Le lendemain matin après le petit déjeuner offert par notre hôte de Bou-Arfa,qui nous raccompagnâmes jusqu'à la voiture,pour nous faire des adieus sincères et peinés de nous voir partir de si tôt.
Durant le parcours avec ses bas-côtés ensablés,d'où nous rencontrons face à face l'autocars de la C.T.M. de la ligne "ERRACHIDIA-BOU ARFA",(cette ligne n'est pas éxploitée en ce moment),dépassant l'embranchement d'Aïn-Chair et nous atteignons Bou-Annane,pour se reposer de la chaleur,le long d'un mur de maison,et de demander de l'eau fraîche à une gentille habitante qui nous approrta une gourde transpirante au goût de "katrane".
En continuant la route pour atteindre la localité de Bou Denib,au marché,j'avais acheter une belle pastèque,et en faisant connaissance d'un habitant qui a voulu nous acceuillir dans son modeste logis avec sa femme et ses enfants,d'afin de boire le thé traditionnel,et de partager cette belle pastèque rouge-sang succulente.
Quelques"berguegs"nous ont espionnés,et rapporter au Khalifa,que des étrangers sont en visite chez mon hôte.
De ce fait au moment de partir,avec les soins d'usage et des remerciements de notre hôte nous raccompagnant,au Barrage de contrôle de sortie de la ville,les autorités nous demande les papiers d'identité,ce Khalifa devait être illétré,car il nous demandâme une autre pièce d'identité,pour pouvoir décéler les mêmes caractères,puis après plus de 2 heures d'attente et de réfléxion,notre Khalifa nous autorise à partir,puis tout de suite,nous rappelle,en disant,rester cette nuit,vous pouvez dormir à la chambre de Médecin-chef qui est parti pour le week-end,nous le remerçions gentiment,il nous a pris pour des agents du"Polisario"car je parlais espagnol avec le couple.
Car en 1985,la région était très surveillée.
Nous arrivâmes finalement en début de soirée à Errachidia,nous avons réserver deux chambres à l'hôtel"Royal".
Le couple Espagnol,ne voulant à aucun prix se défaire de ma présence.m'ont proposés de payer l'essence pour aller à Rissani.
Le lendemain matin,nous partâmes pour Erfoud et Rissani,nous sommes en train de visiter Moulay Ali Chèrif,le grand saint de la déscendence de la famille Alaouite.
Le patron de magasin de maroquinerie en face du lieu Saint,nous proposes de nous installer confortablement sur des pouffs,et de nous offrir un thé à la menthe avec des cornes de gazelle.
Vers la fin de la visite,il me propose,si je peux prendre son ami,pour le déposer à Rissani(1 km,800),d'emblé je suis cordialement d'accord.
Arrivé à Rissani,je lui dit,c'est là que tu vas,il me dit timidement je vais plus loin,alors je lui de rester avec moi,nous avions passer la journée ensemble tous les quatres à Erfoud et en rentrant près d'Errachidia,il me dit de le déposer au bord de la route,près d'une kasba en pissé, 5 kms avant Errachidia.
Je lui dit c'est là que t'habites,il me dit non,alors demain à midi,viens me voir à l'hôtel"Royal".
Le lendemain matin,mon couple d'amis ont pris l'autocar pour Ouarzazate.
Mon nouvel ami arrive à l'heure au rendez prévue,j'étais en train de laver ma voiture,il me propose de m'aider,je lui dit:
Je ne laisserai jamais un"chèrif" laver ma voiture,en aucun cas.
Nous prenons la route de Midelt,dans l'avenue principale,je vois un auto-stoppeur rouquain au yeux verts,j'ai dit à mon compagnon :
Ce doit être un touriste scandinave,danois ou autres.
Mon compagnon,me dit :"Non,c'est un ami,il est le préposé du Service de la Météorologie de Midelt".
Je lui dis :Alors on l'emméne.
Et,nous voilà embarquer tous trois pour Midelt.
Il nous propose une invitation à déjeuner à Rich,des tranches de coeur sur le grill.
Une rentrée à Midelt,d'où nous nous sommes donner rendez-vous pour le lendemain,je me suis fait louer une chambre à l'hôtel du" Roi de la Bière "pour la nuit.
La patrone et sa fille d'une humble symphatie,acceuillant ses clients dans son modeste établissement,d'une toute tranquilité de ce lieu reposant.
La suite ultèrieurement......
RICHARDBRANDLIN@YAHOO.FR