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Un autre film en tournage sur l'immigration des juifs du Maroc
Posté par: omar (IP enregistrè)
Date: 09 septembre 2006 : 21:35

Bonjour

En espace d"un mois, un autre film en tournage sur la diaspora juifs marocaines à l'exil

Ci-joint article paru aujourd'hui dans le journal le matin (09/09/2006)

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Mohamed Ismaël, raconte l'immigration des juifs marocain



Mohamed Ismaël est sur le point d'entamer une nouvelle aventure cinématographique, « Adieu Mères ! », un scénario co-écrit avec Reine Danane, traitant une page d'histoire controversée du Maroc moderne : l'immigration massive de la communauté juive marocaine au début des années soixante. Son approche est une tentative de montrer un rapport versatile entre communautés dans notre pays.

En effet, et à cette époque précise, la convivialité traditionnelle entre juifs et musulmans au Maroc a cédé la place à une animosité causée par le drame palestinien d'une part, et la montée en force du panarabisme nassérien qui, du reste, n'a pas servi les causes du monde arabe de la meilleure des manières. « ... C'est un projet que j'ai commencé bien avant ‘Ici et Là'. Le scénario, nous l'avons écrit en 2001.

C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautés au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitté, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national à la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautés, est possible, indépendamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'en venimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut régner avec des effort mutuels de compréhension de l'autre... » Dans le paysage audiovisuel national, Mohamed Ismaël fait figure de battant.

Réalisateur qui sort des sentiers battus, il n'hésite pas à changer de casquette pour devenir producteur, scénariste, chef opérateur pour d'autres cinéastes, histoire de participer à l'essor d'un cinéma marocain qui peine à sortir des clichés de la production tiers-mondiste. Ses longs métrages, «Aouchtam» (1996), «Et Après» (2000), «Ici et Là» (2004), semblent être des plaidoyers qui décrient les maux de la société marocaine de manière poignante.

Il ne prend pas de gants pour décrire les contradictions, les injustices, les perversions qui font le drame marocain au quotidien, « ... j'essaye de contribuer à redresser des choses, à mettre le doigt sur les problèmes, mais ce n'est pas notre rôle, en tant que cinéastes, de donner des solutions. Je pense que c'est la fonction des politiciens de s'atteler à améliorer la réalité sociale... » Mohamed Ismaël ne se contente pas de faire des films pour figurer dans la liste des professionnels de l'image, « Les films que je réalise coûtent cher par rapport à ce qui se fait au Maroc.

Il y a un travail de recherche qui se fait en amont et qui demande énormément de temps et d'énergie. D'autant plus que je ne sais pas tourner un film en deux semaines. Pour moi, on ne peut pas faire des films de qualité en si peu de temps. Dans des conditions pareilles, on est obligé de ‘vendre le maillot', de chercher des coproductions en Europe où ailleurs pour répondre à une exigence de qualité... »
Au sujet des déboires du cinéma marocain, il n'hésite pas à défendre bec et ongles le fait que le public national reste assoiffé de productions locales, « ... il n'y a qu'à voir l'expérience des téléfilms, le taux d'audience pour des fictions telle que ‘Allal El qalda' dépasse les quinze millions. Les lendemains de leur diffusion sont fait de réactions, positives pour la plupart.

Ces téléfilms suscitent, commentaires et discussions animées dans les cafés et ailleurs. C'est le volume de production qui reste en deçà des attentes du public qui réclame des images auxquelles il peut s'identifier ! » En dépit des frustrations liées au manque de financement, à la rareté des scénaristes, des techniciens, des moyens techniques, Mohamed Ismaël continue d'y croire.

Il affirme par ailleurs que notre cinéma décolle, «Le film marocain est à la mode, nous sommes présents dans pratiquement tous les festivals de portée internationale. Nous sommes à Cannes, à Venise, à Berlin, à Barcelone, à New York... C'est la preuve que nous n'avons rien à envier à d'autres.

Quand on pense qu'une puissance cinématographique comme l'Italie ne produit plus que cinq à six films par an, on peut dire que notre production est sur la bonne voie, malgré toutes les critiques qu'on lui fait... » Sans être complaisant, le réalisateur soutient avec force la production nationale, tout en continuant à mettre en exergue les limites et les défauts de cette production, le manque de visibilité par rapport aux problèmes de formation, de professionnalisme, et de spécialisation dans un monde qui englobe une multitude de métiers bien définis.

« ... Il est indispensable de mettre l'accent sur le fait que le cinéma est un travail d'équipe, un réalisateur n'est pas censé porter plusieurs casquettes,si nous voulons faire de notre cinéma une puissance au
niveau mondiale ! »

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A VOS CMMENTAIRES

oMAR



Re: Un autre film en tournage sur l'immigration des juifs du Maroc
Posté par: MESSAGE DEPLACE (IP enregistrè)
Date: 10 septembre 2006 : 02:53

Auteur: gerard
Date: 9 September 2006 a 16:01


Mohamed Ismael, raconte l'immigration des juifs marocains.

Mohamed Ismael est sur le point d'entamer une nouvelle aventure cinematographique, « Adieu Meres ! », un scenario co-ecrit avec Reine Danane, traitant une page d'histoire controversee du Maroc moderne : l'immigration massive de la communaute juive marocaine au debut des annees soixante.

je le cite:

<< C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautes au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitte, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national a la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautes, est possible, independamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut regner avec des effort mutuels de comprehension de l'autre... »

Il faut absolument lire cet article [www.lematin.ma] particulierement en ces moments cruciaux ou la haine de l'"Autre" ne laisse pas beaucoup de place au dialogue.
Ce dialogue naturel et humain entre communautes que nous avons connu au Maroc et qui tend a disparaitre de la planete.
..................................et bien entendu, attendre la sortie du film.


"Adieu Mères" de Mohamed Ismail
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 08 décembre 2007 : 21:21

Ce film revient sur une époque tourmentée de l'Histoire du Maroc : l'exode clandestin des juifs marocains vers Israël au début des années 60.
"L'idée m'est venue en discutant avec des juifs de Tétouan sur le tournage de mon précédent film (Et après).
L'Histoire, avec un grand H, est portée par les petites histoires entre Brahim et Henri, l'un musulman, l'autre juif, mais tous deux liés par une forte amitié depuis l'enfance", explique le réalisateur Mohamed Ismail.…






"Adieu Mères" de Mohamed Ismail
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 08 décembre 2007 : 21:23

<< C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautes au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitte, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national a la poursuite de promesses sans lendemain... Pour moi, c'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautes, est possible, independamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains... A mon avis, la paix peut regner avec des effort mutuels de comprehension de l'autre... »
Mohamed Ismail




"Adieu Mères" de Mohamed Ismail
Posté par: gilou (IP enregistrè)
Date: 09 décembre 2007 : 14:53

"a la poursuite de promesses sans lendemain..."
l'opinion de nos anciens compatriotes ne change pas:l'émigration des juifs n'a jamais été fondée sur leur volonté de choisir librement l'établissement d'une patrie,mais sur les promesses d'une amélioration matérielle de leur sort,propagande mensongère des "sionistes".Et ce cinéaste affirme qu'elles sont sans lendemain.IL faut lui suggérer de venir en Israel.

OÙ VAS-TU MOSHÉ ? (FINEMACHIYAMOSHE?)
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 29 décembre 2007 : 22:37

OÙ VAS-TU MOSHÉ ? (FINEMACHIYAMOSHE?)

Au début des années 1960, après l’indépendance du Maroc, de nombreux juifs marocains quittent clandestinement le pays pour Israël. Les juifs de la petite ville de Bejjad, eux, s’organisent en secret autour de leur rabbin pour préparer ces départs. Une inquiétude cependant : Berbeq’ha, le fou qui se prend pour un général, pourra-t-il partir ? Lorsqu’il apprend que les juifs partent, et qu’ils partent tous, Mustapha, le gérant du seul bar de Bejjad, panique. Si tous les non musulmans quittent, le bar devra fermer selon la loi. Comment éviter la fermeture du bar ? En retenant un juif ! L’idée vient de Hassan, le fils de Mustapha, amoureux de Rachel, la fille de Shlomo. Qu’adviendra-t-il du bar de Bejjad ?........allez donc voir le film!




Hassan Benjelloun/Réalisateur
Scénariste, réalisateur et producteur marocain, Hassan Benjelloun met en scène son premier long métrage en 1990, La Fête des autres. En 1994, suit Yarit, puis Les amis d’hier en 1997, Les lèvres du silence en 2000 et Jugement d’une femme en 2001. Ce dernier film, qui parle de la situation de la femme au Maroc, reçoit plusieurs prix dans différents festivals internationaux. En 2004, La chambre noire, qui traite des années de plomb durant les années 1970 au Maroc, lui vaut entre autres le grand prix du Festival Africain de Khouribga, l’Étalon d’Argent de Yennenga du Festival de Fespaco (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou), et remporte une mention spéciale du jury du Festival de Carthage en Tunisie.

"Adieu Mères" de Mohamed Ismail
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 06 février 2008 : 01:19

NOTE D’INTENTION de MOHAMED ISMAIL ET REINE DANAN realisateurs du film ADIEU MERES:
"A TOUS CEUX QUI ONT DU S’EXPATRIER ET QUI ONT CONSERVER DANS LEUR COEUR L’AMOUR DE LEUR PAYS NATAL"


Voici un extrait du film







La réalisation récente du film «ADIEU MERES» traite d’un sujet délicat et émouvant qui évoque unepériode qui fut jadis paisible et sereine tant par une présence importante de la communauté juive au Maroc,que par lesrelations fraternelles et harmonieuses qui se sont établies entre juifs et musulmans et ce,durant des décennies.

Ce thème humanitaire n’a jamais été traité par le cinéma marocain.
Considérant cette période intéressante,riche en évènements, nous avons pris l’initiative de réaliser cette oeuvre.
Nous avons ciblé lesannées 60,surnommées «annéesnoires», particulièrement difficiles, représentant la première vague d’immigration juive clandestine au départ du Maroc.
Le film,outre sa qualité historique, a une part de fiction basée sur des évènements tragiques.

C’est un mélodrame qui dépeint entre autre un quartier de cohabitation pacifique. Nous avons essayé de reconstituer un échantillonnage de personnages qui ont réellement existé et vécu à cette époque,à savoir:

-les deux familles juive et musulmane qui ont reçu en héritage commun,la scierie,transmis par leurs pères respectifs.

-la candeur et la pudeur de cette mère juive attachée à ses traditions,
sans cesse confrontée à sa fille qui entretient une relation amoureuse avec un jeune homme musulman.

-le désir ardent de l’assureur,qui, pour rejoindre sa famille,n’hésite pas à liquider ses biens.

-des agents d’immigration dynamiques,constamment présents pour soutenir les éléments de la communauté juive désireux de s’expatrier.
Dans le traitement de ce scénario, ces quatre groupes subiront un destin dramatique.


Afin de donner un maximum d’authenticité à ces personnages et de véhiculer le message,nous avons fait appel à des comédiens marocains de renom. Quant à la crédibilité des personnages juifs,nous avons sollicité la prestation d’acteurs étrangers chevronnés. Les décors ont été minutieusement recherchés à travers les villes ayant eu dans le passé une population juive importante: ce qui donne plus de réalisme au film.

Certains immigrants ayant laissé leurs maisons intactes,les décors retrouvés enl’état,maintenaientl’âme de leurs anciens occupants.
Un grand travail de reproduction exacte et pittoresque des usages, des costumes,des accessoires,des véhicules a été opéré pour faire revivre l’atmosphère des années 60.

Afin de donner plus d’ampleur et d’importance à l’environnement et aux décors,nous avons opté pour un tournage en scoop. Le staff technique,composé de personnes de confessions différentes,a réalisé unvéritable travail d’équipeen faveurd’objectifs communs:bonté,émotion,sensibilité et respect de l’individu.

En somme, le but poursuivi par ce film,hymne à la paix,est de prouver, combien les actions généreuses vis-à-vis d’autrui, entraide et solidarité, constituentlamissionprincipaledontchacundoitprendreconscience.

A travers ce film qui dépeint une atmosphère exemplaire d’amour du prochain sans aucune discrimination,face aux aléas de la vie, nous voulons transmettre ce message que chacun nourrit au plus profond de soi:l’espoir de voir un jour «le loup etl’agneau» réunis paisiblement au bord d’un lac.




Nouveau film marocain : "Adieu mères"
Posté par: Mohamed MOUSSA (IP enregistrè)
Date: 08 février 2008 : 13:08

Synopsis:

1960, Brahim et Henry l'un musulman, l'autre juif sont associés dans une scierie et sont liés par une très forte amitié depuis leur plus tendre enfance.
Fatima et Ruth, leurs femmes respectives, sont également attachées l'une à l'autre et travaillent ensemble dans un même bureau d'assurances.
Fatima est stérile et voue un amour particulier aux deux enfants de Ruth, Avi et Aïda, qu'elle considère comme siens.
Les difficultés économiques et certaines vexations commencent à se faire pesantes sur la population juive.
Un jour, à la sortie de la synagogue, Mama Hanna, mère de Ruth, subit une agression de la part de jeunes voyous sous les yeux de sa famille, de Rebbi Braham et d'un jeune scout dévoué: David.
Benchétrit, un agent chargé de l'immigration, envoyé pour encadrer la communauté juive, assiste à cet incident.
Eliane, la fille de Chochana, et Mehdi, le fils de Benchekroun, étudie ensemble dans une école technique et entretiennent des relations amoureuses secrètes.
Chochana, femme juive traditionnelle, désapprouve totalement cette idylle. Mama Hanna décède, suite à l'agression et laisse sa fille Ruth désemparée.
Henry et Brahim commencent à ressentir un ralentissement de leurs activités à la scierie.
Benchétrit, tout en rendant visite à Henry, lui fait l'éloge du Pays et finit par le convaincre d'immigrer.
Oiknine, le patron du cabinet d'assurances de Ruth et Fatima, désireux de rejoindre les siens en Israël, confie la vente de ses biens à un courtier rusé, Benchékroun, le père de Mehdi, qui profite toujours des occasions de ce genre.
Nofissa, la mère de Mehdi, est au courant de la relation amoureuse entre son fils et Eliane, mais apprenant que cette dernière est enceinte, elle entre en conflit avec son fils.
Eliane n'échappe pas à la visite de Benchétrit qui n'hésite pas à la brutaliser lorsqu'il apprend sa relation avec Mehdi ainsi que sa grossesse.
Frustrée, Eliane essaie de se réfugier auprès de Mehdi, mais celui-ci se voit refuser l'appui des ses parents. Découragée elle finit par céder à la proposition de Benchétrit.
Dans le même temps, des départs clandestins s'organisent de nuit, par petits groupes, toujours orchestrés par Benchétrit.
Henry prend la décision de partir seul. Il confie sa petite famille à Brahim dans l'espoir d'être rejoint par elle, plus tard.
Malheureusement, le bateau où se trouvait Henry fait naufrage: 44 morts, aucun rescapé!
Ruth, à l'annonce de cette catastrophe, subit un grand choc!
Brahim et Fatima, toujours à ses côtés, la conduisent à la clinique où, après des examens, on lui découvre un cancer généralisé.
Ruth, consciente que ses jours sont comptés, laisse en toute confiance le destin des ses deux enfants entre les mains de Fatima qui accomplira dignement cette mission…
[attachment 12424 Adieumres.jpg]

[www.adieumeres.com]

"Adieu mères" concourera aux oscars 2009
Posté par: gerard (IP enregistrè)
Date: 25 septembre 2008 : 16:47

Le long métrage ''Adieu Mères'' de Mohamed Ismail va être présenté pour concourir au ''Prix de l'Académie des arts et sciences du cinéma''
Le film marocain "Adieu Mères" du réalisateur Mohamed Ismail, qui est sorti dans les salles nationales au mois de février 2008, "a été choisi, lundi, pour concourir aux oscars 2009 dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère".


Les Prix de l'Académie des arts et sciences du cinéma (Academy of Motion Picture Arts and Sciences), plus connus sous leur surnom d'Oscars (nom donné à la statuette récompensant les lauréats) récompensent chaque année, depuis 1928, les meilleurs films sortis aux Etats-Unis ainsi qu'un éventail des meilleurs professionnels du cinéma dans diverses catégories.

Le film met en scène deux associés dans une scierie, Brahim (musulman) et Henry (juif) qui sont liés par une très forte amitié depuis leur plus tendre enfance. Leurs épouses respectives, Fatima et Ruth, sont également attachées l'une à l'autre et travaillent ensemble dans un même bureau d'assurances. Fatima, ne pouvant pas avoir d'enfant, porte une affection sincère aux deux enfants de Ruth qu'elle considère comme siens.

"En somme, souligne Mohamed Ismail, le but poursuivi par ce film, hymne à la paix, est de prouver combien les actions généreuses vis-à-vis d'autrui, entraide et solidarité, constituent la mission principale dont chacun doit prendre conscience".

A travers ce film, qui dépeint une atmosphère exemplaire d'amour du prochain sans aucune discrimination, face aux aléas de la vie, nous voulons transmettre ce message que chacun nourrit au plus profond de soi : l'espoir de voir un jour
''le loup et l'agneau+ réunis paisiblement au bord d'un lac'', a-t-il dit.

Le réalisateur de ''Adieu Mères'' a fait appel à des comédiens marocains et étrangers de renom, entre autres, Marc Samuel, Rachid El Wali, Souad Hamidou, Hafida Kassoui, Rachel Huet et Nezha Regragui.

Source: Casafree

Re: Un autre film en tournage sur l'immigration des juifs du Maroc
Posté par: masschou (IP enregistrè)
Date: 12 décembre 2008 : 02:20



Un autre film en tournage sur l'immigration des juifs du Maroc
Posté par: darlett (IP enregistrè)
Date: 13 décembre 2008 : 18:10

Merci Masschou, je ne connaissais pas ce tableau de Salvador Dali. Incroyable !



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