S'inviter à passer la nuit chez les gens pour sortir des sentiers battus du tourisme et faire d'authentiques rencontres, telle est la démarche d'Antoine de Maximy, l'infatigable voyageur aux deux caméras. Cette fois-ci, direction le Maroc, pays qui ne faillira pas à sa tradition d'accueil.
Antoine de Maximy part à la découverte du Maroc, afin de tester la légendaire hospitalité du pays. Première incursion à Fès, où, dans les ruelles labyrinthiques de la médina, Antoine peine à se faufiler avec ses deux caméras.
Souriants, les Marocains n'en sont pas moins réticents à se laisser filmer. Mais il finit par sympathiser avec Abdelkader, un marchand du souk qui l'accueille à bras ouverts. Puis Antoine entreprend l'ascension de la montagne, sur un scooter fermement négocié ! Il est reçu par Mbarek, un Berbère, capable de s'exprimer en trois langues (la sienne, le français et l'arabe), qui assure la garde d'une mine aujourd'hui fermée. Autrefois, trois mille personnes vivaient à proximité.
Après une nuit dans le calme de ce village splendide et abandonné, Antoine reprend la route et s'aventure dans le désert, en 4 x 4 cette fois, avec l'espoir de rencontrer d'authentiques nomades. Mais la plupart vivent aujourd'hui du tourisme et il lui faudra faire beaucoup de kilomètres pour rencontrer une famille de bergers qui l'hébergeront dans les petits abris en pierres où ils vivent.
La caméra fait un tabac auprès des enfants, qui éclatent de rire en se voyant à l'écran. Cette nuit un peu froide clôt le voyage d'Antoine. Bilan : un rhume, tempéré par la satisfaction d'avoir rencontré partout des gens effectivement très accueillants.
Antoine de Maximy parcourt et filme le monde depuis déjà de longues années. Cette fois, il part avec l'envie de montrer une autre facette du voyage : la rencontre. Pendant un an, il a visité une dizaine de pays, où il a passé à chaque fois quinze jours.
Grâce à son système de caméras - l'une à l'épaule, l'autre mobile -, il s'adresse au téléspectateur, qui a l'impression de l'accompagner dans son périple. De plus, la caméra est une curiosité qui attire l'attention et facilite parfois le contact.
Antoine reprend la route et s'aventure dans le désert, en 4 x 4 cette fois, avec l'espoir de rencontrer d'authentiques nomades. Mais la plupart vivent aujourd'hui du tourisme et il lui faudra faire beaucoup de kilomètres pour rencontrer une famille de bergers qui l'hébergeront dans les petits abris en pierres où ils vivent.
La caméra fait un tabac auprès des enfants, qui éclatent de rire en se voyant à l'écran. Cette nuit un peu froide clôt le voyage d'Antoine. Bilan : un rhume, tempéré par la satisfaction d'avoir rencontré partout des gens effectivement très accueillants.
Oui mais moi je trouve passionnant ce voyage dans le desert ensuite ou la-bas aussi, il se fait heberger par des bergers. Formidable ce periple, vraiment !
Bien qu´il puisse paraitre sympathique et charmant au premier abord, Antoine de Maximy n´est rien de plus qu´un profiteur à mes yeux.
Il utilise du mieux de sa ruse pour presqu´imposer au premier venu de couvrir ses besoins sans tenir compte de la situation économique et sociale de ce dernier.
Il n´est pas invité, mais il suggère à ses hôtes qu´il aimerait dîner chez eux ou avec eux pour commencer, pour ensuite leur demander à passer la nuit sous leur toit,laissant mal à l´aise ces derniers. (Fez)
Faire le tour du monde de manière pareille est mesquin. C´est tout simplement de l´abus. Je dirais même que c´est une honte!
L´hospitalité Marocaine est legendaire, mais il ne faut tout de même pas exagérer!
Oui en effet, il y a la un moyen habile et economique de faire un voyage a peu de frais, mais je pense qu'avec ca, c'est l'unique moyen de "vivre" a la maniere nomade, le desert.
Je ne crois pas que dans ces regions soit developpe le gite touristique et pour ceux qui desirent connaitre ce mode de vie, avec son rituel et ses habitants, il n'y a pas tellement d'autres options, et celle-ci est la plus authentique et reelle a mes yeux.
C'est vrai qu'il y a un certain abus mais je pense que les habitants sont ravis en general de ce genre de visite. Ils s'ennuient peut-etre pas mal dans le desert !
C'est la mentalité egoïste de nos sociétés qui considère le visiteur comme un profiteur qui abuse de l'hospitalité.C'est mal connaître ces populations qui considère les voyageurs comme des hôtes bienvenus.Appliquant sans s'en douter les commandements de notre Torah.Pendant mes nombreux voyages,il m'était plutôt difficile de refuser le gîte et le couvert chez ces gens simples et humbles,et il fallait ruser pour les indemniser,car leur fierté était de se priver pour l'étranger.
Et nulle part ailleurs que dans cet Atlas sauvage des années 50,je n'ai ressenti ce sens de la fraternité tangible,ce partage spontané du vital,sauf peut-être dans certains bidonvilles déshérités d'Afrique et d'Amérique du Sud.
L'appréciation d'André n'est pas correcte,à mon avis.
J'ai découvert cette émission cet été pendant les jours de canicule et c'était raffraichissant, j'ai beaucoup aime et je trouve que c'est fait dans une ambiance bonne enfant justement voulue d'autant plus que celà se passe dans des lieux trés reculés à faire découvrir aux téléspectateurs.
De même pour les "acteurs" qui passent un agréable moment dont ils n'ont pas l'habitude et découvrent à leur tour une rencontre originale.
Justement hier Vendredi 21/09/2007 à 16 h 30 sur France 5, c'était en Israël.Il a commençé son périple de Jérusalem à Tel-aviv en quête d'hospitalité pour une nuit,(Aceuil froid et méfiant). Ce qui ma plue c'est le loubard balafré qui demande (MONEY MONEY) en plein Shabbat.
