant. Au d?but, ils sont tr?s heureux, mais bient?t Paula est en proie ? des hallucinations auditives et ? une oppression sans cesse grandissante. Elle devient victime d'une hantise qui la fait douter de sa sant? mentale. Les mani?res de Gr?gory changent, il devient froid et lui marque un m?pris d?sapprobateur. Il semble s'amuser ? souligner ses troubles au lieu de les apaiser, la tenant pratiquement recluse. Entre-temps, Brian Cameron, d?tective ? Scotland Yard, tr?s ?pris de Paula, r?examine le dossier non r?solu du meurtre de la tante de Paula. Il en vient ? soup?onner Gr?gory








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 20 juin 2005 : 05:33

La Dolce Vita. 1960
Federico Fellini

Avec Marcello Mastroianni et Anita Ekberg

Marcello est chroniqueur mondain dans un journal sp?cialis? dans les indiscr?tions et fr?quente la faune romaine en qu?te d'?chos croustillants. Au cours d'une tourn?e de routine, il rencontre son amie Maddalena, une riche h?riti?re d?soeuvr?e. Ils passent la nuit dans la chambre d'une prostitu?e complaisante. Le lendemain matin, Marcello trouve Emma, sa compagne r?guli?re, inanim?e aupr?s d'un tube vide de comprim?s. Il la conduit ? l'h?pital. Elle en r?chappe.

A l'a?rodrome de Rome, arriv?e triomphale de Sylvia, grande star hollywodienne : cort?ge bruyant, conf?rence de presse cacophonique, etc. D'autres ?v?nements futiles se succ?dent ainsi, marques au coin de la d?bauche et de la d?sesp?rance. L'?crivain esth?te, Steiner, l'ami de Marcello, se suicide apr?s avoir tu? ses enfants. Marcello s'enlise de plus en plus dans un milieu qui d?gage une forte odeur de d?composition. Son coeur devient insensible au sourire de la vie. Le film se termine m?lancoliquement au petit matin sur une plage apr?s une " surprise-partie".












Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 20 juin 2005 : 16:33

Fenetre sur Cour 1954.Alfred Hitchcock.

Avec James Stewart et Grace Kelly.
Genre Policier.



Fenetre sur Cour(Rear Window 1954), est sans doute le film d'Hitchcock le plus parfaitement construit, celui aussi dont la port?e morale est la plus grande. En ce sens, il est plus proche des grands films sur l'imaginaire, plus proche d'un film de Bunuel ou de Resnais que des films hollywoodiens de gestion du suspens. La critique ne s'y est d'ailleurs pas tromp?e, faisant de Fen?tre sur cour un grand film moderne.

Le film se lit ? deux niveaux : Stewart est une repr?sentation du spectateur et la cour qu'il contemple la repr?sentation de sa pens?e. Il s'agit d'une mise en ab?me. Le spectateur p?n?tre sur l'?cran par l'effet d'identification au personnage de Stewart. Puis, par l'effet Koulechov qui nous identifie au regard de Stewart, le spectateur p?n?tre ? l'int?rieur de la cour : la fen?tre est un ?cran dans l'?cran : on y voit la pens?e ? l'oeuvre.

Le film va en effet bien au-del? de son sc?nario. Un reporter photographe (James Stewart), immobilis? chez lui, une jambe dans le pl?tre, observe par d?soeuvrement le comportement de ses voisins d'en face. Bient?t, il acquiert la conviction qu'un homme a tu? sa femme et il fait part de ses soup?ons ? son amie (Grace Kelly) et ? un copain d?tective (Wendell Corey). La suite des ?v?nements lui donne raison et, finalement, l'assassin (Raymond Burr) traverse la cour et vient pr?cipiter par la fen?tre notre reporter qui s'en tirera.. avec une deuxi?me jambe cass?e.

Le premier point ? cerner est de savoir si ce que l'on voit par la fen?tre de Stewart est vraisemblable o? s'il s'agit d'une projection imaginaire des fantasmes du personnage. Dans son livre d'entretien avec Truffaut, Hitchcock nous livre la solution :

"De l'autre c?t? de la cour, vous avez chaque genre de conduite humaine, un petit catalogue des comportements. Il fallait absolument le faire sans quoi le film aurait ?t? sans int?r?t. Ce que l'on voit sur le mur de la cour c'est une quantit? de petites histoires, c'est le miroir d'un petit monde. Et toutes ces histoires ont pour point commun l'amour."

Et Hitchcock d'acquiescer ? la remarque de Truffaut :

" Le probl?me de James Stewart est qu'il n'a pas envie d'?pouser Grace Kelly et, sur le mur d'en face, il ne voit que des actions qui illustrent le probl?me de l'amour et du mariage ; il y a la femme seule sans mari ni amant, les jeunes mari?s qui font l'amour toute la journ?e, le musicien c?libataire qui s'enivre, la petite danseuse que les hommes convoitent, le couple sans enfant qui a report? son affection sur le petit chien, et surtout le couple mari? dont les disputes sont de plus en plus violentes jusqu'? la myst?rieuse disparition de la femme."





Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 20 juin 2005 : 22:02

Fenetre Sur Cour.

Rear Window ( voir le resume plus haut svp) Merci.






Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 21 juin 2005 : 07:09

Psychose 1960
Psycho d'Alfred Hitchcock.


Avec : Anthony Perkins (Norman Bates), Janet Leigh (Marion Crane), Vera Miles (Lila Crane), John Gavin (Sam Loomis).


Phoenix. Marion Crane et Sam Loomis sont amants mais le manque d'argent compromet pour l'instant leur mariage. Charg?e de d?poser ? la banque les 40 000 dollars que Tom Cassidy vient de donner ? son patron George Lowery, Marion voit l? l'occasion d'avoir l'argent dont elle a tant besoin. Elle quitte alors Ph?nix en voiture et apr?s avoir pass? la nuit dans son v?hicule et avoir ?t? r?veill?e par la police, elle change de voiture et est contrainte de s'arr?ter sous la pluie dans un motel, le Bates Motel. Ce dernier est tenu par Norman Bates et sa m?re. Marion est l'unique cliente.

Marion bavarde avec Norman qui vit manifestement dans l'ombre de sa m?re. Epi?e par Norman, Marion se d?shabille et va prendre sa douche. Survient alors brutalement une forme mena?ante - la m?re de Norman- qui frappe Marion ? coups de couteau. Norman d?couvre le meurtre commis par sa m?re. Il nettoie les traces du crime et immerge dans un marais voisin la voiture et le corps de Marion.

Sam Loomis re?oit la visite de Lila, la s?ur de Marion, inqui?te de ne pas avoir de nouvelles de sa s?ur. Arrive alors Milton Arbogast qui est d?tective priv?. Lui aussi recherche Marion car il est engag? pour retrouver les 40 000 dollars disparus. Arbogast poursuit son enqu?te et celle-ci le conduit jusqu'au Bates Motel. Il interroge Norman puis d?cide de parler ? la m?re de ce dernier. Il p?n?tre dans la maison et monte l'escalier mais la m?re de Norman appara?t brusquement et le poignarde ? mort.

Lila et Sam se rendent ? leur tour au Bates Motel apr?s avoir entendu du sh?rif Chambers que la m?re de Norman est morte depuis dix ans? Norman assomme Sam alors que Lila p?n?tre dans la maison et finit par d?couvrir dans la cave le corps dess?ch? de madame Bates. Norman habill? en femme, apparat soudain, pr?t ? poignarder Lila. Sam intervient in extremis et le neutralise. Le docteur Richman explique ? Sam et Lila le cas psychique de Norman Bates qui est d?sormais poss?d? par la personnalit? de sa m?re










Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 21 juin 2005 : 22:46

Chantons sous la pluie. 1952. Gene Kelly, Donald O'Connor & Debbie Reynolds.
Singing in the rain


Resume. Hollywood 1927 Au Chinese Theatre, c?est la premi?re du dernier film muet interpr?t? par le couple vedette des studios Monumental, Lina Lamont et Don Lockwood. Ins?parables ? l??cran, les deux vedettes se d?testent pourtant cordialement. A l?issue de la premi?re triomphale, Don est submerg? par une horde de groupies hyst?riques et pour s?en d?faire, saute dans la voiture d?une jeune aspirante com?dienne de th??tre, Kathy Selden. Don se montrant assez vite pr?somptueux et entreprenant, Kathy entreprend de le remettre ? sa place en feignant de m?priser les acteurs de cin?ma, dont l?art, selon elle, se limiterait ? la pantomime. Don est tr?s affect? par ce jugement, mais quelle n?est pas sa surprise de retrouver Kathy un peu plus tard ? la partie donn?e en l?honneur du film, transform?e en chorus girl le temps d?un num?ro endiabl? ! Il raille quelque peu les pr?tentions dramatiques de la jeune fille, qui, vex?e, veut l?entarter. Patatras ! Don esquive et c?est la volcanique Lina qui est malencontreusement atteinte !
Quelques semaines s??coulent au cours desquelles Don, avec l?aide de son fid?le ami Cosmo, n?a de cesse de rechercher la jeune fille, dont il est tr?s ?pris. Entre temps, la Warner vient de sortir le premier film parlant, Le Chanteur de Jazz, et c?est un v?ritable triomphe. Les studios Monumental Pictures entreprennent comme les autres leur conversion aux ?talkies?. Les difficult?s sont l?gions, et parmi elles, la voix et la diction ridicules de l?insupportable Lina ne sont pas les moindres... Don a retrouv? Kathy, et les deux jeunes gens roucoulent leur amour mutuel. Mais l?avant-premi?re du premier parlant interpr?t? par le couple Lamont-Lockwood, The Duelling Cavalier, est un v?ritable d?sastre, notamment en raison de la voix de Lina. L?ing?nieux Cosmo a alors une de ces id?es brillantes qui le caract?risent : profiter des six semaines qui restent avant la sortie nationale pour transformer le film en musical, en doublant la voix de Lina par celle de Kathy. Mais Lina n?a pas dit son dernier mot.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 22 juin 2005 : 07:05

Boulevard du Crepuscule. 1950

Sunset Boulevard.
Le Film peut se résumer de la façon suivante : un scénariste, Joe Gillis (William Holden) qui n’a pas réussi à percer finit par devenir le gigolo d’une star déchue du muet, Norma Desmond (Gloria Swanson) - et remplace également l’animal de compagnie de la star, un chimpanzé qui est mort peu avant son arrivée ! Cette dernière verse dans la folie car elle n’apparaît plus sur le grand écran. Elle finit par le tuer, alors qu’il l’a quittee pour la petite amie de son meilleur ami dont il est tombé amoureux.

On retrouve comme toujours la plume trempée dans l’acide de Billy Wilder, avec des répliques devenues célèbres. Alors que Gillis reconnaît la grande actrice du muet qu’elle a été, elle lui répond avec dédain : "Je suis une grande star, c’est l’image qui est devenue petite". Le choix des acteurs par Billy Wilder est également pour beaucoup dans la réussite du film. Le destin de Gloria Swanson, immense star du muet dont la carrière a ensuite périclité, ainsi que celui d’Erich von Stroheim, réalisateur maudit ravalé aux emplois de seconds rôles, entrent en résonance avec leurs personnages.

La même attention est également portée aux personnages secondaires. Ainsi, on retrouve Cecil B. DeMille dans son propre rôle, mais également un des plus grands acteurs comiques du cinéma muet, "l’homme qui ne rit jamais" Buster Keaton.

Billy Wilder nous livre une vision au vitriol d’Hollywood. Dès les premières images, le ton est donné, le titre déjà évocateur du film, "Boulevard du Crépuscule" est peint dans un caniveau. Wilder décrit un microcosme du monde hollywoodien qui comme lui est fondé sur le mensonge, sur l’illusion, et qui ne survit pas à la révélation de la vérité.

Son cynisme qui penche parfois vers la subversion même pendant l’époque dorée des années 50 et 60, ainsi que ses dialogues à double sens font de Billy Wilder un des meilleurs réalisateurs américains de cette époque.









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: simonicci (IP enregistrè)
Date: 23 juin 2005 : 22:10

mon premier film .
A peu pres en 1938
J'ai accompagne jojo mon frere aine au cinema Dufour.
La salle etait bondee et j'ai du rester debout.
le film politique auquel je n'ai rien compris
j'avais 10ans et jojo 15
Tout au long de la projection je l'ai embete pour quitter le cinema.
j'etais fatigue et ne comprenais rien.voici le film
et pourquoi ?
J'ACCUSE
DE EMILE ZOLA
SUR L'AFFAIRE DREYFUSS









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: simonicci (IP enregistrè)
Date: 23 juin 2005 : 22:18

et voici mon second film
qui ne se souvient de Tarzan
avec johny weismuller (1904-1984)
et sa compagne jean
avec leur compagnon l'elephant et la gueunon Cheeta.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 24 juin 2005 : 20:20

Tous les grands films de ma jeunesse.

Assurance sur la mort. 1944
Double Indemnity.
Film noir.

Los Angeles. Dans les bureaux de la compagnie d'assurances "Pacific All-Risk", Walter Neff se confesse à un dictaphone...


Quelques mois plus tôt, Walter Neff, un agent en assurances, fait la connaissance de Phyllis Dietrichson. Cette dernière souhaite assurer son mari sans que ce dernier le sache. Walter devient alors soupçonneux mais il est fasciné par Phyllis. Neff et Phyllis préparent et exécutent ensemble l'assassinat de M. Dietrichson, le mari de Phyllis, après que Neff lui ait fait signer à son insu une police d'assurance sur la vie.

Les deux complices croient avoir accompli le crime parfait. Mais le paiement de la prime est retardé par l'enquête que mène un ami et collègue de Neff, Barton Keyes, le très méticuleux chef du contentieux. Neff découvre en peu de temps que Phyllis a sans soute déjà tué la première femme de son mari, qu'elle n'a songé durant toute cette machination qu'à se servir de lui et qu'il a probablement un rival, Nino Zachette. Il compte faire endosser le crime à ce dernier. Mais, au cours de leur dernier entretien, Phyllis tire sur Neff qui l'abat, juste après qu'elle lui ait déclaré son amour. Blessé à mort, Neff dicte au magnétophone sa confession à l'intention de Keyes.





Le film appartient sans conteste au film noir avec sa morale récurrente : quel que soit le chemin que tu prends le destin finira par te rattrapper. A l'intérieur de la structure policière, la notion de fatalité remplace le suspense sur l'identité du coupable : dès les premiers mots du dialogue, la confession de Neff, le spectateur sait tout de l'auteur du crime et de son échec final.


Le destin s'incarne d'abord dans le personnage de la femme fatale, parfaitement représentée dans ses traits les plus caractéristiques : charme physique et cupidité. Dès les premiers plans de la rencontre entre Neff et Phyllis tout est dit. Nue dans sa serviette de bain, elle le domine du haut de l'escalier. Et lorsqu'elle le descend, un gros plan sur la chaîne en or qu'elle porte à la cheville la résume métonymiquement à un objet sexuel. Cette chaîne en or arrête le regard de Neff et exacerbe son désir sexuel, ce que confirmeront bientôt les dialogues à double entente à propos de la police automobile sur la conduite à tenir… en matière de séduction.

Lors de cette première rencontre toujours, les ombres du soleil sur les persiennes mi-closes ne manquent pas d'évoquer une toile d'araignée. Toile dans laquelle Neff, perdu au fond du canapé, finira par se perdre. Araignée tissant sa toile, Phyllis se révélera aussi mante religieuse insatiable tuant sans remords et séduisant tous les hommes qui passent à sa portée.






Film noir(Double indemnity). Avec : Fred Mac-Murray (Walter Neff), Barbara Stanwyck (Phyllis Dietrichson), Edward G. Robinson (Barton Keyes),




Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 25 juin 2005 : 16:52

Les Aventures DE ROBIN DES BOIS
Robin Hood (The)
Etats-Unis, 1938



Parti pour les croisades, le roi Richard Coeur de Lion est fait prisonnier par Léopold d'Autriche qui demande une rançon. Plutôt que de payer, le Prince Jean, frère du roi, s'installe sur le trône d'Angleterre. Robin de Locksley, archer de grande valeur, refuse de reconnaitre l'usurpateur et organise dans la forêt la resistance pour sauver son roi et aider le peuple appauvri.









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2005 : 01:05

Les Temps modernes 1936
Charlie Chaplin

Charlot travaille à la chaîne dans une grande usine. Sa tâche quotidienne consiste à resserrer des boulons. Très vite aliéné par ces conditions de travail et la cadence infernale qu’on lui impose, il sombre dans la folie allant jusqu'à resserrer tout ce qui lui passe sous la main et asperger les gens avec sa burette d’huile. Cet épisode le conduit tout droit à l’hôpital. Dès sa sortie, il est pris par erreur pour un syndicaliste communiste. Charlot se retrouve rapidement en prison à laquelle il échappe suite à un nouveau quiproquo. Il rencontre ensuite une jeune femme abandonnée avec qui il va essayer d’affronter les pièges de la ville







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2005 : 05:45

Le voleur de Bagdad

Dans le Bagdad des années 40, le roi Ahmad est victime d'un complot organisé par son vizir Jaffar. Jeté en prison, le roi y rencontre le jeune valeureux Abu, et les deux hommes réussissent à s'enfuir à Basra. Ahmad tombe amoureux de la fille du sultan. Opposé à cette relation, Jaffar leur tend des pièges machiavéliques. Les deux héros commencent alors une épopée fantastique au royaume de la magie...




Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2005 : 05:59

Le voleur de Bagdad. Affiche








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 26 juin 2005 : 17:18

Le Fantome de L'Opera avec Nelson Eddy et Claude Rains
1943


Au XIXe siècle, dans les fastes du Palais Garnier, l'Opéra de Paris, Christine, soprano vedette, est au sommet de sa gloire. Son succès est dû à sa voix d'or et aux mystérieux conseils qu'elle reçoit d'un "Ange", un fantôme qui vit dans les souterrains du bâtiment. L'homme, un génie musical défiguré qui vit reclus et hante l'opéra, aime la jeune fille d'un amour absolu et exclusif. Lorsque Raoul entre dans la vie de Christine, le Fantôme ne le supporte pas.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 27 juin 2005 : 06:41

Le Troisieme Homme. 1949.

Holly Martins, un minable écrivain américain, est venu retrouver son ami Harry Lime dans la Vienne dévastée de l'après-guerre. Mais celui-ci a trouvé la mort dans un accident de voiture alors que la police le suivait de très près. Martins mène sa propre enquête et retrouve Lime, vivant...








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 27 juin 2005 : 06:54

Le Magicien d'Oz. 1939
The Wizard of OZ


En 1939 alors que le monde sombrait dans le chaos de la guerre, la Metro-Goldwyn-Mayer lança sur les écrans un film qui célébrait la bonté, la charité, l'amitié, le courage, la force morale, l'amour et la générosité. Dédié "aux enfants et aux adultes qui ont gardé leur cœur d'enfant", il demeure aujourd'hui encore l'une des œuvres les plus aimées du septième art, qui a su conquérir un public de tous âges dans le monde entier. Il compte parmi les films les plus populaires et les plus marquants de toute l'histoire du cinéma. Le magicien d'Oz (1939) est un authentique classique, qui transmet un message d'espoir et d'amour chaque fois que Dorothy Gale (le rôle qui a rendu célèbre l'incomparable Judy Garland) évoque avec passion dans la chanson "Over the rainbow" un monde où "les tracas fondent comme des bonbons au citron" et où le ciel est toujours bleu.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 28 juin 2005 : 08:42

Le grand Sommeil,1946
Humphrey Bogart, Lauren Bacall.


Le général Sternwood charge le détective privé Phil Marlowe de retrouver son gendre, mystérieusement disparu. Il est aidé par Vivian, la fille aînée de Sternwood. La jeune femme est contactée par un gangster qui tente de lui vendre des photos compromettantes pour sa soeur, Carmen. Marlowe poursuit l'enquête et découvre le cadavre du gendre








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2005 : 15:28

Blanche Neige et les Sept Nains 1937.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2005 : 18:15

Ninotchka 1939


Avec Greta Garbo (Ninotchka (Nina Ivanovna Yakushova)), Melvyn Douglas (Conte Leon d'Algout), Ina Claire (Grande Duchesse Swana), Bela Lugosi (Commissaire Razinin)

Ninotchka une jeune et jolie soviétique, arrive à Paris pour négocier les bijoux d'une aristocrate russe. Elle s'éprend du comte d'Algout. Devant le chantage d'une femme également amoureuse d'Algout, Ninotchka rentre dans son pays. Le comte tente par tous les moyens de la faire revenir en France pour l'épouser.































Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: mimi (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2005 : 19:11

anidavid

vous ete un AS on ce qui concerne le cinema,

et ses belles gravures d'ou?

shabbat shalom ou mevorah

guila

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 01 juillet 2005 : 21:11

VACANCES ROMAINES 1953

Gregory Peck, Audrey Hepburn, Eddie Albert, ...


Il était une fois une toute charmante princesse, Anne (Audrey Hepburn), dont les nerfs, mis à rude épreuve par un protocole draconien, craquèrent un jour alors qu'elle était en visite officielle à Rome.
Avant que le puissant somnifère qu'on lui a administré ne fasse effet, elle a le temps de fuir l'ambassade et de gagner les rues de la ville éternelle. C'est là, sur un banc public, que Joe Bradley (Gregory Peck), jeune et beau journaliste américain, la recueille endormie et l'emmène finir sa nuit chez lui.
Il apprend le lendemain par la presse que la princesse Anne, victime d'un malaise, a dû annuler toutes ses réceptions. Joe, qui a ainsi identifié sa protégée, propose à son patron de réaliser une interview exclusive de la princesse et demande à Irving (Eddie Albert), son ami photographe, de l'accompagner.
Anne, à son réveil, se fait passer pour une pensionnaire fugueuse auprès de Joe qui ne lui dit rien de son métier et de son projet. Tous deux vont vivre une journée de conte de fée. Enfin libre de ses mouvements, la jeune fille parcourt Rome comme si elle découvrait le monde. Elle se fait, sacrilège, couper les cheveux, sème la panique en chevauchant un scooter dont elle ignore le fonctionnement, se bat aux côtés de Joe et Irving contre des kidnappeurs, traverse le Tibre à la nage. Joe, de son côté, ne perd pas une miette des faits et gestes d'Anne qu'irving photographie à son insu sous tous les angles.
Les deux jeunes gens se quitteront à la fin de cette mémorable journée éperdument amoureux l'un de l'autre. Anne redevient princesse et découvre alors la profession de Joe, qui ne racontera à personne leurs merveilleuses vacances romaines.








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 09 juillet 2005 : 04:12

Les Lumieres de la ville 1930, City Lights.
Dernier Film muet de Charlie Chaplin


Lors de l’inauguration d’une place, les personnalités de la ville
découvrent un vagabond endormi sur la statue de bronze, monument de la « Paix et de la Prospérité ». Chassé, il rencontre une jeune fleuriste des rues et attiré, il sacrifie sa dernière pièce. Il réalise alors qu’elle est aveugle et qu’elle le confond avec un homme riche. Il ne l’a contredit pas. Le soir même, il sauve de la noyade un millionnaire suicidaire et ivre qui ne reconnaît et apprécie son sauveur q’en état d’ébriété. A jeun, il le fait chasser de sa demeure. Pour aider la jeune aveugle tombée malade et sans revenu, Charlot, tour à tour, sera boxeur, balayeur des rues. Sachant qu’une opération pourrait rendre la vue à son amie, Charlot convainc le millionnaire, sous l’emprise de l’alcool, de lui donner de l’argent. Celui-ci l’accuse de vol lorsque la police débarque, suite à une tentative de cambriolage ratée et dans laquelle Charlot a sauvé son ami qui ne le reconnaît plus. Emprisonné, il sort encore plus démuni et se retrouve face à face avec la jeune fleuriste, désormais voyante et propriétaire de son magasin






Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 14 juillet 2005 : 03:21

Les Enchaînés Alfred Hitchcock 1945- NOTORIOUS
Cary Grant,Ingrid Bergman,Claude Rains


Le 24 avril 1946, Huberman, un espion nazi, est condamné par un tribunal américain. Sa fille, Alicia, qui n'a jamais été nazie, mène une vie dissolue. Un agent du gouvernement, Devlin, lui propose une mission, qu'elle accepte : Alicia est chargée de prendre contact avec un ancien ami de son père, Sebastian, sont la vaste demeure sert de repaire aux Nazis réfugiés au Brésil.


Devlin et Alicia partent pour Rio et tombent amoureux l'un de l'autre. Alicia n'est plus la même, mais Devlin ne s'en rend pas compte et la méprise toujours, en raison de son passé.


Alicia devient vite l'une des habituées de la maison de Sebastian. Ce dernier lui demande de l'épouser. Pour éprouver les sentiments de Devlin à son égard, elle accepte. Devlin ne fait rien pour l'en dissuader. Après le mariage, il la charge de s'emparer de la clé de la cave dont Sebastian ne se sépare jamais.


Au cours d'une réception, Alicia et Devlin pénètrent dans la cave et découvrent de l'uranium dissimulé dans des bouteilles de vin. Mais Sebastian comprend qu'Alicia l'a épousé pour mieux l'espionner. Avec l'aide de sa mère, il entreprend de l'empoisonner lentement. Devlin, inquiet, parvient à s'introduire dans la maison de Sebastian, sauve in extremis Alicia et lui avoue son amour, sous les yeux de Sebastian impuissant, dont les jours sont désormais comptés.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 21 juillet 2005 : 05:54

Fanfan la Tulipe 1952
Avec Gerard Philipe et Gina Lollobrigida


Afind’échapper à son mariage dans un petit village français du 18è siècle, Fanfan, jeune libertin s’engage dans l’armée du Roi Louis XV En chemin, il tire la fille du roi d’un guet-apens. En guise de remerciement, il obtient une broche en forme de Tulipe. Refusant de se plier aux règles de l’instruction militaire, notre héros va s’attirer la haine du sergent instructeur. Il parviendra néanmoins à la notoriété en court-circuitant un complot avec l’aide d’Adeline une jeune bohémienne.






Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: anidavid (IP enregistrè)
Date: 25 juillet 2005 : 03:40

Les Miserables. 1935

Avec Fredric March, Charles Laughton.

Jean Valjean est un bagnard emprisonné pour simple vol de pain parce qu'il était affamé. Il parvient à s'échapper et sur sa route, il rencontre un homme d'église qui changera sa vie. Il devient peu à peu un homme en vue de la ville où il s'est installé sous un faux nom pour échapper à son passé. La jeune Cosette que les vils Thénardiers exploitent à leur service, est recueillie par Valjean qui en prendra soin quant à son éducation. Mais l'inspecteur Javert, Policier obtu et convaincu que l'âme humaine ne peut changer, reconnaît en Valjean l'ancien détenu et veut à tout prix le compromettre








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: jacoua (IP enregistrè)
Date: 23 décembre 2005 : 01:38

et les jeudis au jardin d'?t? ? qui peut en parler?

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: hamid (IP enregistrè)
Date: 31 décembre 2005 : 03:41



Cher Place de france

Merci de tout coeur pour tous ces souvenirs inoubliables.

Je suis Hamid un ancien natif de casa du boulevard de Paris pres du bar select de l'epoque le 3bASIN sTREET"

T'en souviens tu ?

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: place de france (IP enregistrè)
Date: 12 janvier 2006 : 02:29

BONJOUR HAMID ET BIENVENU
BISOUS SOLY

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: daniella (IP enregistrè)
Date: 14 janvier 2006 : 04:17

vous vous rappelez des films de hercule et maciste
daniella

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 14 janvier 2006 : 11:00

Daniella,

Quelle bonne idee de ramener ce sujet de film.
Cela m'a permis ce samedi matin de feuilleter ces 20 pages des FILMS DE NOTRE ENFANCE et de retrouver nostalgiquement les differentes periodes de mon enfance.

Le Cinema a Casa dans les annees 50/60 etait un element important de nos loisirs et de notre culture. Je me souviens que les jeudis en allant a l'ecole du Centre j'observais les poseurs des grandes affiches publicitaires des films , je n'en voyais qu'une partie, un nom, une face partielle d'actrice. Mon imaginaire entrait en action et ce n'est qu'en revenant de l'ecole que j'avais une idee des films de la semaine, mais deja je decidais ou ira t'on samedi/dimanche tous les amis.

Chaque film evoque quelque chose en nous, parfois une salle , parfois une fille, parfois l'emotion !

Pour en revenir a Hercule, pour moi mon heros etait Steeve Reeves (d'ailleurs sur mes livres d'ecole j'ai toujours inscrit mon pseudo: Steeve Young!)
J'ai vu tout ces films, je revais de ses muscles alors qu'a 13 ans j'avais tout sauf des muscles.
Mon film prefere "Les travaux d'Hercule "avec Steeve et la bella Sylva Coscina ....le reve du couple ideal.







Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: ETTEDGUI ALBERT (IP enregistrè)
Date: 14 janvier 2006 : 15:23

CES FILMS D HERCULE PASSAIT SOUVENT AU CINEMA VOX ET CERTAINS AU RITZ
AMITIES ALBERT ETTEDGUI

Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: nanouche (IP enregistrè)
Date: 14 janvier 2006 : 16:57

et les films hindous!!!

j'adorais mangala fille des indes

mes parents m'interdisaint d'aller voir mais

je trouvais toujours les moyens d'y aller

samy kapor, raj kapor


Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kirstine (IP enregistrè)
Date: 14 janvier 2006 : 18:44

nanouche a ecrit:
-------------------------------------------------------
> et les films hindous!!!
>
> j'adorais mangala fille des indes
>
> mes parents m'interdisaint d'aller voir mais
>
> je trouvais toujours les moyens d'y aller
>
> samy kapor, raj kapor
>
>
J'en connais une autre!! J'ai m?me eu un sacr? probl?me avec ma m?re une fois car j'avais "s?ch?" un cours pour un film dont je n'ai m?me pas vu la fin car sinon trop en retard ? la maison et je lai pay? tr?s cher, lorsqu'elle a d?couvert le "pot aux roses"!! C'?tait avec Dirk Bogarde: je ne me souviens pas du nom.


Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 15 janvier 2006 : 01:34

Bonsoir mes amis,
primo prenez vos tiquets S.V.P









Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 15 janvier 2006 : 01:36


Attention c'est parti,

Pour toi mon cher G?rard








Re: LES FILMS DE NOTRE ENFANCE
Posté par: kenza (IP enregistrè)
Date: 15 janvier 2006 : 01:40

Encore une,
Darlett excuse me, monsieur pr?f?re les films en todawo







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