Fayce, « le je de la paix »

Un livre, d’abord, et un jeu de mot en guise de titre. G. Fayçal (qui avait pris le nom de « Fayce », plus passe partout), est un jeune Marocain dont l’histoire n’est pas banale : venu à l’âge de 18 ans en Israël, à la fin des années 90 et au moment où les deux pays avaient noué des quasi relations diplomatiques à la faveur des accords d’Oslo, il avait décidé de mieux connaître « l’ennemi » en venant y vivre.
Etudiant en informatique, puis ayant trouvé en emploi dans une entreprise du « High Tech », il s’est même fiancé à une jeune israélienne.

Je vous signale que son livre est préfacé par Shimon Peres.

Roger Hanin est en visite en Algerie

Dans un entretien, Roger Hanin parle de l'Algérie comme "mon pays". "Je dis toujours que, moi, j'ai trois pays : l'Algérie, puisque j'y suis né, mon père y est né, mon grand-père...toute ma famille, des générations, depuis mille ans ; il y a Israël, qui est ma terre d'attache, parce que je suis profondément juif - d'aillers on m'a assez fait comprendre que je l'étais - et puis il y a la France qui est ma patrie, et que j'aime. Je me sens très Français, très patriote".

Pourquoi je le cite? tout simplement il dit tres simplement ce que moi j'ai toujours dit de mon pays Le Maroc

"Je dis toujours que, moi, j'ai trois pays : le Maroc, puisque j'y ssis né, mon père y est né, mon grand-père...toute ma famille, des générations, depuis mille ans ; il y a Israël, qui est ma terre d'attache, parce que je suis profondément juif - d'aillers on m'a assez fait comprendre que je l'étais - et puis il y a la France qui est ma patrie, et que j'aime. Je me sens très Français, très patriote".

"Rembrandt et la Nouvelle Jerusalem, Juifs et Chretiens a Amsterdam au Siecle d'Or"
un livre a paraitre aux Editions du Panama




Un ensemble significatif d'oeuvres de Rembrandt et de ses contemporains- sont mis en rapport avec un evenement culturel et religieux d'une portee considerable : l'installation a Amsterdam au XVIIe siecle, dans un climat unique de tolerance, des communautes juives chassees de la peninsule iberique.

""Nouvelle Jerusalem"", ou évoluent cote a cote Rembrandt et Spinoza, la cosmopolite, l'industrieuse Amsterdam, fut, des decennies durant, un foyer intellectuel et artistique majeur.

Alors que rien ne l'y preparait, c'est en son sein que s'elaborent l'une des pensees les plus riches de promesses et l'un des arts les plus puissamment novateurs.
Le monde juif et le monde chretien reforme s'y rencontrent, tissant alors d'innombrables liens sur les plans religieux mais aussi sociaux, economiques et culturels.
L'oeuvre de Rembrandt en offre un temoignage fascinant.

Sur le meme sujet j'ajoute que le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente Rembrandt et la Nouvelle Jérusalem. Juifs et Chrétiens à Amsterdam au Siècle d’or.
L’exposition, qui réunit plus de 190 pièces (peintures, dessins, estampes, objets d’art, manuscrits et documents rares), confronte un ensemble significatif d’oeuvres du maître et de ses contemporains, à un événement culturel et religieux d’une portée considérable : l’installation à Amsterdam, au XVIIe siècle, dans un climat unique de tolérance, des communautés juives réfugiées de la péninsule Ibérique et d’Europe centrale.

Les Pays-Bas témoignent alors d’un puissant phénomène d’ “identification hébraïque”, conduisant ses habitants à se penser comme les nouveaux Israélites. Le monde juif et le monde chrétien réformé se rencontrent à Amsterdam, “Nouvelle Jérusalem”, tissant d’innombrables liens religieux et culturels. Fondatrice pour la société juive moderne, cette communauté de “nouveaux-chrétiens” convertis par force au Portugal, mais restés secrètement fidèles au judaïsme, et devenus des “nouveaux-juifs” à Amsterdam, innove dans de nombreux domaines : organisation communautaire, représentation de soi par l’image et l’archive, acculturation, inscription dans la cité.

L'exposition s'ouvre le 28 mars.

Le dernier né de Mustapha JMAHRI de MAZAGAN


après avoir donné la parole à la Communauté Juive de Mazagan, voici à présent "Paroles de mazaganais " où près d'un siècle de souvenirs racontés par d'anciens résidents français à Mazagan-El jadida .

Ce recueil de souvenirs est préfacé par Michel Amengual journaliste écrivain français résidant à El-jadida Mazagan "La magie de ce recueil de souvenirs réside justement dans le fait que , le livre une fois refermé, El Jadida offre un nouveau visage, celui qu'elle n'a jamais perdu : la Ville de l'Amitié"

Un des grands écrivains marocains de langue française est decede.
Il s'agit de Driss Chraibi ne a Mazagan en 1926.


Il fut revele par son roman: "Le Passé simple" (Gallimard, 1954) :
Un jeune Marocain s’oppose violemment à son père ainsi qu’aux pesanteurs de la société marocaine et part étudier en France. Ce roman qui stigmatise le poids de l’islam et la condition faite aux femmes. Ce roman très critiqué à sa parution en 1954 par les intellectuels marocains, mais bien accueilli en France est devenu un classique de la littérature marocaine du XXe siècle.





Driss a ete a bien des titres un avant gardiste, et les problemes qu'il a souleve dans son livre il y a plus d'un demi siecle sont au coeur de l'actualite d'aujourd'hui.

A Paris, Exposition "Rembrandt et la Nouvelle Jérusalem"
au Musée d'art et d'histoire du Judaïsme
jusqu'au 1er Juillet 2007



Le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente Rembrandt et la Nouvelle Jérusalem, histoire des Juifs et Chrétiens à Amsterdam au Siècle d’or.

"Le monde juif et le monde chrétien réformé se rencontrent à Amsterdam, “Nouvelle Jérusalem”, tissant d’innombrables liens religieux et culturels.

Fondatrice pour la société juive moderne, cette communauté de “nouveaux-chrétiens” convertis par force au Portugal, mais restés secrètement fidèles au judaïsme, et devenus des “nouveaux-juifs” à Amsterdam, innove dans de nombreux domaines : organisation communautaire, représentation de soi par l’image et l’archive, acculturation, inscription dans la cité"

Lire les details sur

[www.hotels-paris-rive-gauche.com]

Musée d'art et d'histoire du Judaïsme
Hôtel de Saint-Aignan
71, rue du Temple
75003 Paris

Mercredi dernier, je m'apprêtais à passer la journée à la montagne mais auparavant, un petit tour par la boîte aux lettres et surprise je venais de recevoir 'l'Oeuvre exécutée" d'André Elbaz.




Entre autres techniques, André Elbaz utilise pour ses peintures et ses fresques, comme support, un papier qu'il fabrique lui-même à partir de fibres végétales, et sans le faire exprès ce mercredi-là j'ai lu une grande parie de son livre assise comme vous pouvez le voir sur la photo dans une ambiance purement végétale.

Mais revenons au contenu du livre : il s'agit de l'oeuvre complète d'André Elbaz expliquée par des professionnels de renom tel que Guy Serieys Conseiller de coopération et d'Action Culturelle Française au Maroc, Aziz Daki Commissaire de la rétrospective organisée par l'Institut Français de Casablanca et d'autres encore.

Outre les fibres, je retiens les belles peintures sur les villes orientales que nous avons déjà eu l'occasion de voir sur Darnna, les fresques représentant les vivants soudain saisis par la mort. Fresques inspirées par les différents génocides dont celui du Rwanda ; et pour couronner son oeuvre, comme le souligne le titre du livre, l'exécution de l'oeuvre ; déchirement de l'oeuvre, inclusion dans des urnes pour fonder une oeuvre nouvelle. Rien de macabre dans ces urnes sinon le refus de cristalliser une œuvre dans une définition unique.

Les fresques et les villes orientales concèdent au sensible sa part tout en se posant comme prétexte à découvrir ce que la pensée permet d’idéaliser.

Ce beau livre mérite une large diffusion auprès de nos amis. Les œuvres représentées permettent de suivre la chronologie de ce travail de création et attestent de la grande qualité d’exécution dans des supports nouveaux pour une grande partie. Que ce soit du tissus de soie collé sur un support en lin ou d’un support tout à fait nouveau créé pour soutenir une peinture ou pour y inclure des éléments contribuant à l’idée de base du peintre.

Ce livre, à recommander à tous les amoureux des arts contemporains, se pose comme une partie nécessaire pour connaître et maîtriser l’histoire de l’art pictural.

j'allais oublier pour commander le livre d'André Elbaz,

M. Michel Carasson
Editions Non lieu
2 rue de l'adjudant Reau
75020 Paris

Festival International de Musique du Désert

Le village marocain de Merzouga, situé dans le désert, accueillera la quatrième édition du Festival de Musique du Désert le 24 et le 25 mai, et présentera des musiciens marocains, espagnols, brésiliens, français et maliens.

Outre des spectacles musicaux, ce festival proposera des tables rondes sur le tourisme dans le désert et les oasis, ainsi qu'une course de chameaux.

Bonjour tout le monde ,
j'ai acheté cette semaine le dernier n° de Médina, revue marocaine magnifique !
c'est le N° 42 de mai 07.
Les thèmes principaaux sont :

KENITRA et MOULAY BOUSSELHAM
et des tas d'info sur le Maroc !

pensez à l'acheter, on le trouve dans toutes les boinnes maisons de la presse en France !

bonne journée à tout le monde

Marie José

le nouveau clip de Paul Mccartney:

L'ancien Beatles revient avec un excellent clip Dance Tonight, ou la belle Nathalie Portman joue un fantome un peu malcommode.
Un refrain accrocheur qu'on n'a pas fini d'entendre.
Je trouve Paul toujours d'actualite, toujours IN,et porteur du genie des Beatles. Enjoy!!

Les Accommodements : La responsabilité des médias
Lundi 18 Juin 2007 - 19:00

Centre Gelber - Montréal

5$ - Passeport conférences - 25$

Panel
PIERRE THIBEAULT
Rédacteur en chef de l'hebdomadaire ICI, Pierre Thibeault est régulièrement invité à commenter l'actualité et la littérature sur des tribunes radiophoniques et télévisuelles. A son actif également, deux ouvrages, D'un ici à l'autre, et l'essai Frénétiques, coécrit avec Yvon Montoya.

LAURA-JULIE PERREAULT
Journaliste au quotidien La Presse, Laura-Julie Perreault s’intéresse aujourd’hui particulièrement aux questions d’immigration et d’intégration. En 2002, elle a remporté le prix Amnistie internationale pour ses reportages sur la guerre en Tchétchénie.

JOSEE BOILEAU
Directrice de l'information au quotidien Le Devoir, Josée Boileau est également chroniqueuse à la radio de Radio-Canada, à l'émission «Samedi et rien d’autre».

ALEXANDRA SZACKA
Lauréate de nombreux prix canadiens et internationaux, cette journaliste a couverts sujets sociaux, politiques et économiques, au Canada et dans plus de 25 pays sur tous les continents. Elle revient d’Afghanistan où elle a été l’envoyée spéciale du Téléjournal de Radio-Canada.

Conférence pour clore le Festival SEFARAD de Montréal

Interview d'André Azoulay sur AL AHRAM egyptien:

" Nous sommes aujourd’hui beaucoup plus archaïques que nous l’étions il y a 70 ou 100 ans."


Conseiller du roi Mohamed VI du Maroc, André Azoulay est membre du Groupe de haut niveau des Nations-Unies pour l’alliance de civilisations. Il fait le point sur l’état des relations entre le monde arabo-musulman et l’Occident.
lire :[hebdo.ahram.org.eg]

L’histoire se situe en 2999, au moment supposé de l’Apocalypse. Un grand Procès doit avoir lieu entre Dieu, Adam et Ève et quatre représentants de l’Humanité, chacune des parties avançant des griefs envers les autres. À la dernière minute, le Président du Tribunal décide que les débats auront lieu à huis clos, un journaliste propose alors à la foule en colère qu’une taupe s’introduise incognito dans la salle d’audience. Ce sera Franck Courtepied, un homme haut en couleur. Les sujets abordés – Dieu, la femme, l’homme, le bien, le mal – tournent autour d’une question posée par Dieu lui-même : « Ai-je créé l’Homme ou est-ce l’Homme qui m’a créé ? ». Franck Courtepied développe des trésors d’imagination pour infiltrer chaque jour les débats et en devenir le témoin privilégié. Ses aventures et l’étonnante relation qu’il établit peu à peu avec Dieu nourrissent le mystère et apportent une dimension ludique et humoristique à cette fable.

Résumé
« J’écris pour toutes les personnes déplacées du monde. Celles à qui une place est refusée, un petit bout de terre, des racines, et pour lesquelles le rêve fournit cet ailleurs indispensable quand toutes les portes se ferment. Tout est balisé. Je peux raconter mon histoire. Notre histoire. »

Dans un climat d’après-guerre chaotique, Rébecca, une jeune polonaise rescapée de la Shoah, a rejoint un camp de réfugiés en Allemagne dans l’espoir d’immigrer aux États-Unis. Devenue un être de nulle part, écartelée entre un passé culpabilisant et un avenir incertain, saura-t-elle entendre la voix amoureuse et idéaliste de celui qui prône le départ vers la terre promise ? Se laissera-t-elle guider par la flamme du judaïsme que ses tortionnaires n’ont pas réussi à étouffer ?
Françoise Ouzan est historienne et vit entre Jérusalem et Paris. Agrégée de l’Université et maître de conférence, elle est l’auteur de plusieurs essais sur les États-Unis. Demain, nous partons est son premier livre.

Superbes ces 2 livres. On a envie de les lire !

Résumé
Au-delà de l’événement historique, que vient nous enseigner la Sortie d’Égypte sur notre capacité à nous libérer de tous les esclavages, matériels et spirituels ? Dans le premier commandement, la révélation divine est intimement liée à cette sortie d’exil : « Je suis L’Éternel ton Dieu qui t’ai fait sortir de la terre d’Égypte, de la maison des esclaves. » Cette délivrance est au coeur de l’expérience religieuse juive, qui commande d’en rappeler quotidiennement le souvenir et d’en faire le récit détaillé lors de la fête de Pessah (Pâque). Le hassidisme, mouvement mystique apparu au XVIIIe siècle, réinterprète la tradition juive d’un point de vue existentiel. Le rabbi de Gur, dans son commentaire classique de la Torah La Langue de la vérité (Sfat Emet), puise dans le Talmud, le Midrach et la Cabale les éléments d’une théologie de la libération juive. Catherine Chalier, philosophe spécialiste de la pensée hébraïque, en a sélectionné les passages relatifs à Pessah et propose à leur suite une analyse de la pensée du rabbi de Gur. La Langue de la vérité nous invite à quitter l’exil spirituel pour nous rapprocher du centre intime de notre âme, lieu de notre vraie liberté.

on est tous l'étranger de quelqu'un....
parution : 4 Mai 2007